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Trois cocus volontaires.

Chapitre 10

Voyeur / Exhibition
Amis lecteurs bonjour, je recherche un volontaire à la correction pour les chapitres suivant, il n’y aura hélas pas de sublime rouquine, ni de jeunes autochtones libidineux pour vous en récompenser. Une dernier merci à trav37, pour tout son travail de correcteur.

La jungle bourdonnait des multiples animaux nocturnes, quelques nuages passaient devant la lune presque pleine, son éclat donnait une teinte fantomatique aux falaises abruptes qui nous entouraient. Dans ce canyon, lieu sacré des sept tribus, je me sentais pris au piège. Pas pour mes attaches aux poignets qui me suspendaient à la branche d’un grand arbre, tout comme Françoise ma petite amie. Ni pour la quarantaine d’autochtones qui n’avaient que quelques pas à faire pour récupérer leurs armes archaïques. Je me sentais pris au piège à cause de la cérémonie d’initiation, je l’avais d’abord prise pour une sorte de bar-mitsvah, mais je me trompais. La cérémonie n’était pas seulement faite pour marquer le passage de l’âge adulte, elle était conçue pour supprimer les bons gènes, des mauvais. Ce peuple primaire, que mes amis et moi avions à cœur d’aider pendant nos grandes vacances, me faisait maintenant penser à une société totalitaire, un comble pour nous qui avions milité de nombreuses fois en France pour une société plus tolérante. La tribu, devant leurs esprits protecteurs, avait jugé sans la moindre pitié, mes deux amis indigne de se reproduire. Comme Jean, Pierre avait fini par ramper hors du cercle de lianes, pour devenir un momocou.

L’explosion de joie qui en avait suivi s’estompa peu à peu, la tribu sous le commandement des tam-tams reprit leurs danses. Elle avait gagné un momocou, maintenant elle voulait gagner une femme ainsi que lui donner un enfant fort. Nue, brillante d’huile, les avants bras attaché l’un à l’autre dans son dos, Anna était encore déboussolée par l’aveu de son petit ami. En boxeur, perlé de sueur, Pierre, agenouillé à ses pieds, avait l’air d’être fière de son choix. Batanda, qui l’avait dressé, partageait ce sentiment, elle lui caressait la tête affectueusement. Quant à ses complices, Amirou, Marie-Madeleine et Souafa, elles laissaient nonchalamment leurs mains huileuses parcourir le corps d’Anna. Lui disant par ces caresses, que la cérémonie était loin d’être finie.

Suspendu à ma branche, je ne pouvais qu’espérer qu’elle résiste. Je ne me voyais pas expliquer à sa famille, comme celle de Maria, pourquoi elles étaient revenues enceintes de nos vacances. Je m’imaginais encore moins faire face aux parents de ma petite amie, qui m’avaient demandé explicitement de veiller sur elle. Seins nus, en culotte rose, Françoise s’était replacée à mes côtés, et je crois que si sa corde qui maintenait ses poignets à l’arbre au-dessus de nos têtes avait été plus longue, elle serait partie bien plus loin. Elle n’avait pas du tout apprécié ce que je pensais de la décision de Pierre, mais je n’en démordais pas, il était bon pour aller se faire soigner dans un hôpital psychiatrique.

Les joueurs de tam-tams accentuèrent leur mélodie, la quarantaine d’autochtones en demi-cercle autour du couple et des quatre vierges, se séparèrent peu à peu par sexe. Quasi tous nus, les femmes par de souples pas de danse reculèrent pour laisser leurs hommes au premier rand. Anna allait devoir choisir parmi eux, celui qui allait la tenter. Jeunes, taillés dans du marbre, plus ou moins beau, ils dégageaient d’eux la même puissance virile qui n’avait rien à envier aux All Blacks. Je pris conscience que ce n’était pas des chasseur-cueilleurs, mais bien des guerriers ! Ils se battaient chaque jour contre une nature hostile, peut-être la plus dangereuse de la planète. Un premier candidat se décrocha du groupe pour aller tourner autour d’Anna, il se déplaçait comme une panthère en chasse, ses muscles secs roulaient sous sa peau, son sexe était déjà dressé. Anna détourna le regard, mais un cri viril la fit sursauter, ses yeux retrouvèrent le jeune homme pour ne plus le quitter. Pendant la parade, Batanda, Amirou, Marie-Madeleine et Souafa murmuraient à leur prisonnière volontaire de se laisser aller. Elles baisaient sa peau de pêche, elles glissaient leurs doigts sur une fesse, une cuisse, la courbe des reins. Pierre toujours agenouillé à leurs pieds, restait sagement à sa place.

