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Un trou du cul peut en cacher un autre.

Chapitre 1

Gay
-      Tu m’as l’air d’être une belle salope.
Je relevai la tête pour regarder le mec assis sur la banquette d’en face. Le bus était quasi désert. Ce n’était pas la première fois que je voyais ce mec au type méditerranée, barbe de trois jours raides, dessiné, marcel et survêt et plus jeune que moi, la vingtaine.
-      Pardon ? C’est à moi que tu causes ?-      J’suis sûr qu’à quatre patte sous une bonne grosse bite d’actif, tu dois couiner comme une chienne.-      Mais t’es malade mec !  On se connaît pas et j’suis pas gay.-      Si… si tu es gay… ça se voir à des kilomètres et je suis s^ûr que t’es une bonne passive.-      Bon, écoute, j’suis pas PD (j’employais le mot un peu plus fort avec un ton agressif) et si tu veux pas que je te casse la figure, tu me laisses, OK ?-      OK man, OK… t’es costaud mes tes muscles m’impressionnent plus pour un plan baise que pour se friter… Mais crois-moi, t’es grave gay mec… et si t’as pas fais ton coming out, tu t’en aies pas encore rendu compte mais t’as vraiment un bon profil de lope.-      Mais c’est quoi ton problème ?-      J’ai quatre copains actifs comme moi, un rebeu, un asiat et deux blacks… tu kifferais ta race.-      Ta gueule ! Pigé.
Il n’insista pas mais resta en face de moi à me mater tout en caressant son survêt bombé et en se passant la langue sur les lèvres.
Mon arrêt vint enfin. En descendant, il me dit.
-      Et c’est quand tu veux.. mes potes et moi on te prend en mains !-      Trou du cul va ! répondis-je bruyamment et avec insistance avant de me retrouver sur le trottoir, surpris de ma propre vulgarité, car cela ne me ressemble guère.
J’étais en colère et encore chamboulé en rentrant dans mon appart. J’y repensais le soir en me couchant. Ce n’étais pas la première fois que je me faisais draguer par un mec, mais jamais de cette façon là.
Je n’avais jamais dis oui, mais je devais admettre que parfois, certains garçons me paraissaient particulièrement beaux, et à la salle de sport, les vestiaires m’attiraient, je le savais… mais de là à envisager autre chose qu’une simple comparaison de ces corps d’éphèbes avec le mien, il y avait un pas que je n’avais jamais franchi, du moins consciemment. 
Je devais reconnaître que toutes mes expériences féminines avaient été un fiasco et jamais je n’avais tenu plus de six mois avec la même fille. Mais je mettais cela sur le compte de mes études exigeantes et, maintenant de mon travail.
Cela voulait-il dire que j’étais gay ? je me posais déjà cette question à l’adolescence mais chaque fois e la balayais d’une main. Ce n’est pas parce que l’on trouve un mec beau qu’on est PD. D’ailleurs les filles je les trouvais belle aussi. Et puis je n’avais rien d’homophobe… mais tout de même.
Je repensais à ce mec un peu racaille qui montait dans le bus avant moi et qui prenait le même métro que moi pour sortir à la même station le matin. Le soir, je le voyais plus rarement, mes horaires m’obligeant parfois à rester au boulot assez longtemps.

Je le revis plusieurs fois, d’autant plus que maintenant j’étais plus au fait de sa présence.
-      Moi c’est Paolo ! me fit-il une fois.
Je ne répondis pas.
Parfois il me faisait un clin d’œil en mettant toujours la main à son sexe ou il faisait un petit signe des lèvres comme s’il m’embrassait et il passait sa langue. Je faisais mine de ne pas le voir et quand je l’apercevais en montant dans le bus, je me détournais, mais il s’arrangeait toujours pour s’approcher de moi. C’était du harcèlement. Je me disais que je devais lui casser la gueule. J’en ai les moyens, mais je ne suis pas violent.
