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Trou de mémoire dans le futur

Chapitre 2

Erotique
Durant les semaines suivantes, aucuns souvenirs ne sont revenus à la surface. Ça m’inquiétait. Ce qui était bien par contre c’était ma femme qui, au lit, tâchait de raviver la flamme de notre couple. Et elle y arrivait. Elle avait l’impression de faire l’initiation sexuelle d’un puceau et moi j’expérimentais. Depuis mon hospitalisation, Je n’avais que mes souvenirs de moi à vingt-trois ans. J’étais puceau et je me branlais souvent dans ma chambre en pensant à des actrices de porno. Maintenant tous les soirs j’avais droit à une position du Kâma-Sûtra. Je commençais à rattraper mon retard.
En regardant les photos, j’en avais vu une sur laquelle on me voyait avec un gros chèque en carton. Ma femme m’a dit que j’avais gagné au loto. Avec un collègue, on avait joué et on s’était partagé la somme. On avait aussi monté une boite de négoce en produits alimentaires bio. D’après ce qu’elle m’avait dit c’était une affaire qui marchait et qui avait connu une forte croissance. J’avais réussi dans la vie …. Tant mieux. Elle m’avait dit aussi que la création de cette boite avait été l’élément déclencheur de la dispute avec mon père. Sur le moment je me sentais fautif.
Ça me paraissait bizarre que je me sois lancé dans ce genre d’aventure professionnellement. Le seul truc que je connaissais en matière alimentaire c’était ce que j’avais appris quand je bossais dans la superette de mon père. Quand j’ai demandé à ma femme de m’emmener sur mon lieu de travail, elle semblait un peu retissante, pensant surement que ce n’était pas le moment. Elle accepta finalement de m’y emmener à condition que je me change. Le style short et Tshirt ça fait mauvais genre pour un patron.
C’est donc en costard que j’y suis allé. Céline m’assura que je m’habillais comme ça tous les jours. J’étais mal à l’aise je n’aimais pas ça. Moi qui me souvenais être plutôt sportwear je me voyais fringué comme un serveur de restaurant. Pour moi c’était comme un déguisement. Sur le trajet, elle me demanda de m’arrêter dans un chemin de campagne et se tourna vers moi avec un sourire coquin, sa main sur ma cuisse.
— Ça ne te dirait pas un petit câlin rapide dans la voiture ?— Mais on peut nous voir ?— Et alors ? C’est ça qui est amusant dit-elle en commençant à déboutonner mon pantalon.— Euh ben ….— Imagine que je suis ta secrétaire et que tu me menaces de me virer si je ne fais pas tout ce que tu me demandes.— ….. Alors ma jolie ? on ose désobéir à son patron ?— Non monsieur le directeur— Bien ! alors maintenant, si tu ne veux pas te faire virer, tu vas faire tout ce que je te demande.— Oui monsieur.— Suce moi et montres moi tes gros nibards.
On s’était lancé dans un jeu de rôle auquel, d’après elle, on s’amusait souvent. Ça m’excitait. J’étais en train de me faire sucer par ma femme qui jouait parfaitement la secrétaire soumise. C’était bon ! Ensuite elle est venu s’assoir sur moi et à mis popole bien au chaud entre ses cuisses. C’est alors que je lui suçais les seins que je remarquais, dans le rétroviseur, qu’un agriculteur, caché derrière un buisson nous regardait en train de se tripoter.
— Merde ! On nous regarde.— Laisse-le. Ça fait un bon moment qu’il est là à se rincer l’œil. Si on dérangeait vraiment il nous l’aurait dit.
Après avoir fini ce qu’on avait à faire, on est reparti. Ma femme semblait plus que chaude, même bouillante. Elle m’avait dit que notre mariage était sur la mauvaise pente. Visiblement mon amnésie était une chance de tout reprendre à zéro.

On est arrivé sur le parking d’un bâtiment, le bâtiment de la boite dont j’étais le patron. Quand je suis entré tout le monde semblait me connaitre. L’hôtesse d’accueil appela celui qui devait être mon associé et nous sommes partis dans son bureau.
