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Turlute en mer

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
MarcoC’est l’été, les vacances, le moment de l’année que je préfère ! Le long de la plage, les jeunes filles déambulent, vêtues d’un simple bikini ! Je pourrais rester ainsi des heures à scruter leurs formes pulpeuses ! Mais j’y trouve aussi un intérêt professionnel, étant photographe, et c’est là que je recrute mes modèles pour des séances de pose.
C’est très simple à faire : il me suffit de distribuer des flyers pour me faire connaître. Les jeunes filles me rappellent, et là, tout s’enchaîne très rapidement : la séance de pose, le petit verre au bar, la soirée en discothèque, et vous connaissez la suite !
Un jour, à la mi-juillet, c’est une jeune fille prénommée Julia qui m’a contacté. Quelques minutes plus tard, elle sonnait à ma porte. En lui ouvrant la porte, je suis tombé immédiatement sous son charme. Je dois dire qu’elle possédait de nombreux atouts en sa faveur : elle affichait un joli minois et des mensurations de rêve ! Je lui donnais à vue de nez 90 centimètres de tour de poitrine pour un 85D ! Et j’évaluais sa taille à 1 mètre 78. J’avais juste un doute : était-elle bien majeure ? Elle m’a confirmé qu’elle avait fêté ses 18 ans quelques jours plus tôt et me l’a prouvé en me montrant sa carte d’identité. Puis je l’ai brièvement questionnée sur ses motivations : elle n’avait pas entamé d’études supérieures et rêvait d’être mannequin. Saisissant la perche qu’elle me tendait, je l’ai assurée que je pouvais l’aider en envoyant des photos à des agences très cotées. Mon discours semblait faire mouche, elle acquiesçait à chacun de mes propos.
Dès lors, la séance pouvait commencer : je lui ai proposé de poser en maillot de bain. Sortant de mes placards un petit bikini de couleur bleu ciel, je lui ai proposé de l’enfiler dans la salle de bain. Quand elle est revenue vers moi, j’ai été conquis par son corps à demi nu. J’avais hâte de commencer la séance. J’ai pris plusieurs clichés avec mon appareil reflex, en l’éclairant au flash. Julia m’obéissait docilement, elle ne voyait pas de malice à mes demandes, alors même quand je lui suggérais des poses lascives. Elle avait un petit sourire charmeur qui ne pouvait pas me laisser indifférent.

Tout en la mitraillant, je réfléchissais à la meilleure façon de la faire succomber à mon charme. Elle paraissait si jeune et si tendre qu’il fallait vraiment jouer serré avec elle ! Un mot de trop et j’étais sûr de la perdre. Je remisais donc plus tard mes projets habituels : le verre au bar, la soirée en discothèque et la nuit plus que torride ! Je me contentais de la convoquer à une série de nouvelles séances de photos, en variant le lieu qui pouvait être la plage ou le parc. Julia acceptait toujours, pensant augmenter ses chances de faire carrière dans le mannequinat. De mon côté, je préparais un appât pour l’attirer dans mes filets : j’avais un ami qui travaillait dans la location de bateaux de plaisance. Moyennant quelques services, il acceptait de me prêter un yacht pour la journée. Connaissant Julia, elle ne pouvait pas refuser de venir à une séance de pose dans ces conditions ! Pour calmer sa méfiance, j’avais également invité Daphné, un autre de mes modèles.
JuliaJe n’étais pas complètement rassurée en montant sur ce yacht. J’allais être seule avec Marco même s’il y aurait aussi Daphné, que je ne connaissais pas encore. Pourtant je n’en étais pas à ma première séance avec Marco. Jusque-là, il s’était comporté en gentleman avec moi, mais je savais déjà que les hommes sont capables de tout ! J’étais arrivée à l’heure pile sur la jetée, devant le yacht ; Marco m’a fait monter à bord et il m’a présenté Daphné. Je l’ai observée avec une certaine pointe de jalousie, car elle avait un vrai physique de mannequin. Elle mesurait 1 mètre 82 et elle affichait les fameuses mensurations 90-60-90. Pour autant, nous avons très vite sympathisé. J’étais rassurée de l’avoir de mon côté, si toutefois Marco me cherchait des noises.