Un soir que je rentrais plus tôt du boulot, nous étions encore en juin, il entra dans la rame de métro comme les portes allaient se fermer. Il était accompagné de deux mecs. Un rebeu et un black, même look, le black trapu. Il y avait encore du monde à cette heure-là et j’étais debout la main tenant un barreau. Ils vinrent se coller à moi.
-      C’est la femelle dont je vous ai parlé dit-il aux deux autres. Alors, on ne me traite plus de trou du cul aujourd’hui. C’est bon ça un trou du cul…-      J’l’avais déjà calculé tu penses ! dit le black répondant à la première remarque de Paolo.-      Pour moi c’est la première fois mais il vaut le détour dit le rebeu. Qui me matait sans retenu de la tête aux pieds en opinant du chef et en faisant une moue approbative comme un connaisseur.
Il y avait du monde. Je ne voulus pas faire d’esclandre et ne répondit pas. Je me déplaçais, pour qu’on évite d’entente cette conversation peu discr!te et pas à mon avantage mais ce fut pour me retrouver acculé au bout de la rame.
Ils m’y suivirent.
Je m’adressai aux deux autres mecs.
-      Ecoutez les gars, je sais pas ce qu’il vous a dit hein. J’ai rien contre les gays, mais c’est pas mont ruc alors vous m’oubliez ou ça peut mal finir, OK ?-      Mais si c’est ton truc, regarde !
Et le gars sortit son portable. Il me montra des photos de moi à la salle de muscu. J’en tombais sur le cul.
-      Là, c’est pas toi en train de mater le boule de ce mec… joli d’ailleurs… et là, le gars à poil qui a presque le zob sur ta petite gueule d’ange, tu fixes bien… et la serviette sur ton sexe, c’est pour qu’on voit pas qu’il t’excite ce beau gros zob poilu ?-      Je sais pas qui a fait ça, mais sachez que je vais porter plainte.-      S’tu veux… mais avec quelle preuve ? Crois-moi, laisse-toi aller… viens avec nous, on te promet de te loper comme tu vas jamais aimer. On te mettra en bouledogue et plein d’autres trucs. Si tu nous verrais à poil…-      Voyais.-      Hein ?-      On dit si tu nous voyais, pas verrais, bouffon.-      J’aime bien les petites chiennasses au look viril un peu rebelles mais qui deviennent bien soumises, hein les mecs !
Les deux mecs approuvèrent et l’un deux me mit franchement la main au cul.
Il reçut mon poing dans l’estomac et cela lui coupa le souffle.
-      Faut pas être méchant comme ça Antoine, surtout quand on va bientôt s’accoupler. On va être tes mâles…-      Putain, comment tu sais mon nom ?-      On sait tout de toi.-      Tu me reparles une fois et tu ramasses tes dents dans le caniveau !
Le métro s’arrêtait. Je n’étais pas à la bonne station mais je décidais de sortir. Ils ne me suivirent pas mais Paolo me lança.
-      Antoine ! on va t’envoyer un cadeau par la poste… de quoi te faire réfléchir.
Je me retournai.
Par la poste ? Ces bâtards connaissaient mon adresse ? La trame s’éloignait déjà avec les trois gars qui me faisaient des gestes discrets mais obscènes.
Je ne rentrai pas chez moi tout de suite, de peur de les recroiser. Je fis du shopping puis regagnai mon domicile à pied. Dans la boîte aux lettres, rien. Ouf ! Mais le gars avait parlé au futur. Des mythos peut-être ?
Néanmoins, comme je ne savais pas ce qu’étais la position en bouledogue, je consultais internet. C’est par les positions hétéro que j’y parvins mais quand je vis de quoi il était question, je cherchai des vidéos gay et j’en matais pendant plus d’une heure en finissant par me masturber sans m’en rendre compte. Ce sexe entre hommes m’avait plu, beaucoup plu, trop plu.
Le lendemain matin je partis beaucoup plus tôt au boulot pour ne pas les Croiser et rentrer plus tôt dans le même objectif. J’ y réussis. Il faudrait que je change mes horaires.
