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Le trou

Chapitre 1

Trash
— Un jour, tu ne seras qu’un trou”. C’est que mon mari m’a dit un jour, soit disant l’un de ses fantasmes. Il rêve que je ne sois qu’un récipient à foutre, que je prenne du plaisir ou non. Je lui avais, à l’époque, tout de suite dit non. Les années ont passé et je me suis épanouie sexuellement. J’ai accepté de me faire caresser par une femme, de me laisser filmer et photographier pendant nos ébats et de me faire sodomiser. La plupart de ces choses m’ont procuré du plaisir.
Voyant cela, mon époux s’est mis à construire une petite cabane dans le garage, chose bizarre puisque nous n’avions pas d’enfants. Un soir, son chantier se termine. Je vois une cabane carrée à 3 murs, une fenêtre sur le mur centrale et une planche à l’intérieur, sous la fenêtre, qui faisait toute la largeur de la cabane. J’ai commencé à me moquer de mon mari, lui expliquant que les cabanes ne sont pas comme ça. Il m’invite depuis l’extérieur de la cabane à passer par la fenêtre. Pour lui faire plaisir, je passe tout le haut de mon corps, mais lui signale que je ne peux pas passer les jambes, la fenêtre est trop petite. Mon ventre et ma poitrine sont sur la planche à l’intérieur, il y a même un petit rembourrage pour ne pas se faire mal. Ma tête quant à elle est dans le vide. Il arrive devant, et doucement me prend un poignet et l’attache au bord du mur, puis il fait de même avec le second. Et voilà que je ne peux plus sortir de cette ouverture.
Je le sens passer derrière moi, mais je ne peux rien voir, impossible de me retourner. Je le sens écarter mes jambes et attacher mes chevilles aux coins de la cabane.
Maintenant, je comprends, mon filou de mari a construit un jeu sexuel, pas une cabane. “Alors qu’en penses-tu ?” me demande-t-il. “Pas mal. J’enfilerai une tenue sexy la prochaine fois et on pourra s’amuser.” Il me sourit et me dit que le jeu commence maintenant. Il ouvre sa braguette et sort son sexe. Il s’approche de moi. J’ouvre la bouche pour accueillir son membre. C’est lui qui fait le rythme puisque je ne peux pas bouger. Il accélère et enfonce un peu plus. D’un coup, il me saisit la tête, s’enfonce au plus loin et fait des mini-va-et-vient dans le fond de ma gorge. Je ne peux plus respirer et j’ai des haut-le-cœur. Il sort aussi vite qu’il était entré. Je respire un grand coup, crache au sol les glaires qui sont remontées. Il y a un saut par terre qui récupère ce que je recrache, l’enfoiré avait tout prévu. Il passe derrière moi et coupe au ciseau ma jupe et mon string.
De son côté, il doit avoir une vue sur mon cul nu, fesses écartées, laissant apparaître clairement mon minou et mon anus. Il me fait un cunni comme je les aime. Sa langue s’occupe de mon bouton, et doucement, c’est 2 doigts qui s’immiscent dans mon intimité. Quelqu’un sonne à la porte. “Bouge pas, je reviens !”. Bouge pas, je reviens, où veut-il que j’aille ? Je suis entravé sur cette cabane et tout le bas de mon corps est dénudé.
Je reconnais la voix d’Adrien, un bon ami. Ils discutent de travaux dans la maison et de pêche. Eric va dans le bureau chercher un document pour Adrien. Celui-ci voudrait bien une bière, mon mari lui dit de faire comme chez lui. J’entends le frigo s’ouvrir et se fermer, puis c’est la porte qui sépare la cuisine du garage qui s’ouvre. Je prie de toutes mes forces pour que ce soit Eric qui vienne d’ouvrir cette porte. Une main caresse mes fesses, puis glisse sur mon œillet pour finir sa course sur mes lèvres. Une langue se pose sur mon minou et lèche de bas en haut. Ce n’est pas Eric, j’en suis sûr. J’essaye d’appeler Eric. Adrien se pointe devant, sexe à l’air, et avec un grand sourire, il m’enfonce son gland dans la bouche alors que j’essayais une nouvelle fois d’appeler mon homme. Son sexe est nettement plus gros, mais il ne l’enfonce pas autant que mon homme venait de le faire.
J’hésite à le mordre, mais ensuite, il faudrait que j’explique à sa femme pourquoi son sexe s’est retrouvé dans ma bouche.
— Mais qu’est-ce que tu fais ?” C’est Eric. — J’allais chercher une bière et je suis tombé là dessus, je me suis dit que c’était en libre service.” — Tu es en train de te faire sucer là ?” — Bin oui, et elle se laisse faire d’après ce que je vois”.
Je voudrais m’exprimer, mais il ne retire pas son sexe. Un sexe me pénètre le vagin. Me voilà prise entre mon homme et son pote. Cette sensation est étrange. J’éprouve de la répulsion sur cette situation, mais aussi une pointe de plaisir. Je n’y comprends rien. “On échange ?” demande Adrien. Les deux bites me quittent, et mon époux arrive devant moi. Je lui dis “Tu ne vas quand même pas le laisser me péné...”. Je ne peux pas finir ma phrase, son gland entre dans ma bouche. Eric a donc décidé de m’offrir à son ami. Et je sens Adrien entrer en moi.
