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TSHS ( Trany Secretary High School) chapitre 8

Chapitre 1

Flash-Back

Travesti / Trans
Résumé de la situation :

Kevin, alias SAMANTHA, est un jeune garçon androgyne qui a intégré une école de secrétariat pour travestis.
Actuellement chez elle dans les bras de sa petite amie Claudia, elle replonge dans ses souvenirs et lui décrit les premiers moments qu’elle a passés avec sa marraine Annabella, alias ANNA, au sein de cette école d’un genre si particulier.

Afin de faciliter la compréhension, je commence par un tiret les phrases échangées actuellement entre Samantha et Claudia, et par des guillemets celles qui ont été échangées à l’école entre Samantha et Anabella.

SAMANTHA commence son récit :

— Quelques jours après la rentrée, ANNA a fait un premier bilan avec moi.

" Bon, aujourd’hui je vais jouer mon rôle de marraine de façon plus stricte. Il est temps de te dire ce qui va ou ne va pas. Il n’y a pas que le sexe dans la vie! 
D’abord les points positifs, ce sont les moins nombreux. Non, je plaisante. Tu sais très bien de maquiller et tu t’habilles avec gout. Je pense que tu peux dire merci à ta sœur."

— Ca, elle peut toujours courir, me suis dis-je.

"Tu es également très à l’aise avec tes talons, bien qu’il faudrait que tu en portes de plus hauts de temps en temps ; 12 cm me semble un minimum.
Passons maintenant à ta coiffure à la garçonne. Personnellement elle me plait beaucoup, mais pour ici il faut que tu aies des cheveux plus longs. Il faut donc t’acheter des perruques, au moins deux. 
Enfin, tu as la chance de ne pas être très poilus, mais il te faudrait quand même faire une épilation par laser."

— J’écoutais attentivement ma marraine sans l’interrompre.

" Passons maintenant aux points négatifs : Il faut absolument que tu te fasses mettre des faux seins."
" Oui, je sais ANNA. Ma sœur était déjà prête à prendre rendez-vous pour moi dans une clinique, mais ma mère a préféré être certaine que je sois bien prise dans cette école." 
" Bon OK on va voir ça plus tard, continuons. Sam, il faut te faire percer les oreilles. D’ailleurs, c’est bizarre que ta mère ou ta sœur n’y aient pas déjà pensé."
"Ah non, interdiction toucher à mes oreilles! Et puis, ne va surtout pas leur donner cette idée."
"Qu’est-ce qui te prends? C’est rien du tout. On le fait aux petites filles."
"Oui, mais j’aime par les piqûres et j’ai peur du sang."
"Tu va faire comment pour les seins alors?"
"Là je serais endormie."
"Non mais quelle chochotte. Tu ne veux quand même pas une anesthésie générale pour te faire percer les oreilles?" 

— Anna a poursuivi son bilan.

"Pour finir, il y a une chose qui ne va pas du tout."  
"Quoi donc?"
"Fais voir tes mains. Non mais regarde moi cette horreur. Il faut absolument que tu arrêtes de te ronger les ongles!"

— J’ai baissé la tête comme un enfant se faisant gronder par sa mère. 

"Oui, je sais, c’est le stress."
"Je sais ce qu’il faut faire pour le combattre. Garde les bras tendus devant toi, les mains ouvertes." 

— J’ai obéi sans trop comprendre. ANNA a alors déchaussé un de ses escarpins, l’a pris par le talon, et m’a donné un coup sec avec la semelle juste sur le bout des doigts.

" Aille, mais t’es conne, ça fait super mal!"
" Oui, je sais c’est fait express. Voila ce qu’on fait ici aux petites filles qui se rongent les ongles. Moi aussi j’avais la mauvaise habitude de le faire. C’est comme ça que ma marraine m’a corrigée, et regarde maintenant."
  
