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Trois fils de leur mère

Chapitre 3

Inceste
Hervé masse de plus en plus haut, la position devient inconfortable et pour laisser moins de liberté au garçon je déplie un peu ma jambe. Ainsi Hervé ne pourra pas aller plus loin et du coup Simon se retrouve dans une mauvaise position qu’il corrige aussitôt, sa main se pose sur ma hanche. Je m’aperçois que ma chemise de nuit est maintenant roulée au-dessus de ma taille. Et oui, Simon continue de déposer de tendres bisous sur ma peau en passant de mes cuisses au bas de mon ventre. Il semble évident qu’il ne regarde plus la télé mais a une vue parfaite sur mon entre jambe. Le massage de Gabin et surtout sa façon de tirer sur ma chemise a eu pour résultat de défaire le dernier bouton et je me retrouve avec le haut de ma poitrine dévoilée, le col étiré de part et d’autre de mes bras.
Il va bien finir ce feuilleton, il faut que je quitte ce salon absolument ! Je pourrais bien partir maintenant mais après tout c’est bien moi qui me laisse faire pour en arriver là… Comment pourrais-je le reprocher à mes garçons.Mais… qu’est-ce que… Hervé a posé ses lèvres sur un mollet, il remonte un peu ses jambes et pose les miennes sur ses genoux, ainsi il n’a plus qu’à descendre la tête pour parcourir toute ma jambe de bisous. C’est intolérable… Mais c’est tellement bon. C’est grisant et il m’est impossible de trouver la force pour me lever. Simon embrasse mon nombril maintenant… Comment a-t-il réussi à… Et puis je m’empourpre d’un coup quand je découvre que cet ado a entièrement découvert mon bas-ventre. Sa bouche descend de plus en plus centimètres par centimètres. Je suis prisonnière, Gabin me maintient le haut de mon corps avec ses caresses, Hervé m’enserre gentiment les jambes et c’est le plus jeune qui est là où c’est le plus périlleux.Prise de panique je veux dire non mais le son qui sort de ma bouche ressemble plus à un gémissement qu’à une réprimande et pour lui répondre la langue d’Hervé trace une route de mon gros orteil jusqu’au haut de ma cuisse. Où a-t-il bien pu apprendre une chose pareille ?!? Je bouge à peine que Simon arrive à déposer un baiser dans l’épaisseur de mes poils. Je voulais crier mais rien, ma langue est paralysée.
Quelle idée aussi d’avoir un canapé aussi large !D’un autre côté les deux garçons peuvent parfaitement tenir l’un contre l’autre. Cependant Simon laisse de la place à son grand frère, il remonte son visage sur mon ventre. C’est quand Simon me fait face que je m’aperçois qu’il a les yeux fermés. J’ai l’impression de le revoir, tout bébé, chercher ma poitrine pour venir téter.J’ai à peine le temps de sentir les lèvres de Simon au-dessus de mon ventre que de nouvelles lèvres viennent couvrir mon cou. C’est Gabin qui enfouit son visage dans mon épaule. Son souffle est chaud, humide et si doux contre ma peau que je laisse échapper un «hooo nooooon » mais tellement faible. Cette fois l’ouverture de ma chemise a emprisonné mes bras et le seul mouvement que je peux encore me permettre c’est de me tenir à l’accoudoir.Hervé n’est d’ailleurs pas en reste il est arrivé largement au haut de ma cuisse en essayant de ne pas déranger Simon.
Je me sens transportée à mille lieues de la réalité, mon corps s’embrase, se consume peu à peu. C’est Hervé qui me ramène soudainement sur terre quand ses baisers atteignent cette fois l’endroit magique, le haut de ma fente trempée. Et c’est la panique qui s’empare de moi. J’ai d’un coup une vision globale de la scène et me vois à demi allongée sur le canapé, mon intimité offerte à mon fils ma chemise de nuit qui n’est plus qu’un bandeau de tissus autour de mes avant-bras. C’est fait, la langue darde mon bouton. Simon remonte encore un peu plus libérant toute la place nécessaire pour Hervé entre mes cuisses, un long gémissement sort de ma bouche. Dans un dernier effort je cherche à me sortir de là, je relève mes bras pour tenter de faire remonter ma chemise de nuit sur mes épaules mais Gabin a déjà ses mains sur mes seins. Le tissu glisse, Gabin prolonge mon geste en me faisant passer les bras au-dessus de ma tête. Le col de ma chemise est si étiré que je ne sens même pas le tissu glissé autour de mon visage. « Noooon pas çaaaaa » sont les seuls mots que je peux prononcer quand ma chemise est entièrement sortie, mais ça n’a rien d’un cri ou d’une remontrance, juste d’un dernier vestige de pudeur qui me quitte. Le visage de Gabin est devant le mien, ses lèvres s’appuient sur les miennes. Sa langue vient chercher la mienne. Je dois protester, je veux protester, mais alors pourquoi lui je lui rends son baiser. Peut-être pour les mêmes raisons que j’ai mis tant de temps pour venir couvrir ma poitrine de mes mains, mais Simon a déjà pris possession de mon buste de ses mains fines.
