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Trois cocus volontaires.

Chapitre 11

SM / Fétichisme
Merci AlexisPC qui relève le niveau orthographique de mon histoire en ajoutant sa touche personnel. Pour les lecteurs qui aiment cette histoire, n’hésitez pas à donner un coup de pouce à mon inspiration, tout idée sera la bienvenu pour continuer l’aventure. 

Au milieu de la jungle gabonaise, en pleine nuit, sous l’éclat d’une lune quasi-pleine, l’atmosphère du grand canyon devenait électrique.
Les joueurs de tam-tams faisaient résonner une mélodie qui enivrait l’esprit aussi bien que les gourdes d’alcool qui passaient de mains en mains. La tribu en demi-cercle tournant autour d’Anna, de Pierre et de Makirou amorça une danse statique, buste en avant, jambes fléchies. Ils poussaient, de concert, de brefs cris annonciateurs d’un tournant dans la cérémonie.
Nus, suspendus par les poignets à un grand arbre avec Françoise, qui elle possédait encore juste sa petite culotte, voile de pudeur sur une chatte humide à cause de la chaleur ambiante mais surtout de son excitation, nous regardions, impuissants, la cérémonie transformer nos amis en bêtes assoiffées de plaisirs.
Tous les deux étaient agenouillés devant Makirou, les avants bras attachés l’un à l’autre dans le dos pour Anna, les mains retenues l’une à l’autre dans le dos pour Pierre. Ils se disputaient la colonne d’ébène en poussant des expirations d’envies, de frustrations, de folies. Les cris secs, se rapprochèrent comme un roulement de tambour. La quarantaine d’autochtones commençaient à être en transe, ruisselant de sueurs, ils se déhanchaient violemment avant de se contracter un instant pour pousser leurs cris.
Puis tous se turent !
Quatre hommes qui portaient sur leurs épaules ce qui pourrait s’apparenter à un lit nuptial surgirent des ténèbres. D’un seul bloc d’un bois sombre, qui devait peser dans les deux cents kilos, plutôt ovale d’un rayon d’un mètre de long pour la partie la plus longue et de moitié moins pour la partie la plus courte. Le dessus était poli, le côté sculpté de motifs étranges. Les quatre hommes le déposèrent entre mes amis et moi. Encore une fois, la tribu voulait que je ne manque pas une miette de la cérémonie. Pour me donner envie ou me faire peur, les deux sentiments me frappaient, tant ils faisaient resurgir les souvenirs de la première cérémonie.
Il l’installèrent à l’endroit exact où Maria avait fini par laisser libre cours à ses plus bas instincts, et au diable les conséquences. Anna et Pierre eurent la même réaction que moi, ils regardèrent avec un mélange d’inquiétude et d’excitation le lit nuptial. Makirou ramena Anna à lui, il passa tendrement une main sur sa joue en affichant son sourire ravageur. Puis sans la quitter des yeux, il vint s’asseoir sur le bloc de bois, l’invitant tacitement à le rejoindre.

— Non, gémit-elle. Non, je ne peux pas... !
Haletante, Anna eut un moment de flottement, son regard se porta sur le sexe dressé dont la lune faisait luire le gland comme une promesse d’un intense plaisir, mais aussi d’un risque de grossesse inconcevable pour elle.
Le rythme des tam-tams, la pression de la tribu, mais plus que tout ses implacables instincts poussèrent Anna à dire une chose et à faire le contraire. Posant un genou sur le lit nuptial presque contre son gré, elle poussa un soupir en sentant deux grosses mains qui la prirent à la taille. Makirou la plaça dos à lui, les jambes grandes ouvertes passées de chaque côté de ses cuisses. Pierre à leurs pieds n’y trouva rien à dire, il s’était un peu rebellé au début de la cérémonie, ne voulant garder Anna que pour lui. Mais maintenant, dans son état, je doutais qu’il tente la moindre rébellion.
