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Trois cocus volontaires.

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Mes remerciements à Duchesse qui est encore allé au charbon en corrigeant un texte bourré de fautes, bonne lecture.


Je quittai la crique avec une érection de tous les diables, j’avais bien espéré que Françoise s’occupe de moi, mais exsangue, elle ne voulait que se reposer dans mes bras. Revenant à la nage vers la grande hutte avec mes amis et la dizaine de jeunes filles bavardes et taquines, je ne me souciai plus des possibles serpents géants tapis dans l’eau opaque, mais bien de Françoise qui avait gardé sur son visage les échos de son orgasme. Je croyais l’avoir toujours contentée, sauf quand accidentellement, je partais trop vite, mais maintenant, je savais qu’elle m’avait menti, ou du moins un peu trop flatté. Françoise et Anna étaient pourtant des féministes, je me rappelle même qu’après des caresses où je l’avais questionnée sur mon niveau, elle m’avait répondu qu’une féministe disait toujours à son mec si c’était un mauvais coup. On était éperdument amoureux, peut-être que ça avait joué sur ma note.

Tous assis à même le sol autour de braises rougeoyantes, on mangea les plats préparés par les aînées qui étaient à peine plus âgées que la dizaine de jeunes filles, je donnai trente-cinq ans à la plus vieille. La passion comblée ou calmée, mes amis et moi, on n’en menait pas large, personne n’évoquait ce qui s’était passé il y a moins d’une heure. Bien qu’on avait toujours eu comme projet d’aider des gens qui n’avaient rien en les acceptant tels qu’ils étaient, leurs mœurs nous avaient déstabilisés. L’après-midi, Anna donna ses premières leçons de Français aux enfants de la tribu, elle hésitait entre devenir institutrice ou éducatrice spécialisée. Françoise donna des soins dentaires, elle n’avait aucun diplôme ni même la vocation, mais ses parents dentistes lui en avaient assez appris pour résoudre de petits problèmes. Maria passait de l’une à l’autre en fonction des demandes. Jean, Pierre et moi on s’occupait de creuser une fosse d’aisances à deux cents mètres de la grande hutte.
Katharina nous supervisait tous, donnait des conseils, ramenait des fugueurs en classe, chassait des jeunes filles qui nous tournaient autour. Seins nus, au moins portaient-elles à la taille une bande de tissu de couleur vive qui descendait plus ou moins sur leurs cuisses.
Une fois le trou couvert de rondins de bois, on parla enfin de ce qu’il s’était passé dans la crique. Jean minimisa ses baisers avec plusieurs autochtones ainsi que la scène qu’avaient donnée Farra et Liazou, pour lui, c’était juste des jeux. Pierre alla dans son sens. Pour ma part, je leur dis que quelque chose n’était pas sain dans le comportement des sirènes qui nous avaient abordés cavalièrement. J’avais eu la nette impression qu’on était à leurs yeux plus des jouets que des hommes. Je fus charrié par mes deux meilleurs amis, ils avaient bien entendu mes échanges avec Liazou, ils pensaient que je ne digérais pas les piques. À la fin, ils me donnèrent raison sur un point, aucune n’avait demandé de permission, ce qu’elles voulaient, elles le prenaient.

