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Turlutte au magasin de flûte

Chapitre unique

Histoire d'une pipe insolite

Hétéro
C’est arrivé très vite. Au moment où je m’y attendais le moins. En cette fin d’après-midi, il y avait encore quelques clients dans ce magasin d’instruments de musique qui offrait une ambiance chaleureuse et feutrée grâce aux effets de lumière projetés sur le sol moquetté. A s’y promener, on avait l’impression de faire partie des coulisses d’un spectacle. C’était la première fois que j’y entrais, et comme j’avais le temps de flâner, j’ai exploré lentement les lieux, passant d’un rayon à l’autre, admirant les instruments et les équipements divers, dont je ne connaissais pour certains ni l’utilité ni le nom. Au moment où je croyais avoir fini de visiter les lieux, j’ai remarqué qu’il y avait un escalier étroit et discret dans le fond du magasin.
Curieux, je m’y suis aventuré. En arrivant en haut des marches, j’ai découvert un endroit tout aussi charmant, beaucoup plus exigu que le rez-de-chaussée, où je ne croisais personne. Je m’y suis tout de suite senti bien, comme dans un grenier où l’on se réfugie pour s’isoler et y trouver la tranquillité. Au fond de la sombre pièce au bas plafond, était entreposé parmi d’autres instruments, un ancien piano droit de couleur noire laquée, sur lequel la faible lumière de la fin du jour se reflétait. Je suis passé derrière et je n’ai pas pu résister à l’envie de soulever le couvercle pour en caresser quelques touches. Mon exploration terminée, je suis redescendu au premier niveau et j’ai pris la direction du comptoir de vente, car j’avais besoin de recourir à un renseignement de professionnel. Le magasin s’était vidé. Il ne restait plus qu’un seul client, et je suis resté en retrait de quelques pas pour attendre mon tour, car il était en pleine discussion avec le conseiller de la boutique.
C’est à ce moment que de nouvelles personnes sont entrées dans le magasin et se sont rapprochées du comptoir où j’attendais. C’était deux jeunes garçons, âgés d’une quinzaine d’années, qui s’égayaient d’un juvénile et touchant enthousiasme à venir s’acheter un nouvel équipement pour leur groupe de rock-grunge de garage. Ils ont tout de suite pris place derrière moi dans la file d’attente.
Moins d’une minute plus tard, leur entrée a été suivie par celle d’une femme plantureuse à la chevelure volumineuse et bouclée, pas très jeune et pas très jolie, que je supposais être la mère de l’un d’eux, et qui, affublée d’un air détaché, se tenait à l’écart, visiblement ennuyée et désabusée de son rôle d’accompagnatrice. Je n’y ai pas prêté attention plus que cela, mais, en occupant mon attente, j’ai levé les yeux quelques fois pour regarder autour de moi, et il m’est alors apparu qu’elle me regardait avec de plus en plus d’insistance.
J’ai allongé mes temps d’observation sur elle. En dévisageant sa personne tout entière depuis les pieds jusqu’à la tête, j’ai découvert de hauts escarpins de velours aux talons fins et pointus, des collants opaques et soyeux qui faisaient la liaison avec une jupe noire, serrée, dont la longueur du tissu s’arrêtait bien au-dessus de ses genoux, et qui mettait en tension les formes de ses cuisses rondelettes. Dans ses mouvements de jambes, j’ai même cru entrevoir l’extrémité dentelée de ses bas à la pointe de la fine échancrure de son tailleur. Au-dessus était boutonné un chemisier de satin blanc, assorti d’un collier de grosses perles qui habillait sa brune gorge ridée par le soleil et le temps. Sa tenue était chic et soignée, comme si elle se rendait ensuite à une soirée. Son embonpoint avait l’avantage d’avancer de lourds arguments à l’endroit de sa poitrine.
