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Trois cocus volontaires.

Chapitre 8

Orgie / Partouze
Trav37 à la correction, un grand merci pour tout le travail déjà accomplie. Les commentaires sont apprécié. 


À moitié saouls, pieds et poings liés, suspendus par les poignets aux branches d’un grand arbre, Anna, Pierre, Françoise, et moi étions à bout physiquement et psychologiquement. La cérémonie de la tribu qui avait vu Jean devenir un momocou, et Maria une des leurs, nous avait surexcité à un point. Françoise, dos contre moi, poussait des plaintes en se frottant contre ma queue, j’y répondais avec de légers coups de rein. Je me prêtais à rêver que mon sexe hors norme arrive à se frayer un passage entre ses lèvres intimes. Je crois que sans nos vêtements trempés de sueur, Anna, Pierre, Françoise et moi, on aurait bravé l’interdiction de copuler dans l’endroit le plus sacré pour les sept tribus. On perdait la tête, je compris que le rôle de nos attaches, n’étaient pas pour nous soumettre, mais pour nous sauver de nous-même.
Aux heures les plus chaudes, le silence retomba dans la faille géologique, Liazou et sa bande de vierges amputée de trois membres qui étaient maintenant passés du côté des femmes, détendirent les cordes qui nous suspendaient au grand arbre. Après nous avoir donné à boire et à manger, elles nous permirent de dormir les uns contre les autres. La quarantaine d’autochtones faisaient de même sous l’ombre des arbres qui bordait les falaises. Enfin pas tous, séparés par sexe, certaines femmes avaient mis la main sur le nouveau momocou, le seul homme qui pouvait maintenant rester avec elles. Allongé dans l’herbe rampante qui tapissait une bonne parti du canyon, Jean embrassait à tour de rôle deux femmes. Je l’enviais, avant de me souvenir du prix à payer. Non loin d’eux, sa petite amie Maria dormait paisiblement entre Romihan et Délimaou. Elle avait baisé une deuxième fois avec Coca, et lui avait réclamé sa semence en reprenant à son compte les termes choquants de la tribu. Je ne savais pas si c’était l’alcool, par jeu, ou la vérité, mais elle avait répété entre ses gémissements vouloir porter l’enfant d’un homme. Heureusement que son petit ami, était trop occupé avec deux jeunes filles pour s’en émouvoir. Je n’osais penser à l’après-vacances, que deviendrait ce couple, que deviendrait notre amitié à tous les six. En un peu plus d’un mois dans cette nature sauvage, on s’était tant éloigné des normes, même pour des progressifs, ça restait lourd à porter.
Au crépuscule quelques feux furent allumés, circoncis par des pierres comme sans doute partout dans le monde. Les musiciens reprirent leurs percutions, la tribu suivit en dansant joyeusement autour de leurs nouveaux membres. Jean, avait l’air de bien s’adapter à son rôle de momocou, il suivait un peu maladroitement la chorégraphie sous quelques rires et encouragements. Maria, quant à elle, rayonnait de bonheur, nue comme tous, elle se déhanchait en faisant les yeux doux à des hommes déjà bien excités. Après Coca, elle voulait clairement en profiter. Contrairement aux autres femmes forcées à la monogamie, Maria, femme d’un momocou pouvait s’accoupler avec tous les hommes. Si enfant il y a, Jean devra alors en assumé la paternité, la loi sacrée de l’enfant unique serait respecté.
Je reportais mon attention sur Katharina. Cette sublime trentenaire, à la peau laiteuse et à la chevelure cuivré, était pour mes yeux un phare dans la tempête. Ses lourds seins ballottaient aux rythmes de ses pas. Ses belles fesses rondes se dérobaient à mes yeux pour me faire découvrir une toison d’un roux sombre qui me troublait tout autant. Son visage parsemé de taches de rousseur finit par se tourner dans ma direction. Ses grands yeux verts, trouvèrent les miens, ses lèvres pulpeuses esquissèrent un sourire qui gonfla mon cœur de bonheur. Dieu que je l’aimais. Assis à côté de Françoise mon premier amour, d’Anna et de Pierre, les mains et les pieds toujours liés ensemble, je me redressais à sa venue.

— Vous allez bien, vous ne manquez de rien ?— Tout va bien, répondit Anna. Mais ne peut-on pas nous détacher maintenant.— Tes liens sont trop serrés ?— Non, mais la cérémonie est terminée là.— Pas encore, nous allons honorer les esprits protecteurs toute la nuit, demain, nous retournerons au camp, vous serez détachés à ce moment-là.