À mesure que le soleil déclinait, les hommes des bois, nom donné à cette tribu par Katharina, arrivèrent seuls, à deux ou trois. Françoise et Anna en étaient pour leurs frais, mais les femmes ne chassaient pas. Nous saluant avec chaleur, les hommes portaient sur leurs épaules ou dans des sacs de feuilles tressés, le fruit de leur chasse et de leur cueillette. Comme les femmes, le plus vieux ne devait pas avoir la quarantaine. L’un déversa près de la grande hutte ce qui ressemblait à de gros radis noirs, deux femmes s’occupèrent de les laver. Un chasseur rapporta plusieurs petits singes à peine plus gros qu’une poule, je n’étais pas habitué à voir les entrailles d’animaux. Au troisième vidé, j’eus le tournis, m’échappant du spectacle, à deux doigts de vomir, j’entendis dans mon dos de grands éclats de rire. Comme une meute de hyènes, Liazou et sa bande me pointaient du doigt en parlant dans leur langue. Je n’avais aucun problème à la vue du sang, je n’étais pas en sucre.
Ce qui m’avait soulevé le cœur, c’est que les petits singes nous ressemblaient trop. Je fis un doigt d’honneur à celle que j’avais identifiée comme une sacrée garce avant de rejoindre Jean, occupé avec Maria à laver nos affaires, on transpirait tant qu’on aurait pu changer de tee-shirt toutes les heures.
Il n’y avait que treize hommes, les femmes étaient donc presque deux fois plus nombreuses. Anna remarqua cette curiosité, à la fin du repas qui réunissait toute la tribu autour du feu, Katharina nous en expliqua la cause. La tribu qui était en fait divisée en sept familles éparpillées sur un territoire grand comme la Corse avait il y a quelques années dû faire la guerre à une compagnie de l’armée de la République démocratique du Congo qui s’était aventurée sur leur territoire. On comprit alors pourquoi les hommes des bois portaient tous des tenues de camouflage usées, Katharina nous rassura, la guerre était bel et bien finie, on était en sécurité. Jean, Pierre et moi, on regarda les hommes sous un nouveau jour, si on avait bien compris ce que nous avait dit la séduisante rouquine, leur tradition voulait qu’ils portent comme un trophée la tenue du guerrier vaincu.
Un frisson me parcourut l’échine en croisant le regard de l’un qui écoutait attentivement notre conversation, son prénom était facile à retenir : Jacques. Quelques hommes des bois, dont lui s’était converti au protestantisme, drôle d’idée. Bel et grand homme, il devait mesurer aux alentours d’un mètre quatre-vingt-dix. Jacques avait ses cheveux crépus coiffés en fines tresses qui descendaient sur sa nuque, une barbe de quelques semaines entourait ses grosses lèvres, il portait sa veste de treillis déboutonnée, exposant des muscles secs en raison d’une activité constante. Avec son visage harmonieux, au premier abord, il paraissait gentil, mais ses yeux noirs m’évoquaient ceux d’un tueur au sang-froid. Peut-être l’instinct, peut-être une peur irrationnelle, peut-être simplement la peur de l’étranger, mais cet homme des bois là m’avait mis mal à l’aise avant même que je sache qu’il avait tué un être humain.
Notre première nuit au sein de la tribu fut une vraie surprise, les hommes ne dormaient jamais avec les femmes dans la hutte. Ils s’éparpillaient autour, à deux ou trois cents mètres en ne dormant que d’une oreille. On laissa donc nos petites amies aux soins de la dizaine de jeunes filles libidineuses de l’après-midi. Avant de m’enfoncer avec Jacques dans la jungle, je vis que Délimaou avait déjà pris ma place au côté de ma petite amie. Un mélange de jalousie et d’excitation afflua en moi, les gémissements de Françoise résonnaient toujours dans ma tête, j’aurais donné beaucoup pour pouvoir être avec elles dans la hutte. Je ne pensais pas pouvoir dormir dans la jungle au côté de ce guerrier qui veillait assis dos contre un arbre, une lance en main et un couteau à la ceinture, pourtant je dormis comme un bébé jusqu’au petit matin.
En vue du camp de la tribu, les femmes étaient déjà affairées à leurs tâches quotidiennes. Bois, feu, cuisine, c’était des choses que l’humanité avait faites depuis la nuit des temps. Avec leurs peaux blanches, je repérais facilement dans la foule en mouvement Françoise, Anna et Maria qui aidaient les mamans à laver leurs enfants à la rivière. Hier, Anna avait remarqué le faible nombre d’hommes, je remarquai à présent qu’aucune maman n’avait plus d’un enfant. Je pensai aussitôt à une maladie tropicale qui avait dû emporter les plus jeunes, j’espérais qu’on leur avait apporté des médicaments utiles. Mon cœur s’accéléra à la vue de Katharina, assise sur un tronc, couchée non loin de la hutte, Farra lui peignait ses longs cheveux de feu. Katharina était vêtue d’une chemise blanche largement ouverte sur sa généreuse poitrine et d’un short qui me permettait de contempler le galbe de ses belles jambes. Je détournai les yeux avant de me faire prendre.
Je ne comprenais pas mon émoi, Katharina avait dans les dix ans de plus que moi et j’aimais éperdument Françoise. Katharina était indubitablement d’une grande beauté, mais je sentais que ce n’était pas qu’un désir physique, pouvait-on tomber amoureux de deux femmes en même temps. Je n’eus pas le temps d’y réfléchir que la première dans mon cœur me sauta au cou, Françoise rayonnait de bonheur, on s’embrassa assez longtemps pour se faire siffler par Pierre.

