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Un truc qui cloche

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
J’ai repris une douche et j’ai tout nettoyé. J’ai regardé vers l’hôtel mais soit les rideaux étaient tirés soit la chambre était vide. J’ai même vu plusieurs personnes monter dans des minibus avec leurs bagages. Je n’ai pas vu ma copine mais je crains qu’elle ne soit partie avec les autres. Tant pis, en même temps je ne crois pas qu’elle a envisagé de me revoir. Moi non plus d’ailleurs. J’ai du mal à croire à ce qu’il vient de m’arriver. Deux fois !Comment ça a pu m’arriver à moi ? Je bois un second café et mon cerveau surchauffe. Ce n’est pas normal tout ça. Pourquoi ça m’arrive ? Non que je le regrette mais c’est étrange quand même. Il faut que je sorte prendre l’air... Je vais aller faire mes courses. Je m’habille enfin, je prends mon blouson, des sacs de courses et c’est parti. Dans le hall de l’immeuble, je croise Pauline qui rentre de sa garde de nuit. Un petit bonjour amical et c’est tout. Tout rentre dans la normale. Avant de sortir, je jette un œil en arrière. Pauline regarde si elle a du courrier. Elle n’est pas mal pour son âge. Elégante et svelte.
— Bon, Julien arrête. Ça va dégénérer, me dis-je.
Je me détourne mais je vois dans le reflet de la porte de l’immeuble que Pauline me scanne des pieds à la tête. Elle s’arrête même sur mes fesses un instant. Je préfère filer en me demandant si elle fait ça depuis longtemps ou si c’est cette journée bizarre qui continue ? Je me rends à ma voiture, je démarre et sors du parking en direction du centre commercial où j’ai mes habitudes. Je conduis mais je suis perturbé. Je suis à deux doigts de griller un feu rouge. Il faut que je me calme. J’arrive enfin au centre commercial.Il n’est pas trop grand et ça me convient très bien. Le supermarché, quelques boutiques, une blanchisserie... Bref, l’indispensable mais pas de superflu. Je suis encore tout chamboulé. Il faut que je me change les idées. Je décide de laisser mes sacs dans la voiture et de faire les quelques boutiques en premier lieu. Il n’y a pas grand monde en ce vendredi matin. La galerie vient d’ouvrir, il est assez tôt finalement. Je flâne mais j’ai toujours les évènements de la matinée en tête. Je fais un magasin de maroquinerie puis un de fringues. Je me rends dans un magasin de chaussures un peu cher pour moi et un peu trop chic. Je fais le tour et la vendeuse vient me voir :
— Vous avez besoin d’aide ?
Elle est plutôt ronde cette jeune femme. Elle doit avoir mon âge je dirais. Ses rondeurs sont tout de même bien trop marquées pour moi. Je ne peux quand même pas ignorer les arguments mammaires qu’elle avance.
— Wahou ! Quels obus ! me dis-je.
J’y mettrais bien mon visage ou ma bite. Je rougis en pensant qu’elle a dû remarquer mes yeux baladeurs. En les relevant, je la vois lever un sourcil l’air de dire :
— Ça va ? Je ne vous gêne pas ?
Mais heureusement elle me repose la question et j’attrape la première chaussure venue :
— Heu, je voudrais essayer cette paire. En 45...— Oui. Bien sûr... Ah, voilà. Tenez, me dit-elle en me tendant une boîte.
Je la prends et cherche du regard un banc pour faire l’essai. Elle pouffe devant mon air perdu et désorienté.
— Ici. Allez, je crois que vous allez avoir besoin d’aide.
La vendeuse me pousse presque vers le banc et m’assoit de force. Elle s’accroupit devant moi, heureusement pour elle qu’elle porte un jean noir sinon j’aurais une vue imprenable sur son entrejambe. Par contre la vue sur son décolleté très bien fourni ne m’échappe pas. J’essaye de détourner le regard mais ce n’est pas si facile...
— Quel pied ?— Heu, le droit...
Elle sort la chaussure droite et j’enlève la mienne. En me penchant j’ai l’impression d’avoir le nez entre ses énormes seins. Son parfum est assez léger et agréable.