Anna souffla, je me doutais que son exaspération ne fût pas tant due aux liens, mais à ce qu’ils l’empêchaient d’exulter. Plus tôt, profitant du mou de corde de lianes tressées qui nous avait suspendus à l’arbre, Pierre trouva la poitrine d’Anna à malaxer. La bande de Liazou qui nous surveillaient comme des bergers, avaient aussitôt retendu la corde. Pierre était resté suspendu pour la peine une bonne heure.Katharina vint s’asseoir près de nous, les jambes pliées ramenées d’un côté, elle reprit.
— Il est très important qu’en ce lieu chacun et chacune ait sa place bien définie. Vous êtes des étrangers qui ont violé le territoire des sept tribus. Pour nous, comme pour les esprits protecteurs, il serait inconcevable de vous laisser fouler ce sol sacré en toute liberté.
Katharina passa une main sur la joue d’Anna, je la vis rougir de ce contact. Je la savais un peu à voile et à vapeur, mais là dans son état de frustration, c’était flagrant. Katharina se pencha pour murmurer à son oreille.

— Anna, tu es toujours volontaire pour passer la cérémonie de la tribu ?— Oui... Oui, madame.
Ma jalousie bondit, jusque-là, je croyais être le seul à donner du madame à Katharina. Je pris conscience que l’ascendant que Katharina avait sur moi, elle pouvait l’avoir sur tous mes amis. On avait dix-huit ans, Katharina la trentaine. Mais ce n’était pas juste l’âge. Il émanait de cette séduisante rouquine une autorité naturelle. Même nue, elle gardait la prestance d’une reine. En y repensant, je n’avais jamais entendu une femme de la tribu lui demander de l’aide à une tâche, comme elles le faisaient tout le temps entre elles. Je me dis d’abord que c’était dû au fait que Katharina devançait les demandes. Puis voyant comment Anna lui répondait, comment elle la regardait, je compris que Katharina était bien une reine. Pas à la Cléopâtre bien sûr, mais plutôt à la Boadicée, faisant front avec sa tribu contre cette environnement extrêmement hostile qui n’avait rien à envier aux légions romaines.
Si ma jalousie avait bondi, mon excitation bondit encore plus haut. Katharina trouva les lèvres d’Anna. Voir une sublime femme rouler sa langue contre celle d’une jolie jeune fille attachée, avait quelque chose d’une œuvre d’art. Anna poussa une expiration de bonheur à la fine main qui trouva son sein par-dessus sa chemise. Les mains liées par devant, Anna fit de même, englobant une lourd sein, ses pouces roulèrent sur un mamelon. Pierre, qui ne doutait jamais de rien, s’approcha, ou plutôt vu comme il était attaché rampa vers elles. Son surnom lui allait comme un gant, il ressemblait à ces chiens pendant les repas qui quémandent des yeux un peu de nourriture. Pierre baisa une cuisse d’Anna en posant ses mains sur celle de Katharina. Avant que je n’aie eu le temps de hurler de ne pas toucher Katharina, les jeunes vierges dans notre dos tirèrent d’un coup sec sur la corde de Pierre. Poussant un cri de surprise, il se retrouva de nouveau suspendu en ne touchant plus le sol que de la pointe des pieds.
— Petit chien, lui dit sèchement Liazou. Un momocou ne vole jamais de caresse à une femme, il la supplie, toujours.— Anna, je t’en supplie, laisse-moi te caresser.
Les jeunes vierges pouffèrent, Pierre n’était pas encore un momocou, mais il se pliait aux exigences sans hésiter. Ni fierté, ni honte entravaient ses désirs. La poutre apparente qui déformait son short, lui commandait d’obéir à toutes. Katharina et Anna continuaient à s’embrasser, leurs soupirs se perdirent dans les percussions tout comme les suppliques répétées de Pierre.
Françoise se rapprocha de moi, j’aurais préféré continuer à regarder, mais comment résister à sa petite amie aux yeux brillants de désir. Assis côté à côté, le buste tourné l’un vers l’autre, on s’embrassa avec allégresse. Mes mains liées, trouvèrent sous une chemise un sein moelleux. Françoise, poussa une expiration en trouvant ma queue à agripper. Ma frustration accumulé par la cérémonie obscène m’avait rendu à fleur de peau. Sous les petits doigts qui s’agrippaient à mon manche, je sentis les prémices de la jouissance arriver. Comme Pierre, je poussais un cri de surprise avant de me retrouver suspendu au grand arbre en ne touchant le sol que de la pointe des pieds. Liazou, encore elle, me décocha un sourire provocant, je me retenais de l’insulter, le canyon était un endroit sacré pour la tribu, au même titre qu’une église ou une mosquée. Moins avouable, depuis que je l’avais vue armée de sa lance dans un état proche de la rage, j’en avais aussi peur. Cette petite autochtone, ni belle, ni moche, avec des formes modeste, tourna autour de moi en me frôlant du bout des doigts.
