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Trois pour l'apéro, ce n'est pas de trop =

Chapitre 1

voisinage bon enfant

Avec plusieurs hommes
Je n’ai pas écrit depuis un certain temps. A vrai dire, ces derniers mois c’était un peu la disette, jusqu’à ce que ma voisine Violetta manifeste de l’intérêt sur ma personne et, comme je n’ai rien à vous cacher, voilà ce qui s’est passé.
Un jour de juillet, vers midi, je descends dans l’entrée de mon immeuble relever le courrier, et j’y trouve la brune Violetta, lancée à trier le contenu de sa boîte aux lettres et mettre dans la poubelle toutes ces publicités qu’on reçoit encore trop souvent sans les avoir demandées. Elle me serre la main en affichant son plus beau sourire, lequel, à lui seul, est une promesse de volupté.
— J’ai invité Frédéric, le voisin d’en haut pour l’apéro, ça vous dit de vous joindre à nous ? me lance-t-elle sitôt après les civilités d’usage.— Euh... Oui, bien sûr. Je n’ai rien de prévu. A quelle heure ? répondais-je, un peu surpris de la proposition.— Maintenant, si vous voulez, il est déjà onze heures trente, Frédéric nous rejoindra lorsqu’il débauchera, propose-t-elle.
Sans autre forme de procès, je me retrouve assis dans son salon, dont les doubles rideaux, un peu tirés, laissent la pénombre à peine transpercée d’un rayon de soleil. Il faut dire que l’été, les appartements exposés au sud sont de vraies étuves.
— Tu me laisses quelques instants ; le temps de préparer les festivités et je suis à toi. Mets-toi à l’aise.
J’ai rêvé où elle vient de me tutoyer !!!
— Je t’en prie, je patienterai...
J’attrape une revue de jardinage qui traîne sur la table basse alors qu’elle s’affaire dans sa cuisine... Au bout de dix minutes, levant le nez, je suis surpris de voir ses pieds nus juste de l’autre côté, à un mètre de moi. Je ne l’ai pas entendue arriver. Machinalement, mon regard remonte des pieds vers le haut et là... Et là... Je vois qu’elle tient à hauteur de la taille un plateau avec des verres vides et des coupes remplies d’amuse-gueule et c’est tout ce qui masque sa nudité intégrale.
— Violetta, tu vas prendre froid, dis-je, sans trop réfléchir, certes, mais surtout pour me donner un air détaché.— Oh, tu sais, à cette saison, je suis toujours à poil dans l’appartement ; justifie-t-elle, en posant le plateau et en s’asseyant, les jambes croisées, sur le pouf devant moi.
Je pense en la regardant que jamais je n’aurais imaginé cette quinqua aussi bien roulée. Ces cheveux courts, teintés corbeau, lui donnent un air plutôt sévère ; mais dès qu’elle sourit, son visage s’illumine et prend parfois des mimiques de petite fille. Sa poitrine est haute et pulpeuse ; son ventre plat, et son fessier, plutôt large, à ce que j’en vois. Sa toison, brune également, est finement taillée, ne laissant apparaître qu’un délicat ticket de métro. J’ai envie de cette femme.
— Vous, les mecs ; depuis « Me too », vous n’osez plus draguer vos voisines ; et pendant ce temps, on se met un doigt... ou deux, d’ailleurs !— C’est vrai que c’est devenu moins facile, on se méfie, on pense que les emmerdes peuvent amplifier. Pourtant, ce ne sont pas les idées qui manquent !
— Moi, je suis directe, quand j’ai envie, j’ai envie, et que ça saute ! s’exclame-t-elle en glissant sur les genoux et en rampant vers moi. Je rougis de cette impertinence.
Pas bégueule, elle se cale maintenant entre mes jambes, une main sur chaque genou. Elle plante son regard dans le mien et laisse remonter ses mains sur mes cuisses. Je commence à bander sévère. Violetta s’en aperçoit dès qu’elle effleure mon entrejambe et mon gland ne tarde pas à savourer la chaleur de sa paume.
