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Un trou du cul peut en cacher un autre.

Chapitre 2

Gay
Cela dura plusieurs jours. Je ne mis rien à la poubelle et regardais de plus en plus des vidéos gays et les photos des gars… je me branlais même dessus et j’utilisais le gode chaque jour.
L’excitation entretenue par les films me fit faire n’importe quoi. Le cul bien lavé, je me faisais du bien avec le sexe en silicone et je me mis même à le sucer en le sortant de mon trou… et je trouvais ça bon… en le regrettant une fois le sperme expulsé… mais en y revenant le lendemain avec plus d’énergie.
Mes horaires décalés me maintinrent loin des prédateurs pendant une dizaine de jours. En rentrant chez moi, ne fin d’après-midi, pourtant, alors que j’étais assis dans le bus avec une vieille dame à mes côtés, un mec se pencha sur mon oreille. Je ne le vis pas venir.
-      Salut !
Je me détournai, c’était Paolo. Je décidai de l’ignorer superbement.
-      Toujours aussi sauvage… mais aujourd’hui au moins, tu ne me traite pas de "trou du cul". Mais tu sais, nous on aime ça les trous du cul…. Les lécher longuement… les enculer sauvagement… J’appelle ça des chattes d’homme… la tienne va épouser ma queue… tu t’es entraîné avec nos p’tits cadeaux ?
Je me levai parce que je craignais que la vieille entende même si l’autre me parlait tout bas… et peut-être aussi parce que j’étais troublé par sa voix chaude et son souffle sur mon cou.
J’étais bien décidé à sortir au plus tôt s’il continuait de me "harceler" afin d’éviter un esclandre… ou de le laisser me parler… mais il me laissa tranquille. J’hésitais alors sur la conduite à tenir. S’il descendait à mon arrêt et me suivait jusqu’à chez moi ? Que ferais-je ? Finalement je laisserai passer ma destination et attendrai la prochaine. C’est ce qu’il y avait de mieux à faire. On verrait alors comment il agirait mais, assez loin de chez moi j’aurais le temps d’adopter une stratégie. Mais c’est lui qui descendit à mo arrêt. Je le vis traverser la rue pour rejoindre un de ses potes, le nommé Ahmad, autant que j’en pouvais juger, qui attendait à l’arrêt dans l’autre sens. Pourquoi s’étaient-ils donnés rendez-vous si près de chez moi ? Que me réservaient-ils encore ?
Je mis donc un peu plus de temps à revenir chez moi, regardant tout le temps s’il n’y avait pas un de ces gars sur mon trajet. Quelques minutes après, je découvris plusieurs petits colis qui avaient été déposés sans timbre dans ma boîte aux lettres, sûrement par le mec qui attendait Paolo et qui avait sans doute réussi à s’introduire dans l’immeuble.
Il y avait deux slips, deux boxers et deux tangas, un jockstrap et une clef USB. Le mot qui accompagnait le colis disait ceci :
" Et bien petite pute ! Tu te fais désirer. Tu nous as pas appelés mais on t’oublie pas. Tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas mettre le jock, il est à ta taille, Matsakeu a vérifié, et puis tu vas sniffer les slips sauf le bariolé. Chacun a un post-it avec le nom du proprio. On les a tous porter pendant plusieurs jours. Un vrai concentré de parfums d’hommes comme tu aimes. A toi de voir l’odeur de ton mâle préféré. Le bariolé, c’est en cas où tu serais timide et que tu voudrais pas nous appeler, c’est un code pour nous faire un signe et nous montrer que tu acceptes ton destin qui est d’être notre pute...
Tu le mets sur ton balcon comme s’il séchait et ça veut dire que t’es OK pour qu’on vienne le samedi qui suit. C’est simple, on vient à quinze heures. On sonne et tu ouvres. Tu nous attends à quatre pattes sur ton plumard, avec le jock, le trou déjà bien graissé et on te prend comme une chiennasse pendant toute l’après-midi. On est tous cleans donc on t’enfile bareback… sauf si t’es pas clean. Dans ce cas, tu poses des capotes à côté de toi, sur ton plumard, et on aura compris. Les films montrent ce qu’on attend de toi. Si t’es pas prête, tu mets le slip sale de Paolo à la place du bariolé et on saura qu’on doit encore un peu attendre… et joue pas avec nous, te fous pas de notre gueule. Rappelle-toi qu’on sait où t’’habite… une fois le slip à l’air comme un drapeau, l’accord est conclu".