Dans une routine agréable, les journées chaudes et humides se succédèrent. Jean, Pierre et moi étions très fiers de nos constructions, après les latrines, on construisit un cabinet dentaire fait d’un toit de larges feuilles et de quatre murs cloisonnés de moustiquaires. Puis on s’attaqua à une salle de classe à ciel ouvert, à coups de hache, on sculpta grossièrement bancs, tables et un bureau pour la maîtresse d’école. Je passais les meilleures vacances de ma vie, prendre de son temps pour apporter son aide aux plus démunis était grisant, et s’immerger dans une autre culture était très enrichissant.
Les hommes des bois quittaient le camp chaque matin pour aller trouver de quoi nourrir leur tribu et ne revenaient qu’à la nuit tombée. On ne l’avait pas remarqué les premiers jours, mais Jean, Pierre et moi, on était donc les seuls hommes pour une multitude de femmes très peu vêtues et encore moins farouches. On eut un coup de chaud quand nos petites amies nous apprirent que les coiffures militaires de la dizaine de jeunes filles signifiaient que c’étaient des vierges qui recherchaient un homme pour fonder une famille.
La matinée, on coupait souvent du bois avec les vierges qui nous exposaient leurs seins et leurs jolies dents de sourires, je n’arrivais plus à me sortir de la tête cette information. Dans des rêves agités, je revoyais leurs corps toniques se mouvoir nus dans une eau à moitié opaque. Je revoyais Délimaou sucer le cou de Françoise en la masturbant adroitement. J’avais beau m’épuiser à la tâche chaque jour, mes pensées et mes rêves restaient libidineux. Pierre et Jean étaient dans le même état, revenus à l’état sauvage sans télé, sans réseaux sociaux, sans divertissements, nos pulsions primaires s’étaient aiguisées. Le pire c’est qu’on n’avait pas cinq minutes d’intimité avec nos douces, il y avait toujours un membre de la tribu à proximité, et la nuit, on était gentiment invité à quitter les lieux. Pour couronner le tout, Françoise, Anna et Maria avaient l’air de s’en accommoder, mis à part quelques baisers, elles ne donnaient ni ne demandaient rien d’autre.
Au bout d’une semaine de cette routine, je proposai à Françoise après le repas du midi de retourner seuls à la crique nous rafraîchir, mon pantalon déformé était bien plus franc.
— Je suis désolée mon chéri, mais la coutume de la tribu interdit qu’un homme soit seul avec une femme tant qu’il n’a pas eu la bénédiction de leurs esprits. — Personne ne le saura. — Je ne veux pas me faire chasser. — Allons, nous sommes même pas de la tribu. — Ils manquent de tout, et toi, tu ne penses qu’à toi, tu me déçois Eric.

De chéri, je passai à Eric, purée qu’est-ce qu’elle pouvait me faire chier parfois.
— Bien sûr que je pense à ces pauvres gens, m’emportai-je. Je veux les aider autant que toi, simplement je pensais que tu avais aussi envie d’être un peu seule avec moi.

En couple depuis presque deux ans, ce qui à notre âge était un record, on s’était disputé une dizaine de fois, je me réjouissais de la voir me sourire au lieu de pleurer.
— J’ai été injuste, moi aussi j’ai envie d’être un peu seule avec toi. On pourrait y aller avec Délimaou ?

Venait-elle vraiment de me proposer un ménage à trois, de m’allumer comme jamais.
— À quoi tu penses Eric ?

Je revenais sur ses yeux espiègles, Françoise n’était pas la féministe la plus libérée niveau sexualité, mais elle avait toujours eu un côté joueuse.
— À rien, à rien, juste que... enfin, j’ai cru comprendre que Délimaou t’avait fait beaucoup de bien. — Pas autant que toi.

Purée, j’avais envie de l’allonger et de la prendre devant tout le monde, il fallait vraiment que je me calme.
— Tu es d’accord ? On y va avec Délimaou, pour qu’elle veille à ce que leur tradition soit respectée. — Oui bien sûr, mais pourquoi cette coutume ? — De ce que j’ai compris, les rapports sexuels ne sont pas un droit, mais un privilège. Avant de s’unir à une femme, les hommes de la tribu sont soumis à une épreuve. — Une épreuve de force ?

Françoise rougit en détournant les yeux, elle chercha ses mots avant de répondre d’une petite voix.
— Liazou n’a pas été très claire, mais ça ressemble plutôt à une épreuve de volonté. — On peut aussi la passer cette épreuve ? — Oui, mais il faut être tous les deux, les femmes étrangères sont aussi éprouvées. Moi je ne pourrais jamais être éprouvée.

Elle me quitta sur cette intrigante épreuve pour aller enfiler son maillot de bain.

Je me demandai si la tribu ne s’était pas installée dans le coin pour profiter de la crique, bordée d’arbres qui faisaient office de parasol, la cascade d’eau fraîche rendait la chaleur supportable et chassait les incestes suceurs de sang. J’aurais pu me croire en été sur une plage du sud de la France, pour le sable, il fallait repasser, mais les rochers polis comme de gros galets avec une serviette n’étaient pas plus mal. La tribu nous laissant l’après-midi, toute la bande avait eu la même idée, retourner sur le lieu qui nous avait marqués. Pierre et Anna en maillot de bain étaient déjà enlacés sous la cascade. À peine arrivé que j’apercevais déjà derrière moi, Jean et Maria nageant dans notre direction, pour ce qui était des chaperons, une dénommée Batanda pour Jean et la petite garce de Liazou pour Pierre. Avec Délimaou, on se retrouva donc à neuf dans la crique, je me sentais plus sûr de moi avec une majorité de Français.
Je refis un doigt d’honneur à Liazou qui me tira la langue en retour, cette fois, j’allais trouver les mots pour la renvoyer dans les cordes. En bonne intelligence, Pierre, Jean et moi pour être tranquille avec nos petites amies, on mit le plus de distance entre nous en formant un triangle autour du point d’eau claire. Ma queue tendue longeant l’élastique de mon maillot de bain attira l’œil de Batanda, nue comme les deux autres chaperonnes, c’était une jeune fille plutôt grande. Elle avait les atours d’une mannequin, des jambes à n’en plus finir, une poitrine moyennement petite, visage aux traits harmonieux. Elle me dévoila ses dents blanches en me saluant de la main. Troublé, je lui rendis le salut avant de ne me focaliser que sur ma moitié. Françoise portait un maillot de bain deux pièces assez sexy, imprimé de fleurs, il rehaussait sa poitrine moyenne. Anna en avait un similaire bleu ciel qui dévoilait une bonne partie de ses fesses rebondies.
Maria était vêtue d’un maillot de bain de natation, une pièce noire qui faisait presque disparaître sa frêle poitrine, on avait du mal à croire qu’elle était née la même année que ses deux amies.