Instinctivement, je me suis laissé glisser dans le fond du sofa de cuir gris, lui exhibant ainsi mon bassin de manière plutôt affirmée. Elle continue à effleurer mon érection à travers le tissu en affichant un sourire carnassier. Du coin de l’œil, je lorgne le reflet de sa croupe dans le miroir d’entrée incliné, en métal vieilli, posé près de la porte. Je me demande si elle a conçu cette mise en scène ou s’il s’agit de pur hasard. Qu’importe, ça me va parfaitement. Putain, quel cul !
N’en pouvant plus, je passe mon pouce dans la boucle de ceinture, glisse la fermeture éclair et... elle écarte vivement ma main. Revenant aussitôt à sa « mission », elle glisse lentement la pointe de ses doigts entre l’élastique de mon boxer et ma toison, et s’insinue jusqu’à toucher aussitôt mon gland tendu et déjà dégoulinant de liquide préséminal, annonciateur d’une giclée bienfaitrice. Ayant baissé un peu cet emballage devenu contraignant, elle lubrifie mon frein avec l’écoulement visqueux en suivant aussi le contour de mon prépuce boursouflé. Ses yeux sont clos. Les miens aussi d’ailleurs, je choisis de m’abandonner aux souhaits de ma partenaire sans la contrarier. Et puis, elle est tellement habile, tellement douce. Je goûte chaque millimètre qu’elle titille, cette fille est une diablesse, elle sait tout de l’excitation des hommes, et elle connaît toutes les recettes pour l’exacerber. Ne voyant que sa main droite, je m’enquiers du regard de l’usage qu’elle fait de sa gauche.
Bien m’en prit. Toujours dans le miroir, je vois pointer entre ses fesses des doigts qui vont et viennent sur sa moule dégoulinante. Violetta se branle. Cette image me fait monter en pression et je double d’envie de lui gicler sur la tronche. J’empoigne sa poitrine, un sein dans chaque main, et les malaxe sans ménagement, comme un puceau, au point qu’elle me demande de rester tranquille pour l’instant.
S’inclinant un peu, sa bouche vient du bout des lèvres, ma tête de zob provoquant aussitôt un court-circuit dans mon bas-ventre. Je ne sais pas ce qui me passe par la tête, je prends ma bite de ma main gauche et de la droite, je force la tête à Violetta à s’emboîter dessus. Ses lèvres sont serrées, mais il m’en faudra plus ; je veux baiser cette gorge et je le ferais ! Sa résistance n’est que de circonstance, elle enfourne l’objet sans difficulté, vu qu’il n’est pas énorme non plus ! Je sens la moiteur de ses muqueuses et sa langue qui s’affaire déjà, Violetta ne met pas les mains, c’est seulement le balancement de son buste qui fournit la pompe. Elle aspire fortement, surtout quand elle ressort ma pine et qu’elle amène les lèvres sous le gland, à ce moment, elle exerce une succion digne d’une trayeuse à vache. Elle pompe en se titillant les pointes de sein et moi, je me laisse faire sans oser entreprendre quoi que ce soit.
La porte d’entrée s’entrouvre et je vois Frédéric poindre du bout du nez :
— Vous avez commencé sans moi les petits coquins, lance-t-il, comme si rien d’étonnant ne se déroulait sous ces yeux.
Violetta, la bouche pleine, se contente d’un grognement aigu, et moi, je reste coi, et même un peu embarrassé. Pas au point de débander, mais quand même. Frédéric se comporte en habitué des lieux, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il est déjà à poil ! A poil, avec des nu-pieds ! Putain, quel morceau ! La bite de Frédéric est une infirmité, une massue ! À côté de la mienne, on dirait un rouleau de printemps à côté d’un nem dans la même assiette !
