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Trois cocus volontaires.

Chapitre 7

Voyeur / Exhibition
À la correction, toujours trav37, merci à lui. Si vous avez des suggestions pour la cérémonie d’initiation de Pierre et d’Anna ainsi que d’Eric et de Françoise, n’hésitez pas. J’ai envie d’écrire des variantes, mais pour l’instant, mon inspiration est en panne. Bonne lecture.


Jean venait de succomber à la tentation, il était sorti du cercle pour devenir aux yeux de la tribu un momocou. Maria était la suivante, et je devinais avec une certaine attente qu’elle aussi succomberait pour devenir une femme de la tribu.
À grands cris, quatre hommes fendirent la foule. Sur leurs épaules, ils portaient un gros morceau de tronc sculpté qui devait bien peser une centaine de kilos. Un trône, pensais-je avant de comprendre devant le diamètre que c’était un lit. Ovale d’un rayon d’environ un mètre cinquante, il était haut de cinquante centimètres, les quatre hommes le déposèrent à l’ombre du grand arbre où mes amis et moi étions suspendus. La tribu avait toujours pris soin de nous montrer ce qui nous attendait. Anna et Pierre comme Françoise et moi, étions autant choqués que troublés. La cérémonie dépassait toutes nos spéculations les plus folles. Il y avait dans cette faille géologique une atmosphère électrique, qui exacerbait nos sens. Bien que sachant que jamais je ne renoncerais à Françoise, même pour les quelques semaines de vacances restantes, je n’étais plus aussi sûr de pouvoir réussir l’épreuve.
Sous le tonnerre de percussions qui dictaient toute la cérémonie, Coca souleva Maria comme une jeune mariée. Jean leva la tête en tirant sur ses liens, sans toutefois oser la lui disputer. Coca vint s’asseoir sur le gros rondin de bois. Il fit s’installer Maria dos à lui, passant ses jambes de chaque côté de ses cuisses. Suspendue à mes côtés, Françoise dut sentir ma queue palpiter contre ses fesses en écho à la vulve exposée comme jamais de Maria. Surmontées d’une modeste toison, ses lèvres intimes étaient gonflées d’un ardent désir, son clitoris sortait de son capuchon, salive et cyprine la faisaient luire à mes yeux, comme un phare dans la nuit. Je me décrochais difficilement de ce sexe tendu vers l’accouplement, pour trouver des yeux tout aussi troublant. Loin de la honte, Maria me gratifia d’un sourire provocant. Toute pudeur l’avait quittée, ce n’était plus qu’une chienne en chaleur qui s’assumait.
Derrière eux, je vis Romihan détacher Jean. Remis debout par les trois jeunes filles, encore un peu chancelant, il fut fêté par la tribu comme un roi. Deux femmes se battaient pour le faire boire à leurs gourdes, d’autres, aussi bien hommes que femmes, lui donnaient des accolades. Nu, huileux de la tête aux pieds, Jean fut guidé vers nous. Tête basse cachant son sexe dressé d’une main, il n’osa ni nous regarder ni regarder Maria et Coca. Farra, Romihan et Délimaou n’en avaient pas fini avec lui, toutes aussi nues et excitées, elles l’entourèrent comme des requins avec le sourire qui va avec.
— Momocou, lui dit Romihan. Tu es heureux d’avoir accepté ta nature ?— Non... Oui... Je ne sais pas.— Ne nous mens pas, dit Farra. Ça te plaît d’être soumis aux femmes.— Oui, ça me plaît.— Dis-le à Maria, dis combien tu es content d’être devenu un momocou soumis aux femmes.

Rouge de honte autant que d’excitation, Jean ne savait plus où se mettre. Néanmoins, sous la pression des jeunes filles qui avaient quasi une tête de moins, il obéit.
— Maria, je suis content d’être un momocou soumis aux femmes.— Ne reste pas dans son dos, rit Délimaou. Va t’agenouiller entre ses cuisses, la place d’un momocou.

Même si Jean n’avait jamais été forcé à quoi que ce soit durant toute la cérémonie. Sans ses liens, je fus étonné qu’il continue à se soumettre. Sans oser nous regarder, il vint s’agenouiller entre les cuisses de Maria, mais aussi celles de Coca.

