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trois générations

Chapitre 9

Inceste
Désolé la numérotation des chapitres n’est pas exacte, mais les histoires se suivent.
Papa, tu veux bien aider Léna à ramener, dans le salon, les plateaux que j’ai préparés en cuisine, j’ai encore quelque chose à montrer à maman.
« Tu me suis, maman, on va dans ma chambre ! »
Arrivées dans la pièce, maman me dit :
« Qu’as-tu encore à me montrer, tu sais que tu m’étonnes vraiment par ton comportement, je n’aurai jamais cru que tu sois aussi..., comment dire ?, me dit elle.– Salope... ! C’est le mot que tu cherches, maman ?– Oui, c’est ça, mais il faut que je sois honnête avec toi, j’ai vraiment aimé tout ce qui s’est passé tout à l’heure !– Dans ce cas, tu vas aimer aussi la suite !, lui dis-je en lui montrant deux objets... Ça, c’est un œuf vibrant et celui-ci, s’appelle un plug, il est vibrant aussi ! De par leurs formes, tu dois te douter à quels orifices ils sont destinés !– Oui, je m’en doute et tu vas te les mettre ?– Non, ma petite maman, ils sont pour toi et c’est Léna qui va te les introduire !– Tu ne crois pas que tu exagères un peu, l’œuf, je veux bien, mais l’autre, c’est pour l’anus si je ne me trompe et ça, je ne veux pas que ce soit Léna qui me l’introduise !, me dit maman sur un ton courroucé.– Tu n’as pas le choix ou alors, je raconte tout à papa à propos de Pierre, c’est toi qui voit ! Tu as promis de faire tout ce que je te demanderai, ce soir, n’oublie pas !, lui dis-je sur un ton sec.– Tu es une vraie garce ! », me répond-elle et nous retournons au salon.– Papa, regarde ce que j’ai offert à maman !, lui dis-je en exhibant les deux sex-toys... Maman est pressée que tu lui les mettes, allez, viens maman, mets-toi en levrette, sur le canapé !– Mais, tu avais dit Léna !– J’ai changé d’avis, surtout en ce qui concerne tes fesses, je préfère que ce soit papa, allez, mets-toi en position ! »
Maman se positionne, papa lui introduit, sans aucun mal, l’œuf dans la chatte, puis vient le tour du plug. En connaisseur, il le lubrifie d’abord, maman a tendance à resserrer les fesses quand la pointe du toy entre en contact avec sa rondelle, mais il est tellement huilé, de plus, l’anus de maman ayant, quand-même, déjà un certain vécu, il suffit que papa accentue la pression pour que l’objet disparaisse dans le fondement de son épouse. À voir sa mine, je me doute qu’il éprouve une certaine satisfaction à avoir pu, enfin, violer cette zone interdite depuis si longtemps. Maman n’a eu qu’un léger sursaut lors de la pénétration, preuve s’il en faut qu’un corps étranger plus conséquent n’aura pas de mal à passer par là également.
« Voilà maman, tu peux te relever, tu vas évoluer, maintenant, avec ces deux objets en toi, pour le reste de la soirée !– Ça n’est pas très agréable, surtout celui que j’ai derrière !– Le plaisir va venir, ne t’inquiète pas, regarde ! »
Je tiens les deux télécommandes en main, j’appuie sur celle qui commande l’œuf, aussitôt elle réagit :
« Hé... ! Ça vibre dans mon vagin ! », dit-elle surprise.
Je lui fait une démonstration des 5 sélections de vibrations possibles, elle apprécie. Puis, c’est au tour du plug, je laisse à papa le soin de la mise en marche. Là, maman n’a plus la même réaction, elle serre les dents et les jambes, comme si elle avait envie de faire pipi !
« Ohhhhh, c’est dingue comme sensation, je dois admettre que c’est très agréable !– Vas-y, marche un peu pour voir ! », lui dit papa.
Elle s’exécute, mais on voit bien, dans sa façon de se déplacer, que quelque chose ne va pas, surtout lorsque papa augmente les vibrations sur les deux toys !