— J’aime beaucoup votre parfum, lui dis-je.— Merci. Mais je crois qu’il n’y a pas que ça que vous aimez, non ?— Euh, désolé. Oui, c’est vrai. Je vous promets de faire attention.— Je vous crois. Fermez les yeux, si vous pensez craquer.
Je rigole, un peu gêné, mais elle semble ne pas m’en vouloir. Je me détends et la laisse me mettre la chaussure, elle fait ça avec délicatesse. Je sens même sa main remonter le long de mon mollet. Je regarde avec étonnement ma vendeuse mais elle est concentrée sur le laçage. Je scrute ses seins mais je me dis que je ferais mieux de fermer les yeux.
— Voilà. Comment vous sentez-vous ?— Heu... Bien, je nage un peu en largeur mais la longueur c’est bon.
Elle prend la chaussure, la bouge, l’ajuste.
— Oui en effet. On va tester le 44. Pour voir.
Elle se lève et se dirige vers les boîtes pour prendre la bonne taille. J’en profite pour mater son cul XXL. Je n’aime pas trop les formes aussi importantes mais elle a une taille bien dessinée. De dos son cul ressort bien et c’est pareil devant pour sa poitrine. Quand elle revient je me focalise sur son visage pour ne pas paraître obsédé par ses nichons. Ses traits sont harmonieux, trop ronds pour mon goût habituel. Mais son air joyeux a quelque chose d’attirant. Elle a aussi de très beaux yeux noirs.
— Vous n’avez pas enlevé votre chaussure, me gronde-t-elle gentiment.— Pardon. J’ai la tête ailleurs.— Pas que la tête... Bien, ne bougez pas.
Et la voilà qui ôte ma chaussure pour me mettre celle que nous sommes en train d’essayer. Elle relève la tête de temps en temps et je me force à regarder ailleurs ou à fermer les yeux. Je me demande si elle ne s’amuse pas de me voir me torturer. La jeune femme me fait me lever et faire quelques pas. Je sens son regard s’attarder sur moi. Elle me reluque et je ne suis bizarrement pas gêné, plutôt flatté. Par contre niveau gêne, ce n’est pas génial du côté des pieds.
— Ça ne va vraiment ni d’un côté ni de l’autre, lui dis-je.— Je suis navrée.
Je vais devoir quitter ma vendeuse aux gros seins. Dommage... Cette journée continue dans la bizarrerie. Ça sonne faux, ça cloche. Mais bordel que c’est bon. Allez, je me lance on va bien voir.
— Peut-être qu’une autre paire conviendrait mieux. Que me conseillez-vous ?
Un sourie éclatant illumine son visage.
— Oui. Persévérons. Cela serait dommage de ne pas trouver chaussure à vos pieds..., me lance-t-elle suavement.
Ma vendeuse se lève et va chercher quatre boîtes différentes. Soit elle veut vraiment me vendre une paire de pompes, soit elle veut autre chose. Dans une journée normale j’aurais penché pour la première solution. Aujourd’hui... Elle met les deux chaussures de cette nouvelle paire. Visiblement c’est du 45. Je sens surtout qu’elle en profite pour me caresser les pieds, les chevilles, les mollets. C’est un toucher assez sensuel et je me mets à bander. Quand je me lève pour faire quelques pas, je vois qu’elle remarque mon début d’érection. Elle essaye de le cacher mais elle rougit et a un petit sourire satisfait. Elle joue avec moi ? Eh bien, jouons. Je me rassieds et tente de la troubler :
— Désolé j’ai des pieds longs. Comme autre chose...— J’ai vu, répond-elle.
Elle ne veut pas aller si vite mais elle ne me renvoie pas dans mes vingt-deux. Elle retire cette paire et va pour en mettre une autre. Je me laisse faire et savoure. J’entends des pas derrière moi, au bruit ce doit être une cliente potentielle.
— Puis-je vous aider ? demande ma vendeuse.— Non, ça ira, répond la femme.