J’étais presque aussi nerveux qu’à notre premier rendez-vous, tant ça faisait si longtemps qu’on n’avait pas eu de moment pour nous. Françoise et moi, on s’était assis sur une grande serviette, épaule contre épaule, j’hésitai quant à la marche à suivre. Ce n’était pas facile quand une jeune fille nue installée de l’autre côté de Françoise vous regardait comme des bêtes curieuses.
— Délimaou, tu peux regarder ailleurs, tu nous gênes.

Non contente d’obéir, elle posa une main sur la cuisse de Françoise.
— Je suis devenue l’amie de Françoise, je pourrais aussi être ton amie, Eric. On pourrait partager des caresses, je te montrerais comment faire jouir ta femme sans avoir besoin de la baiser.

Au regard confus de Françoise, je compris immédiatement qu’elle lui avait parlé de notre intimité. On parlait des mecs, mais les filles étaient toutes aussi indiscrètes.
— Tu lui as tout raconté ? — J’étais fatiguée Eric, c’était tard dans la nuit, on parlait de tout et de rien, ça m’a échappé.

Ma grosse queue que bien des mecs m’enviaient était une malédiction pour notre couple, la première fois qu’on avait essayé, Françoise avait crié de douleur. La deuxième fois et troisième fois aussi, on avait fini par rester sur la masturbation. On avait dix-huit ans et on était toujours vierge, c’était puéril, mais j’en avais honte.
— Tu es fâché Eric ?

Quand Françoise me regardait avec ses yeux de biche, ma colère fondait comme neige au soleil, je me penchai sur ses lèvres. Fermant les yeux, j’essayai d’oublier Délimaou, mes amis et leurs chaperonnes. Joignant ma langue à celle qui faisait battre mon cœur de bonheur, je savais que jamais elle ne pourrait me fâcher, en tout cas pas longtemps.

Mélangeant passion et salive, je posai une main sur un de ses seins, Françoise poussa une expiration de contentement. À demi tournés l’un vers l’autre sous les bruits réguliers de la cascade d’eau et les cris sporadiques d’animaux, dont beaucoup d’oiseaux, on communiait à notre amour. Sous ma main, je sentis son téton se durcir, Françoise fit courir sa main sur mon torse puis descendit vers ma queue emprisonnée dans mon maillot. La situation, le lieu, mais surtout la frustration accumulée depuis notre départ de France me rendait sensible. Quand ses doigts empoignèrent mon manche, je dus me concentrer pour ne pas éjaculer. Poussant sa langue de la mienne pour un baiser plus profond, je glissai mes doigts sous le maillot pour m’emparer d’un sein, le malaxant d’abord doucement, la leçon de Liazou me donna des idées. Je pinçai légèrement le mamelon, Françoise réagit aussitôt en poussant une expiration de plaisir.
Je continuais à jouer mes doigts sur ce petit bout sensible en me guidant grâce aux expirations de sa propriétaire, je sentais aussi parfois ses doigts m’agripper plus fortement ma queue pour m’encourager à continuer dans une voie. Je passai sur l’autre sein pour buter sur une main, ouvrant les yeux, je ne fus pas étonné de voir Délimaou qui baisait l’épaule de Françoise en lui malaxant un sein. J’étais par contre étonné de voir celle-ci lui caresser une cuisse en retour, ma petite amie se dévergondait sous mes yeux. Du coin de l’œil, je vis à peu près les mêmes scènes se jouer, à une dizaine de mètres sur ma gauche, Pierre embrassait la petite garce pendant qu’Anne regardait rouge comme une pivoine. De mon autre œil, je vis Jean embrasser Maria pendant que Bantanda courait ses mains sur leurs dos. Notre amitié allait vraiment prendre une drôle de tournure, dire que jusque-là on avait fait très attention à cloisonner nos vies intimes.
Par une plainte, Françoise me rappela de s’occuper d’elle, je recommençai à faire jouer mes doigts sur son mamelon, Délimaou s’occupait de l’autre. Notre baiser devint plus fougueux, Françoise tâtonna avant de tirer sur l’élastique de mon maillot. Ses doigts revinrent enserrer ma queue, peau à peau, elle commençait à être en feu et moi aussi.
— J’ai aussi envie de t’embrasser.

J’ai cru que Délimaou s’adressait à Françoise, mais ses doigts passèrent dans mes cheveux.
— Françoise, tu veux bien me laisser embrasser ton homme ?

Françoise rompit le baiser, ses yeux brillants trouvèrent les miens.
— Si tu as envie de l’embrasser, Eric, je ne ferai pas d’histoire, car c’est leurs coutumes de partager des caresses.

