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Troublant voisinage

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Je revins en même temps que Lance et nous nous croisâmes dans le couloir. Je me figeai, et il me fixa, un sourire étrange à peine esquissé du coin des lèvres. Le temps me sembla se suspendre et ce qui ne dura probablement qu’une fraction de seconde me parut s’étirer sur des minutes. Je finis par baisser les yeux et lui laisser le passage. Il entra au salon, se dirigea vers son épouse, qu’il embrassa, puis il se baissa vers la mienne, prit son menton, pencha sa tête en arrière, et l’embrassa à son tour à pleine bouche.
— Je suis ravi que tu aies accepté notre offre ma belle, lui dit-il dans un souffle, juste assez fort pour que je puisse l’entendre, quand il eut enfin lâché sa bouche.— Merci Monsieur. Je suis flattée d’être à votre service, répondit ma femme.— Très bien. Je crois que tu seras une parfaite soumise. Nous allons y travailler.— Merci Monsieur.
Monsieur s’assit dans un fauteuil à côté de sa femme. Il porta son regard sur moi, immobile à l’entrée du salon.
— Hé bien ! Tu m’apportes ce verre ?!— Oui oui.— Oui qui ?— Oui... Monsieur, répondis-je la voix tremblante.
Je m’approchai et lui tendis le verre de vin.
— Non, ce n’est pas ainsi que tu nous sers, tu ne dois jamais être dans une position surplombante par rapport à tes maîtres, si nous sommes assis, tu te mets à genoux, les yeux baissés, et tu nous tends avec déférence ce que tu nous apportes. Compris ?— Bien Monsieur.
Je m’exécutai et pris la position demandée, à ses pieds.
— Tu as beaucoup à apprendre, j’espère que tu retiendras les leçons, je ne ferai certainement pas preuve de la même clémence envers une petite fiotte comme toi qu’envers ta délicieuse petite salope de femme, dit-il en se saisissant du vin avant d’en boire une longue gorgée.
Sylvie se tourna vers son mari :

— Chéri, tu as eu une longue journée, puisque désormais, nos soumis sont officiellement à notre service, je te laisse décider de la suite que tu souhaites donner à cette soirée qui se présente si bien.— Merci, ma douce. Oui, la journée a été dure, pour l’instant, j’ai juste envie de me détendre en savourant la scène. Je te laisse prendre en mains notre nouvelle soumise. Son cocu de mari peut faire la même chose pendant ce temps, à genoux au milieu de la pièce.— Tu as entendu ton Maître ?! me lança Madame. Va prendre position.
J’allais me relever pour me rendre au milieu de la pièce, mais sa voix cinglante me coupa dans mon élan.
— Tu ne te redresses pas ! À quatre pattes, comme le chien que tu es.
Et encore une fois, j’obtempérai avec un naturel et une docilité qui me surprirent.Madame retourna ouvrir un tiroir de la commode dont elle avait sorti la cage qui enserrait désormais ma queue. Elle revient avec des pièces de cuir et des chaînes que je n’identifiai pas immédiatement. Elle vint d’abord vers moi, laissa tomber une partie des objets au sol, à côté de moi, puis présenta une pièce de cuir assez large devant moi.
— C’est ton collier de chien soumis. Je vais faire graver une plaque à ton nom que nous fixerons dessus. Il sera accroché dans l’entrée, à chaque fois que tu viendras ici, aussitôt arrivé, tu le mettras autour de ton cou, comme symbole de ta condition.
Elle me le passa et le fixa dans ma nuque, assez serré pour que je sente la contrainte, mais sans que ce soit une gêne. Puis elle ramassa deux bracelets de cuir reliés par des chaînes.
— Mets tes mains dans le dos. Tu seras la plupart du temps attaché quand nous n’attendons rien d’autre de toi qu’être spectateur. Tu as beaucoup de chance que nous te laissions profiter du spectacle, pour l’instant. C’est bien sûr dans un but pédagogique. Il te faut voir pour comprendre que désormais, ta femme nous appartient. Et que tu n’as plus aucun droit sur elle.
Madame me passa les bracelets aux poignets, serrant plus fermement qu’au niveau du collier, la chaîne qui reliait les deux bracelets était très courte, et me laissait peu de latitude de mouvement. Elle accrocha un mousqueton à un des anneaux métalliques qui ornaient le collier, une chaîne plus longue reliait ainsi mes poignets emprisonnés dans mon dos à ma nuque ceinturée de cuir.