Batanda qui s’était approché avec une grosse gourde à l’épaulé s’en assura.
— Mon petit chien, je suis très fière de toi. Tu as gardé les mains dans le dos, je sais que ça a été très dur. — J’ai failli craquer plusieurs fois, dit-il avant prendre le bec en bouche pour s’enivrer de plus belle d’alcool. — Mais tu ne voulais pas me faire de la peine, merci. Maintenant, je vais te demander quelque chose de plus dur encore. Je veux que tu aides Makirou à engrosser ta femme, je veux que tu sois leur momocou, et en tant que tel, que tu les mettes dans les meilleurs conditions.
Le souffle court, les yeux brillants de larmes, Pierre fit non de la tête. Une dernière parcelle de dignité vivait encore en lui. Il ne voulait pas devenir un cocu volontaire.
— Quand tu seras parfait, reprit Batanda d’une voix suave, tu pourras me baiser, tu pourras toutes nous baiser. Mais pour cela, tu dois abandonner ta femme aux hommes de la tribu, démontrer que tu es un bon momocou. Tu veux être un bon momocou ? — Oui, Batanda. — Je t’ai tout appris, tu sais ce que tu dois faire pour rendre un couple heureux. Rends-moi encore fière de toi.
Déchiré entre son amour et son devoir, Pierre pressa ses lèvres sur un genou d’Anna, fermant les yeux des larmes roulèrent sur ses joues. Puis ayant tranché, il leva son regard de cocker vers les amants en devenir.

— Anna, je t’aime, je veux te voir heureuse. Pour cette nuit, comme pour les autres, je veux être à tes côtés en tant que momocou. Je t’en supplie mon amour, laisse moi faire éclore tes doux pétales, laisse moi faire couler ton nectar, pour que tu t’unisses avec Makirou dans le plus grand des plaisirs. — Tu ne sais pas ce que tu dis, je n’ai aucune intention de me faire engrosser ! Ne me touche pas... !
Avec la même ferveur qu’il avait parlé, Pierre baisa le tibia d’Anna, descendit sur le gracieux pied, pris le gros orteil en bouche. Se laissant faire, Anna poussa une plainte en faisant non de la tête. Malgré tout, son corps, perlé de sueur, réclamait d’être caressé. Finissant par donner son pied, elle expira son bonheur avec régularité. S’appuyant contre les muscles secs, elle releva la tête vers Makirou. Celui-ci se pencha par-dessus une épaule, un baiser sauvage suivit. Anna ne tarda pas à onduler du bassin en poussant d’autres gémissements, ses fesses cherchaient sans succès la queue plaquée dans ses reins.
Liazou m’ayant quittée depuis un moment, suspendu à ma branche, je bouillais de frustration devant la scène obscène. Je fus heureux que Françoise, malgré notre différend, revienne se lover contre moi. Elle fit la même chose que son amie, frottant son fessier contre ma queue, je la rejoignais de mouvements de reins.
— Ta bite est monstrueuse, me souffla-t-elle. Mais j’ai une de ses envies de la sentir en moi.
C’était un terme affectueux, qu’elle employait quelques fois à cause de sa longueur, mais surtout de son épaisseur qui m’empêchait de la pénétrer. Je lui répondais cette même envie presque vitale en lui suçant le cou. Je voulais, tout autant qu’elle, perdre ma virginité, mais dans cette société tribal, ça m’était impossible.
Rompant le baiser, Makirou s’allongea sur le bloc de bois, les bras le long du corps. Anna à cheval sur ses cuisses, porta son regard sur la foule environnante. Les multiples yeux concupiscents, les corps tendus vers l’accouplement, les mouvements de danse parfois secs, par fois doux comme l’amour. Tout la poussait vers l’acte final de la cérémonie, les joueurs de tam-tams accentuèrent encore le courant érotique, voire bestial qui parcourait le canyon. Les lourdes percussions entraînaient Anna malgré elle, la faisant onduler en rythme, reculant peu à peu sur l’objet qui l’obsédait.
