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Trop belle pour toi

Chapitre 1

Trash
J’ai 36 ans et l’histoire que je raconte aujourd’hui, c’est celle qui a façonnée toute ma vie d’adulte. J’avais 18 ans à l’époque, nous étions en Octobre et je venais d’entrer dans une école d’ingénieurs après avoir eu mon bac avec mention quelques mois plus tôt. Le lycée avait été une période très frustrante pour moi: je faisais partie de ces garçons un peu trop sérieux et un peu trop timides que les filles jolies traitent avec dédain. Malgré deux brèves histoires un peu pathétiques, j’avais plus fantasmé que vécu le début de ma vie sexuelle.
Mon père m’avait rassuré plusieurs fois, souvent avec le même argument: "Tu vas devenir adulte et la réussite n’aura plus la même signification: ce ne sera plus faire le malin devant la classe mais faire quelque chose de sa vie. Plus le temps passera, mieux ce sera pour toi".La réalité avait commencé à lui donner raison: les types populaires qui avaient raté leur bac connaissaient leur premier été difficile: ils pouvaient faire une croix sur la quasi-totalité de nos camarades filles qui rentraient à la fac et n’avaient aucune envie de s’afficher avec des lycéens. De mon côté les choses avaient commencé à changer également. J’étais parti trois semaines dans un camping avec mes cousins et mon statut d’étudiant à Paris, futur ingénieur intéressait déjà beaucoup plus les jeunes femmes que lorsque je leur disais simplement que j’étais bon élève en seconde ou en première les étés précédents. J’avais ainsi couché avec les troisième et quatrième conquêtes de ma courte liste de partenaires durant le mois d’août... rien de bien impressionnant mais une révolution pour moi.
C’est motivé et regonflé à bloc que j’ai débuté les cours fin septembre. Il y avait vingt-sept filles pour quatre-vingt-quatorze garçons dans ma promotion mais je n’ai pas paniqué, c’était la répartition habituelle pour cette vénérable institution et j’avais prévu depuis le début de ne pas chercher à faire de rencontres de ce côté-là de toute façon. Mon école était à trois stations de RER de Paris, il y aurait mille opportunités de rencontrer des jeunes femmes ailleurs.
J’ai contacté une association d’étudiants venant de Bretagne comme moi: Cela s’est révélé une idée de génie. Nous nous informions mutuellement des soirées dont nous entendions parler et nous sortions en groupe, il y avait ainsi toujours au moins quelques personnes que je connaissais avec moi, c’était un confort extraordinaire pour un provincial comme moi qui avait débarqué quelques semaines plus tôt sans aucun contact sur place.
Dans notre petit noyau d’étudiants bretons, il y avait une jeune fille de la région de Brest qui m’avait tapé dans l’œil. Elle s’appelait Carine et je lui plaisais aussi mais elle m’avait vu à deux reprises m’intéresser à d’autres avant que je ne la remarque. Cela retardait notre rapprochement mais il semblait malgré tout inévitable.
Pourtant, c’est alors que nous étions tout proche de succomber Carine et moi que j’ai fait LA rencontre. Je m’en souviendrai sans doute toute ma vie. C’était une soirée à forte affluence dans une école de commerce, il était tard et j’avais perdu mes collègues bretons depuis longtemps. Nous étions venues entre garçons, les filles n’étaient pas là et mes collègues avaient essentiellement l’objectif de se "mettre sur le toit" comme on dit, moi, j’avais d’autres idées en tête et je n’avais pas bu une goutte d’alcool.
Une jeune femme m’a abordé vers quatre heures du matin, c’était une déesse, le genre de fille qui ne s’était jamais intéressée à moi. Elle s’appelait Elise, devait mesurer un mètre soixante-dix et on aurait dit une mannequin: cheveux châtains raides avec une frange, grands yeux, allure et démarche de princesse, toute mince, ravissante et habillée comme pour faire la couverture d’un magazine de mode.
Elle avait un an de plus que moi et elle était en deuxième année en fac de psychologie. Elle me parlait en minaudant comme si cela avait été elle qui était flattée de m’adresser la parole. Je n’y croyais tellement pas que j’ai géré la situation avec le sourire et finalement avec une certaine aisance.Elle est partie en m’embrassant sur la joue et en prenant la serviette en papier sur laquelle j’avais griffonné mon numéro de téléphone et mon adresse email. Nous nous sommes revus une fois puis une autre: j’avais beau me pincer, ce n’était pas un songe; Tout le monde se retournait sur elle mais c’était bien moi qui avait rendez-vous avec la jeune femme dont nous rêvons tous.