La parade continua avec un nouveau candidat, Anna sous les caresses des jeunes filles, et à la vue d’un homme nu passablement excité, ne put bien longtemps retenir ses soupirs. Les huit petites mains noires, qui se baladaient sur son corps s’activèrent de plus belle. Marie-Madeleine tout en lui suçant le lobe d’une oreille, malaxa un sein. De l’autre côté, Souafa baisait une épaule en s’occupant de l’autre sein. Batanda, accroupie dans son dos, lui mordillait une fesse en caressant les jambes. Quant à Amirou, elle s’amusait à tirer sur la touffe de poil pubien, je pouvais à la faveur de la lune, voir briller une petite perle sortie de son capuchon. Je me demandais comment Pierre arrivait à se retenir de se pencher pour le prendre en bouche. J’enrageais en me disant que si Batanda le lui avait ordonné, il serait toujours dans le cercle. Me voyant tirer sur mes liens, Liazou qui rôdai toujours à proximité vint se glisser dans mon dos, prenant ma colère pour du désir elle me souffla à une oreille.

— Hé bien Eric, tu as envie d’être à la place de ton ami, d’être un bon momocou. N’aie crainte, ton tour viendra, et c’est moi qui te soumettrai une bonne fois pour toutes.

Je me retenais de lui dire que plus jamais je ne mettrais les pieds dans leur maudit canyon. J’avoue que la peur de sa réaction y était pour beaucoup. Elle avait beau être haute comme trois pommes, je la savais aussi dangereuse que le reste de sa tribu. Malgré ma colère, sentir ce corps chaud blotti contre moi, me plu. Liazou me mordilla un grand dorsal, avant de glisser sa tête sous mon aisselle. Elle ne voulait pas manquer une miette du spectacle. J’avais un peu honte, mais moi non plus...

Les joues et le bout du nez rougis, le front perlé de sueur, Anna regardait avec envie un énième candidat, Makirou. C’était un des plus vieux de la tribu, pas loin de la quarantaine, de taille moyenne, son corps arborait plusieurs cicatrices dont une vilaine sur son épaule gauche dû à la morsure d’un grand singe. Ce n’est pas son visage quelconque qui avait charmé Anna, ni son sexe tendu un peu plus grand que la moyenne, mais son sourire ravageur. S’entend que la jeune fille était sous son charme, Makirou sous le rythme des percussions, s’approcha à un souffle. Anna, ne put résister aux épaisses lèvres bordées par une barbe de quelques jours, elle le choisit d’un baiser. Makirou n’avait pas contourné Pierre pour trouver les lèvres de sa petite amie, il lui avait fait courber l’échine pour l’enjamber. Le contraste était saisissant, tassé sur lui-même, Pierre était encadré par les jambes de Makirou debout, en train de pousser sa langue contre celle d’Anna. J’y vis sans le vouloir, ce que la tribu voyait sans doute dès le début de notre aventure : un homme, une femme et un momocou.

Batanda, Marie-Madeleine, Amirou et Souafa s’écartèrent du trio, elles avaient ouvert la voie, il ne dépendait plus qu’à Makirou de finir le travail. Et si Pierre était ce qu’il prétendait être, il l’aiderait à cette tâche. J’étais à la fois malade et excité par ce qui se jouait. Malade, parce qu’encore une fois, la tribu allait voler une femme à la mienne. Excité, parce qu’une partie de moi que j’essayais de refouler, trouvait cela naturel. Les tam-tams faisaient résonner un rythme entêtant, les femmes retrouvèrent leurs hommes pour partager des pas de danse. Katharina et Maria avaient été chacune accueillies par un couple. Tout sourire, sans doute à moitié saoul, Jean toujours à l’écart, tapait des mains et des pieds. Du coin de l’œil, j’observais enfin Françoise suspendue à sa branche. Aucune inquiétude ne se dessinait sur son visage rougi. Si Anna succombait, elle risquait de tomber enceinte, mais ce danger semblait l’exciter plutôt que l’effrayer. Tous mes amis avaient irrémédiablement changé au contact de cette tribu, et je n’avais rien vu venir.

Sous le fougueux baiser, la croupe levée, Anna évitait d’entrer en contact avec le sexe de Makirou. Elle gardait une part de lucidité qui lui disait qu’y toucher la perdrait. De grosses mains noires qui malaxaient son fessier se chargeaient de la convaincre. En dessous, je remarquais que Pierre n’affichait plus son sourire béa. Il commençait à ressembler à Sisyphe qui portait non pas un rochet sur son dos voûté, mais des testicules. Ce qui l’avait désiré en sortant du cercle se révélait plus dur que prévu. Constater que la femme qu’on aime ne se contenterait pas cette fois que de caresses, devait le tourmenter. Entre les cuisses de Makirou, Pierre sorti de son silence.