A la salle de muscu, je devins parano. Qui pouvait m’avoir photographié ? C’est vrai que presque tous les mecs s’y foutent à poil devant les autres et que certains utilisent leurs portables; Mais comment savoir qui prenait des photos et qui faisait autre chose. Je m’étais bien fait avoir. Par qui ?
Le gars avait parlé d’un pote asiat et je me souvenais d’un mec bien baraqué et beau qui était venu quelques semaines. On avait un peu sympathisé en s’aidant aux barres.;; c’est lui d’ailleurs qui avait pris l’initiative. De fait, il partait souvent en même temps que moi, même s’il arrivait plus tard.  J’avais, c’est vrai maté sa touffe et son boule bien rond sous la douche. Il s’appelait Matsakeu. Il y a un moment que je ne l’avais pas recroisé.
Il se passa une semaine ainsi. Mes nouveaux horaires convenaient. Je ne les croisais plus… mais c’était pour mieux y penser. Je jetais tous les soirs un œil rapide sur les site pornos gay, histoire de me d re que c’téait nul et que je n’étais pas fait pour ce genre de trips mais j’y passais de plus en plus de temps. Il faut dire que je ne m’étais guère occupé jadis de ma sexualité. Même quand j’avais eu des copines, cel ne m’avait pas bousculé outre mesure. Elles étaient souvent plus demandeuses que moi.
Au bout de huit jours, j’aperçus Paolo qui essaya de rattraper le bus. Je le vis courir derrière et lui fit un petit signe de la main en mode foutage de gueule et j’en riais encore quand je descendis du bus pour prendre ma correspondance dans le métro.
Hélas, ces deux autres potes étaient là, comme s’ils m’attendaient. Ils ne restèrent très près de moi sans me parler mais en échangeant des propos salaces sur une bonnes pute à grosse teub dont les traits physiques ressemblaient à s’y méprendre aux mien. Grand, musclé, blond, cheveux courts, yeux bleus, la trentaine. Et même s’ils ne parlaient pas très haut mais suffisamment pour que je les entende, je me sentais presque rougir de peur qu’on me reconnaisse. Mais les autres passagers ne semblaient pas entendre ces propos pornos. Beaucoup d’ailleurs avaient des écouteurs ou paraissaient plongés sur leurs écrans.
Ils ne me suivirent pas quand je descendis. Mais un colis m’attendait.
Je le laissais sans l’ouvrir, hésitant à le foutre à la poubelle ou pas… je n’avais rien commandé. Ce ne pouvait être qu’eux. Mon irrésolution dura toute la soirée.
Une fois couché, d’ailleurs anormalement tôt car je n’arrivais pas à occuper mon esprit à autre chose, et peinant à m’endormir, je sus qu’il fallait faire un choix. L’ouvrir ou le jeter. La curiosité fut plus forte. Le jeter d’ailleurs n’aurait pas répondu à mes questions. J’ouvris.
Il y avait d’abord une lettre rédigée en ces termes. Je la reproduis en améliorant l’orthographe. :
"Antoine,Tue s notre élu. On a tous craqué sur toi. Depuis le premier jour où Paolo t’a repéré, on a su que tu serais notre femelle à tous; Tu portes cela sur toi. Même si tu es vachement viril, musclé costaud, poilu, on voit, quand on s’y connaît et c’est notre cas, que t’es fait pour encaisser des bites.Depuis, on t’a observé pendant des jours et des jours, jusque dans tes vestiaires, on est convaincus que tu ne demandes que çà. Tu n’as pas le choix, tu dois t’y faire… ça prendra le temps que ça prendra. C’est ton destin. T’attends ça sans le savoir. Tes fantasmes les plus fous, c’est de te mettre à quatre pattes pour qu’on te lope bien. Tu dois être notre vide-couille à tous les cinq.Pour hâter ta décision, on t’envoie un petit book et quelques cadeaux pour te préparer et t’entraîner en solo… mais pas trop longtemps.On t’attend. Ne tarde pas. Tu sais pas de quoi tu te prives.Bisous et léchouilles dans la raie de ton trou du cul; Tes cinq masters". L’expression trou du cul était soulignée en gros et en rouge, allusion à l’insulte que j’avais balancée.
