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A trois, c'est mieux

Chapitre 6

Inceste
Au moment même où j’ai repris mes esprits, je suis parterre. Maman me fait un très sensuel bouche-à-bouche. Je ne tarde pas à répondre à ses baisers. Papa me palpe le cul et dégage un sein de ma poitrine avenante pour en sucer le téton. Je vibre à nouveau au paradis du vice. Mes parents sont d’excellents amants. Puis, c’est papa qui m’enlace et me roule des pelles goulues à m’étouffer. Il me suce la langue entre deux gamelles. Sa salive m’inonde la bouche. Je sens les mains expertes et baladeuses de ma mère bientôt rejointes par celles, moins délicates, de papa. Ce dernier est collé tout contre moi, il frotte son gros sexe raide et tout dur contre mon ventre et mes cuisses. J’écarte de plus belle manière les jambes pour exposer ma culotte et le haut de mes bas nylon à leurs regards concupiscents.
  _Désormais, on baise à trois dans la chambre, a lancé papa.
  Je sais qu’il faudra encore un temps certain avant que mon père puisse me prendre aussi aisément qu’il le fait avec maman. Mais l’autorisation qui m’est faite de pouvoir les rejoindre dans le grand lit conjugal me laisse espérer le meilleur pour nous trois. C’est sûr, le bac en poche, je reste à demeure. On y est trop bien !
  Papa distend mes grosses lèvres vulvaires pour en dégager le clitoris que maman se plait à suçoter tendrement. Je vibre comme une pile en suçant mon père à quatre pattes au-dessus de moi. J’ai peine à gober plus loin que la base du gland lorsqu’il m’invite à lui doigter le cul. Un, puis deux doigts profonds. Papa se pâme d’aise et se cambre pour me faciliter la tâche...
  Cette fois, on change de position. C’est sur le canapé du salon que papa entend enculer sa femme chérie, en levrette. Je dois placer ma tête entre les chaudes cuisses de maman pour lui sucer la chatte pendant qu’il la besogne. Un tel traitement de faveur fait hurler ma mère qui se vide sur ma figure, allégrement. C’est ce moment que papa choisit pour déculer et enfourner son gland poisseux dans ma bouche pour juter:
_Ah, putain. Prends-en plein ta gueule, ma salope !
  De copieuses giclées de son foutre m’emplissent aussitôt le palais. ça déborde et coule sur mon bustier en grande quantité. Je m’empresse de déglutir la majeure partie de ce que je reçois si généreusement en bouche. Pour une première éjaculation papale, je suis servie !
  L’amour, ça creuse l’appétit. J’ai aidé maman à mettre la table et j’ai fait le service des plats comme une parfaite soubrette. Maman nous a fait part de son fantasme de me voir boire de l’urine aux heures de repas. Mon père s’est amusé à pisser dans une bouteille en plastique vide qu’il a quasiment remplie et que j’ai dû mettre au frigo, après m’en être servi un verre. J’ai bu, par petites gorgées, durant le repas sous leurs regards intéressés. Ce serait, à leur table, mon ordinaire, désormais. Quoi de mieux que du champagne doré pour fêter mon anniversaire, n’est-ce pas? J’ai découpé le gros gâteau et fait la distribution des parts, debout et cul nu, tripotée vicieusement par mes parents. Papa n’a pas été long à bander de nouveau et a tenu à se faire pomper sous la table durant sa dégustation. Maman n’a pas été longue non plus à me rejoindre. Il est des lubies qui entre mère et fille n’attendent pas.
  On s’est refilé l’énorme mandrin à tour de rôle. Ivres, toutes les deux, d’un bonheur sans nom. Papa lubrifie beaucoup et j’adore l’odeur de ses couilles. La tétée devenait ardente et nos langues se mêlaient au goût si particulier de la queue paternelle que s’en était divin ! Entre deux succions, maman et moi, nous nous embrassions à bouche que veux-tu. On s’astiquait, accroupies, nos fentes brûlantes en rivalisant d’obscénités buccales le long de la hampe de l’homme aimé et si bien partagé. C’était une sorte de compétition d’adresse femelle pour la semence du mâle.

  A suivre.
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