— Anna, Anna, j’ai changé d’avis, je ne veux pas que tu me trompes. Tu dois résister, et je te promets qu’à la fin de la cérémonie, je te ferais jouir comme jamais.
Anna ne pouvant ou ne voulant pas répondre, c’est Batanda resté à proximité avec ses complices qui s’en chargea.
— Mon petit chien, dois-je te rappeler comme tu dois t’adresser à une femme ?
— Non, désolé. Anna, je t’en supplie, résiste à la tentation. Si tu le désires, à la fin de la cérémonie, je te ferai jouir.
— Avec quoi ? Lui demanda malicieusement Souafa.
— Avec mes doigts, avec ma langue. Je te sucerai longuement le clitoris, comme tu aimes tant, rajouta-t-il à l’adresse d’Anna.

Anna continuait de rouler sa langue contre celle de Makirou, en expirant un mélange d’envie et de frustration. Dans son état, parler de jouissance, c’était comme parler de nourriture à un affamé. Anna finit par s’arracher des lèvres de son élu, voulant trouver les yeux de son petit ami, elle restait accrochée par le sexe d’ébène. Tendu à l’extrême, couru de veines, le gland perlait d’un liquide pré-séminal. Devinant l’attraction que son engin produisait, Makirou la fit s’agenouiller à ses pieds. Il passa une main sur son visage, caressa du pouce les lèvres entres ouvertes.

— Anna, dit-il d’un ton amical. Il y a un moyen pour toi de sortir victorieuse bien avant la fin de la cérémonie. Nos esprits protecteurs, ne permettraient jamais que je gaspille ma semence dans leur maison, même une seule fois. En me choisissant, je dois leur démontrer encore une fois que je suis bien un homme en droit de me reproduire.

Anna sourit, à son grand soulagement, il y avait un moyen d’abréger la cérémonie, d’abréger le feu qui la consumé. Elle suça le pouce offert avec des yeux de prédatrice, en un instant, les rôles s’étaient inversés. Pour son courage, Makirou fut félicité à grands cris par toute la tribu. En demi-cercle tourné vers le trio, la quarantaine d’autochtones se déhanchèrent violemment, les joueurs de tam-tams y répondirent. Pendant quelques minutes, ce fut assourdissant, puis cela se calma, le rythme entêtant reprit. Anna recracha le pouce, porta son regard sur l’engin dressé puis sur les yeux de son propriétaire.

— Makirou, comme mon petit ami est maintenant un momocou, tu ne vois pas d’inconvénient à ce qu’il m’aide pour te sucer ?

Le ton, comme le regard était provocant, Anna ne voulait pas lui laisser une chance de refuser.

— Je me charge de donner les ordres, intervint Batanda. Je ne voudrais pas qu’Anna en profite pour lui ordonner de la délivrer du désir d’être mère qui couve en son bas-ventre.

Cette autochtone aux allures de mannequin, avec ses longues jambes, son bassin peu développé, ses seins moyennement petits et son visage harmonieux, agrippa les cheveux de Pierre.

— Mon petit chien, tu es content de pouvoir préparer la bite de Makirou, qui je te le promets va engrosser ta petite amie.
— Non, je le ferais jouir avant.
— Et te priver d’un enfant fort ?! Allons, ne m’as-tu pas dit il y a quelques jours que tu serais fier d’élever l’enfant d’Anna.
— J’ai changé d’avis, je veux toujours être un momocou, mais Anna doit rester rien qu’à moi.
— Une femme n’appartiendra jamais à un momocou !

Pour l’humilier, ou pour démontrer sa supériorité, elle le fit marcher à quatre pattes autour de Makirou et d’Anna, avant de le faire s’agenouiller à côté de cette dernière. Malgré le traitement inhumain, Pierre avait retrouvé le moral. Il devait avoir été dressé de la même manière que moi, à chaque fois qu’il avalait la semence d’un homme Batanda le faisait jouir par le cul. Aussi basique qu’efficace, son corps et son esprit avait assimilé cette constante. Gardant ses mains dans le dos, Pierre regardait l’engin baveux avec la même envie qu’Anna.

— Mon petit chien, dit Batanda. Commence par sucer les couilles de Makirou, cet attribut que tu veux abandonner pour devenir parfait. Tu n’as pas aussi changé d’avis sur cela ?
— Non, non Batanda, je veux toujours être stérilisé pour devenir parfait.

