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Un truc qui cloche

Chapitre 1

Hétéro
C’est quoi qui me réveille comme ça ? Des limbes de mon sommeil, je comprends lentement qu’on frappe à ma porte. Quelle heure est-il ?
— Bordel. Il est 6h...
Bon je me recouche. L’importun va bien s’en aller. Mais il ou elle insiste lourdement. C’est pourtant une résidence tranquille ici. Je me lève, je le fais dégager et après je retourne au pieu. Arrivé derrière la porte, je ne pense même pas à regarder par le judas avant d’ouvrir tout près à hurler sur l’emmerdeur mais il n’y a personne. Une mauvaise plaisanterie sans doute. Pourtant ça frappe de nouveau. Ça vient d’où ? De la porte-fenêtre du séjour. Je m’y rends et ouvre les volets roulants.Lentement, je découvre une femme, trente-cinq ans environ, donc une bonne dizaine d’années de plus que moi. Elle a des cheveux noirs et un corps avec des rondeurs un peu trop marquées pour moi mais ça reste appétissant. Surtout qu’elle ne porte qu’un caraco et un shorty en soie ou une matière similaire. Abasourdi je lui ouvre et je dois la regarder avec un air d’ahuri. Il fait encore nuit et très frais; elle doit se les cailler grave. Que fait-elle ici dans cette tenue sur mon balcon ? Et surtout, qui est-ce ?
— Euh... Bonjour. Vous êtes Julien ? Je suis une collègue de Pauline.
D’accord, Pauline est ma voisine de palier, mais ça ne m’éclaire pas vraiment.
— Oui...— Je peux entrer ? J’ai froid...
L’air frais me prend aussi au visage et me réveille.
— Oui, oui. Entrez.— Merci.
Elle rentre en trottinant de ses pieds nus. Je referme derrière elle et regarde son popotin se dandiner gracieusement. Elle se retourne et commence à m’expliquer que suite à des travaux chez elle, Pauline l’héberge temporairement. Elle s’appelle Katia et est infirmière, comme ma voisine. Mais Pauline est beaucoup plus proche de la retraite qu’elle. Katia enchaine en me disant que ce "con" de chat s’est mis à gratter à la porte-fenêtre pour rentrer. Elle lui a ouvert mais il a eu peur d’elle et a reculé. Elle est sortie sur le balcon pour l’amadouer. Ce roublard en a profité pour entrer et claquer la porte au passage. Katia s’est retrouvée coincée sur le palier et a pensé à frapper chez moi en enjambant la séparation de nos balcons.Pauline lui a dit que j’étais gentil et serviable. C’est vrai qu’on prend des nouvelles, le courrier. Je monte ses courses parfois aussi. Rien d’extraordinaire entre voisins. Là, je suis bien payé, j’ai une jolie femme peu vêtue dans mon séjour. Je suis attiré par ses tétons qui pointent sous le tissu soyeux.
— Et donc voilà. Merci. Je n’ai plus qu’à attendre que Pauline rentre de sa garde. Tu m’écoutes ?— Hein ? Heu, oui. Pardon. Je ne suis pas encore bien réveillé.— Pas de partout à ce que je vois..., susurre-t-elle mutine.

Je suis son regard noisette des yeux pour tomber sur, peut-être, la plus belle érection matinale de toute ma vie. Je suis simplement en caleçon, il fait chaud chez moi, et celui-ci a un chapiteau magistral sur le devant. Mon sexe veut se déployer un peu plus et je sens le gland qui veut se faufiler par le bas.
— Heu. Désolé, dis-je.— Oh. Ce n’est rien... Mais c’est intéressant...— Heu... Un café pour se réchauffer ?
Je sens que je suis rouge de confusion. Mais Katia a les yeux qui pétillent d’envie. Je devrais me sentir gêné mais je bombe le torse et met en avant mon bassin. C’est complètement con mais elle sourit de plus belle. Katia fait un pas vers moi et avec une voix lascive me dit :
— Je connais un meilleur moyen pour se réchauffer...
Elle finit par se coller à moi et elle plaque sa main sur ma bite. Ses seins s’écrasent contre mon torse et je la sens toute chaude de désir. Mon cerveau se met à disjoncté complètement.
— Y a un truc qui cloche, me dis-je cent fois à moi-même.