— J’aime ton regard Eric, je vois bien qu’au fond de toi, tu crois être un homme. Te soumettre, te faire accepter ta nature de momocou, n’en sera que plus glorieux. En attendant que nos esprits protecteurs t’appellent pour être éprouvé, laisse-moi continuer à te dresser.
Je détournais la tête, pour ne pas qu’elle s’amuse de la tension sexuelle qui rougit mes joues. Maintenant pour mon esprit, le mot ’’dresser’’ évoquais un plaisir à venir. Caresser une jeune fille, goûter sa bouche, ses seins, son sexe. Chacune des jeunes vierges m’avaient dressées à leur manière. Je n’avais qu’une envie, c’est que Liazou me dresse encore. Elle déplia un rasoir à barbe, je retins ma respiration à la lame qui s’approcha de ma gorge. La lame fit sauter un à un les boutons de ma chemise, je me retrouvais vite nu. En face de la tribu dansante, je vis de nombreux regards s’arrêter un instant sur mon érection, même Maria qui l’avait prise en main, la contempla avec envie. Je me sentais flatté, j’avais la plus grosse, la plus épaisse, qui m’avait empêché de baiser Françoise. Je me sentais aussi vulnérable, comme un bout de viande diraient les féministes, offert à la tribu. Pierre eut le même traitement de la part de Batanda, lui aussi bandait comme un cerf. À nos pieds, Katharina continuait à jouer sa langue contre celle d’Anna, Françoise était un peu laissée à elle-même.
Dans mon dos, Liazou me serra dans ses bras, ses canines s’enfoncèrent dans mon épaule. Je me demandais si elle ne gardait pas cela de l’enfance, mordre quelqu’un qu’on déteste était naturel à un certain âge. Pour ma part, je l’aurais bien fessée, là, devant toute sa tribu. Le désir montant, effaçait peu à peu notre inimitié.
Ses petites mains couraient sur mes flancs, sa langue avait remplacé ses dents, elle suivait mon échine jusqu’à mes fesses puis repartait dans l’autre sens. Je me laissais aller à ces tendres caresses en regardant Katharina sortir les seins d’Anna de son soutien-gorge. La quarantaine d’autochtones se déhanchaient aux rythmes des tam-tams. Dans cette masse noire luisante de sueur, Jacques s’en détacha pour venir dans notre direction. Il avait pour seul vêtement une sorte de castagnettes fixée à la cheville droite, je restais un instant sur sa queue qui faisait resurgir des souvenirs aussi agréables que très gênants. Puis je croisais son regard, pas celui froid des premières semaines, mais celui de l’envie.
— Pas ici, pas devant tous, lui murmurais-je. Jamais je ne pourrais assumer ce qu’on faisait la nuit à l’abri des regards.
Sans me répondre, Jacques s’accroupit au près de Françoise. Se permettant de lui voler un baiser, il trouva son oreille. J’aurais donné cher pour savoir ce qu’ils se murmuraient, Françoise acquiesça avant de lever ses yeux vers moi. Elle avait bien deviné mon angoisse.
— Eric, tu sais bien que la tribu exècre les secrets. Tout le monde est au courant de ce qu’on fait régulièrement la nuit, avec Jacques et Katharina. Ça fait partie de ton dressage, un momocou doit aussi s’occuper des hommes, tu n’as pas à en avoir honte.— On sait tous que tu supplies Françoise de sucer Jacques, me dit Liazou. Et que tu finis toujours par l’accompagner, comme un bon momocou.— Ça n’est arrivé que quelques fois... Parce que j’avais bu, me défendis-je en regardant Pierre.— Moi aussi, je fais quelques expériences, me dit-il en me faisant un clin d’œil. Mais je préfère les femmes.
Pierre était vraiment un ami, je me sentis tout de suite mieux. Je me repris, je n’avais rien fait de mal avec Jacques, il me dominait et j’aimais ça. Françoise se leva, ses mains attachées se posèrent sur mon torse.