De son visage coquin, exagérément maquillé et mal dessiné par la nature, elle a commencé à me jeter des regards de plus en plus appuyés ; comme une prédatrice ; et je me suis rendu compte de ses réels appétits lorsque, dans le dos de son rejeton, et à l’abri des regards alentours, elle m’a accroché de son regard torve et pervers tout en passant ses doigts dans l’intérieur de son chemisier déjà bien ouvert pour l’étirer un peu plus afin de me faire voir le grand canyon qui fissurait ses deux mamelles, soutenues par une brassière bien montée. J’étais quelque peu décontenancé de faire face à cet évènement soudain, et il m’a fallu plusieurs minutes pour quitter ma zénitude et intégrer à quel point cette grosse salope était désireuse de chaudes sensations.
J’étais désormais l’otage de sentiments contraires qui se disputaient mon âme. Moi, grand brun élancé, maturé d’une trentaine d’années et doté d’un corps athlétique sculpté par l’effort, je me trouvais, malgré le concours de ma pleine résistance, embarrassé d’être pris d’attirance pour cette vieille pouliche vulgaire et dépravée.
Cette pute de sorcière assoiffée d’extase venait de me jeter un sort. Elle était ainsi parvenue à focaliser mon attention sur elle, de telle sorte que je n’avais plus accès à ma raison pour y trouver les moyens de m’en défaire.
Étant célibataire et ayant dans les couilles plus d’une semaine de charge séminale, la chaleur et la saloperie sexuelle qui se dégageaient de ses attitudes attendrissaient le respect que j’avais pour moi-même, et je ressentais maintenant une excitation montante à échanger publiquement avec elle des regards qu’ont les chiens excités pour les chiennes en chaleur, et pour lesquels elle n’affichait pas la moindre honte ni la moindre intimidation. Je me suis senti faible et honteux de me faire prendre à son jeu, car je n’avais jamais eu l’intention de lui céder. Mais c’était sans compter que les hormones d’un homme aux bourses pleines sont sujettes à de faciles corruptibilités.
Le client qui me devançait était toujours en discussion avec le vendeur et n’en finissait plus de lui poser des questions. Leur conversation passionnée n’avait aucun regard pour le temps. De leur côté, les ados étaient occupés à leurs rires et à leur gaieté. Ils s’étonnaient de tout ce qui était autour d’eux tel que s’ils venaient de découvrir un nouveau monde.
J’avais un peu de temps devant moi. Mais que faire ? Comment était-ce possible d’imaginer assouvir quelques pulsions que ce soit en de pareils lieux et en de pareilles circonstances ?
C’est alors qu’elle a mis définitivement fin à mes questionnements lorsque sur un regard de plus, elle ajouta une grosse goutte de chaleur au vase qui débordait déjà.
Surveillant bien de ne pas se faire voir, la pulpeuse et grasse cochonne a porté discrètement son poing à sa bouche ouverte, comme lorsqu’on le fait poliment pour étouffer une légère quinte de toux. Mais au lieu de tousser, elle m’a lorgné lubriquement, et a poussé de sa langue l’intérieur de sa joue, formant une grosseur qui laissait claire toute la signification de son mime.
A cette vision, j’ai été traversé d’une pulsion qui a porté tout mon corps à ébullition, et j’ai été contraint de me retourner brièvement pour glisser ma main à l’intérieur de mon pantalon afin d’y saisir mon sexe, qui était devenu comme un pilon de pierre, pour le redresser vers le haut, tant il me faisait mal d’excitation. La coquine arriviste m’a alors souri de ses dents plus très blanches et je me suis imaginé me décharger dessus sans aucun respect, laissant l’entourage de son orifice buccal maculé de foutre épais. Je ne comprenais pas comment cette femme pouvait me faire tant d’effet. Malgré son physique peu gracile, elle m’inspirait l’irrépressible et bestiale envie de l’aimer en fourrant mon sexe durci par ses avances dans l’antre de sa bouche de vieille pute provocante.