Je ne me suis pas posé de questions, je l’ai embrassé à notre rencart suivant et nous avons fait l’amour deux jours plus tard. Nous étions ensemble: Elle se promenait dans Paris à mon bras, nous sortions trois fois par semaine et ma vie sexuelle avait changé de dimension.
Un mois plus tard alors que nous venions de faire l’amour et que pour la première fois de ma vie j’avais éjaculé sur les seins d’une femme, elle a rougi comme une gamine en me disant: "J’ai un truc à t’avouer". Évidemment, je lui ai dit qu’elle pouvait tout me dire. Elle m’a parlé à l’oreille pour me souffler qu’elle avait un fantasme qu’aucun garçon n’avait voulu réaliser avec elle.J’y ai vu l’opportunité de l’accrocher pour longtemps, une chance qui ne se représenterait peut-être plus: Jusque-là je m’étais toujours attendu à ce qu’elle me "jette" sur un claquement de doigt à un moment ou je ne m’y attendrais pas, j’adorais l’idée qu’il me soit possible de rendre permanente mon aventure avec elle.
Je l’ai écoutée... et j’ai déchanté: son fantasme consistait à utiliser un gode ceinture et pénétrer un homme avec: Je comprenais qu’aucun de ses ex n’ait accepté jusqu’ici.
J’étais aussi surpris que choqué, je n’ai pas su quoi répondre sur le coup et elle a respecté mon hésitation.
Un mois a passé sans que nous en reparlions puis elle m’a dit "je t’aime" pour la première fois alors que nous regardions les décorations de Noël qui commençaient à être installées sur les Champs Elysées. Je lui ai répondu que j’étais fou d’elle depuis le premier jour et emporté par mon enthousiasme, je lui ai soufflé que nous essayerions bientôt ce qui lui faisait tellement envie.
Ses yeux ont brillé et elle m’a sauté au coup en me disant de nouveau qu’elle m’aimait… J’ai paniqué en me rendant compte qu’il serait dès lors compliqué de reculer mais Elise m’a redonné le moral en me suçant et en me laissant la prendre en levrette une fois retournés à son appartement.
Deux week-ends plus tard, je lui ai dit que j’étais prêt, elle voulait que nous fassions cela bien: elle voulait un bel hôtel et pour que nous nous lancions vraiment, elle m’a dit la phrase que je rêvais d’entendre: "Après, je me laisserai enculer aussi". Cela m’a fait bizarre de l’entendre parler aussi crûment mais comme pour beaucoup d’hommes c’était mon fantasme ultime et m’imaginer sodomiser Elise était un rêve absolu.
Nous avons réservé une chambre dans un quatre étoiles puis le grand jour est arrivé. Nous étions dans une suite avec une mezzanine, moi habillé un peu comme d’habitude: jean, chaussures de ville et pull col en V; Elise quant à elle avait sorti le grand jeu: lingerie, bas, chaussures à talons, robe moulante très courte: elle était divine.
Nous nous sommes embrassés longtemps puis déshabillés. Elle m’a fait m’allonger sur le dos pour embrasser tout mon corps depuis mon front jusqu’à mes chevilles avant de remonter à hauteur de mon sexe. Elle a léché un bon moment l’érection qui m’envahissait puis elle a pris mon gland en bouche.
Elle était vraiment douée pour ça. Elle m’a fait remonter les jambes puis elle m’a caressé les testicules tout en continuant sa fellation. C’était vraiment bon, elle s’appliquait autant qu’elle pouvait et rien que le fait de m’en rendre compte était déjà jouissif. Je voyais son petit cul se dandiner et la vision de ses cuisses gainées dans ses bas m’enchantait. Elle a attrapé un tube en bas du lit et fait couler un peu de son contenu dans sa main. J’ai compris que c’était du lubrifiant quand elle a glissé ses doigts entre mes fesses jusqu’à trouver l’entrée de mon rectum.
Elle m’a massé doucement tout en continuant de me sucer et ma foi, c’était bien plus agréable que je ne l’aurais pensé. Je me suis laissé aller dans les bras de la femme que j’aimais et j’ai grogné quand simultanément elle s’est enfoncée sur ma verge presque entièrement et qu’elle a poussé un doigt dans en moi.