Aux sensations que j’ai, il n’a pas mis de capote, mais je sais qu’il est clean. Je sens aussi la différence de largeur lorsqu’il se met à me limer. Adrien ne se retient pas de ce côté-là et donne de bons coups de gourdin. Eric s’est calé sur son ami, et enfonce son sexe jusqu’au fond de ma gorge à chaque fois qu’Adrien est à fond dans ma chatte. Je n’en peux plus de ce traitement. J’oscille entre la perte de connaissance due au manque d’air ou la perte de la réalité avec le plaisir qui me prend. Les pénétrations se sont calmées. Je peux reprendre ma respiration. J’entends les hommes reprendre leur discussion comme si je n’existais pas. Il me baise comme s’il buvait une bière. Pendant cet instant, je ne suis rien. Je pars dans mes pensées, la phrase “Un jour tu ne seras qu’un trou” prend tout son sens.
Une alerte sonne dans ma tête, comme un robot “Alerte intrusion ! Alerte intrusion” Je reprends mes esprits très rapidement pour sentir mon œillet céder sous la poussée du sexe d’Adrien. Lorsque le gland entre complètement, j’ai le réflexe idiot de serrer un peu les dents. Eric crie un coup et demande ce qui se passe. “Désolé, je viens d’entrer dans son cul. Putain qu’elle est serrée ta femme ! Tu dois avoir une petite bite” Les hommes se mettent à rire. Moi, pendant ce temps-là, je sens un pieu visiter mes intestins. Eric se vide dans ma gorge et me force à avaler. Il sort son sexe, m’embrasse sur la bouche et va à côté de son copain. Adrien décule pour montrer le trou qu’il a fait dans mon cul. Pendant 5 minutes, les deux amis se relaient dans mon cul. Eric part ensuite chercher des bières. Adrien finit par se figer au fond de moi et déverse une belle quantité de sperme. Comment pourrais-je regarder sa femme en face la prochaine fois que je la croiserais ?
La porte sonne et s’ouvre directement. C’est Alain, un autre ami. Adrien et Eric ne prennent même pas la peine de se rhabiller, et s’en vont bite à l’air saluer leur copain. Alain est très étonné et demande ce qu’il se passe. “Dites-moi pas que vous êtes devenu PD ?” “Mais non, t’inquiète pas, viens voir !” Et voilà un troisième homme qui contemple mon arrière-train. “Je peux ?” demande Alain. J’entends un bruit de braguette, puis une bite qui entre dans mon vagin. Et c’est reparti. Alain a le plus petit sexe de la bande, mais il sait où taper. Mon point G n’a jamais autant été stimulé.
Je suis obligé de jouir, cela fait tellement du bien. Adrien et Eric sont dégoûtés à les entendre. Alain sort de ma chatte et se dirige dans mon cul. Et c’est en me sodomisant tranquillement qu’Alain annonce à ses copains qu’il vient d’être promu et qu’il est tout content. Et les discussions de bars recommencent. Bien sûr, Mr Alain éjacule dans mes intestins, mélangeant sa semence à celle d’Adrien. “Bon les gars, c’est à mon tour de me vider dans son cul” dit gentiment mon époux. Et c’est à Eric de me sodomiser. Son sexe coulisse très facilement, le sperme de ses copains ayant déjà bien lubrifié cet endroit. Je ne le sens presque pas. Et c’est dans un joli “C’est parti” que je sens à nouveau un liquide chaud envahir mon colon.
Les 3 compères sont contents, mon cul est rempli. Ils vont jusqu’à prendre une lampe de poche et éclairer mon trou béant pour voir le sperme à l’intérieur.
— C’est presque plein, dis donc. Vous croyez qu’on peut réussir à le faire déborder ?” propose Adrien. — On peut plus aller dans son cul, on risque de tout faire sortir” rétorque Alain.
Et là arrive mon chéri “les gars, il reste sa chatte et sa bouche. On s’en sert pour faire monter la pression et on lâche tout dans son cul.”
Et c’est ce qu’ils ont fait. Chacun leur tour, ils m’ont baisé la bouche et la chatte, sans savoir ce que j’en pensais, et se sont soulagés au bord de mon anus. Je sentais le liquide monter. “Stop les mecs c’est bon” cria Adrien. Eric me détache les mains et me passe les menottes. Puis il me libère les pieds. Je n’ose pas bouger. Eric me force à reculer, mais je reste baissée. Il me tourne face à ses copains, m’écarte légèrement les jambes et m’attache les chevilles sur le sol. Je n’avais même pas vu ces attaches au début. Les 3 sont assis face à moi bite à l’air, n’attendant qu’une seule chose : que je me redresse. En attendant, Eric finit de découper mon haut et mon soutien-gorge au ciseau, me retrouvant ainsi totalement nue. Je prends sur moi, je serre les fesses au maximum et je me lance. Droite face à eux, nue, je leur tiens tête.
Mais leur sodomie ont eu raison de mon sphincter qui s’ouvre tout seul, laissant échapper une énorme quantité sperme en un gros “schplok” par terre, suivi des restes coulant le long de mes jambes.
— Et regardez les gars, on dirait que son cul bave, il y a un filet qui est resté collé à son anus.” Les mecs se marrent. Je baisse le regard et je vois une marre de sperme entre mes jambes, du sperme le long de mes cuisses et effectivement, un fin filet qui pend depuis mon cul.
Je suis humilié. “Aujourd’hui, tu n’étais qu’un trou”, c’est la dernière phrase qu’a prononcée mon mari avant de me détacher et de partir dans le salon avec ses potes.
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