Elle navigue un peu dans le magasin et finit par sortir. Ma vendeuse retourne à son client, moi. Elle met une nouvelle paire et ses mains s’attardent bien trop sur moi. Elles remontent même le long de mes jambes. Et même beaucoup trop haut pour une vendeuse de chaussures. Heureusement que je suis dos à la galerie et aux flâneurs. Ma gaule prend de l’ampleur et elle s’en délecte. Je continue d’éviter de plonger mes yeux dans son décolleté. Ce n’est pourtant pas l’envie qui me manque. Mais elle semble vouloir jouer selon ses règles.Nous essayons ainsi plusieurs paires, dont certaines sont d’un goût douteux. Elle finit par remonter ses mains sur ma braguette alors même que j’entends une autre cliente dans mon dos. Elle me masse l’entrejambe avant de me demander de faire quelques pas. Quand ma braguette gonflée passe sous son nez je la vois bien se passer la langue sur les lèvres. Je reviens m’assoir et décide de ne plus trop lutter pour garder le contrôle de mes yeux. Nos regards se croisent tout de suite et elle ne dit rien et enlève les souliers. Je profite de la vue de sa poitrine. Nous venons de tester la dernière paire qu’elle avait apporté.
— Puis-je en voir plus ? demandé-je.
Je plante mon regard dans le sien pour lui faire comprendre que ce n’est pas forcément de chaussure que je parle. Elle est troublée et préfère faire comme si je voulais faire un autre essai. Je suis ennuyé, le jeu est intéressant s’il est partagé. Mais je remarque qu’elle a adopté une posture différente pour choisir les paires suivantes. Son jean est plus tiré vers le bas et je devine le haut d’une culotte. Non c’est un string. Elle revient le rouge aux joues et je devine que son soutien-gorge n’est pas rembourré : je peux voir ses tétons pointer.
— C’est joli ça, lui dis-je.
Elle sait que je ne parle pas des chaussures mais d’elle et de ses atouts. Elle rougit et murmure un petit merci. Elle prend mon pied pour enfiler un premier soulier. Au lieu de faire comme pour les autres, elle le pose sur son genou, alors qu’elle est accroupie. Comme par inadvertance mes orteils viennent s’écraser sur le moelleux de son sein. Elle fait semblant d’ouvrir la chaussure pour se donner le temps de bien sentir mon pied sur elle. Je bouge les doigts de pieds et elle gémit longuement. Elle se reprend et me met le mocassin. Elle recommence avec l’autre pied de la même façon. Et je masse son sein de la même manière.Je fais mon tour, ces chaussures sont une torture. En me rasseyant je m’appuie sur son épaule et celle-ci se dénude. Je vois la bretelle du soutien-gorge. Elle va pour tout remettre en place mais elle hésite. Pour finalement baisser aussi la bretelle. Je tente une manœuvre pour dénuder l’autre épaule et elle se laisse faire. En retirant les mocassins elle repose mes pieds sur ses seins que je peux masser ainsi. Elle change de paire et en profite aussi pour revenir à la charge sur ma braguette qu’elle ouvre discrètement pour y glisser la main. La taille de l’engin qu’elle y trouve semble lui convenir.Elle me refait marcher en lorgnant éhontément sur mes attributs. Je me rassois en m’aidant de son épaule et cette fois je n’hésite pas à tirer plus franchement son top vers le bas. Son sein gauche se découvre presque totalement. Mes doigts glissent dessus la faisant frémir et soupirer. Je fais de même avec l’autre et elle se retrouve la poitrine à l’air dans son magasin. Il n’y a que mon corps qui la masque des badauds de la galerie marchande. Elle baisse la tête soudainement quand un client entre. Elle fait semblant de ranger le bazar et l’homme fait un tour très rapide avant de ressortir. Il reste une dernière paire. Elle me la met et je repose mes pieds sur ses seins. J’arrive à agacer ses tétons ce qui la fait fondre. Elle retourne dans ma braguette et me caresse la queue avec fébrilité. Elle va pour sortir ma queue mais se retient comme une cliente entre. Néanmoins elle ne ressort pas sa main de là. Elle lance alors :
— Que voulez-vous ?— Euh, je fais un tour, répond la femme.