Mes joues qui s’embrasèrent trahirent mes envies bestiales, quel mec n’a jamais rêvé de se taper deux filles en même temps.
— Tu es sûre ? — Oui.

Délimaou, une main ferme sur ma nuque, m’attira sans douceur sur ses lèvres, sa langue intrusive passa mes dents. J’avais toujours une main sur le sein de Françoise, et j’en embrassais une autre sous son nez. À cette situation, une bouffée de chaleur me compressa le torse, j’eus du mal à respirer, mon cœur s’emballa pour de bon. Françoise lâcha ma queue prise de quelques tressaillements, elle s’allongea sur le dos pour nous laisser toute la place. Passant sur les genoux, Délimaou et moi, séparés par le bassin de Françoise, on s’embrassa fougueusement, elle finit par me sucer la langue. Respirant avec peine, je voulus me décrocher de ses lèvres voraces au moins pour quelques secondes, mais Délimaou accentua sa pression sur ma nuque. Françoise ne resta pas passive à nous regarder, elle guida ma main vers son bas-ventre. Le tissu de son maillot était déjà visqueux, je sentais sous la pulpe de mes doigts la chaleur de son sexe, du majeur, je suivais inlassablement le sillon.
Françoise poussa des expirations régulières en amorçant un petit mouvement de bassin, nos amis à proximité me retenaient encore de passer ma main sous le maillot. Délimaou suçait tendrement ma langue, une main toujours sur ma nuque, l’autre quitta le sein de Françoise pour se poser sur mon torse. Elle trouva un de mes tétons à énerver, je ressentis un mélange de douleur et de plaisir. Françoise n’avait donné son feu vert que pour un baiser, néanmoins je posai ma main libre sur un des seins de Délimaou. Plus ronds et un peu plus gros que ceux de Françoise, je les caressai du bout des doigts, de mon autre main, je continuais à passer mon index entre les lèvres intimes qui se refusaient à moi. Françoise ne me rappela pas à l’ordre, elle continua à expirer son bonheur en ondulant doucement du bassin. Je pris alors le sein de Délimaou à pleine main, j’adorai la texture de cet attribut féminin.
Mon esprit en feu me fit penser à Katharina et sa généreuse poitrine, si je pouvais caresser Déliamou, pourquoi pas elle.
Agenouillé face à Délimaou, Françoise allongée entre nous, on se caressa un moment sous le bruit régulier de la cascade d’eau. Délimaou rompit le baiser, visiblement fière du résultat. Je soufflais comme un bœuf, ma queue dressée hors de mon maillot perlait de liquide préséminal. J’avais une envie vitale de baiser, je posai mon regard sur Françoise étendue sur notre serviette. La tête reposée sur ses longs cheveux châtain clair, les yeux clos, elle haletait sous mes doigts posés contre son sexe, ses joues jusqu’à la pointe de son nez étaient rouges, ses lèvres dessinaient un sourire extatique, sa poitrine se soulevait rapidement.
— Tu veux que je t’apprenne à faire jouir ta femme sans avoir à la baiser ?

Délimaou effleura du bout des doigts ma queue tendue, ça m’électrifia.
— Si tu m’obéis comme un bon élève, je te ferai jouir avec ma bouche, me souffla-t-elle à l’oreille pour achever de me convaincre.

Françoise ouvrit ses yeux sur nous, je n’étais pas sûr qu’elle eût entendu la deuxième proposition.
— Mon chéri, j’aime beaucoup tes caresses, avec l’aide de Délimaou, tu ne pourras que t’améliorer.

Sa façon de dire que je n’étais pas à la hauteur me réchauffa le cœur, autant que ses yeux amoureux posés sur moi. Nos amis me gênaient toujours autant, à travers le bruit d’eau, j’avais capté plusieurs soupirs. Par pudeur, je ne cherchai pas à savoir ce qu’ils faisaient.
— On pourrait trouver un coin plus tranquille ? — Ne sois pas timide Eric, me dit Délimaou. Il n’y a aucune honte à être vu heureux avec sa femme.

Délimaou caressa la joue de ma petite amie, sa main descendit sur son cou palpitant puis passa dans son dos. Françoise se laissa complètement faire, le haut de son maillot de bain lui fut retiré. Ses seins moyens libérés, Délimaou les effleura du bout des doigts.
— Alors Eric, tu vas m’obéir comme un bon élève ?

Françoise me supplia du regard, elle était déjà à fleur de peau et ne demandait qu’à vibrer. Je ne pouvais rien lui refuser dans ces conditions.
— D’accord. — Voilà un bon momocou. — Un momocou ? — Un étranger dans notre langue.

Sur ces mots, Délimaou retrouva mes lèvres, sous un doux baiser, sa main glissa le long de mon bras pour se refermer sur mon poignet. Je croyais qu’elle voulait guider mes doigts posés sur le maillot de Françoise, rompant le baiser, Déliamou les ramena vers ma bouche.
— Je vais faire aimer à ton homme chaque parcelle de ton corps, dit-elle à Françoise.