D’une longue inspiration, j’ai rassemblé le nécessaire de courage qu’il faut pour attraper l’impertinente audace de faire quelque chose de fou, et j’ai traversé la pièce pour la frôler en passant dans son dos en prenant la direction de l’étage supérieur. La douceur de la moquette a participé à mon déplacement furtif en absorbant le bruit de mes pas, et j’ai gravi l’escalier jusqu’au premier étage sans me retourner. J’ai marché jusqu’au fond de la pièce et je me suis assis sur le tabouret du piano, dos aux touches et dos aux escaliers. Comme un préliminaire, une préparation, j’ai ouvert ma ceinture, j’ai dégrafé le premier bouton de mon pantalon, juste au cas où, et j’ai attendu, me tenant prêt, sans vraiment toutefois croire que quelque chose pouvait se passer.
Presque immédiatement, l’escalier a fait le bruit de quelqu’un qui les emprunte. Les battements de mon cœur, de plus en plus puissants, se sont emparés de mon corps tout entier, pris de panique à l’idée que c’était peut-être elle. J’entendais les pas venir jusqu’à moi. J’étais pétrifié à l’idée de croire que ce que j’étais en train de vivre était réel. Je gardais la tête basse, n’osant pas faire face à ce qui pouvait advenir.
Un doigt est venu se placer sous mon menton. Elle m’a relevé ma tête. C’était elle. Elle a planté mes yeux dans son regard enflammé, et d’un geste adroit, a libéré ses énormes seins par-dessus son soutien-gorge pour ensuite venir immédiatement s’agenouiller entre mes cuisses. Au moyen des dernières forces que je maîtrisais encore, j’ai descendu mon pantalon et j’ai libéré mon braquemart gros et dur d’amour, qui à peine sorti de la prison de mon caleçon, était déjà rentré dans celle de sa bouche. Je rêvais. J’étais en train de me faire avaler la bite par une femme que je venais à peine de rencontrer, à qui je n’avais jamais parlé, et tout cela dans un lieu complètement inapproprié.
Depuis le début de nos regards dans la boutique, j’avais fait un plan fantasmatique dans ma tête. Si jamais ça devait se passer, je m’étais juré de ne pas respecter son plaisir, de ne pas me retenir, de me servir d’elle comme d’un mouchoir que l’on jette, de remplir sa cavité buccale le plus vite et le plus fort possible, de l’honorer en l’utilisant comme le gros déversoir à foutre qu’elle se plaisait à être.
Elle et moi savions que c’était une affaire de minutes, qu’il était question d’un moment bref, offert, volé. Alors qu’elle me pompait avec une détermination dévouée, je me suis mis debout, j’ai écarté les jambes, et enflammé d’excitation, j’ai attrapé sa chevelure de boucles rêches pour tirer dessus durement. Je surveillais l’escalier, et tout en lui appuyant sur l’arrière de la tête, je lui fourrais ma pine large et dure au plus profond de sa gorge, plaquant son visage contre mon bas-ventre sans me soucier de savoir si elle pouvait respirer.
Je recevais une des meilleures pipes de ma vie, une des plus intenses, car les femmes, quelque soit la grâce de leurs traits, ont cette justice de faire jeu égal à la pratique de succions volontaires et bien appliquées. En quelques instants, elle m’a servi une prestation à la hauteur de ses avances.
Elle a fait taper mon gland décalotté sur la pointe de sa langue tirée, a craché sa salive sur mon sexe, a gobé mes deux couilles tout entière, et sommet du plaisir, m’a surpris en faisant passer sa face au-dessous de mon entrejambe pour ainsi venir en lécher la crevasse. Je sentais ses joues plaquées sur mes fesses pendant qu’elle me lapait l’anus comme si elle dégustait le meilleur repas de sa vie. Je la sentais partout dans trou. De mon expérience, jamais aucune bouche ne m’avait fait l’honneur de s’aventurer à cet endroit et encore moins avec autant de passion et d’appétit. Je doutais d’être léché par un chien. J’exultais de sentir mon trou de balle fouillé et trempé de sa salive. Cette initiative a déclenché en moi un pic d’excitation jamais atteint jusque-là. Je découvrais un nouveau plaisir. Elle n’a pas oublié non plus de me branler la queue pendant toute son initiative.