— ANNA a alors exhibé sous mes yeux émerveillés les superbes ongles vernis qui décoraient l’extrémité de ses doigts. J’ai tout de suite voulu avoir les mêmes!Elle prend son rôle de marraine très à cœur et me transforme jour après jour en une vraie jeune femme. Elle est exigeante, parfois sévère, mais jamais méchante. 
En fait, elle est très taquine et adore jouer avec sa filleule. On s’amuse souvent ensemble à prendre des poses féminines, des regards mutins, des bouches provocantes, des voix sensuelles...On se prend en photo façon Marylin Monroe, ou ce genre de choses....
Je me suis vite aperçue qu’ANNA était très coquine et espiègle. Elle adore profiter de la timidité de sa filleule. Son plaisir favori, c’est de me glisser discrètement un doigt dans l’anus pendant les cours. Je n’ose jamais rien dire. Un jour, son doigt était si profond que j’ai fais des petits sauts sur place en essayant de ne pas me faire remarquer. ANNA en a rajouté : " Mais reste tranquille, on va te voir. Tu imagines les conséquences si tu ne sais pas te tenir mieux que ça lors d’un conseil d’administration avec ton patron?"
Nous sommes devenues extrêmement proches, au point qu’un jour ANNA m’a proposé :

"On pourrait mettre nos deux lits dans la même chambre côte à côte, en attachant les montants ensembles. Et puis, c’est dommage d’utiliser les deux douches. On ferait des économie d’eau si on la prenait ensemble. Ce serait bon pour la planète!"
"Elle a bon dos la planète, tu ne perds pas de temps en besogne toi."

— J’ai mis ma main sur le front en faisant semblant de me pâmer comme au théâtre.

"Ce n’est pas parce que VOUS avez su profiter du désarroi d’une demoiselle en détresse, que vous pouvez considérer qu’elle est votre chose. Je ne suis pas une fille facile. Par contre, j’ai l’impression que VOUS MADEMOISELLE, couchez très facilement. Je me demande si j’ai eu raison de céder à vos avances si rapidement."

— Je jouais très bien la comédie, et ANNA m’a prise dans ses bras en me fixant dans les yeux.

"Samantha, je t’aime vraiment passionnément. Je suis tombée amoureuse de toi dés la première fois où je t’ai vu."
"Dans le bureau de la directrice?  C’est quand même un peu rapide je trouve."
"Non, avant, quand j’ai vu ton dossier de candidature."

— J’ai plissé les sourcils.

"La directrice t’a dit qu’elle m’avait désignée pour être ta marraine. Mais ce n’est pas tout à fait comme cela que ca se passe. En fait, elle laisse les élèves de 2 -ème années choisir leur filleules, et ensuite elle valide ou non leurs souhaits."
"Ah, donc tu es tombée amoureuse de moi en regardant mon dossier. Je peux savoir ce qui t’a plu chez moi en particulier?"

— Elle m’a répondu que c’était la photographie de mon visage en gros plan.

"J’ai tout de suite flashé sur toi quand je l’ai vue. Tu avais l’air tellement....naturelle."
"Tu veux dire celle où on me voit ouvrir la bouche et écarquiller les yeux?"
"Oui, On aurait vraiment dit une petite secrétaire coquine. C’était super réaliste, bravo."

— J’ai éclaté de rire.

"Mais qu’est-ce que j’ai dis de drôle?" m’a alors demandé Anna.

— J’ai du attendre d’avoir repris mon souffle pour pouvoir lui expliquer comment cette photo avait été prise. ( Voir le chapitre 1 )

"Non, c’est pas vrai, elle n’a pas quand même fait ça!"
"Si."
"Ta sœur est géniale, il faudra absolument que tu me la présentes."

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— Tiens si ça t’intéresse Claudia, j’ai une autre anecdote amusante à te raconter.
— Oui bien sur, avec plaisir. C’est passionnant.
— Ca c’est passé à la bibliothèque de l’école.

" Il faut que j’aille à la bibliothèque", m’a dit Anna quelques jours plus tard à la fin d’un cours. "Viens avec moi, comme ça tu verras son fonctionnement en même temps."

— Elle m’a montré les patins à l’entrée.

" Je te préviens, il ne faut pas faire de bruit, la bibliothécaire est un vrai pit-bull."

-  Ce jour là, ANNA portait une jupe droite serrée et devait faire de tout petit pas avec ses escarpins posés sur les patins. Je lui ai chuchoté : 

" Tu sais que tu as l’air ridicule à marcher comme ça! "
" Et toi, tu t’es vu? On dirait un canard!"