En fait de tour, elle regarde trois paires et file, sentant qu’elle n’est pas la bienvenue. J’inciterais bien ma vendeuse à sortir ma queue mais je me dis qu’il doit y avoir des caméras de sécurité. Elle me fait essayer la dernière paire. Celle-ci serait presque parfaite. En me la mettant, elle me laisse lui tripoter les nichons du pied. L’autre je le laisse entre ses cuisses ouvertes et vient le frotter contre son entrejambe. Elle gémit et soupire. Je marche un peu et vraiment je suis pas mal. Je reviens devant elle et m’assois. Je caresse ses seins et tire sur ses tétons.
— C’est presque ça.— Mmmh, heu, j’y pense mais on a eu un modèle proche de celui-ci. Pas mal de clients se sont plaint de la largeur. Il doit m’en rester en réserve.— Alors il faut essayer.— Je suis navrée mais les boites sont un peu en hauteur. C’est mon collègue qui les a mis là.— Besoin d’un coup de main ? Pas de problème. Allons-y.
Elle acquiesce et va pour se couvrir les seins le temps d’aller là-bas. Mais je veux la déstabiliser un peu plus.
— Allons-y comme cela, proposé-je.
Pour la motiver, je me lève en restant bien dos aux passants et sort ma queue. Elle écarquille les yeux et se lève précipitamment. Ses seins bougent et tanguent mais mon corps la cache toujours à la vue du passage. Elle se retourne lentement puis avance droit devant elle. Je la suis de près et nous atteignons le fond du magasin. Il faut passer derrière le comptoir pour accéder à la réserve. De profil ses gros seins seront bien visibles. Moi, je n’aurai pas trop ce problème. Mon bassin sera caché par le comptoir.Elle presse le pas et fonce tête baissée à l’intérieur. Je rentre aussi et lui demande où se trouve les boîtes. Elle m’indique le haut d’une étagère. Quelques boites noires avec une photo d’un modèle proche de celui qui me convenait. Je prends la boîte mais je sens les doigts de ma vendeuse venir enserrer ma queue. Elle se met à me branler vivement. Je grogne tellement c’est bon. Elle est chauffée à blanc il me semble. Mais comme elle a joué avec moi, je vais la faire languir.
— Vous me les faites essayer ?— Oui... Oui...
Elle était prête à se jeter sur moi la bougresse. Elle va devoir ronger son frein. Il n’y a rien pour s’asseoir. Donc je reste debout et elle doit s’agenouiller pour enfiler les chaussures. Elle le fait sans regarder, préférant fixer ma queue qui est à quelques millimètres de ses yeux et de sa bouche. Je sens son souffle chaud et précipité sur mon gland, cela suffirait presqu’à me faire jouir. Je fais comme si je contrôle la situation mais je suis à deux doigts de l’éruption volcanique. Je marche un peu, je suis vraiment bien dedans. Je vais les prendre quel que soit le prix. Je me remets devant la vendeuse.
— C’est parfait je crois...— Très bien...
Elle les retire et je me dis qu’il est temps d’en finir. Mon sexe tendu et gonflé se balance sous ses yeux, grâce aux mouvements que je fais. D’un coup de reins, le gland vient taper ses lèvres. Elle ne perd pas l’occasion et le gobe en plein vol. En moins de deux, elle me suce comme une folle furieuse. Moi je m’occupe avec délice de ses super mamelles. Quel pied ces gros nichons ! Je les ai complètement sortis pour les malaxer à mon aise. Elle lâche ma queue une seconde :
— Tu veux que je te fasse une branlette espagnole ?— Comment refuser ? Bien sûr !
Elle se redresse et ma bite se retrouve prisonnière d’une geôle fort agréable. Elle doit avoir l’habitude de cette pratique. En prenant en main ses seins et avec des mouvements du dos, elle me masturbe savamment. Je râle de plus en plus fort. Elle le sent et me dit :
— Jouis dans ma bouche. Faut que je sois présentable pour bosser.
J’acquiesce vite fait. Encore quelques mouvements et il est temps de me planter dans sa bouche. C’est la troisième fois que j’éjacule ce matin, pourtant c’est un flot surabondant que ma bite crache. Elle a du mal à avaler mais le fait vaillamment. Elle me lèche le gland et me le rend bien propre.
— Occupe-toi de moi. J’ai la chatte en feu.
