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trop timide pour dire non au copain d'une amie

Chapitre 1

Erotique
La soirée s’annonçait bien : Johanne, une de mes amies, m’avait demandée de l’accompagner à une soirée. Elle m’avait dit préférer ne pas aller seule et elle souhaitait aussi me présenter son nouveau petit ami, un certain François. Ils devaient passer me prendre vers 20H chez moi.
Ce soir là, j’avais décidé d’être séduisante. Il y avait longtemps que je n’étais pas tombée amoureuse et je souhaitais rencontrer quelqu’un ce soir. Je m’étais douchée et lavée les cheveux puis j’avais choisi avec soin des dessous sexy qui me mettaient en valeur : un soutien-gorge ampliforme noir qui me gonflait les seins et un string assorti. Après m’être maquillée et parfumée, j’avais enfilé une paire de collants noirs et une robe moulante en stretch de couleur grise anthracite.
Je venais à peine de finir de me préparer lorsque j’entendis Johanne et François sonner à la porte. Johanne fit les présentations. François était assez bel homme, grand et assez élégant. Il avait aussi un regard un peu coquin et il me sembla qu’il me regardait avec un certain intérêt.
Nous partîmes ensemble à la soirée. Elle était organisée par Marc, un ami de François qui avait loué pour l’occasion une villa avec piscine. Il y avait une vingtaine d’invités, pour la plupart célibataires.
Après avoir dîné autour d’un buffet pantagruélique, puis dansé sur une musique des années 80, je n’avais toujours pas fait de rencontre décisive. Ce fut alors que je décidais d’aller faire un brin de toilette dans la salle de bains du 1er étage.
Arrivée au premier, je fus attirée par un bruit qui provenait de derrière une porte de chambre. Je poussais légèrement la porte et je fus surprise d’apercevoir un couple faisant l’amour sur un lit. La femme était attachée aux barreaux du lit par les mains et les jambes. L’homme était allongé sur elle. Je sentis d’abord une certaine gêne à les observer ainsi puis une certaine excitation. Je préférais tout de même ne pas trop me faire remarquer et je refermais doucement la porte avant de me diriger vers la salle de bains au fond du couloir.
Devant la glace de la salle de bains, je remis mes cheveux en ordre et remis un peu de rouge à lèvres. Au moment où j’allais repartir la porte de la salle de bains s’ouvrit brutalement. C’était François. Sans dire un mot, il referma la porte, mit le verrou puis s’approcha de moi et me dit :— «Elodie, j’ai envie de toi et je sais que toi aussi, tu as envie de moi »— « Tu es fou ! Où est Johanne ? »— « Elle est en train de danser en bas avec Marc » répondit-il en me prenant dans ses bras.— « Non, je ne veux pas, laisses-moi passer, je ne peux pas faire ça à Johanne »— « Elle n’en saura rien, laisses-toi faire » assura-t-il en continuant ses approches et en m’embrassant.
Je cherchais d’abord à le repousser mais finalement, je le laissais faire. Je ressentais une certaine excitation à me faire prendre en résistant à peine.
Il fit glisser la fermeture éclair de ma robe et je me retrouvais en sous-vêtements dans ses bras. Il ne tarda pas à me retirer aussi mon collant ce qui lui permit de poser sa main par-dessus mon string le long de ma fente. Il commença à me caresser le sexe à travers l’épaisseur du tissu. Il me prit ensuite par les cheveux et me fit comprendre de m’agenouiller. Il descendit sa braguette et extirpa un sexe bien dressé.
D’ordinaire, je n’aime pas trop faire ce genre de chose mais prise par les évènements, je pris son sexe dans ma bouche, d’abord le gland puis toute la verge, et je commençais à aller et venir le long de son sexe.
Il me fit me mettre debout et fit glisser mon string le long de mes jambes. Mon string était trempé. Il glissa un doigt puis deux dans mon intimité. Il me caressa ainsi autour du clitoris et mon excitation ne faisait que monter. Lui aussi ne pouvait plus contenir son envie de me pénétrer. Il me poussa contre le rebord du meuble de salle de bains et me fit écarter les jambes. Il glissa son sexe tendu à l’intérieur de mon vagin et commença à me labourer. Je ne tardais pas à jouir profondément et je sentis son sperme m’inonder.
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