— Aujourd’hui, Maria et Jean se sont mis à nu. J’ai très envie que nous fassions pareil, que cette nuit, tous les six, nous nous ouvrons sans réserve aux mœurs de ce peuple.— Je suis partant, dit Pierre.— Moi, je le fais déjà, nous dit Anna en quittant les lèvres de Katharina. J’aime mon petit chien, mais j’aime aussi les femmes, dans cette tribu personne ne me juge, je ne me suis jamais senti aussi libre.— S’aimer entre femmes est naturel, lui répondit Katharina, avant de se tourner vers moi. Mon garçon, dit nous la vérité, tu aimes que Jacques te dresse ?
Ils attendaient ma réponse, que ce soit mes amis, les vierges et bien sur le principal intéressé. Après la confession d’Anna, je ne pouvais pas mentir.
— Oui madame, j’aime un peu ça, mais je suis comme Pierre, je préfère les femmes. Je préfère que ce soit vous qui me dressiez.— Tu ne veux pas jouir ? me répondit-elle malicieusement.
Je sentis mes joues me brûler, la honte reflua en moi à toute vitesse. Katharina ou Françoise ne me faisait jouir par le cul qu’au moment où j’avalais le foutre de Jacques. Ça, je ne pouvais pas l’avouer à tous, même si je me doutais qu’ils le savaient aussi.
— Réponds ! Dit Liazou. Tu veux jouir ou pas ?— Je veux jouir, murmurais-je.
Collée à moi, Françoise m’embrassa aussitôt, sans doute pour pas que je fasse machine arrière. Poussant la langue contre la sienne, je ne pouvais pas me sortir de la tête que la tribu ainsi que mes amis allaient assister à ça. La nuit, qui s’installait, me rassura quelque peu, les premiers feux étaient à une dizaine de mètres, la plupart ne verraient que des ombres.
Je fermais les yeux en me laissant bercer par de lentes percussions. Françoise avait raison, il était temps que nous nous ouvrions sans réserve aux mœurs de ce peuple. Dans mon dos, Liazou continua à s’abreuver de ma sueur en courant ses mains sur mon corps. Je pouvais entendre Katharina et Anna reprendre leur baiser. Pierre poussait des râles. Usant de son surnom, Batanda l’encourageait à se laisser aller à sa nature de momocou.Jacques vint se presser contre Françoise et moi, on lui laissa une place. Il passa sa main dans mes cheveux avant d’une pression me faire quitter les lèvres de Françoise pour me remplacer. Ma jalousie se mêla à mon plaisir malsain, bien plus grand Jacques obligeai Françoise à lever la tête en se mettant sur la pointe des pieds. Pendant qu’ils s’embrassaient fougueusement, Souafa une vierge, vint découper les habits de Françoise. Du coin de l’œil, je vis Amirou faire de même avec Anna.
Sous le grand arbre on se retrouva tous nus, à la lueur des flammes la tribu riait, chantait et dansait sans nous porter une attention particulière. J’apercevais parfois Maria et Jean. Leurs grand sourire me fit penser que leur rôle leur plaisait beaucoup. Ils avaient trouvé leur marque dans la tribu, aucun regret ne semblait les accabler. J’étais heureux pour eux. Moi, si Françoise avait baisé avec un autre, j’en aurais été inconsolable. Celle-ci, ne me laissa pas le temps de rêvasser, elle retrouva mes lèvres, avant de laisser sa place à Jacques. J’eus un moment d’hésitation, puis je rejoins sa langue sans plus me soucier de ce que mes amis pourraient en dire. Dans le triangle qu’on formait, mon gourdin toucha plusieurs fois le bas-ventre de Françoise et plus gênant la queue de Jacques. J’avais une envie folle de presser mon bassin contre la première, mais de ce fait, j’exposais mon arrière-train au second. Bien que toujours pieds et poings liés, Françoise n’était pas suspendu, ses mains étaient contre mon torse. Elle pouvait retrouver ma queue, me branler, même maladroitement cela m’aurait fait jouir. Quittant les lèvres de Jacques, je me penchais à son oreille.
— Mon amour, tu peux me branler ?— Supplie.— Je t’en supplie Françoise, branle-moi.— Plus fort, que tous t’entendent.
J’allais demander si elle parlait de Jacques, Katharina, Anna, Pierre et les vierges. Pierre répondit à mon interrogation, d’une voix portante.
— Batanda, je t’en supplie, suce mes couilles.
La jeune fille, aux atours d’un vrai mannequin, lui fit répéter la supplique plusieurs fois. La quarantaine d’autochtones poussa des cris de joie. Je pouvais les voir saliver devant ce futur momocou qui allait s’offrir à eux très bientôt. Batanda s’agenouilla devant Pierre. Souriant jusqu’aux oreilles, celui-ci poussa un râle à une de ses couilles gobée. Dans son dos, Amirou faisait comme Liazou dans le mien, ses mains couraient sur les flancs, sa bouche suçait l’échine. Quand son tour viendrait de démonter sa nature devant les esprits protecteurs, je ne lui donnais pas cinq minutes avant de sortir du cercle.