— C’est bien mon amour, lui dit Pierre. Laisse-toi guider par ta nature de femme, va vers l’homme que tu mérites.
Tendrement, il lui souleva un mollet pour le replier sous la cuisse. Se laissant faire, Anna se retrouva agenouillée sur le socle de bois. Ses mouvements de bassin la firent reculer sur Makirou, elle poussa soupir en pressant sa vulve sur la colonne d’ébène.
— Non, non, je ne veux pas, gémit-elle. Mais possédée par une force qui la dépassait, Anna continua à coulisser son sexe contre celui de Makirou.
Agenouillé au pied du bloc de bois, Pierre baisa les couilles velues, comme pour bénir la semence qui allait engrosser sa petite amie. Puis il en goba une en courant ses mains sur les cuisses d’Anna qui reprit ses vaines pensées.
— C’est de la folie... Je ne peux pas être mère... Pierre... Makirou... Arrêtez... Arrêtez... !!!
Ils ne faisaient rien ou presque, Anna était la plus active. Elle ne pouvait s’empêcher de faire aller et venir sa vulve contre l’engin trempé de sa cyprine. Peu à peu, à chaque mouvement de bassin, Anna cherchait à la mettre à le vertical.
— Mon amour, lui dit Pierre, ordonne et je tiendrai la bite de Makirou pour que tu puisses t’y empaler facilement, pour ton seul plaisir. — Mais tais-toi donc ! Tu es fou, tu es complètement fou. — Je suis fou de toi, je veux te servir pour toujours.
Anna détourna la tête en fermant les yeux, elle voulait se reprendre ainsi, mais le contact du sexe de Makirou était bien trop attirant. Poussant des plaintes sous les percussions et le brouhaha de la tribu, elle finit par demander ce que son corps en feu réclamait.
— Pierre, je n’en peux plus, lèche-moi, lèche-moi la chatte ! — Attends, intervint Batanda !
La jeune autochtone s’approcha, elle frôla du bout des doigts un sein d’Anna au mamelon dressé, remonta sur son cou palpitant pour lui faire tourner la tête dans sa direction. Anna à cheval sur Makirou, les avants bras retenus l’un à l’autre dans son dos, la regardait fiévreusement. Batanda debout, posa son autre main dans les cheveux de Pierre, elle tira sans douceur sa tête en arrière.
— Momocou, cette nuit sous la bienveillance de nos esprits protecteurs, tu vas amener cette femme que tu ne méritais pas vers l’union créatrice. Tu élèveras son enfant comme le tien, ni Makirou, ni aucun homme qui aura eu les faveurs d’Anna ne te le contestera. Prends garde à ne pas la faire jouir, laisse à Makoura le privilège de le faire de sa queue puissante.
— Oui, tu peux me faire confiance. — Pierre, gémit Anna, pour un ultime réveille. Pierre, si tu t’y mets, je ne pourrais pas résister plus longtemps. Je t’en prie, fait moi jouir, maintenant, vite, vite avant qu’il ne soit trop tard !
Loin de recouvrer ses esprits, selon moi, Pierre avait clairement pris à bras-le-corps son nouveau statut de momocou. Il baisa l’intérieur d’une cuisse de sa petite amie, fit courir sa langue sur les pourtours des grandes lèvres en se délectant du nectar qui s’écoulait de la chatte béante. Par un petit jeu pervers, il obligea Anna à lever toujours plus son bassin pour trouver cette bouche qui lui échappait. Empoignant l’engin de Makoura, Pierre le mit à la vertical, Anna poussa un soupir au gland qui appuya dangereusement contre ses lèvres intimes. Elle pouvait reculer le bassin, quitter le bloc de bois, arrêter la cérémonie.