Anna parut moins choquée que la première fois, comme si l’idée avait fait son chemin. De mon côté, ça me révoltait toujours autant, et je comptais lui faire retrouver ses esprits avant que ça ne se concrétise. Pierre se redressa, il pressa sa bouche sur le scrotum velu de Makirou, sa langue joua un moment avec les couilles avant d’en gober une. Anna regardait fiévreusement avant de t’attaquer à la verge. Courant sa langue sur le manche, elle prit le gland en bouche en faisant passer l’ensemble à l’horizontale. Même sans ses mains, Anna était très douée, roulant sa langue sous la jointure, elle s’enfonçait toujours plus. Comme ses deux amies, elle avait aussi été éduquée à devenir de bonne amantes. Posant ses mains sur les deux têtes, Makirou les encourageait de petits râles, il avait pris un risque, mais je comprenais qu’ici, c’était le propre des hommes. Dans un roulement infernal, le couple passait du gland au manche, du manche aux couilles, en poussant de concert des soupirs. Ils s’embrassaient aussi par moment, unis par de violentes pulsions qui prenaient le pas sur leurs esprits. Anna était retenue par ses liens, Pierre par sa maîtresse qui lui donnait quelques conseils. Sans cela, ils se seraient jeté l’un sur l’autre pour baiser. Seul Makirou avait l’air de garder le contrôle, il les laissait faire sans paraître inquiété.

La scène me mettait dans tous mes états, je m’imaginais à la place de Makirou, mais à cause de la fatigue et de l’alcool, je m’imaginais aussi quelques fois à la place de Pierre. Liazou dans mon dos, la tête glissée sur mon flanc droit, commençait à être plus active. Passant une jambe entre les miennes, je sentis son pubis se frotter contre le haute de ma cuisse. Une main s’arrêta sur un téton qu’elle énerva adroitement, l’autre main descendit sur mon caleçon, véritable camisole de force pour ma queue. Je poussais un gémissement quand le bout d’un doigt courra dessus.

— Tu es déjà tout prêt à décharger ta faible semence, me souffla Liazou. Tu veux que je te débarrasse de ton caleçon ?

Je savais que pour cela, comme pour tout autre chose, je devrais la supplier. D’un côté, je ne voulais pas lui donner cette satisfaction, de l’autre, j’avais mal.

— Alors ?
— Je t’en supplie Liazou, retire mon caleçon.

Ma queue hors norme se catapulta sur mon ventre, Liazou toujours du bout des doigts caressa toute la longueur avant de m’agripper les couilles.

— Eric, tu sais combien de femmes rêvent de se balancer sur ton engin ?
— Non, non, je ne le sais pas.
— Toutes ! Nous rêvons toutes de sentir ton engin en nous, de le sentir vibrer avec nous, sans jamais déverser une goutte de semence.

Elle me sera les couilles pour souligner ses paroles, je ressentis un mélange d’horreur et d’excitation accentué par mes liens. J’étais à sa merci, au milieu des siens, elle pouvait me faire ce qui lui chante.
— Tu... Tu ne vas pas me faire de mal, soufflais-je.
— T’en ai-je déjà fait ?
— Non.

Liazou passa devant moi, sa petite taille me laissait continuer de voir Pierre avaler la moitié de la bite de Makirou, pendant que les couilles de celui-ci étaient gobées à tour de rôle par Anna. Liazou me baisa le torse, les yeux brillants d’un ardent désir. Courant ses mains sur mes flancs, par petits baisés elle descendit tout prêt de mon gland. Liazou redressa la tête avec un sourire qui me disait : ’’je sais ce que tu veux.’’ Je n’avais pas eu une telle envie de me faire sucer, qu’à cet instant.

— Quand notre shamane aura neutralisé ta faible semence, je te donnerais tout de moi.

Elle descendit encore, je sentais son souffle sur ma verge, je ne pus retenir un mouvement de bassin. Liazou s’en amusa, elle posa sa bouche sur mes couilles, avant de se tourner vers Françoise.

— Eric, tu sais ce que tu dois demander à ta femme.

Vu que Françoise me faisait la tête, je doutais qu’elle me donne son accord pour prendre du bon temps avec une autre.

— Mon amour, lui soufflais-je. Je t’en supplie, donne moi ton consentement.
— D’accord.
— Je t’aime !
— Moi aussi.

Je me comportais comme un momocou, j’en avais honte, mais cette piquante autochtone agenouillée à mes pieds était irrésistible. Baladant ses mains sur mes fesses, Liazou me goba une couille, je laissais échapper une expiration libératoire. Regarder d’autres prendre du plaisir sans pouvoir se branler était terriblement frustrant. J’avais à peine formulé cette pensée que je constatais que je n’étais pas le seul. Rouge jusqu’aux oreilles, perlés de sueur, le menton et le cou ruisselant de leurs baves, Anna et Pierre commençaient à pousser des plaintes. Je compris alors que Makirou les avait guidés exactement où il le voulait, l’un comme l’autre voulait maintenant jouir de sa queue.
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