— J’ai émis un petit rire. "Chut!" m’a fait signe ma marraine en mettant son doigt sur sa bouche.

— Nous travaillions en silence depuis une dizaine de minutes quand :
"Hum, hum, oh oui... oui... encore... plus fort..."

— Je me suis retournée vers ANNA.

"Mais elles sont en train de…"
"Oui, elles sont vraiment sans gène, manquer à ce points de respect envers les autres, c’est inadmissible! D’ailleurs, elles ne vont pas tarder à se le faire dire."

— Effectivement, on a entendu peu après le claquement des talons aiguilles de la bibliothécaire, la seule qui ne mets pas de patin afin de bien marquer son territoire.

"Et bien mesdemoiselles, vous vous croyez où?" leur a t’elle demandé en désignant du doigt un panneau marqué « SILENCE !» sur le mur. 
"Excuser nous, madame."
"Que je ne vous y reprenne pas ou vous serez interdites de bibliothèque!"

— L’une des élèves a fourré sa petite culotte dans la bouche de l’autre et a reprit sa sodomie. Je me suis écriée:

"Mais elles continuent!"
"Evidemment Samantha. C’est pas interdit de baiser ici,... mais en silence! C’est même une très bonne méthode d’apprentissage pour le bureau. Quand un patron saute sa secrétaire, il ne veut pas forcement que tout le monde l’entende."

— Profitant de l’occasion, ANNA m’a demandé avec un regard concupiscent:

"Et toi, ça ne te donnes pas envie de me faire une petite gâterie, là sous la table?"
"Si tu savais à quel point je voudrais le faire. Mais à chaque fois je repense à..."
"Oui, je sais. Ce n’est pas grave. Prends ton temps, cela viendra."

— J’aurais tellement voulu vaincre la phobie de la fellation que m’avaient donnée les expériences que j’avais vécues chez moi. 
Déjà car c’est un point essentiel dans mon futur travail, mais surtout car je voulais offrir à ANNA autant de plaisirs qu’elle m’en donne. En effet question pipes, ma marraine ne perd pas une seule occasion de m’en tailler une. Que ce soit entre deux cours, après le repas ou à n’importe quel moment de la journée, elle trouve toujours un petit coin tranquille pour m’emboucher. A cette époque, elle me proposait à chaque fois d’essayer, mais l’idée même d’avoir une bite dans la bouche me révulsait. Mais ANNA est très patiente. Elle savait qu’elle finirait tôt ou tard par me faire aimer la fellation.

"Pour la dernière fois m’a demandé ANNA avec un sourire coquin: Toujours pas envie?"

— J’ai secoué la tête.

"Bon, tant pis! C’est encore moi qui vais m’y coller", m’a t’elle dit en se glissant sous la table.

Claudia interrompt le récit pour demander à sa petite amie:

— Mais alors Samantha, comment as tu fait pour devenir une super suceuse comme tu l’es maintenant?    
 - Tu veux que je te raconte ma première fellation?
— Oh oui oui j’adorerais, vas-y dis-moi.
— C’était quelques jours après l’anecdote à la bibliothèque. ANNA m’avait attendue à la sortie du cours et venait de me procurer une nouvelle fellation sous un arbre, dans un recoin du magnifique parc qui entoure le château.

Samantha se remet la scène en mémoire et commence à la décrire :

" Tu veux essayer?" 
  
— Je me suis mise à genoux dans l’herbe, mais ANNA a senti que j’étais toujours tendue. Je restais immobile et n’avais même pas relevé sa robe.

" Tu n’as pas envie?"
" Oh si, si tu savais à quel point je voudrais te donner du plaisir, comme toi tu m’en donnes. Mais à chaque fois je...."
" Je sais, ne t’en fais pas, je comprends."

— ANNA savait que les souvenirs du gode souillé de Lydia ou de la vieille queue de mon oncle me revenaient en mémoire.

" Ne pense plus à cela. Ferme les yeux, écoute la brise dans les branches, le chant des oiseaux...."