Je me retenais de le lui crier, mais je lus dans ses yeux qu’une bête assoiffée de désir la possédait presque entièrement. Toutes mes paroles, mes suppliques, mes craintes seraient restées vaines et rien ne pourrait plus la faire revenir d’où elle était, à présent. La seule conséquence serait que je recevrais certainement une punition pour avoir osé parler.
Elle resta au-dessus de la colonne d’ébène, pressant sons sexe sans s’y empaler, mais pour combien de temps encore ? Je savais que l’irrémédiable allait, maintenant, se produire. J’avais compris que cette maudite cérémonie ne pouvait mener qu’à cet instant car tout y était prévu pour permettre l’explosion et l’assouvissement des plus bas instincts de notre humanité. La seule question à laquelle je n’avais pas la réponse était le moment où, vaincue, la queue de son amant la pénétrerait pour la première fois sans espoir de retour.  
Tenant toujours l’engin à la vertical, Pierre trouva une petite perle à susurrer, de sa main libre, il caressa un sein. S’accordant avec les tam-tams, Anna poussait des gémissements réguliers, yeux clos, elle se laissait partir à la dérive. Derrière elle, en demi-cercle, la tribu qui se déhanchait me faisait penser à des ombres prêtes à l’engloutir dans la luxure. Anna n’était pas la seule à se métamorphoser, Françoise depuis peu poussait des plaintes en frottant rudement ses fesses contre ma queue, sa culotte commençait à m’irriter. Elle poussa quasi un grognement quand je reculais le bassin.
— Ta culotte me fait mal, soufflai-je. — Je veux la sentir, encore un peu s’il te plaît, me susurra-t-elle. Pose ta queue contre moi.
Liazou, qui ne perdait jamais une occasion de m’humilier, passa le bout de ses doigts le long de mon échine en s’adressant à Françoise d’une voix malicieuse.
— Je pourrais te débarrasser de ta culotte, et faire passer la queue entre tes cuisses, à l’horizontale bien sûr. — Merci, Liazou ! Dit Françoise dans une supplique de remerciements. — Doucement, rit-elle. Avant, j’aimerais que tu plies à ta volonté, ton momocou que tu as a confondu avec un homme. Fais-lui avouer sa vraie nature ! — Allez, mon amour, me dit Françoise sans hésiter. Fais-lui plaisir, tu sais bien que ce n’est qu’une taquinerie, tu resteras mon homme.
Cette caresse était aussi risquée qu’excitante, si par malheur elle parvenait à s’y empaler, je ne donnais pas cher de ma peau. Néanmoins, voyant tout le plaisir qu’Anna et Makirou prenaient, je ravalais ma fierté.
— J’avoue, j’ai une nature de momocou. Tu es contente Liazou ! — Pas encore, mais ça va venir, rit-elle sournoisement. Françoise, maintenant demande lui de t’avouer que ça lui ferait très plaisir de te voir être engrosser par un homme.
Passant devant nous, Liazou caressa avec la même douceur les courbes de ses seins. Françoise bascula sa tête sur mon épaule en poussant un soupir. Elle était à fleur de peau, un rien pouvait la faire basculer dans l’extase, et dans cette état je la savais féroce, sans pitié aucune.
— Joue le jeu, me souffla-t-elle. — Je ne peux pas dire ça ... — Mais si tu le peux, ce ne sont que des mots. — Non… — Eric, j’ai bien accepté que tu puisses choisir Katharina pour femme. Moi je ne te demande que de faire semblant, alors avoue ! — Pour t’aider, reprit Liazou, contemple ton ami, qui met tant de passion à sa tâche. Ose maintenant nous dire que tu n’aimerais pas être à sa place ?