Quand mes mains arrivent sur celles de Simon, ce dernier fait déjà rouler mes tétons entre ses doigts. Mais mes deux fils qui m’embrassent ou me caressent la poitrine n’est rien à coté d’Hervé qui à trouver l’entrée de ma grotte intime. Je sens son nez buté contre mon clitoris au fur et à mesure qu’il tente d’enfouir sa langue toujours plus profondément et maladroitement. Je me rends compte que j’aurais pu refermer mes jambes mais je n’ai pas bougé. L’humiliation se mêle aux vagues de plaisir et ce n’est plus une protestation qui meurt étouffée dans ma bouche mais un long gémissement de désir. Guidée, contrôlée par les six mains qui me parcourent je glisse encore un peu plus sur le canapé, une main enfouie dans l’épaisse chevelure d’Hervé. Je rends le baiser à Gabin qui revient à la charge avec fougue, pendant que Simon malaxe un de mes seins maladroitement. Hervé glisse maintenant ses mains sous mes fesses, je sens un doigt fin envahir mon vagin quand sa langue arrive enfin sur mon clitoris. Hervé a passé ses mains de part et d’autre de mon intimité, il m’écartèle pour me dévoiler entièrement. Je devine qu’il regarde avec curiosité cet endroit jusque là secret. Je ne suis plus que frissons, gémissements, soupirs. Mon corps se couvre de sueur et mon bas ventre est gluant de sécrétions et de salive. Simon passe d’un sein à l’autre, mes tétons sont dressés, tout fier qu’on prenne à nouveau soin d’eux. La langue d’Hervé accomplit des miracles sur mon clitoris, je ne peux m’empêcher de rouler mon bassin en tous sens, il devient plus sûr de lui.
Mon plaisir monte de plus en plus vite en moi. Le feu embrase mon ventre et se propage dans tout mon corps, mes muscles se contractent, je pousse un long cri assourdi par les lèvres de Gabin. Mes trois garçons ne s’arrêtent pas pour autant avec ces ondes de bien être qui submergent tout mon corps. Mes fesses bondissent sur le canapé alors que dans mon intimité agissent les doigts de mon aîné. Le petit Simon suit mes mouvements sans quitter ma poitrine. Je retombe lourdement avec un orgasme rare qui me rappelle une certaine époque déjà lointaine. Ma contraction est si forte que le grognement que je pousse alerte mes trois fils qui restent plantés là, sans plus rien faire, juste à regarder leur mère être possédée par la jouissance. J’ai l’impression d’être dans un autre monde, de perdre pied, tout tourne dans ma tête. Aucune main de mes gamins ne bouge. Même Hervé reste figé avec un doigt légèrement enfoncé dans mon postérieur et trois autres dans mon vagin. Gabin s’est éloigné de mon visage pour me laisser respirer et se rapprocher de Simon. Ils me contemplent, leurs visages embués de larmes. Hervé se détache de son œuvre pour rejoindre ses deux frères, tous les trois ont l’air fier de leur initiative.