— J’ai fermé les yeux et laissé mon esprit vagabonder. J’ai écouté le murmure du ruisseau qui coule non loin de là, je me suis imaginée voler dans les airs...
Une douce odeur m’est venue lentement aux narines. Je la connaissais, je l’aimais, c’était celle de mon amante. Elle flottait dans l’air tel un doux parfum. 
Ma marraine a soulevé sa robe et sorti sa verge. Elle la baladait devant mon visage sans la toucher. Elle a vu les narines de sa filleule frémir, humer son odeur, la reconnaitre. Elle a vu mes lèvres se desserrer, mon visage s’éclairer.
ANNA a commencé à me caresser lentement le visage avec sa verge, la faisant passer sur mon front, mes joue, effleurant mes lèvres....
J’ai humé son parfum sans rien dire, j’étais apaisée. Quelques minutes plus tard, sans que ma marraine n’ai eu besoin de me le demander, j’ai pointé le bout de la langue. L’odeur d’ANNA m’enivrait, la peau fine du gland stimulait mes papilles. Je me mise à donner des coups de langue, d’abord à peine perceptibles, puis de plus en plus appuyés. Lentement, j’ai ouvert la bouche et laissé le membre pénétrer. 
J’avais toujours les yeux fermés. C’était bon, doux et tiède. Je me suis mise à sucer ce bâton au gout si délicieux. 

" Tu peux mettre les mains également" m’a susurré ANNA.

— Je me suis mise à caresser la verge, d’abord juste du bout des doigts, puis je l’ai prise à pleines mains. J’ai revu comment ma marraine s’y prenait avec moi, comment elle tournait ses deux mains autour de la hampe..., comment elle arrêtait la succion quelques secondes pour me masser le bout de la verge avec la paume....
ANNA observait la prestation de son élève. Je manquais beaucoup de savoir faire, mais c’était sans importance. J’aurais toute l’année pour apprendre. L’essentiel, c’est que j’avais vaincu ma répulsion, et que j’aimais manifestement sucer. Ma marraine ne voulait pas gâcher ce moment de grâce par des considérations purement techniques.

— Je suçais maintenant avec avidité et j’ai entendu la respiration d’ANNA s’accélérer. Mon amante ne disait rien, mais je savais qu’elle appréciait .
  
" Je vais bientôt venir. Tu n’es pas obligée de..."

— Mais j’étais trop heureuse de donner du plaisir à ma belle et j’ai accéléré le mouvement. Bientôt un jet tiède et légèrement salé m’a inondé la bouche. Je n’avais jamais rien gouté d’aussi bon.
J’ai su ce jour, que ce serait à jamais ma gourmandise préférée.

" N’avale pas tout de suite, savoure d’abord!"

— J’ai remué ma langue dans la bouche, avalant par toutes petites gorgées pour garder le plus longtemps possible le gout de mon aimée. Lorsque j’ai eu tout avalé, j’ai ouvert la bouche pour la faire voir à ANNA. Elle s’est penchée sur moi, et nos deux langues se sont mêlées. Je n’avais toujours pas ouvert les yeux.

" Je t’aime Sam."
" Moi aussi Anna."

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CLAUDIA a les larmes aux yeux.

— Oh Sam, c’est tellement romantique. J’aurais tellement voulu que ma première fellation soit aussi belle. Tu as vraiment beaucoup de chance d’être tombée sur une fille comme ANNA.
— Oui, en effet, beaucoup de chance. Mais arrête de pleurer s’il te plait, je n’aime pas te voir comme ça.
— Je n’y peux rien, ton histoire m’a bouleversée.
— Bon, je sais ce qu’il te faut pour te faire sourire. Je vais te raconter comment j’ai sodomisé Anna pour la première fois. Tu vas voir, c’est beaucoup plus hard!

SAMANTHA replonge de nouveau dans ses souvenirs:

— Quelques jours plus tard, sur nos lits maintenant réunis.

" Viens ma chérie, aujourd’hui c’est toi qui va me faire l’amour."

— ANNA a senti que j’étais de nouveau tendue.

"Mais que je suis bête, c’est vrai. Tu ne l’as jamais fait, tu es en quelque sorte vierge."

— Elle s’est mise sur le dos, les deux jambes complétement relevées au dessus de la tête, et a prit ses escarpins par leur talons.

"Viens, je vais te dépuceler avec mon petit trou."

— Elle a prit ma verge et la déposée contre sa rosette.