Des feux furent allumés non loin de l’étrange lit nuptial, les flammes alliées au clair de lune me permirent de bien voir l’évolution de la cérémonie. Agenouillé entre les deux paires de jambes, poussant des expirations de contentement, Pierre masturbait l’engin de Makirou et juste au-dessus roulait sa langue contre le clitoris d’Anna. Celle-ci suivant le lent rythme des percussions, laissant maintenant ses lèvres intimes épouser le pieu dressé. Blanches à l’intérieur rose chair, elles allaient et venaient sur le casque noir, s’y enfonçant toujours un peu plus. La peur d’être mère ne tenait qu’à un fil, Anna se raccrochait à l’espoir de jouir avant l’irréparable. Pierre qui la connaissait par cœur, ralentissait les coups de langue à chaque fois qu’il la sentait au bord de l’orgasme.
J’étais tant médusé par la scène de torture que j’en oubliais Françoise et Liazou. La première reprit d’un ton joueur.
— Mon amour, de quoi as-tu peur ? Si tu es sûr d’être à la hauteur le moment venu, tu peux bien avouer pour faire plaisir à Liazou. Si c’est le contraire, je ne cesserai pas pour autant de t’aimer.
J’étais en feu et à demi-saoul, je voulais vraiment sentir sa vulve contre mon manche et je fantasmais à beaucoup plus. Puis une petite voix me disait qu’ayant pris la ferme décision de ne pas participer à cette cérémonie, je pouvais avouer n’importe-quoi, jamais ça ne se produirait. Car j’étais bel et bien décidé à ne jamais plus revenir dans cet endroit maudit. Le jeu n’en valait pas la chandelle et, même si Katharina restait un fantasme certain, je ne voulais pas me perdre au nom de soi-disants esprits. Rien ne m’obligeait à le faire et personne ne pourrait m’y forcer. Car ils nous avaient bel et bien affirmés que cette cérémonie ne pouvait se faire que sur base volontaire. Et je ne l’étais plus ! Ainsi, pour satisfaire Françoise et mes sens exacerbés, je prononçais les paroles qu’elles voulaient entendre.
— J’avoue... J’avoue que ça me ferait très de te voir engrosser par un homme. — C’est vrai mon amour ?
J’eus le tournis tant le ton de la réponse semblait ravis, Françoise était toute aussi excitée et saoul que moi, elle avait parlé avec son cœur. Je réalisais qu’à sa place j’aurais été plus que ravie, un nombre d’hommes illimités, jeunes, taillés dans le marbre, endurants. Comment résister à cette tentation qui plus est, quand son propre petit copain était parti prenante ? Mais elle me choqua tout de même par la rapidité et le manque absolu du moindre regret de m’avouer ce qu’elle ressentait réellement.  
— Bien sûr que c’est vrai, répondit Liazou à ma place en lui descendant la culotte aux chevilles. Il lui faut simplement un peu plus de temps que ses amis pour comprendre que sa place est agenouillé entre tes cuisses pendant qu’un homme te baise.
Sur notre flanc droit, Liazou passa sa main entre les jambes de Françoise pour venir m’agripper les couilles, à son sourire mauvais, je savais qu’elle n’en avait pas fini avec moi.
— Maria et ses sœurs de cérémonie ont réussi à faire réfléchir Jean sur tous les bienfaits à devenir un momocou parfait. Je ne doute pas qu’elles arrivent, avant la nouvelle saison, à le convaincre d’abandonner sa faible semence à notre shaman.
Je tombais des nues à cette révélation. Je cherchais des yeux Jean qui était non loin des joueurs de tam-tams. Un grand sourire aux lèvres, il tapait des mains en regardant avec intérêt Makirou, Anna et Pierre. Après notre promesse de tout se dire, lui aussi m’avait caché la possible stérilisation des momocous.
Un deuxième ami bon pour un séjour en hôpital psychiatrique, nos vacances partaient complètement en vrille ! Malgré le choc, je ne pus m’empêcher de retrouver des yeux les trois protagonistes. Sur sa monture d’ébène, Anna faisait presque disparaître tout le gland dans son vagin. Ses lèvres distendues, visqueuse de liquide pré-séminal, allaient d’avant en arrière en se retenant, seul Dieu sait comment, de ne toujours pas s’y empaler. Pierre léchait maintenant le manche trempé de cyprine, il s’amusait de temps à autre à tirer l’engin vers lui pour sucer avidement le gland, pendant qu’Anna se morfondait de la perte de son contact.