Au bout de quelques minutes, je reprends mes esprits, je n’ose pas ouvrir les yeux, comment pourrais-je me confronter au regard de mes enfants. Puis j’entends Gabin me murmurer à l’oreille combien il m’aime. Puis c’est le tour de Simon qui me déclare tout l’amour qu’il me porte et enfin Hervé tout satisfait de lui, reprend le même refrain. Je tombe sanglots et au milieu de mes larmes, j’avoue à mes fils combien je peux les aimer et combien je tiens à eux. Mes garçons m’expliquent que tout ça faisait partie du cadeau qu’ils voulaient me faire. Assise au milieu du canapé, j’ouvre peu à peu les yeux et voit le regard de mes trois fils debout devant moi. Je trouve aussi leur regard admiratif et plein d’amour pour moi, ils sont si heureux d’avoir pu donner du plaisir à leur mère là, ils sont là, devant mon corps nu, je crois qu’ils me trouvent belle. Mes yeux descendent sur la déformation des pantalons de pyjama par une érection normale. C’est sans vraiment réfléchir que j’avance ma main vers la proéminence d’Hervé. Je le malaxe à travers le fin tissu, puis tire le pantalon vers le bas pour dévoiler le membre turgescent du garçon qui une fois libéré vient claquer contre son ventre musclé.
Sous les yeux amusés des deux autres J’entame une lente masturbation.Hervé fini de se débarrasser de son pyjama aidé par ses deux frères qui le rapprochent très doucement de moi, quand la tige tendue se retrouve au-dessus de mon visage, je me vois obligé de lui donner quelques bisous sur le bout du gland pour finalement le prendre entièrement dans ma bouche. Hervé ferme les yeux, tout son corps frissonne sous mon contact, je pense que c’est tout nouveau pour lui. Gabin, serré contre Hervé contemple mon visage sur l’ardillon de son frère. Je prends la ceinture élastique de son pantalon pour la tirer vers le bas et me saisi de l’objet légèrement plus petit que l’aîné. Très tendu lui aussi avec le bout non décalotté mais baveux, les pauvres petits, ça les travaille ! Du bout des doigts, j’effleure la tendre bébête pendant que Simon continue à sortir le reste du pyjama de Gabin et à son tour se mettre dans la même tenue. Simon se place l’autre coté d’Hervé en se tenant sur son épaule, ils forment un tableau unique tous les trois ainsi. Simon a la plus petite, c’est normal, je le prends très délicatement de l’autre main comme une mère le ferait à son bébé et lui fait un commencement de masturbation.
Les garçons se laissent guider par leur maman, quelques soupirs sortent de leur bouche, je ne cesse de sucer mon Hervé et dans un même temps je fais venir le petit Simon sur moi, ce qui m’oblige à abandonner ses deux frères pour m’allonger dans le canapé, sa tête vient reposer sur ma poitrine. Je glisse ma main entre son corps et le mien pour me saisir du petit membre tendu et le guider à l’entrée de ma chatte. Je dois appuyer sur les fesses du garçonnet pour qu’il trouve le courage de me pénétrer. C’est instinctivement qu’il entame un va et vient. Et bientôt sans plus aucune retenu mon Simon me fait l’amour comme un véritable amoureux Gabin et Hervé nous regardent avec un air réjoui. Le couple en action gémit, soupir, geint. Je me trouve un peu gênée de me donnée toute à Simon et rien à ses deux frères, il y a eu transmission de pensée, car ensemble ils nous étreignent. Hervé pose sa bouche sur mes lèvres, sa langue s’introduit. Le baiser de Patrice n’a rien à voir avec celui de Gabin, sa langue prend son temps dans ma bouche, ses lèvres épousent bien les miennes. J’appuie sur les fesses de Simon qui accélère le rythme, c’est quand j’ai caressé de l’index son anus que nous sommes parti, sa semence a envahi mon corps, j’ai de nouveau jouit dans un plaisir mutuel ; essoufflés tous les deux, nous sommes restés quelques moments sous les caresses stimulantes des deux autres garçons.
Hervé et Gabin se dégagent, Simon se relève lentement, le bigoudi en confiture se retire de mon corps, coulant et enfin au repos. Je me lève du canapé en mettant Simon à ma place couché sur le dos. J’explore son jeune corps imberbe de mes mains et mes lèvres, je prends sa vergette dans ma bouche comme pour lui faire un petit nettoyage. C’est d’un douceur incomparable, je le sucerai jusqu’à la fin des temps mais les deux frangins m’embrassent le dos juste pour me rappeler qu’ils sont là. Je me mets debout, face au premier venu, c’est Gabin, je l’enlace comme pour danser un slow. Ma Bouche prend le sienne, on s’embrasse férocement. Je constate que Simon n’est plus dans le canapé, je pousse Gabin pour qu’il se place dans le canapé, il se laisse guider. Je me mets à califourchon, je prends sa virilité rigide, plus grosse que celle de Simon mais toujours dépourvue de poils, et m’empale lentement. Une grimace se dessine sur son visage, suivit d’un sourire des plus charmeur. Malgré qu’il ne soit pas encore d’une taille d’adulte, je le sens quand même comprimé mes chairs. Je n’en reviens pas d’être aussi étroite après avoir donné naissance à ces trois beaux garçons. Certainement que les années d’abstinence ont dû aider à cet état.Je me soutiens sur le torse de mon Gabin et ainsi débute un va et vient, l’un comme l’autre, savourons chaque mouvement, chaque sensation.