Quand le navire a fait route vers le large, j’ai eu un petit pincement au cœur. Je me sentais vulnérable comme jamais ! Pourtant tout allait bien et Marco faisait preuve d’une grande gentillesse avec moi. Dans la cabine, il avait préparé des bikinis pour Daphné et pour moi : Daphné s’est empressée de retirer sa jupe et son bustier pour mettre un de ces bikinis, et je l’ai imitée. En ressortant de la cabane, nous étions en pleine mer, nous respirions les embruns à pleins poumons. La mer était calme, le soleil au plus haut dans le ciel nous réchauffait. Et Marco nous mitraillait sous toutes les coutures ! Je prenais les poses selon ses indications, je pouvais être debout, les bras levés, ou alors couchée, les bras en croix ! Marco savait bien détendre l’atmosphère en plaisantant nonchalamment ! Je riais à gorge déployée à ses petites blagues ! Vraiment, je dois avouer que je passais un fort bon moment !
J’étais tellement en confiance que je n’ai pas hésité une seconde quand Marco a voulu me prendre en photo avec les seins nus. J’aurais pu faire la sainte-nitouche et refuser tout net. Mais il se trouve que je suis fière de mon corps et tout particulièrement de mes beaux lolos ! Je ne suis pas du genre exhibitionniste et pourtant sur la plage, je fais souvent du topless. Tout le monde peut voir mes jolis tétons et ça ne me gêne pas. Marco s’est mis à prendre des photos de mes nichons, et de ceux de Daphné ! Il semblait un peu chaud, mais je n’étais pas inquiète, jusqu’à ce qu’il lance à Daphné de but en blanc :
— Peux-tu retirer ton bas de maillot ?
A ma grande surprise, elle a obtempéré sans rechigner. J’étais vraiment très étonnée de son attitude ! Ça ne semblait pas du tout la déranger de poser nue. Et pourtant Marco avait un regard de carnassier quand il l’a mitraillée. Il faut voir comment il prenait des photos de son charmant popotin ! En gros plan, et sous tous les angles.
Mais le pire était à venir ! Soudain, Daphné s’est retournée vers lui, et il a continué à la photographier de face. Je me suis recroquevillée dans un coin, tellement j’étais gênée pour elle ! Tout ça devenait de l’érotisme brûlant ! Surtout quand Marco a demandé à Daphné de s’allonger et d’écarter légèrement ses jambes. Et là, j’ai vu ce que je n’aurais jamais voulu voir : sa fente intime étalait ses trésors ! Marco était de plus en plus chaud, et il ne s’arrêtait plus ! Daphné le laissait faire tranquillement. C’était sans doute uniquement pour l’exciter ! Et soudain, Marco a fait signe à Daphné de le suivre, me laissant seule à mes pensées.
MarcoJ’ai emmené Daphné dans la cabine, en tirant les rideaux et en ne laissant qu’un mince interstice. Mon plan se déroulait à merveille ! J’allais forcément attirer l’attention de Julia, et j’étais sûr d’avoir les deux jeunes femmes avec moi.
Je n’avais aucun doute concernant Daphné : après chaque séance de pose, elle consentait à des relations fort peu professionnelles ! J’ai attendu qu’elle entre dans la cabine, et je lui ai désigné un banc sur lequel elle s’est allongée. Je pouvais commencer à lui prodiguer des caresses en tout genre. Je prenais du plaisir à passer les mains sur ses épaules, sur sa poitrine, sur son ventre et sur ses cuisses. Ses tétons roses se dressaient sous mes yeux ! Quand j’ai effleuré ses lèvres intimes, j’ai cru percevoir un léger soupir d’aise qui m’encourageait à poursuivre. J’ai doucement palpé son charmant bouton de chair, centre des plaisirs féminins, tout en guettant sa réaction. Daphné poussait de petits cris, ce qui démontrait que mes efforts portaient leurs fruits !
Je poursuivais en venant lécher son petit abricot, histoire de faire monter son excitation d’un cran. Alors que ma langue allait et venait sur ses lèvres intimes, je la sentais prête à recevoir l’estocade finale !
JuliaJ’avais bien compris leur petit manège et j’en étais malade de jalousie. J’entendais les cris de Daphné et je savais ce que cela signifiait. Je n’ai pas pu m’empêcher d’aller jeter un œil dans la cabine. A travers les rideaux mi-clos, j’apercevais Daphné allongée sur la couchette. Et à ses côtés, Marco étalait sa nudité. J’ai failli tomber à la renverse tant son sexe me paraissait disproportionné. A ce jour, ma seule référence en la matière venait de l’observation assidue des statues de dieux grecs dans les musées, affublés généralement de minuscules bistouquettes ! C’est dire si j’ai été impressionnée en voyant le membre bandé de Marco !
