’ Christine, me coupa-t-elle en entrant dans mon récit, tu ne peux pas savoir la jouissance que j’ai ressentie, tu m’as vraiment envoyée en l’air comme on dit... ’ L’expression nous fit rire toutes trois de bon coeur dans la salle de bain. ’ Le soir dans notre chambre, alors que nous étions au lit, nous passant encore les doigts sur le minou lisse en riant, nos lits l’un a côté de l’autre nous permettaient de nous voir sous les draps. ’ C’est alors qu’après un coup à la porte, mon cousin vint dans la chambre, mes parents l’avaient aussi invité à passer les vacances avec nous. ’ Bien que du même âge que nous, nous restions plutôt entre filles, on ne l’aimait pas beaucoup. ’ Marc était un grand et beau garçon et Maggy avait déjà vu qu’il ne me laissait pas physiquement indifférente. Il nous demanda alors : ’ mon rasoir c’est vous qui l’avez pris ? ’ ’ Heu oui ’ répondit mon Maggy. ’ Que faites-vous avec ça, vous ne me l’avez pas cassé aux moins ? ’ ’ Tu ne te fâcheras pas répondit sa cousine, si on te dit pourquoi. ’ ’ ?a dépend ’ répondit Marc du ton hautin que prennent souvent les garçons avec les filles.’ Si tu jures de ne pas crier répondit mon amie, je te montre. ’ Mes yeux grandirent. ’ Bon d’accord ’ dit le garçon radouci, ’ mais je ne vois pas ce que vous pouvez faire avec ça. ’Pauvre cousin pensais-je, avec Maggy tu vas avoir une drôle de surprise. À trois tu pousses la couette me chuchota-t-elle dans l’oreille à la grande perplexité de son cousin.Un, deux, trois : Marc resta pétrifié, écarlate, non seulement il n’avait jamais vu de filles nues de si près, mais en écartant les genoux on lui faisait voir à quoi avait servi son rasoir.Nous vîmes avec délices son visage rougir et son pantalon gonfler, la forme de son sexe apparaissant, c’était vraiment trop bon. L’envie de lui baisser son pantalon était intense, mais comme il y avait des pas dans le couloir.Marc n’osa pas bouger. Il découvrait sa cousine sous un nouveau jour et ne savait quoi penser.Mon amie lui dit alors en remontant nos couvertures : ’ assois-toi là !’.Me chuchotant à nouveau dans l’oreille, Maggy me regarda et dit, je donnerais cher pour savoir comment c’est le sperme... Le cousin dont les sens explosaient essayait discrètement de faire un peu de place dans son slip pour son membre qu’il ne contrôlait plus vraiment. Maggy, rêveuse déclara : ’ au fond, ce serait assez normal de se découvrir en jouant docteur entre cousin cousines, non ? Toi tu serais le doc. Christine. Qu’en pensez-vous ? ’Le cousin Marc resta muet, il semblait de plus en plus idiot. Sa cote ne montait pas dans mon estime, mais je trouvais la situation suffisamment extraordinaire pour participer au jeu de Maggy. J’étais fascinée. Poursuivant Maggy demanda : ’ Marc, serais-tu capable de garder un secret ? Pourrais-tu nous jurer de ne pas venir nous rejoindre sans être invité ? ’ Marc intrigué et subjugué par sa jolie cousine répondit : ’ Tout ce que tu veux Maggy, je te le jure. ’ Il me paraissait de plus en plus benêt, mais ce sont les garçons qui me font cet effet-là.
Discrètement, Maggy me souffla qu’elle le connaissait, que c’était mon cousin préféré et qu’il nous laissera en paix. J’étais perplexe, mais j’étais déjà engagée trop loin. Je devais suivre mon amie dans son idée. Ce fut comme cela qu’un garçon eu l’immense privilège de découvrir notre petit paradis de filles....En écoutant Christine et Maggy, je ne pouvais m’empêcher de me passer le bout des doigts sur les lèvres. Ainsi je découvrais des sensations inédites sur mon minou. La folie de la situation, qui incroyablement me paraissait toute naturelle, me poussait à et me laisser aller, et à profiter de cette sensualité inconnue. À ce moment de leur récit, imaginant la situation, je levais les yeux en disant : ’ humm c’est super agréable, je sens déjà que je ne pourrai plus m’en passer maintenant. ’ Toutes deux me sourirent, avec une gentillesse confondante, et c’était cette gentillesse, en lieu et place d’une visible excitation sexuelle, qui m’excitait encore plus. Leurs yeux ne traduisaient pas l’envie ou le désir, mais la joie de partager cette masturbation. Et c’était ma masturbation. En fait elle était bien évidemment excitée, mais elle savait profiter de cette étape avant que le désir ne s’exprime ouvertement. Je devais apprendre plus tard qu’elle savait prolonger ce sentiment, sachant qu’il ajoutait au plaisir final. Alors qu’une heure plus tôt, je n’imaginais pas me masturber autrement que solitaire et cloîtrée dans ma chambrette. ’ Et alors continuais-je, comment avez-vous joué docteur ? ’ ...Maggy reprit alors le récit. ’ Cette fois ci nous n’avons pas enlevée nos culottes en chemin, j’ai juste demandé a Marc, si on ne devait pas lui bander les yeux. Mais c’était irréalisable il serait tombé à chaque pas. Ce qui acheva de me convaincre c’est que Marc était beaucoup trop heureux de participer à nos secrets pour nous trahir plus tard. Enfin si je n’en étais pas vraiment sure à ce moment, par la suite c’est devenu un excellent complice. ’ Arrivée là, je lui déclarais : ’tu vois Gille ici ont vit nus... Ici pas de vêtements.’ Je continuais :’ Tu te rappelles que tu t’étais assise sur une branche, pour laisser volontairement ton cousin découvrir ta culotte sous sa robe d’été ? Marc était fasciné par la forme charnue de tes lèvres bien formées, que le tissu humide moulait parfaitement. Je sais qu’il était fasciné parce que moi-même je l’étais, peut-être, sûrement, plus que lui. En regardant Mélissa toute à notre histoire, je ne pus m’empêcher de lui déclarer tout à trac : ’ On va te faire découvrir tous les délices de l’exhibe, tu verras comme c’est bon ! ’ Je repris notre histoire. ’ Le regard de Marc sur Maggy m’excitait, j’ai enlevé ma culotte par dessous ma robe, mais sensuellement de manière à ce que Marc pu entrevoir un instant mon sexe.’ Toute en lui demandant, ’qu’est ce qui t’attire le plus avec une jupe, une petite culotte ou rien dessous ?’ ’ Histoire de ne pas laisser de répit au beau Marc, je vins a côté de Maggy, elle avait relevé un genou laissant toute la vue sur ses dessous. ’ Assise à côté de mon amie et prenant la même pose, mais avec le sexe nu, je lui demandai, alors qu’est qui est le plus sexy. ’ Les yeux du garçon trahissaient une excitation extrême. Tétanisé devant mon intimité, il resta juste à faire ’heu, heu’, alors que son sexe allait finir pas dépasser par le haut du pantalon. Mes impressions sur son compte se confirmaient.’ Bien ’ dit Maggy, ’ tu veux faire une journée de nudisme avec nous, alors ’ continuait-elle en enlevant sa culotte toujours assise sur la branche. Puis tout en se levant, elle laissa tomber sa robe.Le manque total de pudeur de mon amie me paraissait étrangement naturel dans ce lieu à nous.Comme le garçon gardait lui encore un peu de réticence, le bas de son tee-shirt enroulé dans les mains je, pris l’initiative. Je me mis illico à dégrafer son pantalon. ’ Gille tu veux de l’aide ? ’. Ainsi nous fûmes tous trois nus. Qui découvrait qui ? Qui de nous était le plus excité, lui ou nous deux découvrant son membre droit et dur, perlant de gouttes d’excitation ? ’ Je peux ? ’ demandais-je au garçon en prenant son sexe en main sans attendre la réponse. Je serrai ma main entière sur son pénis, c’était dur, souple et infiniment agréable, descendant ma main je fis apparaître le gland lisse et rouge. ’ Maggy ne disait mot, elle découvrait l’anatomie de son cousin en même temps que celle des garçons, n’ayant pas non plus eu le loisir d’approcher un zizi de si près. Pourtant, comme si le lieu nous portait à avoir de l’assurance je me regardais faire avec un étonnement croissant. ’ C’était un peu la même ambiance qu’aujourd’hui, tout paraît simple à faire, comme partager la masturbation d’une inconnue, alors qu’il y a une heure c’était inimaginable. ’ Comme j’étalais sur son gland les gouttes de liquide qui en perlaient, Maggy dit, ’Marc tu me laisse toucher aussi ? ’ Le grand benêt ne put même pas répondre. Nous avions toutes les deux l’intégralité de l’initiative. Quand Maggy posa ses doigts fins sur cette chose si grosse et si attirante, j’avais glissé mes doigts sous ses testicules, et appuyé dessous. Maggy explora le sexe du jeune garçon d’une main légère et sensuelle. Mais c’était devenu trop de sensations pour lui. Je sentis alors les contractions de son sexe, sous les couilles là où il rejoint les fesses, et le sperme sortit avec force, se répandant sur la main de Maggy. ?a n’avait pas tardé, mais il est vrai que nous étions deux et qu’il ne devait pas être beaucoup plus expérimenté que nous. Maggy sentit la chaleur sur sa main, le liquide blanc la fascina un moment et quand elle dirigea sa main vers moi je la pris dans la mienne pour sentir la consistance du sperme. ’ Eh oui, ajouta Maggy à l’adresse de Mélissa, à partir de là il devait y avoir une complicité entre nous trois. Mais cela nous a vraiment rapprochée Christine et moi ; et l’on peu dire que nous sommes maintenant des amies tout a fait intimes. Depuis ce moment mon cousin reste un peu plus proche que les autres, c’est toujours mon préféré. ’