Je tends une main vers Hervé, il s’avance la carotte bien droite en avant et me regarde m’accroupir sur son frère. Je saisis le membre, l’approche de ma bouche. Hervé me fixe les yeux comme si j’allais le manger alors que ma langue se promène tout le long de la hampe.Hervé sent aussi le désir de me prendre, mais chacun son tour. Je suis trop concentrée sur Gabin que je ne peux pas bien m’occuper d’Hervé. Simon regarde son grand frère qui attend son tour, il vient contre nous trois, dépose des bises sur mon visage se saisi de la tige d’Hervé le plus naturellement et avec tendresse ses doigts encerclent la colonne de chair, Hervé a la plus grosse des trois, c’est normal c’est lui l’aîné. Simon pose ses lèvres sur le gland suintant, pour moi c’est terriblement excitant. Je continue à m’activer sur Gabin avec cette image en tête. Puis tout se ralenti pendant un moment, Gabin me caressent les fesses, les écartent. Simon abandonne Hervé pour venir sur mes reins. Quand je sens sa langue sillonner mon périnée et mes grandes lèvres, jamais je n’aurai pu croire que cet enfant si calme et ordonner pouvait me faire cette chose. Jamais mon mari ne m’avait ainsi touché, il y avait beaucoup de tabous à ce moment, mais maintenant je viens de perdre tous les miens. Je me cambre un peu plus, je me couche en avant sur Gabin pour donner de l’aisance à mon Simon autant qu’il le désire. IL caresse délicatement les testicules de son frère, remonte sur la zone où les deux sexes sont emboîtés, sa langue se fait pointue pour pénétrer mon petit trou.Il est jeune et la vigueur revient très vite à cet âge, son haricot s’est raidi à nouveau. Gabin ne peut s’empêcher de se figer un instant quand la langue de Simon vient se poser sur la base de son membre.
Je ne peux m’empêcher de grogner quand je sens un doigt dans mes fesses. Les doigts de Simon sont fins et assez courts, mais il me faut un peu de temps pour m’adapter à cette nouvelle intrusion. Simon retire son doigt le met à sa bouche et replonge de plus belle dans mon endroit le plus secret. Je constate quand même qu’il pénètre avec une grande facilité. Je veux tout partager avec mes garçons, toute me partager. Alors je prends le poignet de Simon pour l’attirer en avant. Le garçonnet ne comprend pas tout de suite mais rapidement il saisit où je veux en venir. Il se relève et, en le guidant de ma main, il dirige sa tringle contre mon anus. Il ne lui faut pas appuyer trop fort pour qu’il soit dans mes entrailles. Quand Gabin sent l’introduction de son frère il ralentit la cadence jusqu’à s’arrêter. Il savoure tout d’abord cette nouvelle sensation puis la pression qu’il inflige à nouveau à son pénis. Les deux garçons entament un va et vient dans mon corps. Simon est trop jeune pour savoir se contrôler et tout ceci l’a tellement excité qu’après quelques secondes, son crayon est si comprimé dans mon petit trou, qu’il envoie à nouveau toute sa semence dans mon derrière. Le sperme de mon fils me fait l’impression d’un lavement, jamais je n’aurais pensé avoir un tel plaisir non pas une jouissance mais un grand moment de satisfaction. Gabin couvert de sueur se contracte, son corps tremble, ses mouvements saccadés. Après un bref moment, je relève son visage et regarde mon fils l’air dubitatif. Comment cet adolescent peut arriver à aussi bien se maîtriser.