En frôlant de ses doigts mon énorme érection, Françoise me relança.
— Mon amour, tu sais ce que tu dois dire si tu veux que je te fasse la même chose.
Purée, ma petite amie me regardait avec de ses yeux, elle aurait pu faire bander un saint. Sous le brouhaha de la tribu, des percussions et des castagnettes, je me lançais d’une voix forte teintée de honte.
— Mon amour, je t’en supplie, suce mes couilles.
S’agenouillant sous l’exultation de la tribu, Françoise me sourit avant de poser sa bouche sur mes couilles. Je poussais une expiration de bonheur à la succion. Très vite, elle me goba un testicule. Jacques et Liazou repartirent à la charge, le premier retrouva mes lèvres en explorant de ses grandes mains mon corps offert suspendu à l’arbre. La seconde, vint me lécher l’aisselle en appuyant son pubis sur ma cuisse. Mon excitation déjà à son comble, j’entendis en plus les soupirs d’Anna qui ajouta de l’huile sur le feu. Quoi que Katharina lui fasse, elle le faisait avec adresse.
Sous le rythme entêtant des tam-tams, me laissant porter par le courant, je rendais le baiser sans plus de réserve. C’était un homme, mais pour mon corps en feu ça n’avait pas d’importance. De ses doigts, Liazou s’approcha de mon anus. Pour ne pas m’effaroucher, elle le frôla plusieurs fois en me malaxant mon fessier, puis à mesure de mes soupirs, la pulpe de deux doigts s’y arrêtèrent. On m’avait quasi caressé ainsi chaque jour, mais jamais devant une quarantaine de personnes, et pires encore mes amis. Sous le plaisir qui en découla, mes angoisses fondirent comme neige au soleil. Pendant que Françoise essayait de me gober mes testicules en même temps, que Jacques fouillait ma bouche de sa langue, Liazou me pénétra d’un doigt. Ma queue en palpita, je crus entendre plusieurs autochtones le commenter, je n’osais pas ouvrir les yeux pour le confirmer. Françoise agenouillée et Jacques décalé sur ma gauche, m’exposait à tous les regards. Pierre qui continuait à pousser des râles, me réconforta, je n’étais pas seul à me donner en spectacle. Puis le plaisir anal montant crescendo, je ne m’y attarda pas longtemps. Sous les multiples bruits obscènes, je me laissais complètement aller, avant qu’une piquante jeune fille vienne me tirer de mon petit nuage.
— Eric, me dit Liazou sur un ton joueur. Je veux t’entendre me supplier de t’enfoncer un deuxième doigt dans le cul. Je veux t’entendre me supplier de te préparer le cul pour que Jacques t’encule sans te faire mal.
Ce dernier rompit le baiser, j’osais à peine ouvrir les yeux, encore moins le regarder. La dizaine de nuits où Jacques avait été entreprenant, j’avais refusé catégoriquement cette pratique. J’avais du mal à me l’avouer, mais j’avais refusé en grande partie à cause du jugement de mes deux amours, et aussi par peur d’aimer ça. À chaque fois qu’une vierge m’avait fait jouir ainsi, elle me disait que c’était bien meilleur avec une bite. C’était tout bête, mais à force d’être répété, mon esprit y avait songé. Mais sûrement pas devant une quarantaine d’autochtones, mes amis et surtout Françoise et Katharina.Toujours suspendu, je regardais derrière mon épaule pour trouver les yeux de cette petite garce. Je l’aurais bien giflé, tant elle jubilait. Une autre pulsion me vint, j’avais aussi envie de la baiser.
— Je te l’ai répété un millier de fois, je réussirais l’épreuve. Et si tu continues à me chercher Liazou, je pourrai bien te choisir pour femme.
Je croyais lui faire peur avec ma queue qui n’était pas loin du gabarit de son avant-bras, mais Liazou dans la pénombre de la nuit me dévoila d’un grand sourire toutes ses dents blanches, l’envie de baiser était partagée. Elle glissa sa tête sous mon bras, me lécha l’aisselle, en tournant son doigt autour de ma prostate. Je me mordais la lèvre inférieure pour ne pas lui donner la satisfaction d’entendre le plaisir qu’elle me procurait. À mes pieds, Françoise recracha une de mes testicules, captant mon regard, elle me parla sur un ton coquin.