La sensation de gêne entre mes fesses se mêlait à la meilleure fellation qu’on ne m’ait jamais faite; C’était troublant mais je me suis laissé faire en me disant qu’Elise s’était sûrement maintes fois imaginée réaliser son fantasme pour s’y prendre aussi bien.
Elle avait compris que je ne reculerai plus alors elle est allée plus loin: lèvres retroussées et bavant abondement sur mon sexe, elle m’a forcé avec un second doigt. Nous soupirions tous les deux face à l’intensité de notre étreinte.Je n’avais jamais eu de penchants homosexuels et quand je rêvais de sexe anal je m’étais toujours imaginé dans le rôle inverse mais Elise était tellement divine que j’étais prêt à tout découvrir et apprécier avec elle.
Elle s’est écartée de moi pour venir poser un baiser sur mes lèvres en me disant "merci" puis elle a sorti le gode ceinture de son sac. C’était un modèle haut de gamme, avec une sorte de harnais qui entourait sa taille.
Elise n’avait pas divagué, le sexe virtuel en lui-même avait des dimensions réalistes, sans doute légèrement supérieures à mon propre "format" mais à peine. Je la regardais s’équiper sans vraiment y croire, il faut dire que la situation était pour le moins étrange. Elise était sur le lit à genoux, seins nus, portant toujours ses bas et équipée pour me prendre comme elle en rêvait. Elle était incroyablement belle, ultra féminine et je pense que c’était nécessaire pour que j’accepte l’idée de me faire pénétrer.
Elle m’a fait un clin d’œil en mimant "je t’aime" avec ses lèvres; Pour entrer dans son délire, je me suis avancé à quatre pattes et j’ai pris le gland en plastique dans ma bouche. J’ai mimé quelques vas et viens en rigolant puis j’ai embrassé Elise sur les lèvres. De nouveau elle m’a dit "merci", cette fois avec un regard vraiment érotique.
Je ne savais pas trop comment m’installer alors je l’ai laissée me guider: je me suis retrouvé sur le dos, un coussin sous les fesses et les genoux remontés le long de mes côtes. C’était un peu perturbant de me retrouver dans cette position qui me semblait très féminine mais Elise ne m’a pas laissé le temps de gamberger. Elle a aspergé le gode de gel lubrifiant puis elle est venue genoux écartés face à moi pour présenter le gode à l’entrée de mon rectum.
Elle m’a regardé dans les yeux et après un moment d’hésitation, elle a caressé ma rosette avec la pointe de sa queue factice en appuyant de plus en plus fort.En grimaçant, J’ai cédé petit à petit jusqu’à avoir le gland entièrement dans mon fondement. Elise respirait de plus distinctement alors que je grognais en essayant d’être discret. C’était douloureux mais elle appréciait tellement que je serrais les dents pour continuer... et puis je me disais qu’ensuite ce serait mon tour.
Elle en voulait plus alors elle a poussé encore. J’ai gémi en ayant l’impression qu’elle m’embrochait mais elle a caressé mon ventre et petit à petit j’ai réussi à me détendre. Le gode coulissait un peu plus facilement même si mon inexpérience était criante.— "Mets-toi en levrette".
J’ai hésité mais j’ai obtempéré. Elise a tiré sur ma taille pour que mes fesses soient à la bonne hauteur pour elle, je n’osais pas imaginer à quel point je devais être en train de tendre mon cul ainsi positionné. Le gode m’a ramené à la réalité en écartant de nouveau mon œillet, j’ai soufflé pour tolérer cette présence inhabituelle en essayant de me concentrer sur le contact du corps d’Elise contre le mien: ses mains, ses cuisses, son ventre, chaque parcelle de son corps.
J’adorais sentir sa peau frôler la mienne et cela m’a aidé, je parvenais à me détendre et mon anus était en train de capituler s’adaptant à la forme de la "queue d’Elise" sur la longueur qu’elle m’imposait. Je voulais voir ce rapport étrange comme un échange avec ma belle, finalement proche de ce que nous faisions habituellement et j’étais en train d’y parvenir.
Le lubrifiant aidant, j’éprouvais de moins en moins de douleur physique et l’excitation de l’interdit autant que le plaisir visible de ma petite amie avaient même finis par me faire bander franchement. Elise s’en était rendu compte et elle a voulu reprendre notre position initiale pour pouvoir me caresser.