Après ce qu’elle vient de me faire et vu son état je n’ai pas le cœur de refuser. Elle se tourne et déboutonne son jean. Je le baisse avec son string et elle s’appuie sur les étagères. Je m’agenouille et écarte ses globes imposants. Sa moule est petite et rose; elle est surtout trempée. Le clitoris est sorti de son capuchon. Je plonge ma bouche avide sur ce fruit brûlant. La vendeuse ronronne et roucoule rapidement. Je suppose que la tension sexuelle accumulée depuis un moment avait un besoin urgent de sortir. Je reçois plusieurs jets de cyprine dans la bouche. Je m’abreuve comme un assoiffé. Jamais mes partenaires n’ont produit autant. C’est une délicieuse première pour moi.Je finis par me relever et je range mes affaires. La vendeuse se rajuste difficilement de son côté. Nous sommes presque KO mais dieu que c’était bon. Nous ressortons du local et je paye les chaussures. Ça coûte vraiment cher mais bon je ne regrette rien. Et elle me fait 20% car c’est une paire de la précédente collection. Je la remercie et son collègue se pointe, ne nous permettant pas de prolonger ces instants. Je retourne à ma voiture pour poser mon achat et enfin faire le point. Je n’en reviens pas. Trois aventures hors du commun et d’un érotisme torride en une matinée. C’était génial mais ce n’est pas normal. Y a un truc qui cloche. J’ai l’impression que ma vie se résume à un scénario de porno.
* * *
Ça fait trente minutes que je suis dans ma voiture. Je ne parviens toujours à croire ce qui m’arrive. Moi, Julien, mec plutôt banal : gentil, agréable mais loin du tombeur chevronné d’après mes amis. A la rigueur, ils pourraient croire à la séance exhibitionniste du matin avec la nana de l’hôtel. Et encore moi qui a toujours eu du mal à prendre ma douche avec les autres mecs au foot. Non, ils ne vont jamais rien croire. La collègue infirmière qui était bloquée sur le balcon, la diplomate africaine de l’hôtel, la vendeuse voluptueuse du magasin. Même ma voisine a eu sur moi un regard gourmand. Mince, elle a, au moins, le double de mon âge !Et pourtant je lui ai trouvé quelque chose d’attirant. D’ailleurs aux trois j’ai vu en elles un truc qui me plaisait bien qu’elles ne soient pas dans mes standards habituels. Autre chose bizarre, mais celle-là je m’en accommoderais bien, mon sexe a l’air plus gros, plus endurant que d’habitude. Je me pose la question de savoir si je ne devrais pas le mesurer pour me faire une idée claire sur le sujet. La quantité de sperme que je produis est étonnante aussi. Ça doit être pour ça que je crève la dalle en permanence. D’ailleurs mon ventre crie famine et je me rends compte qu’il est déjà 12h30. J’appréhende de faire les courses, je me dis alors :
— Fonce. Baisse la tête. Ne parle qu’à des mecs et passe à la caisse automatique.
