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Le métro : place assise ou debout?

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ce jour-là, j’entrai dans les couloirs du métro le cœur battant, presque au bord des lèvres tant l’appréhension me saisissait. Pour une fois, je n’allais pas au travail, je n’allais pas rejoindre des amis, je n’allais nulle part : je prenais le métro, voilà tout. Mais dans un but particulier. Pendant plusieurs mois,  avec mon ex nous avions discuté de nos fantasmes ; à chaque fois que je lui expliquais l’un des miens il trouvait à redire, critiquer, juger (y compris lorsque je précisais que je ne tenais pas nécessairement à les réaliser mais que j’aimais en parler avec lui). Parallèlement, notre relation s’était détériorée et tout s’était achevé sans gloire, par une séparation sans douceur qui me laissait plutôt en colère. J’avais donc décidé de revenir sur ces fantasmes qu’il avait finalement rejetés en bloc, qu’il refusait totalement, niant par là mon désir. L’un d’eux était de vivre un moment intime dans le métro : me faire toucher les seins, le sexe, voire aller plus loin. Oui, une petite folie ; moi-même je ne savais pas si je souhaitais vraiment le vivre, mais en ce jour j’avançai dans les couloirs souterrains sans autre idée en tête. Peut-être irais-je jusqu’au bout, peut-être passerais-je juste un bon moment à imaginer ce qu’il pourrait arriver, pour mieux y repenser le soir dans mon lit ? Toujours est-il que je portais une jupe floue et un string, prête à faciliter l’accès d’une main à mon intimité, que cela se réalise ou que tout reste purement imaginaire. J’arrivai sur le quai. J’avais choisi la ligne la plus longue, pour me laisser le temps de me décider, et de passer à l’action, éventuellement. Me disant toujours que c’était une pure folie, que je risquais surtout le regard choqué d’un homme ne désirant pas du tout cela, voire celui des gens autour qui auraient compris ce que j’essayais de faire. Le métro arriva. Je montai, parmi les dernières. La rame avait commencé à se remplir, mais il restait des places assises. Je me dirigeai vers le fond du wagon. Un homme d’environ 35 ans occupait le fauteuil à l’angle, dos à la fenêtre ; une place restait libre à côté de lui. Il avait commencé à déployer un journal mais regardait autour, se demandant sans doute s’il pouvait s’étaler un peu sur le siège voisin ou si quelqu’un viendrait occuper la place.
 J’hésitai un peu avant de m’asseoir à côté de lui. L’inconnu me sourit : « Je ne mords pas… » Je souris à mon tour : « Oh, ce n’est pas pour vous… Simplement, j’hésitais entre une place assise ou debout. La rame va se remplir rapidement. Debout on est vite compressé contre les autres, mais en définitive assis ce n’est guère mieux : on est visage à hauteur de… euh, tout ce qu’il y a autour, c’est un peu étouffant. Mon inconnu rit et se leva à moitié.
 - Dans ce cas, voulez-vous ma place dans le coin ? Vous serez moins soumise à cette… promiscuité avec, comme vous dites, ce qu’il y a autour lorsque les gens sont debout.
 Ce disant, il me lança un regard appuyé. Je posai une main sur son épaule, l’incitant à se rasseoir.
 - Merci, c’est vraiment très gentil à vous, ce qu’il y a, euh, autour ne me gêne pas tant que ça. 
 Devant ses yeux plissés et son sourire goguenard, je m’embrouillai un peu.
 - Euh je veux dire, la promiscuité, tout ça… - Oui oui, tout ça, je comprends bien.
 Rouge d’embarras, je me tus. J’étais bien partie… C’aurait été l’occasion de sauter sur l’ambiguïté pour engager un dialogue taquin, me rapprocher discrètement, écarter les jambes tout en poursuivant le badinage, sentir sa main jouer avec moi tandis que nous échangerions toujours de bons mots, enchainer les répliques à double sens alors que ses doigts m’auraient pénétrée. Ben voyons. Rien que ça. Et après nous serions sortis du métro, serions montés chez moi où il m’aurait fait l’amour au milieu de pétales de roses, à la lueur de chandelles, dans un lit à baldaquin, aussi ? De toute façon je n’avais pas de chandelles. Sans compter qu’un baldaquin, des chandelles et moi me déchainant au lit, bonjour le risque d’incendie. Bref. Ma maladresse et mon fantasme avorté avant d’avoir vaguement débuté me mettaient les larmes aux yeux.
 Mon inconnu s’en aperçut manifestement et sourit avec inquiétude.