Je me suis de nouveau retrouvé sur le dos, un coussin sous les fesses et ma copine face à moi. Après m’avoir caressé avec du gel, elle s’est ré-enfoncée en moi d’une dizaine de centimètres puis elle s’est mise à me masturber de sa main droite au même rythme que celui auquel elle coulissait entre mes fesses. Je bandais au maximum et c’était aussi perturbant que cela devenait agréable.
Voir cette fille sublime m’enculer et me branler en même temps en murmurant "merci" inlassablement sans me quitter des yeux était une folie mais j’avais l’impression de vivre quelque chose d’irréel et cela m’autorisait à aimer ce moment. Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes, subjugués par cette étreinte hors du temps; J’étais perdu dans mon plaisir, sentant les doigts de ma déesse s’activer sur mon membre en même temps qu’elle me sodomisait avec langueur. Ses petits seins semblaient danser au rythme de ses coups de reins: Elle était tellement belle, elle semblait comblée et c’était grâce à moi.
J’ai fermé les yeux et j’ai senti tout mon corps se contracter: j’ai éjaculé sur mon ventre, ma poitrine et les mains d’Elise en gémissant. Elle a essuyé ses doigts souillés contre mes cotes puis doucement elle s’est extraite de moi avant d’ôter son matériel. — "Installe-toi dans le fauteuil le temps que tu te remettes de tes émotions."
Un peu hébété, j’ai fait ce qu’elle me disait en la regardant aller à la salle de bain. J’aurais imaginé un petit câlin avant toute chose mais je me disais que cela viendrait ensuite. Elle a disparu plus de vingt-cinq minutes, je n’osais pas bouger me contentant d’attendre comme elle l’avait demandé. On a alors sonné à la porte de la chambre, je n’ai pas eu le temps de me lever qu’Elise avait déjà bondi. Elle s’était recoiffée, remaquillée et avait remis sa lingerie pour seuls vêtements.
Elle a passé la tête par l’embrasure de la porte avant de laisser entrer un grand type d’à peu près 25 ans. J’étais encore à poil, le cul douloureux de ce que nous venions de faire: je me suis levé par réflexe mais Elise m’a arrêté.— "Toi, tu restes là".
Le type a attrapé Elise par la taille et lui a enfoncé sa langue dans la bouche. La jeune femme a caressé le visage de son "agresseur", c’était une véritable claque de voir cela mais je n’ai pas réussi à bouger. Je me suis rendu compte que c’était Romain, un garçon que j’avais vu deux ou trois fois dans des soirées organisées par les amis de ma copine. Il devait faire une tête et vingt kilos de plus que moi.Elise m’a jeté un regard plein de mépris.— "Tu te souviens de Romain ? Lui, c’est un vrai mec".
Elle avait à peine fini de dire cela que Romain lui empoignait les fesses pour entreprendre de lui malaxer le cul comme jamais je ne m’étais permis de le faire. Elise ronronnait, les mains agrippées aux épaules du colosse.— "Il va me baiser comme j’aime. Regarde et apprends !"
Les deux me toisaient du regard s’excitant mutuellement du mauvais tour qu’ils étaient en train de me jouer. J’étais pétrifié. Sans me quitter des yeux, Romain a appuyé sur les épaules de la jeune femme pour la mettre à genoux. Alors qu’elle ouvrait la bouche en tirant légèrement la langue comme une traînée, il a enlevé sa ceinture et ouvert son pantalon; je m’attendais à ce qu’il déballe une bite hors norme qui m’aurait ridiculisé mais ce ne fut pas le cas: Il avait à peu près les mêmes proportions que moi mais cela ne l’a pas empêché d’attraper ma petite amie par l’arrière du crâne et de l’enfoncer sur sa verge sans ménagement.
Elle se laissait faire docilement en miaulant et en me lançant comme elle pouvait des regards moqueurs; lui en faisait de même, quant à moi j’étais paralysé devant ce spectacle.
Elle bavait, hoquetait, elle avait même les yeux qui coulaient un peu mais elle était décidée à laisser le garçon utiliser ses lèvres comme un prolongement de sa propre main pour se masturber.Il lui tira la tête en arrière pour qu’elle puisse un peu respirer. Elise en profita pour me narguer du regard et placer ses mains dans son dos comme si elle avait été menottée. Romain éclata de rire forçant de nouveau la bouche qui s’offrait à lui.— "T’es en forme aujourd’hui. On va bien s’amuser !"