Je n’appréciai ni le ton ni l’intention, je n’étais jamais descendu en dessous des seins. Le sexe des femmes avait pour moi quelque chose de fascinant, mais aussi d’effrayant.
— Tu veux toujours apprendre à faire jouir ta femme ?

Des rayons perçaient la canopée, Françoise allongée sur notre serviette de bain, seins nus, brillait telle une déesse.
— Oui, oui bien sûr. — Suce son nectar.

L’odeur me titilla les narines, sous les yeux des deux jeunes filles aussi semblables par leur désir et aussi dissemblables par leur couleur de peau, je suçai la pulpe de mon index, légèrement acide, je ne trouvai pas cela si rebutant. Dire qu’avant, je me lavais les mains systématiquement.
— Dis à ta femme que tu aimes le goût de sa chatte. — Je peux pas dire ça, répondis-je, confus. — Moi j’aime le goût de ta chatte, dit Délimaou en tirant ma main vers elle.

Avec un regard provocant, Délimaou suça mon majeur, me rappelant aussitôt sa promesse si je lui obéissais.
— Françoise, j’aime le goût de ta chatte, soufflai-je.

Françoise rougit de plus belle, bien que partie prenante de ce jeu, elle gardait une certaine pudeur. Délimaou passa dans mon dos en ramassant au passage le haut du maillot de bain de Françoise.
— Qu’est-ce que tu fais ? — Laisse-toi attacher. — Ça va pas non ?! — C’est pour assurer ta sécurité, si tu perdais le contrôle et baisais ta femme, tu serais puni par ma tribu. — Quel genre de punition ? — La mort.

Françoise m’avait bien dit que c’était une règle sacrée pour la tribu, mais jusque-là, je pensais qu’en cas de transgression, j’aurais un rappel à l’ordre, au pire une expulsion. Loin de me calmer, ce danger m’excita de plus belle, mon corps réagissait en dépit du bon sens.
— Mains derrière le dos mon momocou.

J’obéis à contrecœur, mon envie de me faire sucer était si forte. Françoise avait bien essayé, mais c’était nul, elle ne pouvait même pas prendre en bouche mon gland. J’avais la certitude que Délimaou y arriverait et qu’elle serait douée. Celle-ci tira Françoise à elle, debout l’une contre l’autre, Françoise et Délimaou me regardaient comme si elles partageaient un secret. Agenouillé à leurs pieds, je pris conscience que je m’étais mis à leur merci, le haut de maillot en nylon fixé à mes poignets était aussi solide qu’une corde.
— Tu vois Françoise que ton homme s’est soumis. — Oui, répondit-elle, gênée.

Gênée mais aussi excitée de ma situation, je le voyais à ses yeux, Françoise adorait le jeu qui prenait une drôle de tournure. J’hésitai à demander de me détacher, mais moi aussi ça commençait à me plaire. Constater que mes deux amis subissaient pareille chose me conforta à ne pas faire d’histoires. Jean n’était pas agenouillé, mais assis, soit il se retenait des bras soit il était ficelé, j’optai pour la deuxième possibilité. Je fus surpris de voir Maria installée à cheval sur lui onduler légèrement du bassin, Bantanda debout sur un côté, une main sur la tête de Jean leur parlait, le bruit de cascade d’eau ne me permettait pas de comprendre. De l’autre côté de ma vision, Pierre était allongé nu sur le dos, ses mains sous ses reins me laissèrent penser qu’il était aussi attaché. Allongée sur lui, tout aussi nue, Liazou lui donnait en alternance ses petits seins à sucer, debout à leur tête, ne gardant que son bas de maillot, Anna les regardait en se malaxant les seins.
C’était la petite amie de mon pote limite à ne jamais franchir, je me repris en quittant cette scène sulfureuse pour une autre.Délimaou, un peu plus petite que Françoise, lui murmurait à l’oreille, leurs poitrines collées, elles laissaient leurs mains reposer sur le postérieur de l’autre. Dans tous mes états, je commençais à m’impatienter, je rêvais déjà de la bouche de Délimaou sur ma queue.
— On commence ? — On commence quoi ? me répondit malicieusement Délimaou. — Tu sais bien, la leçon pour que je fasse jouir ma petite amie. — La leçon pour te faire aimer chaque parcelle de son corps ? — Oui si tu veux. — Tu l’entends Françoise, ton homme supplie pour apprendre à te faire jouir. — Je n’ai pas supplié. — Tu y viendras.

Sur ces paroles piquantes, Délimaou passa dans le dos de Françoise, ses fines mains noires vinrent englober les seins blancs. Passant une tête par-dessus une épaule, Délimaou lécha le cou offert, Françoise lui agrippa le fessier en poussant une expiration.
— Vas-y ma belle, commande à ton homme.

Françoise, hésitante, détourna les yeux, puis à mesure que les mains de Déliamou s’activaient sur sa poitrine, elle revint sur mes yeux.
— Mon chéri, ne te vexe pas, tu dois bien comprendre que c’est la coutume de la tribu.