— Maria, je suis content d’être un momocou soumis aux femmes.— Moi aussi, je suis contente que tu sois un momocou. J’ai encore envie de sentir sa langue sur ma chatte, tu veux bien encore supplier ?— Dis-lui bien que c’est pour faciliter la pénétration de la bite de Coca, rajouta Farra.— Maria, je t’en supplie laisse-moi te lécher la chatte, pour faciliter la pénétration de la bite de Coca.— J’y consens, répondit-elle avec un grand sourire.

Bien plus près, debout, surélevé par un dénivelé, je pouvais voir la langue de Jean rouler contre la vulve. Maria se tordit le cou pour retrouver les lèvres de Coca. Ses amis suspendus à des branches d’un côté, la tribu dansante au rythme entêtant des tam-tams de l’autre. Les avant-bras attachés dans son dos, Maria sur son trône d’ébène n’écoutait que son corps en feu, le reste n’existait pas. Bien vite, la queue de Coca contre ses reins l’attira, elle amorça un mouvement de bassin en poussant quelques plaintes. Curieusement, les mêmes que Françoise émettait en frottant par-dessus nos vêtements, ses fesses contre ma queue. On commençait tous à être à bout, ou plutôt possédés par nos plus bas instincts.
L’attrapant par les cheveux, Farra décrocha Jean de la vulve pour le mettre debout.
— Momocou, nous aussi, on a envie de profiter de tes caresses. Laisse donc Coca s’occuper de l’engrosser.— Jamais, soupira Maria. À moins que vous ayez un préservatif ?

Je restais sans voix, tout comme Jean. Ça crevait les yeux qu’elle voulait baiser avec Coca, mais de là à le dire devant son petit ami...
— Nous ne sommes pas des momocous de ton pays, lui répondit Coca. Les hommes baisent les femmes pour qu’à leur tour elles mettent au monde des hommes. Je sens que tu vas un bon fils.

Coca glissa une main sur le ventre de Maria, haletante, celle-ci parut l’imaginer. Se reprenant, Jean intervint d’une voix pleine d’émotion.
— Tu m’avais promis.— Toi, tu m’avais promis de sortir de l’épreuve comme un homme, et de me baiser comme tel.

Je me retenais d’intervenir, le sacré de la cérémonie me l’interdisait, je ne tenais pas à voir la tribu réempoigner leurs armes. Néanmoins, Maria avait été d’une rare méchanceté, mon ami avait beau avoir la carrure d’un ours, il était sensible. Alors que je l’aurais traitée de salope, lui rentra la tête dans les épaules. Romihan et Délimaou, de part et d’autre de Jean, lui remontèrent le moral à leur manière. Elles guidèrent ses mains vers leurs bas-ventres. Jean résista mollement, avant de laisser ses doigts s’activer sous les vulves. Farra s’accroupit dans son dos et parla d’une voix douce.
— Maintenant, regarde un homme soumettre une femme par la seule force de sa virilité. Et n’aie crainte, Caco a déjà un enfant. Celui qu’il donnera à Maria sera aussi le tien.— Non, gémit-il.— Arrête de pleurer, répliqua Maria, agacée. Sans moyen de contraception, je ne peux pas baiser. Se tournant vers Coca, elle reprit d’une voix suppliante. À moins que tu me jures de ne pas jouir en moi.— Ne défie pas les esprits protecteurs !

Étrangement, Jean parut de moins en moins affecté, je compris vite pourquoi. Pendant qu’il doigtait Romihan et Délimaou, toutes deux accrochées à ses bras en poussant de la voix, accroupie dans son dos, Farra avait son visage à moitié enfoui entre ses fesses. Elle lui bouffait le cul, en lui malaxant les couilles. Coca s’allongea sur les coudes, laissant Maria à cheval sur ses cuisses. Celle-ci détourna le regard, agacée que Jean prenne du plaisir alors qu’elle en était maintenant privée. Puis, peu à peu, elle revient sur lui et les trois tourmenteuses. Les yeux clos, Jean avait d’abord retenu ses couinements, puis n’y tenant plus, ils se mêlèrent aux percussions et aux brouhahas de la tribu. Se levant en lui léchant l’échine, Farra remplaça sa langue par ses doigts. L’huile aidant, elle le sodomisait de quatre.
— Un vrai momocou, lui souffla-t-elle à l’oreille. Tu aimes te faire sodomiser ?— Oui, murmura-t-il.— Tu es content d’avoir renoncé à ta femme ?— Non... Je l’aime.— Tu continueras à l’aimer quand elle se sera balancée sur la queue de Coca, et peut-être sur d’autres queues ?