Je me fixe à ce programme et ça marche pas mal. En dix minutes mes courses sont faites. J’ai pris uniquement des trucs déjà prêts. Pas de pesée, pas de découpe. Je passe à la caisse et évite le regard de l’employée qui est là pour aider les clients. Je paye et retourne à ma voiture. Je redémarre et file à toute vitesse. Arrivé chez moi je me pose quelques instants avant de préparer et d’engloutir un repas pour deux. Après ça je tourne comme un lion en cage. Il faut que je me défoule. Et si j’allais faire des longueurs à la piscine ? Non, des femmes en maillot de bain et moi aussi, c’est trop risqué. Ça va inévitablement se finir à faire des saloperies dans une cabine. Même si ça serait carrément excitant, le danger d’être surpris...Bref, c’est une mauvaise idée. Alors quoi ? Courir dans un parc pas trop loin ? Risqué aussi. Il y a pas mal de monde par là. Des joggeuses en legging moulant mais aussi quelques mères de familles au look sage et charmant. C’est clair qu’aujourd’hui, si je mets les pieds là-bas, je vais finir à culbuter l’une d’entre elles dans un bosquet ou qu’elle me ramène chez elle... Je sais ! Une sortie VTT. Par ce temps frais, je devrais croiser peu de monde dans le coin auquel je pense. Déjà qu’en temps normal en empruntant mes chemins de prédilections, c’est calme. Et puis c’est vendredi pas le week-end encore donc pas de sportif du dimanche ou de famille.Je me prépare rapidement et descend à ma cave pour prendre mon engin. Je le remonte et le fourre dans mon coffre. Avec mon cycliste qui me moule le paquet si je croise une nana quelconque je vais me retrouver à la culbuter sur le capot de la bagnole. C’est un fantasme stupide et je me mets à piquer un fou rire. Allez, j’ai eu trois aventures peu ordinaires mais c’est tout. Et encore, prises individuellement ça n’a rien de spécial. La seule particularité est que tout est arrivé en une matinée. Sur ces réflexions j’arrive au bois où je compte rouler. Sur le parking je vois quelques voitures. La plupart a un porte vélo sur l’attelage donc des vététistes comme moi. J’enfourche mon vélo et je file à travers bois. Pas de promeneurs, pas de flâneurs, quelques vététistes hommes. Parfait.Je suis arrivé assez loin et j’ai grimpé une belle petite côte sans m’arrêter. Je suis content, d’habitude je flanche aux trois-quarts. Je fais une pause, bois et mange quelque chose. Et puis deux vtts arrivent par le même chemin que je viens d’emprunter. Ils ont un bon rythme mais la montée a l’air de les surprendre. Je les entends souffler fortement. Ils grimpent maintenant à petite vitesse.
— Allez ! Lâchez pas ! Vous y êtes presque !
J’entends un "Was ?" me répondre. Tiens des Allemands. Je ne suis pas Alsacien et je ne connais que quelques mots. Je m’essaye à l’anglais et ils semblent comprendre. Ça les motivent et ils arrivent à quelques mètres du sommet. Mais ils finissent par poser pied à terre pour pousser leurs vélos. Là j’ai une surprise, en fait c’est mec et une fille. Ils ont la trentaine bien tassée. Pas loin des quarante ans peut-être.
— Merci. Ça nous a bien aidé, me dit l’homme.
Il a un fort accent allemand mais il parle français correctement. Sa femme me remercie aussi mais c’est beaucoup plus laborieux. Nous discutons un peu et j’apprends qu’ils sont de passage ici pour des rendez-vous au parlement européen avant de retourner à Bruxelles où ils travaillent habituellement. Ils sont là pour quelques semaines et profitent de rares moments de tranquillité pour se faire des sorties. Willy me dit qu’avec Frida, ils pensaient tomber sur un coin tranquille en montant jusqu’ici.
— Je vous confirme que c’est le cas. La plupart de ceux qui viennent par-là évitent cette colline. Ils préfèrent les pistes roulantes qui font le tour. Ça satisfait leur ego.
Willy rit puis fait la traduction à Frida qui se met à rire aussi. Je les détaille quelques instants. Ils sont plutôt pas mal tous les deux. Frida est blonde et elle a l’air un peu fofolle quand elle s’y met. Willy est plus calme et posé mais je sens qu’il a aussi son côté barré. Et là d’un coup je percute que si lui arbore une alliance, elle n’en a pas. Mes yeux doivent s’écarquiller comme des soucoupes. Ils sont venus en amants par ici. Pour se bécoter tranquillement ? Ou pour plus ? Frida murmure à l’oreille de son amant qui sourit à ses mots doux. Je préfère prendre les devants et m’éclipser gentiment.
— Bien. Je vais repartir. Bonne fin de balade.— Eh bien. Bonne route..., me dit-il un peu déçu.