Hervé caresse mon visage comme si je venais de faire une épreuve sportive. Il m’embrasse les cheveux, le front, les joues la bouche, le cou, les épaules, enfin le temps de me ressaisir. Gabin et Simon ayant pris leur pied, se libèrent de mon corps pour venir s’asseoir à mes cotés ; Je peux maintenant me consacrer entièrement à mon Hervé. Je lui prends les deux mains pour l’attirer devant moi, devant mes yeux ébahis se dresse le membre viril gonflé de mon aîné. Si le pieu de chair qui oscille doucement devant mon visage me surprend c’est que je n’ai pas eu beaucoup le temps de l’admirer. Je m’aperçois qu’il est beau, tendre, non pas énorme comme leur père, mais comme quelque chose de fragile et en même temps de viril. Une étrange émotion me saisit en imaginant le plaisir qu’une femme devait ressentir à être pénétrée par cet objet vivant. Hervé se contraint au silence, me laissant œuvrer à ma guise. Les yeux fixés sur la hampe de chair turgide, je referme les doigts autour avec émoi. Dans un grognement de satisfaction, Hervé lance son bas-ventre en avant, me faisant ainsi comprendre son désir d’être plus amplement caressé. J’entreprends aussitôt d’agiter ma main refermée, la faisant coulisser de haut en bas. Fixant avec extase, et envie, cette virilité orgueilleuse, je repousse délicatement le prépuce pour dégager complètement le gland brûlant et tremper. Durant quelques minutes j’active ainsi mes doigts tout le long, je masturbe avec un plaisir extrême cette jeune virilité, ce qui ne fait qu’accroître encore l’intense désir qui lui taraude les entrailles, Hervé se cambre en laissant échapper un petit gémissement de contentement.
— C’est bon mon trésor ?
Lui demandais-je toute heureuse du résultat de ma voluptueuse caresse.
— Tu aimes ?
Gabin et Simon assis à mes cotés, contemplent mon ouvrage, ils sembleny impressionnés par le plaisir que prend leur frère. Ne voulant pas restés inactifs ils caressent toutes les parties de nos corps avec des gestes synchronisés. Je pense qu’ils veulent que je reste toujours aussi passionnée avec Hervé. Simon passe derrière Hervé, s’accroupit pour lui palper les boules, Gabin, le visage contre le mien, entreprend de sucer son frère. Je peux dire que pour moi la tension remonte rapidement. J’ai de nouvelles effluves entre les cuisses, pour quelqu’un de fatigué, j’ai quand même une sacré réserve. C’est en spectatrice que je suis maintenant, Simon et Gabin m’ont remplacé sur leur frère. Je ne peux m’empêcher de caresser ma chatte juteuse. Je pense qu’Hervé ne peut plus tenir et moi non plus d’ailleurs. Je fais signe aux deux jeunes de se pousser, je m’allonge en tirant Hervé par le membre reluisant. Il s’installe entre mes jambes, je le veux en moi, ses deux frères guident l’organe vers mon vagin imbibé, ils frottent le gland sur mon clitoris. Ils sont à genoux caressant mes cuisses et celles de leur grand frère. Je soulève mes fesses pour faciliter l’introduction du goupillon prêt à éjaculer, avec douceur Hervé se fond dans mon ventre, pendant quelques secondes nous n’avons pas bougé savourant l’union tant attendue de nos deux corps. Hervé a commencé à imprimer de lents mouvements d’aller et retour avec son bassin. Mouvements qui rapidement s’accélérèrent avec la montée du désir. Ce furent très vite de véritables coups de boutoir, m’arrachant à chaque fois des cris de bonheur. La vision que j’avais fait monter mon excitation à son plus haut point. Son magnifique visage, son corps de sportif, un vrai homme mon fils. A ce rythme et vu l’excitation dans laquelle nous nous trouvons, je sens que je vais de nouveau jouir.

L’orgasme de l’un a déclenché la jouissance de l’autre mais ça n’a aucune importance. Tout ce qui compte maintenant pour moi c’est de sentir son liquide dans mes entrailles.Il nous faut bien dix minutes pour récupérer et penser à bouger. Les trois garçons viennent se serrer contre moi pour partager un long et tendre câlin.Je suis allée me coucher la dernière. Chacun de des garçons a pris une douche, m’a embrassé langoureusement sur la bouche et a rejoint son lit. Je me suis enfin effondrée sur mon lit.
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