L’instant d’après, Marco était couché sur Daphné, m’empêchant d’apprécier tous les détails de leur relation. J’entendais juste Daphné qui hurlait de plus en plus fort, et plus elle criait, plus je la jalousais. Je n’avais encore jamais goûté aux joies du sexe, mais j’avais hâte d’y être. Surtout quand je voyais que Daphné semblait ressentir un plaisir infini ! Au moment de passer à l’action, j’étais paralysée par le trac. Allais-je laisser tomber ma chance, qui ne se renouvellerait peut-être pas avant longtemps ? Prenant mon courage à deux mains, je décidais de contourner la cabine et de pousser la porte.
Lorsque Marco m’a vu, il a esquissé un petit sourire qui aurait pu me faire peur. Mais là, je ne craignais plus rien ni personne, je savais que j’allais perdre ma virginité et j’étais très impatiente. Faisant la timide, je me suis approchée à pas de loup. Quand je suis arrivée à leur niveau, Marco a tendu la main vers moi. J’ai eu un mouvement de recul, ne comprenant pas ce qu’il me voulait. Puis je me suis rapprochée à nouveau et Marco a palpé mes seins en pinçant légèrement mes tétons. J’étais envahie de sensations nouvelles pour moi ! Sa main glissait de mes épaules à ma poitrine, vers mon nombril, puis elle est descendue là où personne ne s’était aventuré avant lui. Je ne comprenais pas vraiment ce qui m’arrivait, j’avais envie de m’abandonner totalement à cet homme, de le laisser assouvir ses fantasmes. Aussi je n’ai pas cherché à résister quand il a fait glisser mon string le long de mes cuisses. Trente secondes plus tard, j’étais allongée à côté de Daphné. Je fermais les yeux pour mieux apprécier les caresses de Marco sur ma peau nue. Il allait droit au but et me donnait un plaisir infini ! Et quand il a commencé à lécher mon petit bouton, les vagues de plaisir ont redoublé d’intensité !
Marco:Le moment que j’avais tant attendu allait finalement arriver : j’allais enfin m’immiscer dans l’intimité de la jeune Julia. Elle paraissait anxieuse à ce moment, aussi j’essayais de la rassurer par quelques mots susurrés à l’oreille. J’ai posé délicatement mon membre à l’entrée de son puits d’amour et j’ai poussé en douceur. Ses lèvres se sont écartées si bien que j’ai pu entrer pour découvrir un monde inexploré, qui allait bien au-delà de mes espérances. A mesure que je la pénétrais, une impression de bien-être absolu m’envahissait. A chaque va-et-vient, j’avais la sensation que sa grotte était tapissée d’une sorte de velours moelleux. Pour couronner le tout, Julia accompagnait chacun de mes efforts de légères oscillations du bassin.
Je n’ai eu aucun mal à la faire jouir ! Il faut voir comment elle hurlait, comment elle cambrait violemment son bassin tout en expulsant un jet de cyprine ! Nous étions pris dans une spirale sans fin, impossible à arrêter ! Je comptais ses orgasmes : un, deux, puis trois. Au quatrième, machinalement, je jetais un œil à la pendule.
Pas de temps à perdre, je fonçais vers la barre : j’avais promis à mon ami de rendre le bateau à 18 heures précises. Mes deux amies devaient avoir besoin de récupérer, et je ne m’attendais pas à les voir de sitôt. Pourtant au bout de quelques minutes, une sensation délicieuse et inexplicable m’a fait sursauter. J’ai baissé les yeux et j’ai vite compris : Julia était accroupie à ma gauche, Daphné à ma droite et leurs langues étaient enroulées autour de mon membre viril ! Elles me léchaient tant et plus, si bien que j’avais du mal à garder le cap... Tandis que l’une avalait mon engin, l’autre me palpait les bourses, puis elles échangeaient leurs rôles.
Julia était la plus douée des deux ! Lorsque sa langue tournoyait sur mon gland, les sensations étaient tout à fait délicieuses. Je vivais comme un rêve éveillé ! J’étais en pleine mer, dans un superbe paysage, prisonnier des lèvres de Julia ! Les deux jeunes filles n’avaient pas l’air de se lasser, elles ne voyaient pas que nous arrivions au port, et que des passants pouvaient nous voir ! Et moi je savourais mon plaisir et pour rien au monde je n’aurais voulu les interrompre !
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