Ce vendredi matin, une nana a débarqué sur mon balcon en petite tenue. Et après quelques paroles, elle a déjà la main sur mon paquet. Je suis dans un film porno ? On me fait une blague ? C’est une caméra cachée ? Pleins de questions se bousculent dans mon cerveau en une fraction de seconde. Pendant ce temps mon autre cerveau a pris les choses en main. Je m’aperçois d’un coup que Katia vient de faire tomber mon caleçon à mes pieds. J’ai rarement eu un sexe en aussi belle forme, il me semble. Je n’en reviens pas.Tout comme j’ai du mal à croire que j’ai fait glisser les bretelles de son caraco et que je suis en train de téter avidement ses seins. Ma main droite est partie en automatique à l’intérieur de son shorty et vient caresser une chatte trempée et imberbe. Ah non, il y a quelques poils, sûrement un ticket de métro. Je décide de jeter au loin mes doutes et de profiter de ce coup de chance. Je suis célibataire depuis quelques mois et mon job ne m’a pas laissé le temps de trouver une nouvelle copine. En plus, aujourd’hui j’ai pris ma journée, j’ai donc tout mon temps.
— Profite de l’instant mon Juju. On verra après, me dis-je.
Je me lance à corps perdu dans ces ébats torrides. Katia me masturbe avec habileté et énergie. De mon côté, je joue avec son bouton tout en bécotant ses seins. Elle m’attrape par les cheveux et vient me rouler une énorme pelle. Nous sommes nus au milieu du séjour à nous caresser comme des fous. Katia ne semble pas vouloir s’arrêter là et moi non plus. Mais évidemment, je n’ai pas prévu de capote. Il doit bien y en avoir une pas trop loin...Bingo ! J’ai laissé traîner mon blouson sur une chaise. Je dois bien avoir une capote dans mon portefeuille. Je pivote et entraîne Katia avec moi. Elle me suit en ronronnant et elle n’hésite pas à me pousser contre la table. Elle m’embrasse le torse, dans le cou et me branle. J’en profite pour fouiller mes poches et tombe sur mon portefeuille. Un préservatif est bien là. Je le sors et jette mon portefeuille sur la table. Katia me voit avec l’objet en main et me susurre sensuellement :
— Voilà un homme prévoyant. Ne bouge pas je vais le mettre.
Elle me prend le préservatif des mains et déchire la protection pour en sortir la capote. Katia s’accroupit et je peux enfin admirer son sexe. Ses cuisses grandes ouvertes me permettent de me délecter de son sexe brillant de mouille. Et au passage, j’avais raison : c’est bien un ticket de métro. Pendant ce temps elle a posé le préservatif sur mon gland. Au lieu de le dérouler normalement, elle me fait un clin d’œil et gobe le tout. Avec une habileté peu commune, elle déroule le capuchon tout en me suçant la queue. Je râle et je souffle tellement c’est bon. Elle ne s’attarde pas trop sur cette fellation. Elle doit sentir que je risque de me vider dans la protection en latex. L’infirmière se relève et se frotte contre moi.
— Allez. Viens me la mettre...— J’y compte bien.
Je me surprends en la retournant et en la plaquant à plat ventre sur la table. Son cul me fait face et je prendrais bien le temps de plonger mon visage entre ses globes légèrement adipeux. Mais j’ai trop envie de la tringler sauvagement. Je lui fais écarter les jambes et je prends en main ma queue. Je vois son sexe gluant de mouille et j’y plonge avec un cri rauque. Elle râle de plaisir et je commence un pilonnage en règle. Je me découvre une fougue et une énergie que mes partenaires précédentes n’ont pas connues. En même temps la situation est particulière. Katia gémit, couine, feule et m’encourage à la défoncer, à la baiser, à la ramoner, selon ses propres mots. J’ai envie de me déchaîner sur elle sans me soucier de précaution. Je chope ses beaux cheveux noirs et la tire en arrière. Mon autre main s’enfonce dans la chair moelleuse de son postérieur. Je me sens dominateur et puissant. Je me déchaîne comme une bête de sexe sous les suppliques de Katia d’y aller plus fort. J’ai vite mal aux abdos et au dos. Je suis stupéfait de ne pas avoir encore joui. Katia, elle, semble demander grâce et réclamer plus en même temps. Soudain ses cris se font plus forts, elle jouit comme une louve qui hurle à la lune. Son vagin se contracte et enserre mon sexe dans un étau délicieux. Je craque à mon tour et je remplis le réservoir de la capote. Épuisé et essoufflé, je prends appui sur la table. Je sors de son vagin et Katia se redresse sur les coudes pour reprendre ses esprits. Nous nous relevons encore rouges de cette baise rapide mais intense. Tout à coup, je me rappelle que j’ai un double des clés de Pauline :
— J’y pense ! J’ai un double des clés !— Dis donc, c’est seulement maintenant que tu y penses ? me taquine-t-elle.— Heu... Oui, tout est allé vite alors... Je les ai oubliées.— Je préfère autant comme ça... Je viens de passer un excellent moment. Alors elles sont où ?— Dans le vide poche près de l’entrée.