Frida fait la moue mais ils semblent vite passer à autre chose. Ils s’embrassent alors que je retourne à mon vélo. Je remonte dessus et décide de partir par l’autre versant. Je les regarde une dernière fois mais ils discutent normalement. J’ai dû me faire des idées. En même temps avec tout ce qu’il s’est passé depuis mon réveil je ne cogite plus normalement. Je n’ai pas fait 200m que je me rends compte que j’ai oublié mon bidon. Je fais demi-tour et m’attends à retrouver les Allemands. Mais ils ne sont plus visibles. Mon bidon, lui, est posé près de l’arbre contre lequel j’avais mis mon vélo. Je le prends et m’apprête à repartir mais j’entends des voix. Quelques mètres derrière la première rangée d’arbres, je vois deux formes. D’après les couleurs des vêtements je parie pour mes deux Allemands.Ça y est ça cloche à nouveau. Allez je pars ! Sauf que ma queue gonfle déjà en imaginant ce qu’il se passe. Elle décide en toute logique d’aller de l’avant. Bon, j’y vais, je jette un œil et je repars. Ma raison a parlé mais ce n’est pas elle qui me guide. Je me faufile en silence pour tomber sur les deux amants. Lui est adossé à un arbre et elle est accroupie en train de le sucer activement. Leurs hauts sont ouverts, je vois le torse assez velu de Willy. Je distingue moins bien la poitrine de Frida mais elle me paraît de taille moyenne et bien ferme. Leurs cuissards sont à leurs chevilles et j’ai une vue parfaite sur le cul de la suceuse. Un cul rond et musclé qui donne envie.Néanmoins j’ai quelques scrupules. D’abord ce sont des amants et la fidélité c’est important pour moi. Et puis je n’ai pas été officiellement invité à jouer les voyeurs. Il faudrait que je m’en aille mais je n’y arrive pas. Je les mate et ma queue se déploie facilement dans mon cycliste. Je suppose que je fais du bruit ou je suis mal caché car Willy me voit et me sourit. Il parle à Frida. Elle acquiesce sans interrompre sa pipe. Évidemment il me fait signe d’approcher. On est dans la droite ligne de cette journée étrange. Évidemment je m’approche avec une démarche beaucoup plus assurée qu’en réalité.
— Frida était sûre que tu reviendrais. Elle a gagné.— J’avais oublié mon bidon et je vous ai entendu. Désolé de jouer les voyeurs sans y avoir été invité.— Oh ça ne nous dérange pas des spectateurs courtois.
Je suis maintenant tout à côté d’eux. Les seins de l’Allemande sont blancs mais avec une aréole très brune. Ce n’est guère mon kiffe mais je les téterais bien. J’ai aussi une vue panoramique sur sa chatte imberbe. Là c’est plus mon trip même si ses lèvres sont vraiment grandes. De même, son clitoris est assez proéminent. Je bande vraiment fort et je me mets à me masser la queue par-dessus mon cuissard.
— Mets-toi à l’aise, me dit Willy— Montre..., souffle Frida.
J’espérais bien leur accord, je sors ma bite et me branle lentement. Je ne demande rien, je crois que c’est à eux de m’inclure s’ils le souhaitent. Mince, me voilà à espérer un trio avec deux inconnus en plein jour. Ce monde, mon monde ne tourne plus rond. Mais je me sens déborder d’énergie sexuelle, de virilité, de sex-appeal. Frida dit quelques mots à son ami qui lui répond. Je devine qu’ils se demandent s’ils me laissent juste regarder ou bien s’ils veulent aller plus loin avec moi. Une petite voix enfouie me dit ce qu’il va se passer. En temps normal, ça ne serait qu’un fantasme mais aujourd’hui je vais devoir la croire.
— Julien. Frida trouve que tu as une belle bite. Comme elle a gagné elle voudrait que tu viennes lécher son sexe. Tu es d’accord ?
Je regarde comment faire mon approche de cette chatte suintante de désir. Ça me paraît faisable. Je ne tergiverse que sur la manière de faire pas sur mon envie de le faire.
— Alors ? me demande Willy.— Pas de problème.
Je m’allonge et rampe lentement entre les cuisses de la belle blonde. Son sexe sans la transpiration et la cyprine. Ça m’excite et je me jette sur sa vulve. C’est un peu étrange ces très grandes lèvres. C’est pareil pour ce clitoris très long. Je n’ai pas l’habitude de ce format. Je me rends compte rapidement que le mieux est de le sucer comme une bite. Merde, j’en viens à trouver normal de sucer un clitoris comme on sucerait une queue. En tout cas, Frida couine et gémit énormément. Je dois lui faire de l’effet. Willy râle plus fort aussi. Nous restons ainsi quelques minutes.Moi, je dois me contenter de me caresser la queue. Mais Frida vient remplacer ma main de temps en temps. Ma main libre remonte sur ses seins où je croise parfois celle de Willy. Au début c’est un peu gênant mais je m’y fais vite. Ça bouge un peu au-dessus de moi. Willy veut peut-être tringler sa maitresse mais Frida reste accroupie sur mon visage. Elle me branle plus fermement maintenant, je n’ai plus besoin de le faire moi-même. Et puis une bouche vient engloutir ma queue pour me pomper énergiquement. C’est le pied tellement je suis déjà excité par la situation. Je comprends mieux pourquoi Willy émettait tous ces râles.