Violetta n’a pas lâché la manœuvre en cours ; elle me pompe toujours aussi ardemment, même si à l’arrivée de Frédéric, elle a instinctivement relevé son bassin en sortant ainsi de la position accroupie pour être, maintenant, en position levrette. Frédéric ne s’y trompe pas, sans même y mettre un doigt, je le vois s’approcher et touiller la moule de la femelle, sa queue à la main. Violetta frétille, elle accélère sa pipe d’une manière un peu désordonnée, jusqu’à ce que Frédéric la prenne sévèrement en la tenant par les hanches. Il doit avoir l’habitude des parties à plusieurs, sûrement plus que moi, parce qu’au bout de quelques minutes, il la pilonne dans le tempo de ses pompes et tout va bien. Frédéric est un besogneux, il sait que c’est dans la longueur qu’il déclenchera la curée et portera l’estocade finale. Il est droit comme un clerc, son visage n’exprime ni joie, ni emballement, ni lassitude. Un pro.
Violetta me lâche parfois le temps de reprendre son souffle. A chaque poussée de son baudet, ses ongles entrent dans la peau de mes cuisses sur lesquelles elle prend appui pour ne pas perdre l’équilibre. Je ne connaissais pas cette addition de plaisirs propre au triolisme : associer à une jouissance déjà éprouvée, donc connue, celle nouvelle du voyeurisme, c’est le pied. Quand je regarde Violetta se faire défoncer par Frédéric, j’en oublie que sa bouche est pleine de ma queue et qu’elle-même savoure autant les sensations qu’elle offre que celles qui la pénètrent. D’ailleurs, je ne persiste pas trop à mater Frédéric, parce qu’il n’en faudrait pas plus avant que j’envoie la purée dans le gosier de la belle.
A un moment, tout s’est emballé, Violetta s’est mise à gémir, et puis à hurler :
— Fous-moi, Frédéric, fous-moi jusqu’au fond !— Comme ça ou comme la dernière fois ?— Dans mon cul, connard, dans mon cul, tu le sais bien ! Et toi, tu vas enfin le donner ton jus, ou tu veux que je finisse par m’éclater la mâchoire ?
Cette interpellation prend valeur d’injonction.
Je saisis à deux mains la tête de Violetta, bien décidé à lui remplir la gorge de foutre. Quand Frédéric me voit faire, il prend aussitôt l’initiative de déchausser de la chatte afin d’achever son œuvre par cet enculage tellement désiré. Guidant avec sa main son nœud dégoulinant de mouille, il remonte de deux pouces et titille l’entrée de la grotte interdite.
— Tu vas rester sur le paillasson toute la matinée ou tu te décides à entrer, connard !
Il n’en fallait pas plus à Frédéric pour mettre le fer au feu ; d’un brutal coup de hanches, il distend la rondelle de la belle brune et envahit son colon impatient. C’est à ce moment que ma queue touche le fond de la gorge de Violetta et que jaillit ma première giclée de sperme, suivie d’une autre, suivie d’une autre... Elle avale, elle râle et elle avale. Bonne fille ! Violetta me lèche la bite de haut en bas, surtout ne pas en perdre une miette ! J’en raffole, je me régale. Pour faire bonne mesure, las de ses allers-retours, Frédéric éjacule à son tour, étant face à moi, j’ai la surprise de voir qu’il tire la langue quand il jouit.
L’estocade finale a eu raison de Violetta qui braille maintenant telle une truie en nous traitant de tous les noms. Violetta est moins élégante qu’il y a trois quarts d’heure, son rimmel dégouline avec ses larmes, du sperme coule de ses lèvres, ses cheveux sont en bataille. Elle tortille son cul sur la poutre de Frédéric à en extraire les dernières gouttes et à se limer encore le fondement dans la recherche d’une bribe de jouissance. Il ne la déçoit pas et maintient une belle érection tant que la femelle ne s’est pas lassée. Il décule dans un bruit disgracieux d’extraction et du cul de Violetta s’écoule un trop-plein de semence qui tombe en goutte-à-goutte sur le parquet.
En gentleman, Frédéric remet vite son short et sa chemisette ce qui lui donne soudain une allure presque solennelle, comme si rien ne s’était passé.— Violetta, si tu veux bien aller te rhabiller, on pourra peut-être prendre l’apéritif comme prévu. A propos, tu prends quoi ? me dit-il avec un petit sourire en coin.
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