— Mon amour, j’ai fantasmé de nombreuses fois de te voir possédé par Jacques. N’as-tu pas envie de découvrir ce que ça fait d’être entièrement à un homme ?— Non, je... Je ne suis pas homosexuel.
Françoise tourna son buste vers Jacques, ses mains liées empoignèrent la colonne d’ébène. Elle la sentit, posa un baiser sur le gland massif avant de relever la tête vers moi.
— Mon amour, avant de supplier Liazou, tu vas d’abord me supplier de lui sucer la bite.
À ses yeux brillants de perversité, je compris qu’il n’y avait rien à faire pour la calmer, je cherchais de l’aide autour de moi. Toujours suspendu, Pierre la tête penchée d’un côté, les yeux clos, poussait de petites expirations de bonheur. Batanda à ses pieds suçait une couille en courant ses mains noires sur son corps. Dans son dos, Amirou elle aussi agenouillée, avait la moitié du visage caché entre ses fesses, elle lui bouffait le cul. Je trouvais alors Katharina et Anna, toutes les deux nue. Elles étaient assises l’une derrière l’autre, face à moi. Je devinais à leurs regards, qu’elles fantasmaient aussi de me voir sodomisé par Jacques. Je restais accroché par la vulve d’Anna, ses liens aux pieds ne l’empêchaient pas d’ouvrir ses genoux. Dans son dos, Katharina lui caressait ses seins érigés, léchant la peau de son cou. J’aurais pu rester éternellement sur cette scène, mais des cris identifiables à mon oreille attirèrent mon regard vers la foule dansante. À travers des corps ruisselant de sueur qui se déhanchaient sous les percutions, je découvrais à une dizaine de mètres près d’un feu, Maria qui donnait de la voix. Ergou, un homme de la tribu la prenait en levrette. Je crus halluciné en découvrant Jean en face de sa petite amie, dans la même position qu’elle, Romého le... Non, je ne pouvais pas en croire mes yeux. Jean se faisait enculer devant toute la tribu. Pourtant, même si les danseurs ne me permettaient pas de bien voir. Aux mouvements de reins de Romého, il était belle et bien en train de posséder Jean. Le plus troublant, c’est que sous les coups de boutoir, Jean et Maria les mains unies relevèrent la tête pour s’embrasser fougueusement.
Loin de me révulser, une bouffée de chaleur compressa mon torse, ma queue fut prise de spasmes. Je me retins de supplier Liazou d’accélérer son massage prostatique. Je poussais une expiration de frustration à la jouissance qui avait failli m’emporter. Liazou reprit plus doucement sa caresse anale, je levais malgré moi ma croupe.
— S’il te plaît, lui soufflais-je. Plus fort, plus fort.— Tu aimes ça te faire sodomiser ?— Oui...— Regarde la bite de Jacques, le sexe de cet homme sera bien meilleur que mes doigts.
Toujours entre les mains de Françoise, le gland turgescent ressemblait à une grosse prune noire, lisse et luisante de liquide pré-séminal. Jacques avait une furieuse envie de me baiser, j’en fus si troublé que je détournais la tête. Jacques passa une main sur ma joue brûlante, du pouce, il me caressa les lèvres. Je me laissais captiver par ses yeux noirs qui pouvaient être de glace, mais, posés sur moi, étaient de feux. Je ne savais plus quoi dire pour me sortir de cette situation, tout mon être voulait exulter, une petite partie dans les bras d’un homme des bois. Baisant mon dos, Liazou reprit d’une voix douce.
— Eric, cette nuit, tu vas laisser ta nature de momocou s’exprimer sans que cela ne te coûte ta femme. Profite de cette occasion qui t’est donnée. Tu pourras, le jour de ton initiation, choisir sans regret ton rôle dans la tribu.— Pas devant tout le monde, murmurais-je pour moi-même.— Tu n’as rien à cacher à la tribu, maintenant obéis à ta femme, supplies-la de sucer Jacques.
Son index dans mon fondement n’était plus qu’une caresse ténue, la jouissant tant attendue s’éloignait. Liazou  me tenait. Enfiévré comme jamais, je ne pouvais pas rester dans cet état. Malgré Pierre à portée de bras qui continuait à souffler son plaisir, malgré Anna à deux pas qui me dévorait des yeux, malgré Maria et Jean qui pouvaient tout moment tourner leur regarde vers moi, je franchissais une nouvelle ligne dans notre amitié.