— Bien, et interdiction de bouger maintenant.
Madame retourna à la commode, et ce fut cette fois au tour de ma femme de revêtir ses attributs de soumise.
— Ma chère Sarah, dit-elle en lui passant le collier de cuir noir mat autour du cou, ma petite chienne soumise, par ce collier, tu deviens nôtre, à mon mari et moi, entièrement en notre pouvoir, obéissante et servile. Nous sommes désormais tes Maîtres.— Merci Maîtresse.— Bien, embrasse-moi ma belle.
Sarah se redressa alors que Madame se penchait vers elle. Leurs bouches se soudèrent en un long et sensuel baiser. Quand enfin elles s’écartèrent, Madame murmura :
— Ouvre la bouche.
Et elle cracha dedans.
— Avale.
Sarah obéit en rougissant.
— Bien. Place tes mains jointes derrière ta tête, les coudes bien ouverts et écarte les cuisses.
Ma femme se trouvait à genoux, devant sa Maîtresse, nue, le sexe apparent, son collier de soumise ornant son cou, la poitrine offerte. Elle était magnifique. Maîtresse caressa son visage et descendit, ses mains s’attardèrent sur sa poitrine qu’elle caressa délicatement. Puis elle se saisit de ses seins à pleine main, les malaxa, le souffle de ma femme s’accéléra. Maîtresse agaça ses tétons, les tira, les pinça, et ma femme gémit.
— Tu réagis bien ma petite salope. Tu aimes que je joue avec tes seins ?— Oui Maîtresse, j’aime beaucoup.— Est-ce que ça t’excite ma petite chienne ?— Je... Oui Maîtresse.— Bien.
Maîtresse retourna à cette fameuse commode que je découvrirais plus tard être un vrai coffre à plaisirs et tortures, recélant mille et une surprises. Je ne vis pas ce qu’elle en sortit. Revenue vers Sarah, elle se remit à jouer avec ses seins, qu’elle prit à nouveau, les enserrant de ses longs doigts, les tordant, arrachant une grimace et un gémissement à ma femme.
— Chuuut ma belle. Apprends à subir en silence, tu n’as encore rien vu. Je te ferais bien pire, et tu aimeras ça.
A nouveau, elle tira sur ses pointes dressées, les étira, les tourna. Sarah haletait et je pouvais voir sur son visage ses efforts pour maîtriser la douleur. Puis, d’un geste, Maîtresse ferma deux pinces sur les tétons de Sarah. Sa bouche s’ouvrit dans un cri étranglé sous le coup de la douleur. Ses seins étaient désormais reliés par une chaîne qui semblait assez lourde, alors que de grosses pinces métalliques mordaient et écrasaient ses tétons distendus. La respiration de Sarah se fit haletante.
— Oui, tu es magnifique ainsi ! N’est-ce pas chéri ?— Elle est très belle oui, ce bijou lui va à ravir.— Comment te sens-tu ma belle ? demanda notre Domina.— Je... les mots sortaient de la bouche de Sarah dans un souffle un peu rauque et tendu. C’est douloureux, Maîtresse.— Bien sûr, c’est le but. Mais encore ? Comment décrirais-tu cette sensation dans ta poitrine ?— Je sens mes seins... lourds, pesants, tendus et... excités. Je... Je dois avouer qu’il y a un certain plaisir qui se mêle à la souffrance.— Parfait ! C’est ce que je voulais entendre. Tu es sensible des seins, c’est bien, nous allons beaucoup jouer avec, et tu gémiras, crieras parfois, sans savoir si c’est de douleur ou de jouissance, bientôt, ce seront deux faces d’une pièce que tu réclameras ma petite chienne.— Merci Maîtresse.— Tu sais quoi Lance ? Je la trouve merveilleusement excitante ainsi offerte, pas toi ?— Tout à fait, elle est délicieuse.— Tu ne veux pas en profiter ? J’ai envie de voir ta queue dans sa bouche.— Hummm... pourquoi pas oui.
Lance se leva, s’approcha de Sarah. Il tourna autour d’elle comme un prédateur autour de sa proie. Il prit la chaîne d’un doigt et la tira vers le haut. Sous la force de la traction qui distendait ses seins torturés, Sarah gémit et se souleva.
— Tu ne bouges pas salope ! Tu subis en tenant la position qu’on t’a indiquée jusqu’à nouvel ordre.
