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A trois, c'est mieux

Chapitre 3

Inceste
Cette nuit là, ce fut ma nuit de Walpurgis où tous les diables sont sortis de leur boîte, en quelques instants décisifs. j’ai bien pleuré un peu, mais c’était plutôt en raison d’ un reproche adressé à moi-même que pour la paire de baffes reçue. Je m’en voulais terriblement de ne pas pouvoir assumer entièrement ce que j’étais: "une sale petite pute", comme avait dit mon père. Il avait dit vrai, alors pourquoi s’en cacher?! Maman me confia, le lendemain de cet incident, que mon père savait tout de nos rapports incestueux que je croyais pourtant un secret jalousement gardé. Pour ne pas ajouter de l’anxiété à ma culpabilité, elle chercha aussitôt à me rassurer très vite en m’assurant que sa réaction dissimulait mal la tentation, grandissante chez son mari, qu’il avait de sauter sa fille:
_Tu fais un sacré putain d’effet sur ton père, tu sais?!
  J’osai un timide ton interrogateur, auprès de ma mère:
_Tu en es certaine, maman?! On dirait pas...
_Qu’est-ce que tu y connais aux hommes, pauvre petite sotte?
  Elle finit par m’avouer une supercherie dont j’avais été, un temps, la dupe. Elle et lui étaient de connivence depuis le début. C’était comme si je l’avais toujours su...Elle alla jusqu’à me confier que cette relation mère/fille était même devenue le carburant sexuel du couple. J’étais le stimulant libidinal de mon pervers de père! J’en éprouvai, sur le moment, des frissons dans tout le bas-ventre. Sur injonction maternelle, j’écartai immédiatement les cuisses. Cette adorable cochonne tenait à vérifier l’effet que cette révélation avait produite sur moi. J’étais trempée et le cœur palpitant:
_Eh, bien! ça promet.

  L’idée que nourrissait ma mère était de m’offrir à papa le jour de mes 18 ans. Ce salaud me voulait vierge. Il voulait être le premier à me passer dessus pour, disait-il, prendre en charge une éducation complète. Mon petit cul et ma petite chatte serrée le rendaient fou de désir, aux dires de ma mère. J’avais du mal à y croire tant papa savait, d’ordinaire, cacher son jeu. Mais, la distance qu’il affichait avec moi n’était que feinte ou défense. Sous la glace brûlait le feu de ses entrailles. Maintenant, j’en étais convaincue. Nous étions toutes les deux excitées comme des puces et nous fîmes longuement l’amour à même le canapé du salon. Maman avait pris soin d’étendre une serviette de bain dessus. Nos coulées de cyprine étaient si abondantes qu’il fallait prendre un minimum de précautions pour ne pas tout tacher. Nous nous étions totalement abandonnées, livrées entièrement l’une à l’autre. Son corps n’avait plus aucun secret pour moi. Le corps de ma mère. Cette connaissance mutuelle de nos besoins salaces rendait nos étreintes délicieusement jouissives, à chaque fois. Je ne pouvais plus me passer d’elle et elle de moi. Je me demandais, malgré tout, comment les choses allaient évoluer avec l’entrée prochaine de mon paternel dans la danse.
  J’allais régulièrement faire les boutiques avec ma mère. Mais, avec le jour de mon anniversaire qui approchait, il me fallait maintenant des sous-vêtements plus affriolants que mes petites culottes de future bachelière. Maman me prêtait bien quelques fois ses fringues les plus sexy, mais elle insista sur le fait que, désormais grande fille, je devais posséder ma propre garde-robes. Nous fîmes plusieurs magasins de lingerie avant de rentrer à la maison avec plusieurs paquets. Dans les différentes cabines d’essayage, je m’étais laissée habiller et déshabiller par des doigts de fée. Les chaudes caresses maternelles m’avaient sérieusement chauffée et je finissais par avoir un orgasme, difficilement étouffé, dans l’une d’elles. La culotte en dentelles noires et fendue que je portais à ce moment là avait facilité les choses. Une forte odeur de poisson imprégnait le sous-vêtement lors du passage en caisse. La vendeuse, pourtant témoin de notre étrange relation, fit semblant de n’avoir rien vu. La face pourtant rouge pivoine et la voix chevrotante!
  Mon maquillage, mes soutifs à balconnet qui rehaussaient bien ma petite poitrine, une paire de porte-jarretelles ainsi que des bas noirs donnaient à mon allure des airs d’authentique jeune putain en jupe courte. Cela devait faire craquer papa. Maman me l’assurait. Ce serait pour lui une divine surprise. Son rêve devenu enfin réalité. J’étais, à mesure que ce jour approchait, prise d’une curieuse crainte de lui déplaire que les élans amoureux de maman ne pouvaient faire taire.L’appréhension de la première fois, sans doute...

A suivre.
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