" Vas y, entre!"

— Je n’osais à peine pousser. J’avais peur de faire mal à ma bien aimée.

"N’aie pas peur pour moi, je ne crains rien. J’ai l’habitude.
Oui Sam c’est ça, comme ça, glisse en moi." 
"Oh bon sang Anna, c’est aussi bon d’avoir sa queue dans un cul que l’inverse, la douleur en moins."
"Vas y bouge!"

— Je me suis mise à limer le trou de ma marraine. ANNA était de plus en plus excitée. Elle voulait que je lui fasse mal, que je lui défonce le cul avec toute la force dont j’étais capable. Elle savait comment ranimer ma rage.

"Pense à ton oncle, à sa vieille queue fripée qui t’a ramonée!"

— J’ai senti la colère monter en moi et je me suis mise à la pistonner de plus en plus fort.

— Pense à Lydia! Rappelle toi de son gode. 

— J’étais de plus en plus excitée.

"Pense à ta petite salope de sœur quand elle t’a enculé!"

— J’étais maintenant en transe. 

" Lydia...., cette petite salope." J’ai hurlé comme une bête lorsque j’ai explosé dans l’anus d’ANNA.

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Samantha a revécu la scène avec une telle intensité que sa queue s’est tendue à la verticale. Claudia la tire de sa rêverie.

— Et moi qui croyais que cette période avait été difficile! Rien qu’en y repensant, tu bandes ma petite cochonne. Vas-y, fais moi voir comment tu as pris ta marraine!

Claudia relève ses jambes comme l’avait fait ANNA et lui présente sa rosette en passant sa langue sur ses lèvres. Dans l’état d’excitation où se trouve Sam, il ne lui en faut pas davantage pour s’enfoncer d’un coup dans le cul de son amante.

— AILLLLE, tu me fais mal.
— Excuse moi ma chérie, je pensais à Lydia
— Et doucement, je ne t’ai rien fais moi. Je ne suis pas ta sœur, pense plutôt à ANNA.
— C’est mieux comme ça?
— Oh oui beaucoup mieux. Oui continue de me baiser comme ça.
— Je peux y aller un peu plus fort?
— Oui, vas-y, plus fort!
— AAAHHH.
— OUIIIIIII.

Sam et Claudia se rejettent sur lit.

— Mais au fait, je repense à ta sœur. Tu ne lui as toujours pas casser le cul.
— Non
— C’était pourtant bien le deal conclu avec Anna?
— Oui.
— Et bien qu’est ce que tu attends ?
— Je ne sais pas, que l’occasion se présente.
— Si tu crois que Lydia va t’offrir sagement son cul, tu vas attendre longtemps. Non, ce qu’il faut c’est lui tendre un piège. Je t’aiderai si tu veux.
— Pourquoi ferais-tu ça?
— Parce qu’elle t’a fait du mal mon amour. J’aime bien ma belle sœur, mais il n’empêche que c’est une sacrée petite garce qui mérite une bonne leçon. 
Ecoute moi bien, voilà ce qu’on va faire.
  
Un peu plus tard.

— Kevin, non je t’en pris, non. Tu ne vas quand même pas faire ça à ta petite sœur!
— Je te l’avais promis.
— Mais enfin, je pensais que tu plaisantais. 

Lydia courre se mettre dans les bras de sa petite amie Annabella.

— ANNA, fais quelque-chose. Sam veut m’enculer.
— C’était bien ce qui était convenu, non?
— Sale pute, tu es complice avec elle n’est-ce pas?

Elle s’adresse maintenant à sa meilleure amie.

— Claudia, aide-moi s’il te plait. Ces deux tapettes veulent me sauter.
— Pourquoi je ferais ça?
— Par amitié, ou au moins par solidarité féminine.
— Désolée Lydia, mais tu l’as bien mérité. Mais rassure-toi, une fois que tu y auras gouté, tu ne pourras plus t’en passer.
— Bandes de salopes, vous êtes toutes de mèche. Mais vous ne m’aurez pas comme ça.
— Maman, maman, maman.

Lydia court se refugier dans les bras de sa mère, aussitôt suivie par trois jeunes filles en talons aiguilles.