Elle poussa un soupir, Délimaou était remontée lui sucer une oreille en me défiant des yeux de la lui disputer. Françoise, en feu, reprit d’une voix éteinte.
— Les femmes, les femmes d’ici doivent toujours dominer les hommes qui n’ont pas prouvé leur valeur. Mon chéri, si tu veux apprendre... pardon, t’améliorer, tu vas devoir faire preuve d’humilité. — Il est à point ma belle, lui murmura Délimaou. Prêt à te manger dans la main, commande, n’aie pas peur, il va t’obéir. — S’il te plaît mon amour, suce mes orteils.

Contre le corps d’ébène accroché aux belles fesses rondes, Françoise leva doucement son pied gauche. J’étais partagé entre mon amour propre et mon excitation, je compris qu’un engrenage pervers s’était mis en place sitôt que j’avais accepté cette chaperonne qui n’avait rien à envier à Liazou. Agenouillé à leurs pieds, mon cœur tonnait, la boule de chaleur qui me compressait le torse grandit, ma queue était tendue à l’extrême. Délimaou et Françoise me regardaient avec une telle intensité que je ne pus détourner la tête au gracieux pied grec qui vint près de ma bouche. Délimaou suçant le lobe d’une oreille de Françoise me perdit, je voulais à tout prix ma récompense. Posant mes lèvres sur les petits orteils, je pris en bouche celui du milieu, Françoise poussa un soupir de soulagement.
— Merci, merci mon chéri.

J’avais l’impression qu’une étape irréversible dans notre couple venait d’être franchie, sans parler de nos amis qui à tout instant pouvaient tourner la tête dans notre direction. Françoise expira son bonheur, libérée de l’angoisse que je résiste, elle prenait de l’assurance.
— C’est bien, continue à me sucer les orteils.

Agenouillé, les mains attachées dans le dos, je fus surpris d’y prendre du plaisir. Sous ma langue, je suçais un à un les fins orteils de Françoise en la contemplant se faire caresser sans vergogne par une diabolique Africaine. Délimaou quitta un sein pour descendre doucement sur le ventre plat, ses doigts glissèrent sous l’élastique du maillot. À cette intrusion, Françoise leva son bassin en poussant un gémissement d’allégresse, aussi loin que je me souvenais, je ne l’avais jamais vue aussi excitée. Françoise, tête calée contre l’épaule de sa nouvelle amie, expirait son bonheur en me regardant amoureusement.
— Je t’aime, me souffla-t-elle. Je t’aime tellement.

Son gros orteil sous ma langue, je lui répondais en le suçant au mieux. Françoise me donna son pied droit en continuant à gémir sous les doigts de Délimaou. Je suçais ses orteils avec plaisir, la peur que nos amis me voient était noyée par un ardent désir. Quelques fois, je tirais sur mes liens tant j’avais envie de caresser Françoise. Puis forcé de constater que Délimaou était bien plus doué que moi, je prenais plaisir à la regarder faire. La jeune Africaine jouait avec ma petite amie, je le compris à plusieurs plaintes de celle-ci qui sonnaient comme une demande d’accélérer.Le maillot était en partie visqueux quand Délimaou retira sa main, haletante, Françoise me retira ses orteils. Les jeunes filles complices me contemplèrent un instant, leurs yeux s’arrêtèrent sur ma queue, prête à déverser toute ma frustration.
— Au début, il faut toujours attacher les momocous, dit Délimaou. Sans quoi ils se branlent sans plus se soucier de notre plaisir.

Reprenant mon souffle, je n’aimais toujours pas le ton ni le mot momocou, je doutais qu’il veuille vraiment dire étranger dans leur langue.
— Tu as aimé me sucer les orteils ? — Un peu oui. — Moi aussi j’ai aimé.

Françoise me sourit de toutes ses dents, Dieu que je l’aimais.
— Je te l’ai promis ma belle, ton homme va devenir un merveilleux momocou.

Délimaou me tendit ses doigts poisseux pour prouver ses dires, je suçais son index et majeur sans même y penser. Sous la chaleur des doigts, le goût intime de ma petite amie me faisait perdre la tête, je me sentais prêt à toutes les humiliations pour accéder à la jouissance. Je suçais les doigts de Délimaou comme je voudrais qu’elle me suce, sans ma petite amie, je lui aurais demandé immédiatement le prix de mon obéissance. Son autre main sur le sein de ma petite amie, Délimaou lui baisa une joue, Françoise tourna sa tête pour trouver ses lèvres. Pendant que je suçais chacun de ses doigts, Délimaou embrassait fougueusement Françoise, yeux clos, elles expiraient leur plaisir. J’avais mis le temps, mais ça y était, je voyais cette séduisante Africaine comme l’amante de ma petite amie, jalousie et mille fantasmes traversèrent mon esprit.

Rompant le baiser et me retirant sa main, Délimaou vint dans mon dos, je sentis avec bonheur ses doux seins venir se presser contre mon dos. Accroupie en s’appuyant sur moi, elle balada ses mains sur mon torse.
— Tu n’as pas oublié ta récompense si tu m’obéis, me murmura-t-elle. Maintenant, regarde ta femme dans les yeux et supplie-la de te laisser faire éclore sa fleur de ta langue, d’ouvrir ses pétales, de faire couler son nectar.

