La fin du séjour approchait, ma mère qui ne s’était pas fait baiser depuis plus de 48 heures avait une bonne envie de queues, pas une mais plusieurs, j’avais eu l’idée de l’attacher dans les toilettes pour hommes dont elle sera à la merci de tous. L’avoir vu se faire défoncer la dernière fois attachée sur le bateau m’avait beaucoup excité, c’est une véritable salope qui devenait nymphomane, elle a besoin régulièrement d’une queue qui la pénètre, d’avoir les orifices comblés, mais avant tout être désirée, avoir un contact masculin, se faire complimentée, draguée, touchée, être dans les bras d’un homme, voir la situation évolué et durer; d’être la maîtresse d’une personne par son charme jusqu’à aboutir à une totale soumission, une femme qui écarte les jambes sans tabou à la demande et s’adonne au plaisir su sexe, un jeu pour elle, son intimité n’est plus, un garage à bites, plus il est visité plus cela devient une sorte d’opium. Toujours rendre la chose coquette par des préliminaires, des rendez-vous, des discussions hots jouant de ses tenues et de sa lingerie qui seront souillés ainsi qu’elle-même. Elle se déhanche toujours, qui n’avait pas envie de lui foutre une main au cul. Le regard des hommes sur elle en disait long, tout le monde la savait salope, mais sur ses chaussures à talons, son string lui rentrant dans le cul, elle gardait un air sérieux comme si de rien n’était, ce qui pimentait la chose.
Elle choisit ses hommes, et remballait un bon nombre d’entre eux les laissant sur leur fin, un supplice. Plus que ces formes, c’est sa peau qui invite au gouter, à la caresser, la lécher. Elle est plus que bandante lorsque l’on se la fait, sa manière de se faire prendre, de s’empaler sur la bite, de sauter, de se faire prendre dans tous les sens avec facilité, à croire qu’elle est faites pour le sexe, à se faire vidanger.
Avec les hommes qui savent s’y prendre, elle prend son pied, heureuse la bite dans le cul, son trou est propice à la pénétration, une impudeur stupéfiante pour elle de montrer son sphincter bien écartée, pour toutes le dernier endroit sensible, tabou, qui dévoile tout de la femme, le dernier orifice comblée marquant son côté pétasse.
J’aime tâter ses fesses, ses lignes démarquant ses jambes de ses fesses, les faire rebondir. Ses seins sont esquifs, lécher ses tétons puis les mordiller, lui baiser le corps, ses mains douces, ses pieds aussi je les embrasse, lui suce… tout en la massant.
Nous sommes très complices, chaque moment seul avec elle, en privée (devant la télé) ou en public (transports en commun, salle d’attente…) peut aboutir à se masturber mutuellement palpant son clitoris, elle me masse mon sexe, délicieux moment, jusqu’à l’écoulement de mon sperme qu’elle récolte dans sa main… sort sa langue pour lécher… Certains sont plus qu’étonnés lorsqu’ils découvrent que c’est ma mère… j’ai une réelle attirance, je la pine et elle aime ma maman, on laisse agir nos désirs sexuels…