Jean sortit de son petit nuage, ouvrant les yeux, il tomba sur ceux brillants de Maria qui se mordit la lèvre inférieure. Je sus qu’elle savait de quoi il retournait, avant même que Romihan ne le précise.
— Qu’importe que ce soit un homme ou l’ensemble qui baise Maria, l’enfant qui en découlera sera le tien. Tout dépend de son appétit, une fois qu’on a goûté à la force virile d’un homme, on en veut plus.

Je remarquais alors que Maria, toujours assise sur les cuisses de Coca, avait bien reculé ses petites fesses rebondies, son pubis était au même niveau que les couilles velues, ses mollets ballant contre le gros rondin l’empêchaient d’aller plus loin. Jean jouait sur elle, le même rôle qu’elle avait joué sur lui plus tôt. Sans le vouloir par contre, mais ça ne changeait rien à la tentation qui émanait de lui. La queue tendue, poussant des expirations presque féminines, Jean exacerbait les désirs de Maria. Jouant sans doute ses doigts sur la prostate, Farra arracha quelques couinements à Jean avant de reprendre, de sa voix suave :
— Jean, tu seras heureux de voir Maria se faire baiser par Coca.— Non...— Tu n’as pas à cœur de la voir heureuse ?— Si, mais...— Une femme sans enfant, c’est comme un ciel sans soleil. Tu es un momocou, il est impossible pour toi de lui donner ce cadeau, tu es d’accord ?— Non... Oui... Ne me pose plus de question... S’il te plaît... Fais-moi jouir...

La queue de Jean fut prise de spasme, il se tendit avant de pousser une expiration de mécontentement. Arrivé à la frontière de la jouissance, Farra avait dû ralentir son massage prostatique, elle voulait lui faire perdre la tête. Romihan et Délimaou n’avaient plus besoin de lui tenir les bras. Collées contre ses flancs en s’accrochant aux épaules, elles poussaient de tels soupirs que Jean ne pouvait que continuer à les masturber. Dans son dos, Farra repartit à la charge.
— Ta faible semence n’est pas digne de Maria, tu dois accepter le jugement de nos esprits protecteurs. Regarde cette femme que tu ne méritais pas, et dis-lui bien que ta faible semence était indigne d’elle.

Épuisé tant physiquement que psychiquement, Jean poussa quelques geignements avant de regarder Maria.
— Ma... Ma semence était indigne de toi... Mais je t’aime.— Moi aussi, je t’aime.— C’est bien momocou, dit Farra en lui baisant la nuque. Dis-lui que tu serais fier qu’elle te donne un enfant d’un homme comme Coca.

Les yeux brillants de larmes, Jean fit non de la tête. Il oscillait entre chagrin et plaisir. Passant une main sur une joue rougie d’émotion, Romihan se mit sur la pointe des pieds pour trouver ses lèvres. Un tendre baiser suivit, la tribu regardait avec intérêt ce grand gaillard se faire dompter par trois jeunes filles.
— Ne sois pas triste, lui dit Romihan en quittant ses lèvres. Nos esprits ont une place pour chacun d’entre nous. Tu as été désigné pour nous contenter de ta bouche et de tes doigts, la femme que tu as perdue a été désignée pour porter l’enfant d’un homme. Fais-moi confiance, personne ne regrette les choix de nos esprits protecteurs.— Bien au contraire, lui souffla à l’autre oreille Délimaou. Tu vas adorer ton rôle de momocou.— Ne résiste pas, reprit Farra. Laisse-toi guider par tes pulsions que tu as été incapable de maîtriser. Coca va te donner un enfant qui renforcera ta faible tribu, à moins que tu ne veuilles rester dans la nôtre.