Son animalité sexuelle me donnait envie de la gifler, de la fesser, de la recouvrir d’excitantes insultes, mais le silence était maître, ici, en ces folles conditions.
Le temps pressait. En bas, on allait bientôt s’inquiéter de nos absences simultanées. Il fallait en finir. De mes deux grandes mains, j’ai supplicié ses gros seins en les pressant de toutes mes forces, car je savais que cette chienne servile et offreuse de bonheur était empêchée de crier. Je lui baisais à nouveau la bouche avec une vigueur qui honorait cette exceptionnelle situation. Quel plaisir de regarder mon membre turgescent se faire déguster par une si bonne bouche chaude et affamée. A l’intérieur, je sentais sa langue tournoyer à fond autour de ma verge. J’ai attrapé ses tétons comme des poignées auxquelles je m’accrochais pour mieux aller et venir entre ses lèvres dont j’imaginais qu’elles avaient du sucer une quantité stratosphérique de bites. A cette pensée, j’ai soudain senti passer dans mon urètre la chaleur de mon abondant liquide qui montait depuis mes testicules remplis de désir.
Quand j’ai senti que j’allais exulter, j’ai abandonné ma prise sur ses mamelles et d’une main, j’ai tiré sur ses cheveux pour faire reculer sa tête, de sorte que ne reste emprisonné entre ses lèvres que le bout de mon sexe, que de mon autre main, je branlais par secousses frénétiques. C’est à ce moment qu’elle m’a attrapé fermement les fesses et les a pressées très fort sous ses longs faux ongles saillants, comme pour se venger des sévices que je lui avais infligés. J’ai retenu un cri, j’ai fermé les yeux, et j’ai laissé partir de larges giclées blanches et épaisses directement dans ses joues chaudes, libérant d’un jet puissant et jouissif l’insoutenable pression que cette salope avait fait monter en moi ; et qui ; du bout de sa langue, et de tout le temps qu’a duré ma jouissance ; n’a jamais interrompu de fouiller la fente de mon urètre.
La décharge achevée, comme pour bien me confirmer la nature de son goût assumé pour le foutre, elle s’est redressée immédiatement, et le regard fier, m’a fixé dans les yeux tout en repositionnant ses seins meurtris à l’intérieur de leurs baleines. Elle a levé la tête au plafond pour me montrer le dessin de son cou, que j’ai vu se gonfler à la déglutition du précieux liquide qu’elle venait sauvagement de me soutirer. Puis elle a fait demi-tour sans même se retourner, pour redescendre au rez-de-chaussée d’un pas lent et assuré.
Elle ne l’a pas vu, mais en la regardant s’éloigner comme si de rien n’était, j’ai eu pour elle un sourire d’affection et je l’ai trouvée belle à cet instant.
Quand elle a disparu dans la descente des escaliers, j’ai fermé les yeux, et, exténué, je me suis laissé retomber sur le tabouret. J’ai senti mon cul nu et humide ; mes couilles vides et chaudes ; entrer en contact le bois froid. Puis j’ai mis mes coudes en arrière sur le couvercle qui protège le clavier du piano et je suis resté là, éclairé de la lumière du crépuscule, engourdi de papillons, la tête virevoltante, prêt à entrer au paradis.
Durant un long instant, peu m’importait que quelqu’un eût pu me trouver là, seul, à moitié nu derrière un piano, le pantalon sur les chevilles, le sexe ballant et le sourire béat.
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