Le protocole était d’une simplicité limpide et d’une telle évidence qu’ils ne doutaient pas un instant que j’allais leur céder. Ils ne doutaient de rien… et moi je doutais de plus en plus.

La clef contenait des petits films où les gars s’étaient crus acteurs de porno avec des passifs à qui ils en mettaient plein le trou. Il y avait aussi des enregistrements pris sur des sites d’acteurs professionnels en cassage de lope.
Les mecs ne doutaient de rien. Ils savaient où je mettais mon séchoir et pensaient que je n’attendais qu’eux.
Mais cela m’obséda, le jeudi puis le vendredi et la nuit du vendredi au samedi.
Comme de juste, j’hésitais encore avec leurs slips. Les balancer, les sniffer ? Personne ne le saurait… Mais bien sûr, une fois bien excité en train de mater un film de cul, la queue raide, je n’y résistais pas. Je les pris un à un sans hésiter et les plaquai sur mon nez en inspirant fortement. Putain, comme j’aimais ça. C’était bon ! Quelle découverte en vérité ! Les odeurs de vestiaires de mâle ne m’avaient-ils jamais fait à peu près la même chose… en moins intense, beaucoup moins ? Dire lequel je préférais, impossible. Puis, quand mon torse fut couvert de mon sperme, après vigoureuse masturbation, je les utilisai tous pour m’essuyer. Après quoi, je les jetai au linge sale et me couchai. Mais je les ressortis le lendemain soir, sans les avoir lavés, et recommençai. Et ainsi de suite. Le samedi matin, ils étaient au pied de mon lit et sentaient sans doute plus mon foutre que l’odeur que chacun y avait laissée.
D’ailleurs il y avait belle lurette que je ne m’étais pas autant tapé ma queue, plusieurs jours de suite et même parfois, deux fois par jour, le matin à la gaule du réveil et le soir en matant les photos papiers des étalons qui me chassaient et les sites X qui accompagnaient ces coupables lectures.Cela m’avait excité sans arrêt depuis le mercredi soit et, même au boulot, je ne pensais plus qu’à ça.  Mais, je n’avais toujours pas mis de slip sur le séchoir. J’étais complétement partagé entre le désir de le faire et la raison qui me disait que c’était une belle connerie et que ej ne savais pas où cela allait m’entraîner. Mais j’étais sûr désormais d’une chose, c’est que le sexe entre hommes m’attirait vraiment.

Ces cinq mecs étaient très bien foutus à défaut d’être beaux. Ils n’avaient peut-être pas des visages d’anges mais ils étaient virils à souhait et j’aimais ça. Il se pouvait qu’ils eussent raison et que je ne fusse qu’une sale petite lope. L’idée ne flattait pas mon orgueil mais elle cheminait dans ma tête, en fait depuis la première fois où j’avais vu Paolo.
La matinée du samedi arriva. Il faisait beau. L’été poussait encore tous ses feux et le reste de fraîcheur de la nuit permettait encore de passer un instant agréable. J’étais torse-nu, en short, sur ma terrasse. J’étais bien.
J’y pris le petit-déjeuner vers dix heures, en lisant mes mails, regardant les news sur internet et jetant un œil sur les passants et les gamins qui commençaient à arriver pour jouer dans le square. Sur un banc, un mec attira mon attention. Il ressemblait au black Barthélémy. Il était trop loin pour que j’en sois sûr et je ne voulais pas avoir l’air de le regarder. Je pris donc l’attitude la plus détachée possible.
J’allais voir dans la chambre sur le "catalogue". Pas de doute, c’était bien lui. Que faire ?
Après tout, ce n’était pas à moi de me planquer. J’étais chez moi. Je me mis donc debout, m’appuyai au garde-fou et le regardai fixement avec un air de dire, "tu peux bien attendre".
Il se déplaça et vint se poster sous mon balcon. J’habite au premier.
-      Salut !
Je ne répondis pas.
-      Bon tu l’accroches… on va pas y passer la matinée.
Je ne répondis toujours pas.
-      Toute façon, ça finira comme ça alors tôt ou tard ! Mais si tu fais ta précieuse, on peut aussi ameuter tout le quartier.
Il parlait de plus en plus fort… et on pouvait entendre des autres appartements dont les fenêtres étaient ouvertes pour la plupart.
Je me repliais donc stratégiquement pour éviter le scandale et me planquai derrière me rideau.