 - Je suis désolé, je peux être un peu trop taquin, je ne voulais pas vous embarrasser. Pas à ce point, en tout cas. Je vous présente vraiment mes excuses, oubliez mes remarques.
 Le cœur battant, je me lançai.
 - En fait… C’est surtout que je ne savais comment vous répondre. Car, comme je vous le disais, cela ne me dérange pas.
 Je plaçai discrètement ma main le long de sa cuisse. Il me fixa quelques secondes, redéploya son journal de façon à cacher ma main et soupira :
 - C’est un vrai plaisir de rencontrer quelqu’un dans le métro qui ne se plaigne pas de la promiscuité. Elle va de soi, être assez philosophe pour en profiter plutôt que de la subir est hautement louable. Vous êtes admirable.
 Je remontai la main vers son entre-jambe. Les battements de mon cœur devenaient tellement forts qu’ils semblaient me secouer en entier, tout le wagon devait les voir, tout le monde devait me regarder, tout le monde saurait que j’étais en train de toucher cet homme, tout le monde…
 - Nous pourrions pousser davantage cette discussion, ne pensez-vous pas ?
 Je me recentrai sur mon inconnu. Le reste du wagon nous ignorait parfaitement, tout comme mon corps tremblant, la chaleur qui me gagnait lentement, ma main posée sur une braguette tendue par un sexe visiblement en érection. Cachée par son journal qu’il tenait largement ouvert, je défis maladroitement d’une main sa ceinture, ouvrit sa braguette et glissai mes doigts sous son boxer. Je saisis son sexe, déjà bien tendu, et commençai à le masturber. Je modérais mes mouvements : je n’avais qu’une envie, le branler vite pour le voir jouir, ce qui aurait malheureusement été trop visible. Idéalement, dans ma bouche, mais le monde autour de nous empêchait la réalisation de ce fantasme. De son côté, mon inconnu ne maintenait plus son journal que d’une main : de l’autre, il remontait le long de ma cuisse sous ma robe. Mon sac à main, posé sur mes genoux, dissimulait ses gestes. Il avait fini par trouver mon entrejambe et me caressait délicieusement le clitoris, repoussant la ficelle de mon string pour enfoncer lentement un doigt dans mon sexe déjà humide. Nous nous masturbions mutuellement depuis environ cinq minutes, nous regardant de temps en temps, l’air un peu perdus, lorsqu’une vieille dame monta dans le wagon et, debout à côté de nous, demanda qu’on la laisse s’asseoir. Lorsque je me levai pour lui céder ma place, l’air de frustration de mon inconnu retirant sa main de mon sexe valait son pesant d’or… Mais c’était au contraire se lever pour… mieux sauter, comme le dit (presque) le proverbe. Je m’adressai à lui :
 - Mon chéri (il écarquilla les yeux), tu sais que je suis encore un peu fatiguée, je peux m’asseoir sur tes genoux ?
 La vieille dame s’apprêtait à s’éloigner, s’excusant et disant qu’elle allait s’asseoir ailleurs. Nous nous écriâmes de concert :
 -  Non non, restez là, pas de problème ! 
 Mon inconnu rabattit progressivement son journal au fur et à mesure que je me décalai vers lui. Il souleva discrètement l’arrière de ma jupe lorsque je plaçais mes fesses au-dessus de ses jambes. La vieille dame me sourit en s’asseyant.
 - Vous êtes vraiment adorable… Mais je ne veux pas que vous soyez dans une position inconfortable… - Pas d’inquiétude madame, je m’en accommoderai, je pense.
 Le rire étouffé de mon inconnu m’excita encore davantage. Ecartant légèrement les jambes, je m’assis lentement sur son pénis, qui me pénétra en douceur. Je sentis son gland écarter mes lèvres trempées, s’insérer en moi, suivi de toute la longueur de sa hampe. Son sexe palpitant me dilatait délicieusement. J’espérais que mon visage ne laisse rien paraître de mon excitation et mon désir. Je ne pouvais bouger au-dessus de lui, c’était une terrible frustration d’avoir cette splendide queue en moi et de la sentir immobile, quand je rêvais de la sentir me défoncer la chatte…  Mon inconnu glissa discrètement une main sous ma veste, cela passait juste pour un geste d’amoureux un peu osé en public. En fait il avait réussi à franchir la barrière du débardeur et me pinçait un téton, en malaxant doucement le lobe de mon sein droit. Je me mis à contrôler ma respiration, pour éviter de laisser transparaître mon plaisir. Je commençai aussi à contracter ma chatte sur sa queue ; je sentis cette dernière raidir davantage et les pulsations qui la parcouraient s’intensifier. Je me retenais de haleter, c’était tellement bon… La situation se prolongea jusqu’au terminus : nous n’osions bouger, pris dans notre plaisir et notre frustration de ne pouvoir faire plus.  Le conducteur annonça au haut-parleur qu’en raison d’une inondation partielle du réseau, la ligne allait être temporairement fermée, le temps que les circuits électriques soient sécurisés. Ce hasard me rassura : j’appréhendais le moment où j’allais me relever, le bruit mouillé de la queue sortant de ma chatte, les passagers tardant à sortir s’apercevant de ce que nous faisions… Nous avions le temps, la rame n’allait pas bouger.