Jean poussa un râle en levant les fesses, d’où je me trouvais, je vis la moitié de la main de Farra disparaître entre les fesses. Suivant les lentes percussions, elle amorça un mouvement de piston. La tête inclinée vers Romihan, Jean poussa ses mêmes gémissements qui sonnaient à mes oreilles comme des suppliques. Jean bascula totalement vers le plaisir, vers son rôle de momocou.
— Maintenant, souffla Farra. Dis-lui que tu serais fier qu’elle te donne un enfant conçu avec la semence d’un homme.— Maria... Je serais fier... Que tu... Que tu me donnes un enfant... Un enfant conçut avec la semence d’un homme.

À cheval sur les cuisses de Coca, aussi rouge que son petit ami, Maria poussa une plainte en appuyant sa vulve contre la base de la queue. Elle porta son regard ivre sur les couilles velues, avant de relever la tête.
— Jean, je ne veux pas tomber enceinte, je ne peux pas courir ce risque, je suis trop jeune.— Ta nature de femme le veut ardemment, lui répondit Romihan.— Non, ce n’est pas vrai.

Je fus stupéfait que Maria, malgré ses dires, ramène une jambe sur le rondin. Après un moment de flottement, la deuxième suivit. Agenouillée entre le large bassin de son élu, Maria poussa une expiration de soulagement en pressant sa vulve sur le manche veineux. Les maîtres de cérémonie qu’étaient les joueurs de tam-tams amorcèrent un lent rythme qui guida le bassin de Maria. Poussant d’autres soupirs, les yeux perdus dans ceux de son petit ami, elle fit briller de sa mouille le sexe d’ébène.
Mon éducation me rappela à l’ordre, pourtant je n’arrivais pas à voir autre chose qu’une race qui en soumettait une autre. Jean n’était plus qu’un esclave aux mains de trois jeunes noires, un filet de bave coulait au coin de sa bouche. Alternant entre plainte et soupir, Maria en prenait le chemin, la colonne d’ébène entre ses cuisses l’obsédait.
— Tu peux l’encourager, dit Farra. Lui dire que tu aimes la regarder prendre du plaisir avec un homme.— Tu es très belle Maria, j’aime beaucoup te regarder prendre du plaisir avec un homme.— Moi aussi Jean. Moi aussi, j’aime te regarder prendre du plaisir.— Continue à la faire se sentir bien, reprit Farra. Dis-lui que quand elle se balancera sur la bite de Coca, tu continueras à l’aimer.— Quand tu te balanceras sur la bite de Coca, je ne cesserais pas de t’aimer.— C’est vrai ?— Oui, je t’aimerais toujours.— Mais je ne peux veux pas tomber enceinte, redit-elle cette fois avec bien moins de force.— Tu veux priver ce momocou de son seul moyen d’avoir un descendant, lui dit malicieusement Délimaou. Jean, supplie-la de te donner un enfant qui remplacera ta faible lignée.

Adossées contre l’une, les mains entre les cuisses des deux autres, Jean n’eut pas l’air de prendre la mesure de ce qu’on lui demandait. Le visage défait par le plaisir, ce n’était plus qu’un pantin que trois créatures manipulaient avec des fils de plaisir.
— Je t’en supplie Maria, donne-moi un enfant qui remplacera ma faible lignée.

Maria fit quelques mouvements de bassin sur l’engin de Coca. Sentant une faille s’ouvrir, les tam-tams de la tribu entamèrent un rythme plus entraînant. Maria y répondit en pressant sa vulve sur le manche de Coca, avec plus de force. Elle s’attardait sur le gland massif avant de reprendre sa course en poussant des plaintes de frustrations, la barrière de la natalité s’effritait à vue d’œil.Maria et Jean gémirent de concert. Face à face, à moins d’un mètre, chacun faisait grandir la frustration de l’autre. Dans un état second, Jean avait compris instinctivement que ses trois tourmenteuses le feraient jouir que quand sa petite amie succomberait à la tentation. Sans qu’on ne souffle à son oreille, il fit ce qu’on attendait de lui.
— Maria, je t’en supplie, empale-toi sur la bite de Coca.— Mais tais-toi donc, je suis à un cheveu de l’orgasme.