— Bah alors, il parait que t’as perdu la boule ? Demanda-t-il sur le ton de la plaisanterie.— Non juste la mémoire.— Ce n’est pas grave ça va revenir. Du coup t’es pas prêt à reprendre le boulot j’imagine ?— J’en doute. Je ne sais même pas ce que je suis sensé faire ici.
C’est à ce moment-là que ma femme reçu un message. Notre adolescent de fils s’était battu à l’école et elle était convoquée par le directeur. Elle partit en voiture promettant de passer revenir me chercher plus tard. Le temps pour moi de mieux me familiariser avec les lieux.
— Bon, maintenant qu’elle est partie, on va pouvoir parler sérieusement— Ah ! Parce que tu me cachais des choses ?— Non mais il y avait des « éléments du boulot » que madame n’est pas sensé connaitre.
Il prit sa plaque (décidément, il y en avait partout de ces choses) et peu de temps après, deux jeunes femmes arrivèrent dont une qui me sauta dessus.
— Oh mon chéri, j’ai eu si peur de ne plus jamais te revoir.— Mais ….— Tu m’as manqué. Ta queue m’a manquée. Me dit alors cette fille qui ne devait pas être beaucoup plus âgé que ma propre fille. Elle glissa alors sa main dans mon pantalon alors qu’elle me couvrait le visage de bisou.
Totalement pris au dépourvu, je me tournait alors vers mon collègue qui avait déjà la queue dans la bouche de celle qu’il me décrivit comme sa secrétaire.
— C’est ça ce qu’elle ne devait pas voir ?— Je me suis dit que passer du temps avec ta nouvelle fiancée te ferait du bien.— Hein ? — Ben écoute, pour le boulot, en ce qui concerne le coté commercial et technique c’est moi qui m’en charge. Par contre pour le recrutement, relations humaines et le sociale c’est ton domaine. D’ailleurs faut que je te remercie pour ma secrétaire, elle est pile comme je la voulais : toujours prête à passer à la casserole.— Je n’arrive pas à y croire.— Il va bien falloir. Quasiment toutes les demoiselles de ce bâtiment sont passées sous ton bureau lors de leur recrutement. Je ne sais pas comment tu fais mais ça marche. A ce qu’il parait t’as plusieurs gamins dispersé un peu partout et d’après ce que je sais tu t’apprêtais à en faire d’autre avec la demoiselle.
Je me tournais alors vers celle qui se blottissait contre moi. Elle avait fait tomber le haut et ….. PFFF ! Elle avait une de ces paires de loche …… Elle se mit à genou pour défaire mon pantalon, attrapa ma queue et commença à sucer.
— Alors ça ne te rappelle pas quelques souvenirs ? me dit alors mon associé qui commençait à prendre sa partenaire en levrette— Euh …. Mais, je suis marié.— Oui et alors ? moi aussi mais on a bien le droit de s’amuser non ? On les paie assez grassement pour ça après tout.
J’étais sur le cul. J’étais devenu ce genre d’homme ? Ça me paraissait surréaliste. J’avais découvert ou plutôt redécouvert le sexe avec ma femme mais je me suis toujours souvenu être quelqu’un de fidèle en toute circonstance. Même si j’étais submergé par le plaisir que me prodiguait cette fille, je l’ai arrêté. Elle fut surprise.
— Mais mon nounours, pourquoi tu veux que j’arrête ? tu ne m’aimes plus ?— Ecoutez, je ne me souviens pas de tout ça. Je ne sais même pas qui vous êtes.— C’est moi Jennifer. Tu m’as dit que tu m’aimais, que tu allais divorcer pour m’épouser et me faire des enfants. Tu as tout oublié ?— Désolé mais oui.— Je vais te rappeler tout ça. Dit-elle en voulant reprendre ce qu’elle faisait— Non arrêtez. lui ai-je dis avant de la repousser sur le sol.— Mais ….— Comprenez-moi. Tout est chamboulé dans ma vie. J’ai besoin de temps.— Je vois …. C’est la vieille qui en a profité pour te récupérer c’est ça ? Très bien, j’attendrais et quand tu en auras eu marre de taper dans le périmé, je suis sûr que tu reviendras vers moi en courant. Rassures-toi, ma porte te sera toujours ouverte …. Comme mon entrejambe d’ailleurs.