 Nous attendîmes donc que tout le monde soit descendu. Mais lorsque je commençai à me lever, mon inconnu agrippa mes hanches et me rassit sur son pénis, me repénétrant. Je lâchai un ahanement, puis me relevai à nouveau : nouveau mouvement de sa part qui me fit m’empaler sur lui. Je me mis à haleter, sans réfléchir au conducteur qui allait sans doute venir vérifier que tout le monde avait quitté la rame. Contrôlant mon basson, mon inconnu me faisait coulisser sur lui plus rapidement, me faisant gémir sourdement. Je le laissai donc me baiser ainsi, en prenant appui sur le siège pour ne pas perdre l’équilibre et mieux me soulever avant de me rassoir sur sa queue tendue. Alors qu’il accélérait, nous entendîmes un cri de protestation. Gagné, le conducteur… Il venait d’entrer dans le wagon par une des portes faisant la jonction entre deux wagons (les portes de la rame devaient être bloquées, pour empêcher quiconque de monter à nouveau) et il avait l’air furieux. Je le regardai sans parvenir à mettre fin à la pénétration, hagarde : perdue dans mon plaisir, je me contentai de haleter plus fort et de gémir ouvertement. Il nous dit quelque chose, sans que je comprenne. Mon inconnu ralentit le rythme, parla à son tour. Le conducteur sembla se calmer, se contentant de me regarder d’un air méprisant. Il finit par poser parterre sa sacoche, ouvrit sa braguette et commença à se caresser en nous regardant. Je gémis plus fort. Être baisée devant un voyeur : un de mes fantasmes. Je n’arrivais pas à réaliser que celui-ci aussi prenait vie. Mon inconnu, cessant tout mouvement, me chuchota :
 - Vous me disiez, en entrant dans ce wagon, hésiter entre une place assise et une place debout… Il est temps d’expérimenter la seconde option…
 Il me releva. La sensation de vide qui me saisit lorsque son sexe sortit du mien me fit geindre. Mon inconnu m’ôta rapidement ma jupe, ma veste et mon débardeur, me laissant mon string, me plaqua contre la vitre de la porte et revint me pénétrer, de dos. C’est alors que nous vîmes ce qui nous avait échappé depuis l’arrêt de la rame… Un groupe de quatre ou cinq jeunes était resté et matait avidement nos corps en mouvement. Ils comprirent que nous les avions vus, perdant alors toute discrétion et toute retenue. Ils se mirent à tambouriner contre les portes, sortirent leur sexe pour se masturber devant moi, m’insultèrent. Sans cesser de me baiser, mon inconnu saisit ma veste restée à terre et me la donna.
 - Attention, ils ont sorti leurs téléphones…
 Je mis ma veste sur mon visage : je ne tenais pas à pouvoir être identifiée sur les images.
 - Vous préférez qu’on arrête ?
 Je tâchai de maîtriser mes gémissements.
 - Non, au contraire, ça m’excite…
 Mon baiseur me plaqua alors complètement contre la vitre, m’exposant au regard des jeunes, hilares, qui tambourinaient toujours sur la paroi du wagon, me montraient leur sexe tendu et criaient que ça allait être leur tour, qu’ils me fourreraient tous les trous quand ils auraient réussi à entrer. Mes seins s’écrasaient sur le verre froid tandis que je gémissais, la chatte toujours puissamment tringlée. Les jeunes prenaient des photos qu’ils me montraient, en me traitant de pute et de salope. Tout en continuant à me laisser baiser, je me vis sur les écrans (à travers les espaces de ma veste), tétons et lobes dilatés par la pression de mon baiseur qui me collait à la vitre. On voyait bien sa queue me pénétrer par derrière : mon corps et mon plaisir s’offraient à tous les regards. Je savais qu’il aurait fallu y mettre fin, que ces photos allaient circuler et qu’elles pouvaient me porter tort, même si aucun nom n’y était associé, mais j’étais incapable de résister à l’excitation et je ne pouvais qu’ouvrir largement les jambes en gémissant pour être plus profondément pénétrée.