Sur mon indication elle trouve le trousseau. Elle attrape sa lingerie et elle ouvre la porte d’entrée. Elle vérifie qu’il n’y a personne et traverse élégamment le palier en tenue d’Eve. Avant d’entrer dans l’appartement de Paulin, elle me fait un petit au revoir de la main. Moi, je reste comme un con au milieu du séjour, à poil et la queue dans une capote remplie de sperme; avant de me décider à aller fermer la porte d’entrée.
* * *
Je sors de la douche et repense à ce qu’il vient de se passer. C’est à peine croyable surtout que je ne risque pas de croiser Katia à nouveau. Je passe côté cuisine et me prends un gros petit-déjeuner. Tout ça m’a donné une de ces faims. Je dévore comme un ogre mais je finis par me calmer. Jamais mes potes ne me croiront. Moi le petit Julien sympa mais timide avec les filles.
— Garde ça pour toi, me dis-je.
Ma conscience a raison. Si je m’en vante on ne me croira pas et on se foutra de moi. Donc autant garder ce souvenir pour moi. Ça fait vingt minutes que je suis sorti de la douche et je me balade avec juste ma serviette autour de la taille. Il faudrait peut-être que je m’habille. Il est encore tôt et la luminosité reste faible dehors. Malgré les volets que j’ai ouverts, il faut que j’allume la lumière de ma chambre. L’hôtel qui est en face a quelques chambres d’allumées. Je jette un œil par curiosité et par habitude. Pas grand-chose au même étage que moi ou à celui d’en-dessous. Je lève les yeux et je ne vois rien de spécial jusqu’à la fenêtre au troisième juste à ma droite. Les fenêtres de cet hôtel moderne partent du sol et montent au plafond. Ce sont plus des baies vitrées que des fenêtres d’ailleurs. Je vais pour passer aux fenêtres suivantes quand elle sort de sa salle de bain.C’est une femme noire plutôt grande et svelte a priori. Elle a pris une douche, ses cheveux afros brillent de gouttelettes d’eau. Elle a une serviette autour de la poitrine. Je ne suis pas trop fan des noires mais elle est attirante avec sa démarche athlétique et féline. Je ne peux détacher mes yeux d’elle. Je réfléchis rapidement, elle doit faire partie d’une délégation qui vient au parlement européen. Je n’habite pas très loin et on voit souvent des gens étrangers qui séjournent dans cet hôtel. Il est classe mais pas luxueux donc on croise surtout des pays d’Afrique ou d’Asie du Sud-est. J’ai vu des drapeaux dans l’entrée de l’hôtel en passant devant. Je ne suis pas calé en géographie mais il me semble avoir reconnu celui du Bénin ou du Mali. Peut-être même le Sénégal ou le Cameroun, je ne suis pas sûr s’il y avait une étoile.Sur ces réflexions, je la vois aller et venir la main à l’oreille. Elle doit téléphoner. Je prie pour que dans ses mouvements brusques la serviette tombe. Mais il n’en est rien et elle finit par jeter le smartphone sur son lit. Elle se dirige vers la baie pour tirer les rideaux. Elle regarde la vue un instant et m’aperçoit. Au lieu de s’offusquer d’être la cible d’un voyeur, elle me sourit de me menace gentiment de la main d’une bonne fessée. L’idée me trouble tout de suite. Ma queue se réveille immédiatement. Je lève les épaules en signe d’excuse en lui envoyant mon plus beau sourire. Elle commence par y répondre avant d’avoir une expression choquée sur le visage. Ma belle inconnue pointe son doigt vers elle. Je crois qu’elle dit :
— C’est moi ?— C’est elle quoi ? me dis-je. De quoi parle-t-elle ?
Elle voit que je ne comprends pas et réitère son geste puis passe sa main sous sa serviette pour faire une bosse au niveau de son pubis. J’en profite pour apercevoir une cuisse noire finement musclée. J’apprécie la vue et je comprends qu’elle sait que je bande mais je ne sais comment lui répondre. Elle a l’air d’avoir envie de savoir que je lui fais de l’effet. Je hoche lentement et ostensiblement la tête. Je n’ai rien à perdre ni à gagner, il me semble. Lorsqu’elle retire sa main de sous sa serviette, elle le fait un peu brusquement et me dévoile beaucoup plus sa cuisse. Mon sourire s’élargit en conséquence.La jeune femme, encore que jeune je n’en sais rien, c’est difficile à dire à cette distance, semble le remarquer. Je la vois scruter attentivement ma façade. Elle vérifie s’il n’y a pas d’autre voyeur ? C’est ce que je suis à ce moment-là, après tout. Elle regarde la rue en bas et recule de deux pas. Je la vois encore très bien et elle a toujours une vue plongeante vers ma chambre. Là, au lieu de mettre fin à notre dialogue muet, elle écarte doucement sa serviette et me dévoile sa cuisse comme si elle portait une robe fendue. J’y crois à peine... Une totale inconnue est-elle en train d’entamer un strip-tease sous mes yeux ?