— Mais elle fait comment Frida pour me sucer dans cette position ? me demandé-je.
C’est impossible ! C’est donc Willy qui me suce. Je soulève le cul de la blondasse pour vérifier ma prémonition. J’ai raison ! Willy se fixe et me regarde d’un air un peu inquiet. C’est sûr qu’il n’a pas demandé et qu’il n’était pas sûr que je sois open de ce point de vue-là. Frida exprime son impatience, elle veut que je retourne la lécher. Tant pis pour l’expérience bi improvisée et puis il suce vachement bien l’Allemand. Je replonge entre les cuisses de Frida et Willy reprend sa pipe.Après un moment, Frida finit par bouger et se déplace vers ma queue. Willy m’abandonne et elle me branle pour me maintenir dur. L’homme revient et enfile une capote sur son sexe. Il en donne une autre à Frida qui la déploie sur le mien. Ils s’embrassent goulûment sous mes yeux. En attendant je masse le cul, un peu trop ferme, de l’Allemande.Frida s’avance encore, elle se soulève et prend ma queue en main. Je pense qu’elle va se planter mon engin dans la chatte mais c’est à l’entrée de son cul qu’elle présente mon gland. Vu la configuration que les choses prennent Willy va probablement lui prendre la chatte. Ça sera ma première sodomie et ma première double. Mon pieu s’enfonce dans le cul de Frida avec une étonnante facilité. Une fois bien calé c’est au tour de Willy de faire son entrée.Ils doivent avoir l’habitude car en moins de deux il est en place et pénètre sa nana. Je sens sa bite glisser de l’autre côté de la paroi. Ça me masse le sexe. C’est assez agréable je dois dire. Il s’enfonce puis se retire en partie. Il attend et je comprends qu’il veut que je bouge aussi. Frida se tient sur les mains et ses cuisses travaillent dur pour me laisser un peu de place pour bouger. J’en profite pour entamer un retrait que Willy accompagne d’une pénétration. Nos sexes se croisent et nous râlons tous les deux. Frida nous sort quelques mots en allemand. Vu le ton, elle aime.Nous mettons quelques coups de reins pour bien nous accorder mais nous augmentons le rythme rapidement. Frida gémit, soupire, souffle. Je pose mes mains sur ses côtes et elle peut se relâcher. Cela lui permet de plus profiter de la double pénétration. Elle s’allonge sur moi et tourne la tête pour me galocher. Elle partage aussi un baiser avec Willy puis à nouveau avec moi et ainsi de suite. Au bout d’un moment il y a embouteillage sur les lèvres de Frida. Nous sommes là tous les trois. Je suis en train d’embrasser un mec et je kiffe de ouf ! Frida se met à crier bruyamment, elle jouit. Je sens des contractions et des spasmes dans son cul et son vagin. Willy râle et se fiche dans les tréfonds de son con. Je me lâche aussi au plus profond de son ventre. Je balance encore une sacrée dose de sperme. Je deviens une vraie usine.
Les amants roulent sur le côté et se font des papouilles. Je me dis qu’il est temps d’y aller. Si je reste, je risque d’aller un peu trop loin dans les essais bisexuels. Et je n’y suis pas prêt. Il faut que je digère celle-là déjà. Je me lève et enlève le préservatif. Je ne sais quoi en faire. Willy me propose de rester mais je décline poliment. Il m’indique un petit sac poubelle qu’ils ont prévu pour les capotes. A côté se trouve une boîte à peine entamée. Je subodore qu’elle sera beaucoup moins remplie quand ils partiront.
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