« Ahhhhhhh, c’est trop fort, je ne peux plus bouger, je vais avoir un orgasme si ça continue ! », dit elle en se tenant à la table.
Papa arrête la démonstration, aussitôt le visage de maman se détend.
« Je n’aurai pas tenu beaucoup plus longtemps, c’est diabolique ces engins, surtout celui que j’ai dans l’anus, jamais je n’aurais cru avoir autant de sensations de ce côté là" !, dit-elle.– Et encore, tu n’as pas tout vu, ici, tu es à l’abri ! Imagine que tu sois au supermarché ou partout ailleurs ou il y a du monde et que ces deux démons commencent à vibrer en toi, sans que tu puisses faire quoi que ce soit d’autre que d’essayer de résister au désir de jouissance qui t’envahit, petit à petit !– Je n’ose pas l’imaginer !– Ne l’imagine pas, tu vas le vivre en réalité et pas plus tard que maintenant ! Tu vas te rhabiller, tout en les gardant en toi et avec papa, vous allez aller boire un verre en ville, puis vous reviendrez ici !– Tu n’y penses pas, je n’ai rien sous mon imper !, réplique-t-elle.– MAMAN !, fais-je en élevant la voix.– Oui, ok, d’accord, je vais le faire ! », répond-elle.
Ils sont prêts et s’en vont, papa a pris soin de contrôler de ne pas oublier une télécommande, tellement il est excite par ce qui l’attend, il me glisse un « génial ton idée ! », avant de refermer la porte.
« Sous ses airs de grand-mère, mami est quand même une sacrée salope !, me dit Léna.– Un peu de respect, Léna, stp, mais je dois admettre que tu as raison, j’ai l’impression qu’elle ne se lâche pas totalement et qu’elle est capable d’être pire que l’image quelle nous donne d’elle, d’autre part, je ne pensais pas qu’il serait aussi facile de la persuader afin qu’elle participe à nos petits jeux. J’ai une idée pour que nous en ayons le cœur net toi et moi !, lui dis-je.– Et c’est quoi ton idée, maman ? – Eh bien, lorsqu’ils reviendront, je pense que mami sera chaude comme une braise car papy aura certainement abusé des télécommandes, ça sera à toi de jouer à ce moment-là, tu lui parles en utilisant des mots crus, comme quand vous discutez entres copines, si tu vois ce que je veux dire !– Bien-sûr que je vois, des trucs du genre : « t’as la chatte en feu ! » ou « t’as envie d’une bite dans ton gros cul » !– Voilà, oui, c’est tout à fait ça, écoute, on dirait qu’ils arrivent, oui c’est eux ! »
Léna et moi attendons sagement, assises dans le salon. Maman pénètre la première dans la pièce, suivie de papa, celui-ci à une mine réjouie, un grand sourire sur les lèvres et nous fait signe en montrant son pouce levé vers le haut pour exprimer sa satisfaction. Maman, par contre, a le visage défait comme si elle venait de terminer un marathon, elle se laisse tomber dans un fauteuil et à peine assise, se relève comme mue par un ressort.
« Ah non, ça suffit maintenant, il vient à nouveau de mettre en route un de ces engins du diable ! En plus, c’est celui qui me fait le plus d’effet, il veut me faire mourir !, crie-t-elle, en s‘adressant à mon père, celui-ci sourit, satisfait de sa petite blague.– Alors maman, comment s’est passée votre petite escapade, tu as apprécié tes nouveaux jouets ? As-tu joui au moins ?, dis-je à ma mère.– Si j’ai joui... ? C’est la première fois de ma vie où j’ai eu autant d’orgasmes, en si peu de temps. J’ai dû jouir 5 ou 6 fois, je ne comptais même plus, à la fin et ton père se faisait un malin plaisir à actionner les télécommandes au pire moment, à tel point que je suis devenue l’attraction de la brasserie ou nous étions, j’étais gênée comme jamais ! Le pire moment a été lorsque je me suis rendue aux toilettes, il avait arrêté ses jouets et pas de chance pour moi, les WC se trouvaient tout au fond de la salle et dès qu’il m’a vu revenir, il a mis le plug en route ! Alors là, cela a été un vrai calvaire pour revenir jusqu’à la table, je le sentais vibrer entre mes fesses, en plus, ton père avait mis les vibrations au maximum, la jouissance montait en moi, je serrai les jambes à chaque pas, les gens me dévisageaient, je devais être rouge comme une tomate, l’orgasme m’a submergée, juste au moment où j’atteignais la table !– Si je comprends bien, mami, tu as joui du cul, alors ?, demande Léna.– Oui c’est vrai, elle a raison, tu as eu un orgasme anal, ma chère petite maman !– Vous croyez, j’ai toujours pensé que cela était impossible de jouir par là !– La preuve que non, ton gros cul a apprécié, en tout cas ! », lui répond Léna.