— Mon amour, je t’en supplie, suce la bite de Jacques.— Tu es sûr, me répondit-elle taquine. Ça t’excite vraiment de me voir sucer Jacques ?— Oui, ça m’excite beaucoup, suce le, je t’en supplie.
Jacques me sourit, son pouce qui jouait sur mes lèvres s’enfonça. N’ayant plus d’énergie à sauver les apparences, je le laissais passer mes dents. Françoise, agenouillée à ses pieds, posa sa bouche sur son gland. Sa langue darda l’urètre, puis explora le reste de l’engin. Tout comme Jacques, elle me regardait de ses yeux. Ardants, dénués de toute inhibition, de tout remord, ce qu’ils voulaient ils le prenaient. Françoise avala tout le gland en expirant son bonheur, je fis de même. Dans mon dos, Liazou refit jouer son index. Je le sentais tourner autour de ma prostate, m’irradiant d’un plaisir ténu qui ne demandait qu’à croître. Je me laissais aller, qu’ils fassent de moi ce qu’ils veulent, du moment que j’avais ma part de plaisir.Avalant une bonne partie de l’engin en poussant d’affreux bruits de gorges, Françoise se déchaînait. De la bave coulait sur son menton. Elle reprenait de temps en temps son souffle en se contentant de glisser sa bouche sur le manche veineux comme si c’était un harmonica. Je ne pus me retenir de l’imiter, suçant le pouce de Jacques, j’avais presque envie de la rejoindre. Le principal intéressé dû le sentir, me libérant la bouche Jacques capta mon regard.
— Eric, tu veux bien me sucer avec ta femme ?— Oui, répondis-je dans un souffle.
Une des vierges qui restait dans mon dos, donna du mou à la corde qui me suspendait au grand arbre. Je tombais à genoux, en poussant un ouf de soulagement, être suspendu devenait désagréable pour mes épaules. Françoise me donna aussitôt un violent baiser, sa langue chargée de liquide pré-séminal fouilla ma bouche, je le rendais sans retenue. Puis, quittant mes lèvres, un sourire complice aux lèvres, elle se tourna vers la queue d’ébène. Nous avions plus besoin de parler pour nous comprendre, se penchant chacun d’un côté, on suçait en parallèle le manche légèrement arqué. Nous tenant la nuque, Jacques amorça un mouvement de reins. Sa queue, coincée entre deux bouches, lui fit pousser plusieurs râles. Françoise finit par se décaler pour reprendre le gland en bouche. Après plusieurs aller-retour, elle me laissa la place. Je levais les yeux vers Jacques, j’adorais être sous sa domination. Il passa sa main dans mes cheveux. D’une pression, je posais volontiers ma bouche sur son gland brûlant, doux et dur. Roulant ma langue sous la jointure, je le laissais m’emplir la bouche toujours plus.Liazou s’accroupit dans mon dos, la pulpe de son index joua le long de ma rondelle.
— Tu aimes ça, sucer des bites, me souffla-t-elle à l’oreille. Être soumis aux femmes, autant qu’aux hommes, leurs laisser tout pouvoir sur toi.
Je poussais un soupir étouffé en guise de réponse, j’avais l’impression qu’elle lisait dans mon cœur. Liazou me pénétra de son index, son autre main vint s’emparer de mes couilles, les malaxant avec adresse elle reprit sur le même ton.
— Avec ce que tu as entre les jambes Eric, tu vas devenir le momocou le plus aimé des femmes. Nous allons prendre soin de toi, je te promets que tu n’auras aucun regret d’avoir laissé ta femme aux hommes.
Continuant à sucer Jacques pendant que Françoise lui gobait une couille, je laissais Liazou me murmurer les bienfaits d’être un momocou. Me laissant bercer tant par sa voix devenu amical, les soupirs d’Anna, les râles de Pierre, que par les percussions, j’étais sur un petit nuage. Liazou sortit son doigt, pour reprendre d’une voix plus forte.
— Eric, je veux t’entendre me supplier de te préparer le cul pour que Jacques t’encule sans te faire mal.
La même demande qui m’avait fait bondir la première fois, me troubla plus qu’elle me choqua. Jacques me caressa la joue, je recrachais sa queue sans arriver à formuler un refus. Françoise, me perdit tant par sa voix suave que par ses ardentes prunelles.
— Mon chéri, j’ai très envie de te voir te faire enculer par Jacques. Tu veux faire ça pour moi ?
J’acquiesçais, le souffle court, ruisselant de sueur, j’étais dans tous mes états. Les joueurs de tam-tams commandaient à mes plus bas instincts de se déchaîner.
— Supplie, me dit Liazou.