— Non mais... Qu’est-ce qui cloche ce matin ? me demandé-je tout haut.
C’est vrai, d’abord Katia et puis maintenant la diplomate africaine. Et puis, je me dis qu’il faut que je profite de cette séance. La Béninoise (tiens je viens de me souvenir du drapeau) semble vouloir jouer. Alors jouons. Je lui fais signe d’un pouce levé que j’aime la vue et que j’aimerais voire l’autre jambe. Pas de chance pour moi, elle le fait en riant mais avec assez de précaution pour ne me montrer que ça. J’applaudis tout de même car j’aime ce que je vois. Elle me remercie d’une révérence.
— Encore ! Encore ! crie-je de façon muette.
La Béninoise semble comprendre ce que je dis. Elle se demande quoi faire mais elle se mordille la lèvre d’un air coquin. Elle se tourne et je crois qu’elle va s’en aller. Mais non, elle attrape le drap de bain et le remonte lentement. A mesure qu’elle me dévoile ses cuisses, mon sexe se gorge de sang. Je bande comme un taureau et ma queue est assez forte pour soulever ma propre serviette. De son côté, elle est arrivée à la lisière de ses fesses. Je peux apercevoir le pli de son cul. Elle regarde par-dessus son épaule et elle commence à redescendre la serviette. Mais elle s’arrête, ses yeux s’écarquillent largement. Ce n’est quand même pas mon chapiteau qui lui fait cet effet. Elle a dû en voir d’autres de plus gros calibre.En tout cas, j’en profite pour lui faire comprendre par geste que je voudrais qu’elle me montre son cul. Elle me fait d’abord non de la tête puis elle me montre du doigt puis ses yeux. Ok, elle veut voir mes fesses aussi. Sans doute emporté par l’excitation, j’acquiesce fébrilement. Comme elle, je me tourne et remonte mon drap de bain. Quand j’en viens au même point qu’elle je regarde si elle est toujours en position. C’est le cas alors je décide de montrer ma bonne volonté et je continue. Arrivé à la moitié de mes fesses, la belle noire entame son exhibition. Son cul est ferme, petit et foutrement excitant. Nous poursuivons l’un et l’autre pour finir avec la serviette sur les reins. Elle semble apprécier la vue tout autant que moi. Je ne pense pourtant pas avoir un beau cul ou un corps attirant pour la gente féminine. Enfin ni plus ni moins que n’importe quel mec.Ma voisine d’en face fait retomber sa serviette, fin du spectacle. Nous nous faisons face et j’applaudis de nouveau tout en lui envoyant des baisers. Elle est touchée et fait de même. Je pense que nous allons arrêter-là mais elle reste devant la baie. Je me dis qu’au point où nous en sommes je peux bien tenter le tout pour le tout. Je lui fais signe que je voudrais voir le devant. Je vois un "oh" mi-choqué, mi-amusé se dessiner sur ses lèvres. Elle se tapote les lèvres, elle semble réfléchir.Je prends ma serviette en main comme si j’allais la retirer. L’Africaine fait un pas en avant, elle est intéressée. Je dénoue ma serviette et l’ouvre en partie. Mais je m’arrête et elle est déçue. D’un signe de tête, je lui fais comprendre que je l’attends. Elle ne réagit pas, alors, très lentement, je commence à refermer le pan que j’ai ouvert. Elle se décide soudainement et attrape sa serviette au niveau des seins. Je stoppe mon mouvement et patiente. Je lui lance le sourire le plus charmant que j’ai en catalogue. Elle me le renvoie et dénoue sa serviette. Elle la maintient plaquée sur sa poitrine, la manipule un peu. Puis elle l’ouvre comme moi.La petite roublarde a fait tourner sa serviette pour que le pan qui reste contre elle ne dévoile rien. C’est bien joué, de toute façon je ne dévoile pas le principal non plus. Nous ouvrons en grand ce premier pan de drap. La tension sexuelle est à son comble, je bande comme un beau diable. Je me demande si elle mouille de son côté. Je vais pour me montrer mais elle prend les devants. Je ne veux pas qu’elle stoppe pour m’attendre, elle pourrait reprendre ses esprits et tout arrêter. Alors je la suis dans ce mouvement. Rapidement je découvre un premier sein, pas très gros, en forme de pomme avec un mamelon bien sombre au milieu. J’en baverais presque tellement je veux le sucer.