Le pire, c’est que Pierre la couvait d’un ardent regard, celui qu’on a pour la femme qu’on aime. Aucun doute possible, il voulait de tout son cœur la voir engrosser par Makirou. Autour d’eux, la tribu commençait à scander dans leur langue le mot ’’femme’’. Encore une fois, après avoir soumis un étranger, la tribu allait lui voler sa femme. Anna résistait encore, mais je savais qu’elle leur appartenait déjà.
Perlée de sueur, haletante, elle avait le visage rougi comme jamais, ses seins avaient pris légèrement du volume, ses mamelons pointaient, son bassin était pris de mouvements saccadés. Je la sentais à bout de force, Anna luttait avec elle-même depuis bien trop longtemps.
En bon momocou, Pierre porta le coup de grâce.
— Anna, tu es magnifique, lui dit-il avec ferveur. Je suis avec toi pour toujours, tu n’as pas à avoir peur, laisse-toi aller sur la bite de Makirou, tu vas prendre énormément de plaisir. — Je ne veux pas tomber enceinte, gémit-elle. — Tu es faite pour être mère. — Pierre... — Laisse-toi aller, ne pense plus à rien, je suis là ma déesse.
Anna obéit, sans quitter les yeux de Pierre, d’un mouvement de bassin, elle avala complètement le gland de Makirou. Sa vulve étirée avança doucement sur le manche d’ébène, Pierre retira sa main pour lui permettre de descendre jusqu’aux couilles. La tribu poussa de concert un cri de victoire, avant d’entamer une danse plus rythmée.
Empalée sur son élu, un sourire extatique aux lèvres, Anna resta un instant immobile, savourant la virilité en elle qui l’avait obsédée jusqu’à la folie. Puis, suivant la mélodie entraînante des percussions, elle amorça un va-et-vient en poussant de la voix. Maître de lui-même, Makirou se releva sur les coudes pour admirer, comme moi, cette déesse commencer à se déchaîner. Ses seins se balançaient avec toujours plus de force, Anna se décrochait presque entièrement de l’engin avant de venir claquer ses fesses sur le bassin de son amant. Pendant que Pierre le nez sous l’union, courait ses mains sur son ventre, ses hanches, ses cuisses.
— Tu es si belle, lui dit-il avec la même ferveur. Je t’aime tellement, je suis si heureux d’être à tes côtés. — Moi aussi, je t’aime.
Sous le joyeux brouhaha, ils continuèrent à s’échanger des mots doux, si je fermais les yeux, j’aurais pu croire qu’ils baisaient. Mais non, Pierre avait offert sa propre petite amie à un autre homme, j’en étais à la fois choqué et excité. Aux expirations de Françoise, qui ondulait contre moi, je devinais qu’elle, par contre, n’était plus qu’excitation, peut-être même envieuse de son amie qui se faisait, à présent, littéralement défoncer la chatte par la virilité d’ébène. J’eus la nausée.
Notre retour en France devenait vital.
Continuant à me malaxer les couilles, Liazou me laissa m’enivrer encore un peu de la scène obscène avant de revenir à la charge de sa piquante langue.
— Eric, tu as envie de baiser ?
La question se passait de réponse, sans la corde attachée à mes poignets qui me suspendait une branche, j’aurais déjà fléchi les jambes et au diable les conséquences. Les fesses nues de Françoise qui cherchaient ma queue coincée contre ses reins me rendaient dingue, je voulais la baiser, comme Makirou baisait Anna.

Je me haïssais de ma faiblesse mais je n’avais encore rien vu. Ou plutôt, rien entendu !
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