Un fil ténu m’empêchait de le dire à voix haute. Toujours suspendu à moins d’un mètre, Pierre les yeux clos continuait à pousser de la voix pendant qu’agenouillées, Bantanda et Amirou lui bouffaient couilles et cul. Liazou, devina sans mal mes dernières réticences. Elle me mordilla l’oreille avant de reprendre à ma seule attention.
— Pourquoi tu crois qu’Amirou lèche l’anus du petit chien ? Ton ami va aussi se faire enculer, crois-moi, lui n’aura aucune honte à supplier. Maintenant Eric, ferme les yeux, ne pense plus à rien, laisse simplement ta nature de momocou d’exprimer, supplie.— Je t’en supplie Liazou, dis-je le souffle court. Prépare-moi le cul, pour que Jacques... Pour que Jacques m’encule sans me faire mal.— Tu veux détourner sa semence ?— Oui.— Tu veux lui permettre d’exulter sans risque d’un deuxième enfant ?— Oui.— Tu voudras rendre ce service aux femmes ?— Oui.— Tu voudras rendre ce service aux hommes ?
J’hésitais, mais à chaque oui Liazou m’avait pénétré d’un doigt. Sous la pression de la chaleur qui me consumait, je craquais.
— Oui.
De quatre doigts trempés préalablement dans l’huile, Liazou me sodomisa lentement. Françoise pétillante de bonheur guida l’engin de Jacques vers ma bouche. Je repris le gland massif en bouche en poussant des expirations régulières, un irrésistible plaisir anal grandissant. Alternant avec ma petite amie, je gobais les couilles de Jacques avant de retourner sur son sexe. Il me couvait d’un regard à la fois dominateur et doux, je ne serais pas l’expliquer, mais ça me plaisait énormément.

Une des vierges dans mon dos, retendit la corde. Je me retrouvais debout, Jacques scella ma soumission totale d’un fougueux baiser. Yeux toujours fermés, me laissant aller à leurs mains, je sentis une langue se poser sur mes bourses, une autre sur mon anus. Je fondais littéralement, ne tenant debout que par la corde, j’expirais mon bien-être. Les trois bouches sur moi, m’amenèrent à la frontière de la jouissance, ma queue palpita plusieurs fois en bavant de liquide pré-séminal.
Rompant le fougueux baiser, Jacques vint se placer derrière moi, sa main vint remonter sur mon cou, l’autre, je le devinais, guidait son engin entre mes fesses. Le gland massif se posa contre ma rondelle. Malgré moi, je levais la croupe, mon corps assoiffé se moquait de mes tabous, un homme allait m’enculer et j’en étais très excité. Une pression se fit. Doucement, le gland massif écarta mon anus, le plaisir qui en découla me ravit. À la limite de la douleur, la tête passa entièrement, Jacques m’agrippa les hanches pour amorcer un lent va-et-vient, me remplissant le rectum toujours un peu plus.
Autour de moi, je n’entendais que des souffles courts, même Pierre avait arrêté de gémir. Ils me regardaient tous, je n’ouvrais pas les yeux pour le confirmer. Sous la chaleur du sexe qui allait et venait en moi, me donner un tel plaisir, je m’en moquais. Désinhibé, je poussais de la voix qui se perdit dans les percussions. Plaqué contre mon dos, Jacques comme beaucoup de mammifères me mordit la nuque en accélérant le rythme. Je gémis de plus belle, le plaisir anal montait inexorablement, c’était bien meilleur que des doigts. Chaque coup de boutoir m’irradiait d’une vague de chaleur, je finis par aller à l’encontre de la queue.
— Plus vite, soufflais-je. Plus vite, oui encore.
Jacques obéit. À ses râles, je comprenais que lui aussi était à bout. Comme la mienne sa queue palpita sporadiquement. Me pistonnant rapidement le cul, je la sentis prise d’une bien plus violente secousse. Au premier jet de foutre qui s’écrasa au fond de mon rectum, une terrible décharge de plaisir partit du bout de mes orteils, remontant à toute vitesse m’envahir d’un immense plaisir, ma queue trembla en déchargeant un premier jet. Je poussais une expiration libératoire, toute ma frustration emmagasinée partait avec ma semence. Me serrant contre lui, Jacques poussait plusieurs râles pendant que son sexe finissait de m’emplir le rectum de foutre.Étourdi par notre déchaînement de passion, on restait l’un contre l’autre à reprendre notre souffle, encore vierge je me demandais si baiser une femme me donnerait de telles émotions. Épuisé et comblé, je ne tardais pas à m’endormir sous les cris de joie d’une tribu ravie.
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