 Mon inconnu m’excitait davantage par ses chuchotements, me demandant si je préférais finalement la place assise ou debout dans le métro. Je ne savais plus ce que je voulais, ce que je faisais, je le laissais juste m’utiliser pour baiser, je les laissais tous faire, l’un me pénétrant, les autres me regardant et m’insultant : le plaisir devenait trop fort. Lorsque mon inconnu, continuant à s’enfoncer en moi (de plus en plus rapidement) me mit un doigt dans l’anus, mes gémissements s’intensifièrent.
 - Oh oui, c’est bon, c’est bon, n’arrêtez pas, par pitié, pitié, encore, oh s’il vous plait encore…
 Il activa alors vigoureusement son doigt en moi, presqu’aussi fort que sa queue, jusqu’à ce que mes supplications deviennent balbutiements et que je finisse par crier, hurler, jouir. Mon corps se relâcha entièrement, je ne tenais plus debout que par le poids de mon inconnu contre moi, qui me maintenait debout contre la vitre. Sa queue se tendit encore plus ; il me demanda entre deux halètements s’il pouvait juter dans ma chatte. Je murmurai : « ma bouche, plutôt, ma bouche… » Il se retira brusquement de moi, m’agenouilla brutalement, saisit ma tête et pénétra violemment mes lèvres en plaquant mon visage sur son ventre. Heureusement, mes cheveux cachaient mon visage aux voyeurs. A peine fût-il au fond de ma bouche que je sentis une première contraction de sa queue, accompagnée de râles profonds et d’une giclée de sperme chaud. Il se retira légèrement puis m’enfouit à nouveau tout son sexe dans la gorge, deuxième pulsation. Je sentais la contraction monter de la base de sa queue en même temps qu’une tension de ses testicules, dilatant mes lèvres, puis parcourant ma bouche jusqu’au fond où son gland appuyait contre ma gorge. A nouveau, la pulsation se résolut en une puissante giclée de foutre, plus importante que la première, qui m’étouffa presque.  Retrait, pénétration, contractions, montée du sperme le long de sa queue et davantage de foutre dans ma bouche. J’essayai d’avaler, mais son gland bloquait ma gorge, j’avais peur d’une fausse route et laissai le sperme s’échapper de mes lèvres. Lorsque pour la troisième fois il se retira, je déglutis rapidement avant son retour et la suite de son éjaculation. Il fit une dizaine d’aller-retours en moi de cette façon, ses râles se transformant en cris et gémissements. Je n’avalais pas assez vite, chacune de ses giclées finissait en partie sur mes lèvres et mon menton, jusqu’à couler le long de mon cou.
 Le conducteur du métro, qui s’était masturbé tout ce temps sans rien dire, me releva à moitié pour me positionner à genoux, le buste contre l’assise d’un siège. Place assise, place debout, place agenouillée maintenant. J’entendais vaguement, à l’extérieur, les cris de frustration et de colère des jeunes : dans ce coin du wagon, j’échappais en partie à leurs regards. Le conducteur prit un peu de cyprine dans mon sexe, la plaça sur mon anus et y positionna son sexe bandé à l’extrême. Je n’étais plus en état de réfléchir. Tout cela était-il bien réel ? Un simple fantasme de masturbation pouvait-il m’avoir conduite à me faire baiser par un inconnu devant cinq ou six jeunes qui me prenaient en photo, puis à me faire remplir de sperme dans une fellation violente, pour finir à genoux, prête à accepter la sodomie d’un second inconnu ? Alors que je tentais de faire le point, une vive douleur me transperça : le conducteur venait d’insérer son gland en moi, sans douceur. Je glapis et tentai de me redresser.
 - Fais pas ta mijaurée, petite salope, détends-toi, ça va aller…
 Et il m’enfonça, lentement, le reste de sa queue. Je haletai et finis par écarter mes fesses de mes mains, pour faciliter la pénétration. J’avais rarement pratiqué la sodomie avec mon ex, parce que je n’osais pas lui dire à quel point j’aimais ça. Le conducteur me saisit aux hanches et commença à m’enculer, sans se préoccuper de moi. Je me mis à geindre. Il accéléra en haletant et en me traitant de pute. La sauvagerie de ses mouvements me déchirait le cul, mais je ne pouvais m’empêcher de gémir de plaisir, me masturbant en même temps. Un coup de hanches plus puissant que les autres me cloua contre le siège ; le conducteur cria en agrippant et griffant mes épaules. Je sentis sa queue déjà large gonfler davantage, rendant la dilatation de mon anus à peine supportable, et éjaculer abondamment. Chaque giclée me remplissait, je sentais la chaleur envahir mon rectum, jusqu’à ce que je sois pleine et que le foutre s’écoule à l’extérieur.  N’ayant pas joui, je continuais à me masturber en haletant. Le conducteur se retira brusquement, dans un bruit de succion mouillé. Tout le sperme se déversa d’un coup le long de mes cuisses. Mon inconnu, qui était resté en retrait, m’attrapa par la taille et m’allongea sur le sol du wagon, sans se soucier du sperme qui me souillait. Je vis qu’il bandait à nouveau. Il retira ma main de mon sexe.