Je refermai la lettre en me disant que ces types étaient cinglés.
Venait ensuite un dossier relié que j’ouvris. Sur la première page était écrit :  "Paolo". Suivaient se mensurations, du moins celles de sa queue, son adresse et son numéro de portable plus quelques traits de ses pratiques préférées.
"Paolo : 23 ans 17 cm X 4,2. La taille de sa bite lui permet d’aller bien au fond sans faire trop mal. Cela en fait l’as de la levrette claquée. Queue toujours très raide. Ejaculation faciales de préférence. Sneackers".
Suivaient des pages 21 X 29,7 en couleurs où le gars à poil et en érection, dans différentes positions me montrait sa virilité.
Les autres présentations étaient toutes sur le même modèle, mensurations et coordonnées du type puis quelques photos en pleine page de valorisation du mâle et de ses attributs au repos et en érection.
Donc, par ordre d’apparition, on avait ensuite Tony, un grand black de 26 ans, "monté 20 X 4, qui adore se coucher face à sa chienne pour la plomber bien à fond pendant qu’il embrasse ou se fait sucer les tétons".
Venait après un autre black à la peau très foncée, plus que l’autre et nettement plus petit aussi, 1,75 m à tout casser, trapu, 19 X 4,5 pour sa queue très arquée vers le bas. "Idéal pour remplir la bouche, son gros gland pisse le foutre comme une fontaine". Celui-là s’appelait Barthélémy. Je l’avais vu avec Paolo dans le métro, avec le suivant.
Une belle bite circoncise de 16 X 4,5, donc très épaisse était fièrement levée devant l’épaisse toison pubienne d’Ahmad un rebeu aux tablettes de chocolats et aux pectoraux développés avec des tétons sombres proéminents. Il avait 23 ans aussi mais sa barbe courte lui en donnait plus. Lui aimait jouer avec le jus des autres quand on m’en aurait couvert.
Le book se terminait par Matsakeu. C’était donc bien lui qui m’avait épié. L’enfoiré ! Et il avait l’air content avec son large sourire son torse épilé, exhibant ses muscles bien tendus et sa queue 15,5 X 4 dressée avec à sa base une très dense touffe de noir de jais.
J’étais hors de moi.
Si j’avais pu, j’aurais porté plainte, mais je me voyais mal apporter les preuves que j’avais en mains au commissariat. Ma deuxième pulsion fut donc de téléphoner à Matsakeu pour lui dire ma façon de penser et l’inviter, avec toute sa meute de queutards en rut, à aller se faire mettre ailleurs.
C’est en composant le numéro que je me rendis compte que j’allais du coup leur donner le mien. J’avais failli tomber dans le panneau. Le mieux serait donc de les ignorer.

Je jetai le dossier au pied de mon lit et ouvrit le reste du colis. Il y avait une poire à lavement,  un tube de gel et un godemiché avec un petit mot :
 "Pour bien te préparer et t’entraîner avant qu’on te casse ta petite chatte d’homme".
Je jetai le tout au bout de la chambre et éteignis, bien décidé à m’endormir et à jeter ces ordures à la poubelle le lendemain.Mais le sommeil ne vint pas. Je ruminais de rage, je me posais plein de questions.
Bref, à minuit, je ne dormais toujours pas… et une demi-heure après, j’étais dans ma salle de bain en train de m’enfiler un gode en plastique, offert par des mecs qui voulaient me sauter, avec curiosité et finalement plaisir, tout en regardant sur écran des gars en faire autant.
Cette première séance de sodomie s’acheva par une éjaculation magistrale, m’étant masturbé avec l’énergie du débutant.
Envahi pas la honte, je me douchai et me couchai et le sommeil me prit très tard.
A suivre
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