Nous ne nous arrêtons pas en si bon chemin. Nous finissons par nous dévoiler totalement. Je jette la serviette devant moi et m’exhibe fièrement. Je suis pourtant loin d’avoir une telle assurance avec mon corps en temps normal. Mais là, je suis loin de la normalité. Je me sens bien, fort, exhalant une virilité dont je n’ai pas l’habitude.En face, ma partenaire d’exhibition est tout aussi nue que moi. J’admire ses courbes athlétiques, sa peau noire brille aux lumières des réverbères encore allumés. Ses deux seins sont parfaitement identiques et parfaitement appétissants. Ses cuisses et ses fesses m’avaient laissé deviner un corps tonique, j’étais loin du compte. C’est presque à l’opposé de ce que j’ai vu chez Katia mais tout aussi plaisant. On devinerait presque ses abdominaux, je n’aime pas forcément cela chez une femme ou un homme, mais là cela m’excite énormément. Je descends mon regard et vois son pubis orné d’un triangle de poils ras. C’est très beau, je voudrais bien plonger ma langue vers cette fente que je devine trempée. Même de là où je suis, je vois qu’elle est humide, et pas qu’un peu. Je ne sais comment lui dire qu’elle est splendide.C’est ma queue qui trouve la meilleure façon. Elle tressaute et salue la demoiselle. Celle-ci esquisse un sourire. Elle se passe les mains sur le ventre, les cuisses... Va-t-elle aller vers des endroits plus intimes ? Je ne m’en rends pas compte tout de suite mais j’empoigne mon sexe sans pour autant le masturber. Elle finit par le voir et une de ses mains vient jouer avec ses seins. Elle les caresse, agace ses tétons ou tire dessus. Je n’en peux plus et entame une lente masturbation. La Béninoise semble subjuguée par ce que je fais. Son autre main descend entre ses cuisses et vient caresser son sexe. Mais sa main me cache le plus excitant.Je me penche d’un côté et de l’autre mais je ne vois rien de mieux. Elle comprend que je voudrais en voir autant qu’elle car je la vois tendre le pied à gauche et tirer à elle la chaise du petit bureau de la chambre. Elle pose son pied sur le siège et je peux enfin admirer son sexe. Les lèvres sont très sombres, comme sa peau. Mais elle les écarte pour se donner du plaisir et j’aperçois des flashs roses des chairs de sa chatte. Son clitoris est rose lui aussi, il semble petit, sortant peu de son capuchon. Encore qu’à cette distance, je peux me tromper.Il n’y a plus de demi-mesure entre nous. Nous nous masturbons avec frénésie aux yeux de l’autre. Peut-être même aux yeux d’autres habitants des immeubles et de l’hôtel; mais franchement, je m’en fous royalement. Je m’astique le manche à une vitesse folle, je me malaxe les couilles en même temps. En face, ma partenaire triture toujours ses seins. Ses doigts ont cessé de jouer avec sa chatte et elle en fait aller et venir deux dans son vagin. J’ai l’impression d’entendre les floc floc produits par toute la cyprine qui coule de son con. Nous ne nous lâchons pas du regard. C’est d’un érotisme incroyable.J’explose tout à coup. Mon sperme gicle avec puissance et atteint même la vitre qui est à plusieurs dizaines de centimètres. Je donne des coups de reins et je râle bruyamment. Mon amie d’exhibition lâche ses seins et vient exciter son clitoris à toute vitesse. Je n’ai pas fini de jouir qu’elle part aussi. Je vois des traits de mouille couler en abondance le long de ses cuisses, voire même gicler au sol. Elle tremble d’un peu partout et semble à bout de souffle. Elle s’assoit sur la chaise et me regarde en se léchant les doigts. Je ne sais pas pourquoi je fais ça mais je l’imite. Je n’ai jamais goûté mon sperme mais la situation m’a trop excité. Ce n’est pas si mauvais en fait.
Je la vois reprendre ses esprits et elle attrape quelque chose sur le bureau. Son téléphone ? Non une télécommande, les rideaux se ferment lentement. Je grave dans ma mémoire cette image. Elle me fait un petit au revoir et me lance un baiser. Je lui en lance un également et lui fait un dernier coucou avant que le rideau ne la cache à ma vue. Je fais descendre les volets électriques de ma chambre. Fin du spectacle.
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