Pendant que cette fille s’en allait vexée, je voyais mon associé en train de sodomiser violement sa secrétaire qui semblait en redemander. Je suis sorti prendre un café et je suis revenu quand j’ai vu la demoiselle sortir de la pièce et réajustant sa tenue.
— Bah alors ? Elle ne te plait plus la petite ?— Ce n’est pas ça mais tout est chamboulé dans ma tête.— Ah pourtant, jusqu’à maintenant tout était clair. Tu la baisais tous les jours. Je me souviens même d’une fois où tu lui avais demandé de se mettre sous le pupitre alors que tu voulais faire une annonce au personnel. A un moment, tu t’es arrêté de parler prétextant un trou de mémoire mais moi je savais que tu venais de jouir dans sa bouche pendant qu’elle te suçait.— Vraiment ?— Tu n’imagines pas. Depuis ta crise de la quarantaine et le fait que tu te sois rendu compte de ton pouvoir de séduction, tu couches avec toutes celles qui sont d’accord pour écarter les cuisses.— Je ne me reconnais pas.— Bon parlons d’autre chose. Viens je t’amène à ton bureau.
Il m’a fait faire une visite des lieux et force est de constaté que beaucoup de jeunes femmes me faisaient de l’œil. Il m’a fait aussi un topo sur mon boulot et ça n’avait pas l’air bien compliqué. Je lui ai dit que j’étais prêt, avec son aide, à essayer de reprendre le boulot. Quand ma femme est venue me chercher, elle avait notre fils à l’arrière qui arborait un magnifique cocard. Je lui ai fait la morale et c’est plus tard dans la soirée qu’on a discuté de ce que j’avais vécu dans la journée.
Je venais de comprendre pourquoi elle n’était pas pour mon retour au travail. Elle savait tout simplement que je me tapais tout ce qui porte un soutif au boulot. Elle savait que j’avais eu et que j’avais encore de nombreuses maitresses. Jusque-là elle était parvenue à éviter que les enfants soient au courant mais quand mon fils ainé a su ce que je faisais ça a été pour lui une motivation supplémentaire pour partir travailler loin, très loin de son obsédé de père.
Avec mon neveu, on était très proche et j’ai voulu lui en parlé. Curieusement, il était lui aussi au courant. D’après ce qu’il m’a dit je m’étais souvent vanté devant lui de mes aventures extraconjugales. J’avais honte de ce que j’étais devenu. Peu de temps avant l’accident qui m’avait fait perdre la boule, il m’avait dit que Céline avait tout tenté pour me reconquérir : chirurgie esthétique, plan à trois qu’elle détestait, …. Tout était bon pour me récupérer. C’est quand elle s’est aperçu que je ne changerais pas qu’elle a finalement trouvé le courage de démarrer une procédure de divorce, à contre cœur.
Quand elle a appris que j’avais eu mon accident, il parait qu’elle m’a veillé durant plusieurs jours. Elle m’aimait et moi je m’étais comporté comme le pire des salopards avec elle. Céline m’avoua avoir vu mon amnésie comme un moyen de me récupérer et de repartir à zéro. Même si quelque part elle avait tenté de me manipuler, je ne lui en voulais pas. Au contraire, je l’ai remercié car je n’aimais pas ce que j’étais devenu.
Mon fils qui s’était éloigné de moi parce qu’un jour j’avais commis l’affront de ramener une de mes conquêtes à la maison et qu’il nous avait surpris en pleine action dans le lit conjugal, ne semblait plus aussi distant avec moi. J’ai appris que c’est lui qui avait encouragé sa mère à essayer de me récupérer. Je crois que je ne l’en remercierai jamais assez.
Depuis, Avec Céline, on entend souvent le lit qui grince. Déjà il faut que je me fasse pardonner pour ce que je lui ai fait. Et puis surtout, j’ai toujours l’impression de faire mon apprentissage du sexe. Depuis mon réveil, je n’ai pas retrouvé la mémoire et ça me fait peur. Tout ce que j’ai découvert sur moi me terrifie. Quelque part je n’ai pas envie de retrouver mes souvenirs mais malheureusement j’en ai besoin. Ne serait-ce que pour savoir comment j’ai eu mon accident.
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