Je m’attendais à une réaction offusquée de ma mère suite aux paroles de Léna, mais pas du tout, elle la regarde en souriant et lui dit :
« Et si tu avais vu ton papy en revenant ici, il bandait tout le long du chemin, il a voulu me faire l’amour sous un porche, mais j’ai refusé, je lui ai dit que ça sera sa punition !– Il doit avoir du jus plein les couilles, alors, t’es dure, mami, tu aurais pu faire quelque chose pour lui ! Au fait, tu es toujours vierge du cul ?, lui répond Léna.– Oui, bien-sûr, je ne suis pas aussi dépravée que toi et ta mère !– Et pourtant ce soir, tu as joui du cul devant des dizaines de personnes, on se demande laquelle est la plus dépravée de nous trois, mami !, lui répond-elle, du tac au tac et elle rajoute :.. Je suis certaine que tu aimerais sentir une grosse bite entre tes fesses et pénétrer ton anus, mais c’est ton éducation qui te l’interdit, tu as peur de passer pour une salope en faisant cela, est-ce que je me trompe- mami, dis-moi la vérité ?, le silence de ma mère prouve que Léna vient de marquer un point.– Oui Léna, tu as raison, je l’admets !, dis ma mère dans un souffle.– Hé bien, ça tombe bien ce soir, car nous avons tout ce qu’il faut sous la main, ce soir, pour palier à ce petit problème, n’est-ce pas, papy ?, s’écrie Léna.– Léna a raison, maman, c’est maintenant ou jamais, déshabille-toi et toi, papa, à poil aussi !– Léna, mets-toi sur le dos et écarte tes jambes, mami va se mettre à genoux devant toi, en levrette et te faire une minette, papy va se mettre derrière elle et moi, je m’occupe du reste, allez, tout le monde en place, hop... !– Oh oui, mami, viens, fais-moi jouir, j’en ai très envie, viens lécher ta petite fille, je suis ta chienne, enfonce-moi tes doigts dans la chatte, broute-moi mon minou !– Tu es vraiment une sale petite vicieuse, mais j’aime les petites salopes dans ton genre ! », lui répond ma mère.
Léna et moi échangeons un regard, on dirait que maman vient de franchir un palier. Elle commence à lécher la vulve de sa petite fille, moi je suis à genoux derrière elle, avec papa. Dans une main, j’attrape son sexe qui est déjà à demi raide et de l’autre, je saisis le plug qui est fiché dans le cul de maman et j’entreprends de les masturber tous les deux. Le sexe de papa gonfle à vitesse grand V, tandis que mon petit manège sur le cul de maman commence à la faire gémir, pour preuve, elle bouge ses fesses et vient s’empaler elle-même sur le plug lorsque je le retire, il coulisse parfaitement dans l’étroit conduit. Je fais signe à papa de s’enduire la queue de lubrifiant, ce qu’il fait aussitôt et le voilà prêt. Je le tire vers le cul de maman, en le tenant par son chibre et place son gland à bonne hauteur. Je retire le plug et plaque immédiatement le gland sur le rectum béant et comme maman était en train de pousser en arrière pour s’enfoncer le plug, c’est elle, toute seule, qui s’empale sur la bite de papa, le gland disparaît de suite.
« Ahhhhhhh, c’est quoi ça, non pas toi, tu es trop gros, nonnnnnnnnnnnnn ! », le cri se finit en gémissement.