Je compris à ce moment-là qu’ils n’en étaient sans doute pas à leur coup d’essai sans vraiment savoir si c’était pire ou non que si cela avait été leur première fois.
Romain grognait comme une bête en faisant coulisser le visage de la jeune femme sur sa queue et elle semblait adorer ça: c’était répugnant. Quand il en eut marre des lèvres de ma princesse, il la jeta sur le lit à plat ventre; Elle avait enlevé sa culotte et il en profita pour s’allonger sur elle et l’écraser de tout son poids. Il lui enfonça sa queue en quelques à-coups en lui maintenant la tête dans les oreillers.
Ils meuglaient tous les deux, il ne la ratait vraiment pas la tringlant sans aucun ménagement. Il finit même par la faire jouir pour ce que je pensais être ma pire humiliation mais malheureusement ils avaient encore d’autres idées.
Romain finit enfin par se redresser et en me toisant, il cracha sur ses doigts avant de badigeonner l’anus d’Elise. Au lieu de protester, elle gloussa comme une oie en se cambrant en signe d’approbation. Sans plus de préparation, Romain déplaça son gland jusqu’à la rosette de ma petite amie et s’enfonça en elle en m’envoyant un clin d’œil. Elle hurla de douleur alors qu’il ne me quittait des yeux, dopé par la détresse qu’il devait voir dans mon regard.
Elise se laissait faire et malgré la violence des assauts dans son fondement elle tendait ses fesses et cambrait ses reins au maximum. Son bourreau lui tirait maintenant les cheveux en arrière, permettant à ma petite amie de me fixer elle aussi. Elle acceptait de se faire démonter comme je n’aurais jamais imaginé le faire et elle se délectait avec sadisme de ce qu’elle me faisait subir.
Quand enfin elle fut en mesure de parler, elle me lança dans un grognement: "Tu vois je tiens mes promesses: Je t’avais dit que je me laisserai enculer ce soir".
Romain ricana et continua à se faire plaisir en s’appropriant les entrailles de "ma femme". Il la brutalisait mais entre deux cris elle murmurait des "encore" sans doute autant destinés à ravir son partenaire qu’à me désespérer un peu plus.
J’étais vaincu, ridicule et humilié, c’était de la torture. Cela dura encore plusieurs minutes jusqu’à ce que Romain se raidisse la verge gonflée de satisfaction enfoncée jusqu’aux couilles dans l’anus consentant de la belle. Il hurla en éjaculant; Elise murmurait des "oui, oui, oui" son regard plongé dans le mien.
Ils restèrent affalés un temps qui me parut une éternité puis se rhabillèrent ensuite en se marrant comme des adolescents contents de leur bonne blague.Avant de sortir, Elise prononça ce qui devait être les derniers mots qu’elle me dirait.— "Bon, évidemment, tu ne me rappelles plus jamais et c’est toi qui paye l’hôtel".
En quittant la pièce, Romain attrapa le gode ceinture qui traînait au pied du lit et regarda la tige en plastique encore luisante de lubrifiant et de sécrétions. Il me le lança dégoûté.— "Putain. T’es vraiment qu’une merde"
La porte me fit sursauter quand elle claqua et je restais prostré, en larme après une telle horreur.
Pendant des mois les questions tournèrent en boucle dans ma tête:Pourquoi moi ? Qu’avais-je bien pu faire pour mériter une telle humiliation ?Elise m’avait-t-elle abordé dès le départ pour réaliser ce tableau morbide ?Comment avais-je pu croire qu’elle m’aimait ?Comment avais-je pu la laisser m’enculer ?... et pire que cela, comment avais-je pu apprécier ?...Et puis, il y avait la question qui remettait le plus en cause ma virilité et ma dignité: pourquoi n’avais-je pas été capable de réagir devant le spectacle qu’Elise et Romain m’avaient imposé ? Comment avais-je pu rester prostré et les regarder baiser devant moi ?
J’étais totalement détruit, je me suis accroché à mes études pour assurer le minimum malgré les insomnies et la dépression. Évidemment, je ne sortais plus et je n’avais plus aucune vie sociale. Il m’a fallu un an pour m’approcher d’une jeune femme de nouveau et encore six mois pour tenter de coucher avec l’une d’elle... sans succès.
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