Fermant les yeux, Maria continua de presser ses lèvres intimes contre toute la longueur de la queue. Les avant-bras liés dans son dos, elle ne pouvait empêcher la queue visqueuse de se dérober contre l’intérieur de ses cuisses. Coca dans son dos la laissait faire, amusé par les plaintes qui en découlèrent. Puis sous ses ardentes pulsions, Maria prit des risques pour avoir plus de sensation. Du pubis, elle poussa l’engin à la verticale pour le faire passer devant elle. La tension que cela produit parut la satisfaire. Poussant de petits soupirs, elle se frotta cette fois sur le dessus de l’engin quasi à la verticale. Se laissant guider par les percussions qui s’accentuèrent, sa vulve blanche remontait toujours plus sur le gland noir. Des filés de cyprine coulaient jusqu’aux couilles, elle n’avait sans doute jamais été aussi excitée qu’aujourd’hui.
Maria lutta un moment avec elle-même, poussant des plaintes, se mordant la lèvre inférieure, rien n’y fit. Inexorablement, à chaque mouvement de bassin, ses lèvres intimes montaient toujours plus haut sur le sexe d’ébène. Jean dans le même état de tension la perdit.
— Maria, je t’en supplie, je veux te regarder baiser avec Coca.

Ouvrant les yeux sur lui, Maria, exsangue de sa lutte, reprit sa respiration. Sans quitter Jean des yeux, elle leva le bassin pour laisser ses lèvres intimes épouser la courbure du gland. À ce qui se préparait, le rythme des tam-tams monta d’un cran. Françoise contre moi poussa un gémissement suppliant, comme si elle aussi avait attendu ce moment depuis bien trop longtemps.
En plein cœur de la jungle, entouré d’une quarantaine d’autochtones et de mes amis, je restais médusé par les grandes lèvres blanches qui s’étiraient comme jamais pour lentement avaler le gland noir. Maria poussa un bruyant gémissement quand elle fit disparaître entièrement la tête de l’engin. Je sentais ma propre queue en palpiter, cette scène me frappa d’une violente bouffée de chaleur.
Maria resta un instant immobile pour s’accoutumer à la taille, avant d’amorcer un mouvement de bassin.
— C’est bon, c’est si bon, mon cœur. Je n’ai jamais ressenti ça de ma vie.

Ce n’était pas pour être méchante, Maria voulait simplement partager ce moment avec son amoureux. Jean le comprit comme moi et y répondit.
— Je suis content que tu prennes du plaisir, je t’aime.— Je t’aime.

Entraînée par le rythme de la tribu, un sourire extatique aux lèvres, Maria se déhancha sur le pieu. Coca dans son dos retardait son orgasme de fessées. Maria poussa des cris de douleurs qui sonnèrent bien vite comme des encouragements. Coca continua à faire rougir les petites fesses blanches qui se balançaient avec entrain sur sa queue. Je restais troublé par cette petite poupée de porcelaine qui allait et venait sur la queue qu’un homme noir aux atour d’un gorille. Maria s’arqua plusieurs fois avec le bassin tremblant, Coca d’un geste sec lui brûlait la peau délicate de son fessier. Il voulait la rendre folle, comme les trois vierges l’avaient fait avec Jean.
— Tu veux être engrossé par un homme ou un momocou ?

Enfoncée jusqu’aux couilles, Maria en guise de réponse poussa un geignement, une infime partie d’elle s’alarmait encore de cette conséquence. Une claque plus appuyée que les autres résonna par-dessus le joyeux brouhaha de la tribu.
— Réponds femme !— Par un homme...— Tu ne veux plus de ton momocou, tu préfères les hommes ?— Désolé Jean, mais c’est trop bon... Oui, je préfère les hommes.