Il regagna son poste de surveillance d’un pas nonchalant. Son débardeur moulait son dos athlétique et son survêt un boule rebondi. Je vis des images s’imposer dans ma tête, de mecs bouffant des culs sur des films barebacks.
J’eus envie… j’allais chercher le slip bariolé. J’hésitais encore. Il suffisait que je me masturbe et tout de suite et que je disperse le désir et les fantasmes; j’aurais pensé que j’étais trop con et j’aurais abandonné l’affaire.
Mettre le slip sur le balcon, c’était m’engager sans espoir de retour en arrière. Ils viendraient dans l’après-midi. La lettre était sans ambiguïté. Si je leur donnais le feu vert…
Mon Tancarville était plié contre le mur. Je le saisis, encore hésitant. Barthélémy se leva et s’approcha. Il tendit sa main avec un puce en l’air comme pour m’encourager.
Je ne bougeais plus, tétanisé. Qu’est-ce que j’étais en train de faire.
Il était sous mon balcon, comme Roméo.
-      Vas-y, vas-y, c’est maintenant. Recule pas. Tant que t’es décidé, faut le faire.
Il disait cela sans crier mais j’étais conscient qu’à l’étage du dessous ou au-dessus, et dans les apparts d’à côté, on pourrait entendre. Les gens de plus en plus nombreux qui passaient dans le square, joggeurs, familles allant au marché, mémères à toutous… ne faisaient pas attention à ce qui se passait mais auraient pu le faire. Il fallait abréger.
Je franchis le Rubicon et accrochais le fameux slip multicolore. Trop en dessous pour bien voir mais comprenant ce que je faisais, Barthélémy se recula. Quand il vit le slip accroché, il se mit à sauter dans tous les sens comme si on venait de gagner la coupe du monde.
Il s’arrêta de sauter. Sortit son portable et prit une photo. Puis il s’approcha à nouveau pour me dire :
-      Tu peux m’ouvrir ta porte, j’ai encore des consignes à mettre dans ta boîte du coup.
Je le fis et me remis au balcon pour le voir s’éloigner.
Il parut, me fixa avec un grand sourire, leva ses deux pouces en l’air en partant et refis le geste plusieurs fois en se retournant. Puis, comme il avait presque disparu, il revint sur ses pas. Je l’attendis.
A nouveau en dessous de moi, il me dit.
-      Les potes sont super contents. Merci man, tu vas pas le regretter, mai, en fait, Ahmad finit plus tôt que prévu. On sera là à 14 h 00. Ça te va ?-      OK. Je vous attends.-      Comme on a dit hein ?-      Comme on a dit.-      A toute.-      - Eh attends !-      Quoi ?-      Je reviens.
Je mis quelques instants à écrire un mot que je lui jetai par la fenêtre.
Il le lut et me répondit : "T’inquiète… ça se passera bien. Promis".
Sur le papier j’avais écrit : "C’est bon, vous avez gagné. Je vous attends… mais je ne l’ai jamais fait avec un garçon… ni à plus forte raison avec plusieurs… alors allez-y doucement".
Il me restait rois heures pour me préparer. Je descendis en courant pour lire le petit message Il était bref. : "Lave-toi bien la chatte mais pas le reste. On veut de l’homme pas de la poupée parfumée. Si tu peux faire du sport avant, pour transpirer c’est encore mieux… nous c’est comme ça qu’on va venir ".
Je sortis très vite et allait dans une maison spécialisée dans la literie pas très loin de chez moi. J’achetai des alèses et les pieds les plus haut possible pour mon lit m’inspirant des pieux américains vus dans les films.
Je repris un en-cas pour ne pas avoir faim trop vite. Je préparais le lit et fis une toilette approfondie… enfin juste celle qu’ils m’avaient demandé. Mon cœur battait à tout rompre. Plus moyen de faire marche arrière.
Comme il me restait quelques minutes, mon jockstrap mis, je fis des pompes pour me faire transpirer comme ils le souhaitaient.
Il était pile-poil quatorze heures quand l’interphone sonna. Plus tremblant que jamais, je décrochais : "Deuxième étage, tout droit face à l’ascenseur puis au fond à droite. Appart 211. La porte est entrouverte, la chambre est la porte au fond du couloir".
Je n’entendis que le murmure de plusieurs voix et le clic de la porte du sas de l’immeuble qui s’ouvrait.
A suivre.
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