Nous sommes sur le bon chemin, suis-je en train de me dire, lorsque papa perd son sang froid, cela vient-il du fait que depuis trente ans, il attend cet instant, je ne sais pas, en tout cas, il saisit maman par les hanches et d’une seule poussée, lui enfonce en entier son pieu dans les reins. Je me dis qu’elle va crier de tous ses poumons, mais heureux hasard, c’est juste le moment que Léna a choisi pour lui prendre la tête des deux mains et l’attirer contre son bas-ventre. Son cri se perd entre les lèvres intimes de sa petite fille. Papa commence sa chevauchée, sous les poussées, l’œuf vibrant est expulsé de la chatte de maman, elle ne bouge plus, les doigts crochetés dans le cuir du canapé, elle est comme tétanisée. Soudain, elle relève la tête et la tourne vers papa :
« Tu as ce que tu voulais, espèce de porc, tu as réussi à me la mettre dans le cul, ça fait longtemps que tu attendais ça et bien alors, vas-y maintenant, baise-le avec ta grosse bite, fais-moi jouir, mon salaud et toi, ma petite, je vais te lécher ta chatte dégoulinante, jusqu’à ce que tu m’implores d’arrêter, ta mami va te faire jouir et tu t’en rappelleras crois-moi !.. Céline, toi la salope qui a tout manigancé, caresse-moi le clito et mes mamelles, surtout les tétons, j’adore ça ! »
Ça y est, maman se lâche enfin, il n’y a plus qu’à lui obéir et c’est ce que je fais.
« OUI MAMI ! Vas-y, bouffe-moi la chatte- ohhhhhhhh- enfonce moi ta langue, le plus loin que tu peux ! Hummmmm, oui comme ça, c’est bon, continue ! »
On dirait que ma fille apprécie au plus haut point le traitement que lui fait subir sa mami. Moi, de mon côté, je lui frotte son clito et de l’autre main, je lui triture, malaxe ses tétons et ses mamelles qui ballottent dans tous les sens, sous les assauts répétés de papa. Les fesses de maman tressautent comme si elles étaient animées d’une propre vie
« Vas-y, défonce-moi, éclate- moi, bourre-moi mon gros cul, je suis ta chienne, mets-moi-la à fond, ta grosse queue, donne-moi ton foutre, salopard ! », crie maman.
C’est Léna qui part la première, elle jouit dans un cri, mais maman, sadique, lui a attrapé les poignets et ne la lâche plus, elle continue à lui lécher le clito.
« Non mami, arrête stp, c’est trop fort, arrête, arrête, ahhhhhhhhhhhhhhhh... ! »
Léna se débat, mais maman la tient fermement, sa bouche est collée à son clito comme une ventouse, ce ne sont plus que cris et plaintes qui jaillissent de la bouche de Léna, puis :
« Ahhhhhhhhh, je jouis encore, mami, mami, je joui de nouveau, tu es une salopeeeeee , arrêteeeeeeeeeee... ! »
Maman lâche enfin sa proie qui se laisse tomber sur le canapé, totalement désarticulée.
« Alors petite chienne, tu as joui deux fois de suite, tu as pris ton pied avec ta mami !.. Ahhhhhhhh, oui plus fort, Céline, sur mes mamelles et toi, là-derrière, tu dors ? Défonce-moi le cul, je suis votre salope, alors profitez-en ! Claque-moi mes grosses fesses, mon salaud ! »
Papa n’en demandait pas tant, il assène de grandes claques sur le cul de ma mère qui ne tarde pas à rougir, papa transpire comme un forcené.
« Je vais t’envoyer mon jus dans ton cul de chienne !, dit il à maman.– Oui, donne-moi ton foutre, je vais jouir aussi, ahhhhhhhhh, hummmmmmmmm, vas-y..., arrose-moi l’intérieur !– Ahhhhhhhhhhhh, je gicle..., tiens. prends tout dans ton trou !, crie papa.– Oui, je te sens, ça coule, c’est chauddddddddd, je jouis aussiiiiiiiiiii..., vas-y, bourre-moiiiiiiiiii, c’est bon mon cochon, la vache, quel pied ! », dit maman.
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