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Le trou

Chapitre 2

Trash
Suite à cet épisode assez étrange de ma vie, je ruminais sans cesse ma vengeance. Je ne pouvais pas nier que j’avais eu des moments de plaisir durant cette soirée. Le sexe d’Adrien est assez plaisant quand ses mouvements se faisaient dans mon jardin, mais un peu moins dans le chemin de derrière.
Ce soir-là, j’avais attendu dans le garage que les amis de mon mari s’en aillent. Puis j’avais traversé honteuse le salon, et pris une énorme douche. Je me suis nettoyé intégralement, et j’ai profité de l’ouverture de mes orifices (merci, Adrien) pour les nettoyer doucement avec de l’eau. Puis je m’étais couché.
Pendant 1 mois, j’ai cherché ce que je pouvais faire. Il fallait que je fasse comme lui. Je devais préparer un jeu qu’il adorerait au début, puis petit à petit l’humilier. Mais comment ? Et puis ... l’illumination : j’allais lui faire exactement la même chose.
Un jour de forte chaleur, j’ai chauffé mon homme pendant qu’il était au travail. Lorsqu’il fait chaud, lui comme moi, nous sommes très excités. Je lui ai tout d’abord envoyé des photos suggestives de mon décolleté, laissant dépasser la dentelle, puis mon string avec le même effet, et enfin toute une salve de sextos. Au vu de ses réponses, mon piège fonctionnait. Je pouvais l’imaginer en train de bander dans son pantalon, coincé dans son bureau, attendant l’heure pour pouvoir rentrer et me baiser.
En parallèle, je me suis rendu sur une aire de repos d’une nationale proche de chez moi réputée pour être un lieu de débauche pour routiers homosexuels. J’ai très vite convaincu 2 d’entre eux de rapprocher leurs véhicules de ma maison pour faire leur coupure du soir, afin d’avoir un “petit apéritif” avant la nuit.
Enfin, j’ai fini ma journée dans un sex-shop pour acheter un gode-ceinture qui peut éjaculer un liquide via une pompe. J’avais vu cela dans un film porno sur Internet.
18h, tout est en place, mon mari ne va pas tarder ... que la fête commence.
Je l’accueille en nuisette transparente. Mes tétons pointent et je sens ma chatte s’humidifier. C’est à cause de toute l’excitation que me procure la suite éventuelle des événements. Pour lui, c’est juste la journée de “chauffe” qui me fait cet effet-là ... s’il savait. Je m’approche de lui sensuellement, comme une petite chatte qui voudrait une caresse. Lui est nu en moins de 30 secondes et s’approche de moi avec un grand sourire. Je le stoppe dans sa course avec un joli “chut, doucement mon grand” en posant mon index sur sa bouche. Je lui bande les yeux, le saisit par la bite et l’emmène dans le garage. Sa “cabane” est encore là.
Je me souviens de la position que j’avais, en levrette avec la tête dehors. Je le fais allonger sur le dos pour ma part, avec la tête renversée dans sa “fenêtre”. Il reconnaît sa construction et rigole. Il me dit “tu vois que toi aussi tu trouves ce jeu intéressant” ... Mais quel connard ! Attends mon petit père, tu vas moins rire dans quelques minutes. Comme il avait prévu toutes les situations pour m’attacher sur son engin, je lui fixe les bras le long du corps, puis j’attache ses pieds et je relève les liens vers le haut. Et voilà, je vous laisse imaginer le tableau : mon homme sur le dos, jambes en l’air et écartées, et tête basculée en arrière. Il est prêt pour la suite.
Je commence par parcourir son corps avec le bout de mes doigts. Cela le fait frissonner. Je vois son sexe se mettre au garde-à-vous. J’arrive entre ses jambes. Mes ongles lui griffent gentiment les fesses, pendant que je souffle sur son gland. Je lèche son chibre du bout de la langue, de la base jusqu’en haut, avant de l’engloutir complètement dans ma bouche. Mes lèvres viennent serrer les bords de sa bite dans un mouvement de remontée sensuel. Je l’entends souffler de plaisir. Je continue de jouer avec lui un petit moment. Je mets du lubrifiant sur mon index, et tout en le suçant, je lui caresse l’anus. Je le sens se raidir un peu. Je tourne autour de l’œillet, en pressant un peu plus à chaque fois. J’arrête la fellation, remets du lubrifiant sur mon doigt, et cette fois-ci, j’insère une phalange. Je joue à entrer et sortir le bout de mon doigt. Il sursaute à chaque insertion, je trouve cela drôle.
Puis 2 phalanges ... puis le doigt entier ... puis ce n’est plus mon index, mais mon majeur qui entre et sort de son cul. Ma langue revient à la rencontre de son gland au même moment où l’index rejoint le majeur dans son trou. J’ai adoré entendre le “Oh mon Dieu” sortir de sa bouche. Je peux maintenant jouer avec mes doigts, les faire avancer et reculer, et même faire un mouvement de rotation. Son sexe devient encore plus ferme dans ma bouche.
Las de ce traitement, je retire mes doigts d’un coup sec et je vais au niveau de sa tête. Je relève ma nuisette et lui colle ma chatte sur la bouche. Le petit coquin a compris où je voulais en venir et commencer à s’occuper de mon clitoris. C’est étrange, mais j’aime cette sensation de dominer mon partenaire. Je suis maître de la situation, je vais ce que je veux, quand je veux, et il ne peut rien dire ni se soustraire. Toutes ces pensées me font monter la pression et c’est un orgasme clitoridien qui me prend soudainement.
Mes routiers sont arrivés. Je leur avais dit de ne pas sonner, je ne voulais pas gâcher la surprise de mon mari. Mes amis d’un soir regardent mon mari, et se pourlèchent. Rapidement, ils sont nus et ont une bite bien bandée. Je suis un peu frustrée de me dire que ce n’est pas moi qui leur fais cet effet-là. Le premier s’appelle Anthony. C’est un Européen, la quarantaine à première vue, et sa bite est de la même taille que celle de mon homme. Par contre, le deuxième prénommé Aziz est typé arabe, presque la trentaine je pense, mais son sexe est énorme, aussi gros qu’Adrien.
Je leur fais signe de s’approcher. Anthony s’approche de l’anus, Aziz de la bouche. Mon mari est toujours en train de me brouter le minou. Je me recule et je lui roule une pelle phénoménale. “J’adore ce que tu me fais” me dit-il. J’approche ma bouche de son oreille et je lui murmure “Ce soir, tu n’es qu’un trou”, puis je me recule. Je vois son visage changer d’expression. Il passe de l’extase à l’incompréhension. Je fais signe aux hommes qu’ils peuvent y aller. Et c’est au moment où mon homme dit “Qu’est-ce que tu veux di...” qu’une bite entre dans son cul et l’autre dans la bouche.
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