— Qu’est ce qui t’arrive ma chérie.
— Sauve moi maman, elles veulent toutes m’enculer.
— Qui ça toutes?
— Ces trois salopes! 

Lydia se blottie dans les bras de sa mère, pensant avoir trouvé un refuge sur.

— Non mais qu’est ce que c’est que cette histoire? Et puis quel language de poissonnière! Si je fais la morale à ton frère pour qu’il dise "sodomiser" au lieu "d’enculer", ce n’est pas pour que soit plus vulgaire que lui.
— Excuse moi maman. Sam, Claudia et même Anna, veulent me sodomiser.
— Mais pourquoi feraient-elles une chose pareille?
— C’est à cause de Kevin. Il veut se venger parce que je suis la première à l’avoir sodomisé. Pourtant, je n’ai fait que t’obéir, n’est ce pas maman? Dis-leur que je n’ai fait que t’obéir.
— C’est vrai Kevin. C’est moi qui est décidé que tu devais te faire sodomiser avant d’intégrer cette école. Lydia n’a fait ce que je lui ai demandé de faire. Si tu dois en vouloir à quelqu’un, c’est à ta mère, pas à ta sœur.
— Mais ce n’est pas une vengeance maman. C’est un pacte que l’on a fait entre nous. On a accepté que Lydia fasse partie de notre groupe et qu’elle sorte avec ANNA à condition que je sois la première à prendre son cul.

Corinne se tourne vers ANNA.

— C’est vrai?
— Oui belle-maman.

Elle interroge ensuite Claudia du regard qui confirme d’un hochement de la tête.

— Si c’est un pacte entre vous, ça change tout Lydia. Il faut toujours respecter ses engagements.
— Non, non maman, je t’en supplie. Aide-moi, protège moi de ces salopes.
— LYDIA! Encore un vilain mot de ta part, et ta mère va te flanquer une bonne fessée cul nu devant tout le monde. Est-ce que c’est bien clair?
— Oui, maman, sob, sob, sniff sniff.
Samantha  remonte sa jupe et baisse sa culotte faisant sortir sa queue à l’horizontal, pendant que Claudia et Anna déshabillent Lydia qui a les yeux pleins de larmes.

— Présente bien ton cul et desserre moi les fesses pour que ton frère puisse entrer plus facilement.
— AAAIIIIIIILLLLLLE.
— C’est bien fait pour toi, je t’avais dit de ne pas serrer les fesses. La prochaine fois tu écouteras ta mère.

Lydia est maintenant trop occupée à supporter les grands coups de queue que lui donne son frère pour pouvoir répondre. Mais pourtant, peu à peu ses pleurs cessent et ses cris de douleurs se muent en un petit gémissement.

— Mouiiii, mouiiii, mouiiii,... 
— Mais on dirait qu’elle aime ça maman.
— Mais évidemment Kevin. Elles se plaignent toutes au début, mais elle finissent toujours par en redemander. Tu va voir, arrête de la limer quelques secondes.

Le cul de Lydia se mets à remuer tout seul comme un oisillon qui réclame la becquée. 

— NON !! NE T’ARRETE PAS GRAND FRERE !! Défonce moi le plus fort possible.

Kevin alias Sam recommence à limer sa sœur et jouit bruyamment après quelques minutes.
Alors que le sperme chaud s’écoule doucement de son anus, Lydia, le cul toujours en l’air, s’adresse à sa petite amie Annabella sur un ton furibond.

— Sale traitresse, je te hais.
— Excuse-moi mon bébé. Tu m’en veux tant que ça?
— Tais-toi, je ne veux pas t’entendre. 

Puis au bout de quelques secondes.

— ANNA, je te préviens que si tu ne me fourres pas immédiatement ta queue dans le cul, je ne t’adresse plus jamais la parole. 

EST CE QUE C’EST CLAIR?

PS :Je tiens à remercier Elebe62 pour ses suggestions ( le dépucelage annal de Lydia), et pour le temps qu’il a passé à relire ce texte pour en corriger les erreurs.
Dans le prochain épisode, Samantha va prendre ses premiers cours d’Anglais. Vous découvrirez que si elle a des talents en langue, ce n’est pas certainement pas dans celle de Shakespeare.
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