Jean détourna la tête, Farra dans son dos continuant à le sodomiser d’une main, enfonça le clou.
— En cet instant, tu aurais pu être à la place de Coca, à la baiser jusqu’à sentir son vagin réclamer ta semence. Mais en bon momocou, tu as préféré sortir du cercle en rampant pour lui lécher la chatte.

Délimaou lui attrapa les couilles avant de reprendre le relais, d’une voix aussi suave qui s’enroulait comme un serpent pour étouffer son esprit.
— Ta virilité ne servira jamais. Désormais, tu appartiens aux femmes de la tribu. Tu savais que c’était ce qui t’attendait en sortant du cercle, c’est toi qui l’as voulu.

Jean acquiesça de la tête. Même si c’était dur à entendre, on savait pertinemment à quoi nous destinait le rôle de momocou. Romihan à son tour donna un dernier coup de marteau.
— Supplie la femme que tu as perdue de remplacer ta faible lignée. Supplie-la de te donner un enfant qui fera ta fierté.— Vous... Vous me ferez jouir... Après ?— Momocou, tu jouiras. Mais toujours après les hommes et les femmes, répondit Farra.

Les trois tourmenteuses poussèrent Jean à se mettre à genoux, entre les cuisses de Coca, devant les sexes joints. Romihan et Délimaou lui tenaient les bras, Farra lui lia les poignets pour pas qu’il se branle. Jean resta un instant médusé par la vulve de Maria qui avalait toute la queue de Coca avant de la recracher presque entièrement. Relevant la tête, il trouva les yeux ivres de plaisir de sa petite amie.
— Maria... Je t’en supplie... Remplace ma faible lignée... Donne-moi... Donne-moi un enfant qui fera ma fierté... Vite, je n’en peux plus... Je veux jouir...

Répondant d’un grand sourire, Maria poussa son bassin d’avant en arrière. Coca l’encouragea à se déchaîner par de légères fessées. Les joueurs de tam-tams firent résonner la faille géologique d’un rythme endiablé. Les membres de la tribu suivirent de violents déhanchés en scandant un mot que j’arrivais à comprendre : femme ! Comme Jean était devenu un momocou à leurs yeux, Maria était devenue une femme. Celle-ci, sur sa monture d’ébène, criait son plaisir à chaque coup de boutoir. Levant les fesses, Maria les rabattait avec violence sur la bite de son élu. Jean en contre bas la regardait amoureusement. Romihan, Délimaou et Farra debout derrière lui, scandaient avec le reste de la tribu. Elles aussi étaient maintenant des femmes.
Sous l’ombre du grand arbre, Maria donna de la voix, son bassin fut pris de tremblements anarchiques. S’enfonçant jusqu’aux couilles, elle ferma les yeux en s’arquant, un sourire extatique aux lèvres, elle poussa un gémissement libératoire. Coca dans son dos la souleva de ses reins en poussant un râle.
— Coca se déverse en moi, cria Maria euphorique. Je sens sa semence se répandre au fond de mon utérus, c’est incroyable bon.

Maria ne chercha pas à se dégager, bien au contraire, elle donna quelques mouvements de bassin pour inciter l’engin à lui donner jusqu’à la dernière goutte de la semence tant redoutée. Après lui avoir libéré les bras sous les cris joyeux de toute la tribu, Coca se redressa sur Maria. Tendrement, il lui souleva les jambes pour les remettre de part et d’autre des siennes. Assis tous les deux à reprendre leur souffle, ils regardèrent Jean, agenouillé docilement entre leurs cuisses.
— Tu m’aimes toujours, demanda malicieusement Maria.— Oui, je t’aime toujours.

Sans le quitter des yeux, Maria souleva doucement son bassin pour se dégager de l’engin de Coca qui avait perdu de sa superbe. Sa vulve luisante de fluides retrouva sa forme première, du foutre commença à couler de son vagin.
— Supplie momocou, dit-elle avec un sourire carnassier.— Je t’en supplie, laisse-moi te lécher la chatte.

Passant une main dans ses cheveux trempés de sueur, Maria le guida contre son sexe rudoyé. Sans la moindre réserve, Jean lécha délicatement la vulve pleine de foutre comme le momocou qu’il était devenu.
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