Ma fierté d’homme en avait déjà pris un coup, ne voulant pas risquer de perdre l’amour de Françoise, je fis non de la tête. On se connaissait depuis la troisième, Françoise me regardant de toute sa hauteur devina mes craintes, elle passa sa main dans mes cheveux pour me faire redresser la tête. Je trouvais ses beaux yeux qui avaient perdu de leur innocence, était-ce bien la même jeune fille qui dans sa chambre ou la mienne demandait toujours à éteindre la lumière.
— Mon chéri, nous ne faisons que suivre les coutumes de ce peuple, quoique tu fasses, je ne cesserai jamais de t’aimer.

Sans se départir de son assurance, Françoise glissa ses pouces sous l’élastique de son bas de maillot, ne me quittant pas des yeux avec un sourire coquin aux lèvres, elle fit doucement descendre le bout de nylon. J’avais sous le nez une toison triangulaire châtain, les poils s’épaississaient vers le centre, à la vue de la fente luisant d’un intense rose, ma poitrine se serra à m’en faire mal. Le souffle court, je restai médusé devant ce que j’avais pourtant caressé des doigts une centaine de fois, Françoise dut me tirer la tête pour me sortir de cette vision qui secouait chaque particule de mon corps.
— Supplie mon chéri, dit-elle, taquine. — Je t’en supplie Françoise, laisse-moi faire éclore ta fleur de ma langue, je veux ouvrir tes pétales et faire couler ton nectar. — Comme un bon momocou, me souffla Délimaou. — Comme un bon momocou.

Françoise avança son bassin, son odeur intime me faisait déjà tourner la tête. Je posai délicatement mes lèvres sur son mont de Vénus avant de passer ma langue contre sa fente douce et visqueuse. Françoise poussa un soupir en me tenant la tête des deux mains, enfonçant ma langue entre ses lèvres intimes, j’emplis ma bouche de son nectar.
— Continue mon chéri, continue, tu me fais un bien fou.

Jamais elle ne m’avait dit ça avant, et jamais avec une telle intensité dans la voix, j’obéis en ressentant un vif plaisir à la faire vibrer. Me baisant une épaule, Délimaou continua à balader ses mains sur mon corps ruisselant de sueur, elle prenait soin d’éviter tout contact avec ma queue qui palpitait sporadiquement. Je me sentais au bord de la jouissance, enfonçant ma langue davantage, je poussais une plainte indigne d’un homme pour qu’on s’occupe aussi de moi.
— Ne pense qu’au plaisir de ta femme, répondit Délimaou. Amène tout son être vers l’union créatrice.

Ne me lassant pas de passer ma langue entre les lèvres intimes, je m’oubliais pour me perdre dans les beaux yeux qui me surplombaient. Agrippée à ma tête, Françoise commença à pousser les mêmes gémissements qui m’avaient tant troublé à notre première fois dans cette crique. Fier de la mettre dans cet état, j’enfonçai ma langue dans son vagin, je sentis stupéfait des contractions.
— C’est trop bon mon chéri, surtout ne t’arrête pas.

Le nez écrasé sur son pubis, je jouai ma langue dans son brûlant vagin trempé de nectar en lui laissant imposer le rythme du bassin. Délimaou toujours accroupie contre mon dos avait glissé une main sous mon maillot de bain, me malaxant alternativement les fesses, ses doigts frôlèrent plusieurs fois mon anus. Je n’y avais vu qu’une maladresse avant qu’elle n’y pose franchement un doigt. À genoux, j’étais coincé entre Françoise qui me plaquait la bouche contre sa vulve, et Délimaou qui appuyait une partie de son poids contre mon dos, j’avais largement la force de me lever, mais mon esprit esclave de mes pulsions en était incapable. Malgré la pulpe d’un doigt qui tournait contre ma rondelle, je ne voulais pour rien au monde rompre ce moment qui transformait mon sang en lave. Respirant avec peine, je donnais des coups de langue dans l’étroit vagin, Françoise gémissait avec régularité sans plus aucune retenue.
Nos amis, les chaperonnes, la lumière du jour rien ne semblait l’arrêter, elle aurait pu exulter devant un stade bondé. Son bassin fut pris de tremblements, fermant les yeux en haletant, Françoise me tira littéralement les cheveux pour que je continue à enfoncer ma langue dans son vagin.
— Encore mon chéri, encore un peu, bouge ta langue, oui, comme ça continue.

Sous les rayons qui perçaient la canopée, j’avalais son nectar en obéissant avec joie, Françoise était déchaînée, perlé de sueur, tout son corps se tendait vers la jouissance. Sous ma langue, je pouvais sentir ses contractions vaginales l’annoncer. Un sourire extatique aux lèvres, Françoise se cabra en poussant un énième gémissement. Reprenant notre souffle tous deux, Françoise me sourit comme si je venais de lui offrir le plus beau des cadeaux.
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