 - Laissez-moi vous aider…
 Sans attendre ma réponse, il écarta mes jambes et me pénétra. En même temps, il jouait avec mon clitoris. Son habileté et ses coups de reins achevèrent de faire monter mon plaisir. J’entourai son bassin de mes jambes et le suppliai de me baiser à fond. Il accéléra, jusqu’à ce que je crie, pleurant presque de plaisir en me contorsionnant sous lui pour accentuer ses pénétrations. Il jouit à son tour, commençant à juter dans ma chatte. Il se retira alors :
 - Pardon, j’avais oublié, pas dans votre chatte…
 Et il acheva d’éjaculer sur mon ventre et mon visage. Il se releva, me laissant étendue, haletante, inerte, nue, jambes écartées et relevées, en grande partie couverte de son sperme, allongée dans le sperme du conducteur qui avait coulé de mon cul. Je l’entendais discuter avec le conducteur, qui se plaignait des jeunes qui avaient manifestement envoyé des giclées de foutre sur les vitres du wagon. Il dit qu’il allait amener la rame dans un coin tranquille pour que nous puissions tous en sortir sans danger. J’entendis ses pas s’éloigner dans la rame. Mon inconnu s’agenouilla à côté de moi, m’assit en partie et commença à essuyer le sperme qui me couvrait, s’interrompant de temps en temps pour caresser mes seins et murmurer des remerciements. Je soupirais d’aise, m’abandonnant entièrement contre lui. Je sentis la rame se mettre en branle. Les cris des jeunes s’éloignèrent. Je me blottis contre mon inconnu.
 - Il va falloir vous rhabiller maintenant, vous ne pouvez pas sortir comme ça.
 Il m’aida à remettre ma jupe, mon débardeur et ma veste. Tandis qu’il me rhabillait, je sentais sa queue se tendre à nouveau contre moi. Pas possible, une troisième érection… La rame roulait toujours.
 - Franchement, quand je vous ai vue arriver dans le wagon, embarrassée par une mauvaise plaisanterie, je n’aurais jamais cru que cela finirait de cette façon. Il va falloir que je justifie mon absence au travail, mais ça en valait la peine.
 Il me tenait contre lui, mon dos plaqué contre son torse, en embrassant délicatement mon cou et frottant son sexe bandé contre mes fesses. Je relevai ma jupe. Sans rien dire, il ressortit sa queue et s’enfonça, sans difficulté, dans mon cul. Je bougeai les hanches, me sodomisant sur lui, alors qu’il agrippait mes épaules et mes cheveux. Cela ne dura qu’une minute : il éjacula très vite dans un ahanement, et bien moins que les fois précédentes.
 - Merci… Je dois dire qu’après avec vu le conducteur avec vous, j’en avais très envie. 
 Il se retira, m’essuya rapidement le peu de sperme qui coulait et se rajusta.
 - Tenez, je vous laisse mon numéro de portable, vous avez l’air d’aimer faire les choses… disons, à ma façon.
 La rame s’arrêta. Le conducteur, l’air maintenant un peu gêné, vint nous chercher et nous guida jusqu’à une sortie. Il retourna dans les couloirs souterrains sans un regard pour nous. Mon inconnu me demanda mon adresse, appela un taxi pour moi, lui donna de l’argent à l’avance, et m’embrassa délicatement avant mon départ. Je ne sais trop comment je revins chez moi, pris l’ascenseur, ouvris les portes : je flottais dans un autre monde, pleine du souvenir d’un fantasme réalisé, et de la réalité du sperme (des spermes) qui m’avait remplie. Je m’allongeai ou plutôt me laissai tomber sur mon lit et commençai machinalement à me caresser les seins. Je saisis mon téléphone et me filmai, ne sachant pas trop s’il valait mieux que je sois assise, allongée, debout, essayant toutes les positions, commençant à m’enfoncer les doigts dans la chatte. Place assise, place debout, en définitive peu importait, ce qu’il fallait était un sexe. Son sexe. En moi. Finalement j’envoyai la vidéo au numéro que m’avait donné mon inconnu. Avec un seul mot : « Venez. »
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