La voix de Lance était ferme et autoritaire, le ton grave. Sarah rougit et reprit sa position. Lance recommença à jouer avec la chaîne jusqu’à tirer un petit cri bref et étouffé à ma femme. Puis il se plaça devant elle. Ainsi à genoux, Sarah avait le visage juste à la hauteur de l’entrejambe de son Maître. Il défit sa ceinture, ouvrit son pantalon, et sa queue à demi-bandée et déjà de taille respectable apparut. Ma femme ouvrit la bouche et s’approcha, s’apprêtant à enserrer la queue offerte avec ses mains.Une gifle tomba, pas très forte, mais sonore. Sarah sembla plus surprise qu’autre chose.
— Je viens de te dire de ne pas bouger sauf ordre contraire ! Qu’est-ce que tu n’as pas compris ? C’est pourtant simple non ? — Oui Maître. Je suis désolé.— Reprends ta position ! Mains derrière la tête. Tu as si faim de queue que ça ? Tu ne peux pas te retenir ? Aussitôt que tu en vois une, il faut que tu te jettes dessus comme une chienne affamée sur un os ?
Sarah avait le regard baissé, elle était rouge de honte.
— Je viens de te poser une question !— Non Maître.— Non quoi ? — Non, je ne suis pas... je n’ai pas... faim de queue au point de ne pas pouvoir me retenir.— Mais tu la veux ? Ma queue, dans ta bouche de salope ?— Oui Maître.— Tu vas devenir une vraie chienne affamée de queues, crois-moi, incapable de se retenir. Nous allons te dresser pour ça, et c’est nous qui tiendrons la laisse qui te retiendra, et te libérerons quand nous le souhaiterons. Tu as compris ?!— Oui Maître.
Lance branla doucement son sexe devant le visage de Sarah. Maîtresse regardait le duo depuis son fauteuil, souriante, appréciant le spectacle. Pour ma part, je réalisais que mon sexe forçait pour grossir dans la cage qui l’enserrait, à un point que c’en était douloureux. Cette scène m’excitait au plus haut point, et c’était une torture, physique et mentale.Lance tapota doucement le visage de Sarah avec son gland turgescent. Puis il le présenta à ses lèvres.
— Ouvre.
Sarah ouvrit la bouche en grand, et, lentement, Lance pénétra à l’intérieur, jusqu’à provoquer un haut-le-cœur à ma femme. Il recula un peu.
— Il va falloir apprendre à la prendre plus loin que ça. Tu vas devenir une bonne suceuse, en gorge profonde.
Il renforça l’intromission, avec le même résultat, un peu de salive coula sur le menton de Sarah.
— Tire la langue le long de ma queue quand je pousse, et détends-toi, laisse ma queue te prendre la gorge.
Et il reprit, baisant doucement la bouche de ma femme de son sexe de plus en plus gros et dur qui lui distendait les mâchoires. Plusieurs fois, ma femme eut des haut-le-cœur. Elle bavait désormais assez abondamment, et des filets de salive reliaient sa bouche à sa poitrine distendue par la chaîne. Sarah basculait un peu sous les assauts et faisait de son mieux pour tenir sa position tout en prenant le plus loin possible cette bite insatiable. Lance mit ses deux mains sur sa tête et appuya, forçant un peu plus encore, les deux tiers de queue enfouis dans la bouche, la gorge de ma femme qui sembla étouffer dessus. Puis il la relâcha et recula un peu. Sa queue était luisante de salive, des filets pendaient entre ce sexe dur et la bouche de ma femme.
— Tu as encore des progrès à faire, mais ça va venir, nous allons te former.
Sarah reprit une grande goulée d’air, elle avait les larmes aux yeux et haletait.Maîtresse se leva et se baissa vers elle.
— Tu aimes la queue de mon mari salope ? Tu aimes qu’il te baise la bouche ? — Oui Maîtresse. Merci Maîtresse.— Tu veux apprendre à la prendre tout entière, jusqu’aux couilles ?— Oui, s’il vous plaît Maîtresse, apprenez-moi.— Bien, nous allons faire de toi une bonne suceuse. Ecarte bien les jambes ma pute.
Sarah écarta les cuisses, exposant son sexe rose. Maîtresse y passa la main, qui réapparut, luisante.
— Notre chienne est trempée, elle a aimé le traitement on dirait. Pas de doute, on a trouvé une vraie petite pute.— Je n’en doutais pas, tu as un don pour les repérer.
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