Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 90 J'aime
  • 2 Commentaires

UnChapitreUneHistoire

Chapitre 1

En nature

Hétéro
Tony rangea sa pile de livres dans son sac et sortit de la médiathèque. Une fois devant, il prit le temps de s’allumer une cigarette en s’adossant à un poteau.
Petit chantier rapide, je ne pensais pas finir si rapidement... même pas sué... et en plus j’ai pu récupérer mes livres tranquillement.
Il regarda un gros 4x4 sortir de son stationnement avec difficulté ; il se moqua :
— Bah dis donc, mémère, faut acheter plus petit si t’y arrives pas.
À peine, les mots passèrent ses lèvres que le pare-chocs arrière du 4x4 s’enfonça tout doucement dans l’aile de sa voiture. Il changea de couleur :
— Pas la voiture du boulot… elle ne devrait même pas être là !
Sous le choc, il sortit de l’ombre du poteau et commença à s’avancer vers sa voiture. Tout à coup, il s’aperçut que le 4x4, loin de s’arrêter, sortait rapidement du parking de la médiathèque.
Ah non, cocote ! Tu ne vas pas me la faire à l’envers...
Il courut, sauta la haie qui séparait le parking du trottoir. Il se mit à courir.
Elle va devoir prendre les ralentisseurs, je suis sûr de la choper.
Il fit un sprint pour arriver au carrefour suivant. Il se mit sur le passage piéton devant la voiture et l’invita d’un mauvais geste à se garer sur le parking de la résidence qui bordait la route. Le visage de la conductrice se crispa à tel point qu’il eut peur qu’elle n’explose.
Le 4x4 continua sa route, se gara au fond du parking devant l’accès au jardin de la résidence. Il se mit près de la porte côté conducteur, mais laissa la place de sortir.
Je ne veux pas non plus qu’elle pense que je vais lui faire sa fête.

La femme sortit, les yeux brillants. Il s’aperçut qu’elle était enceinte jusqu’aux yeux.
— Excusez-moi, Madame, mais il me semble que vous avez heurté un peu ma voiture.
Les mains serrées sur sa jolie robe, la femme, entre trente-cinq et quarante ans, parla d’une voix saccadée par l’émotion :
— Oui, je sais... Je suis désolée... J’avais l’esprit ailleurs... Je ne regardais pas où j’allais.— Vous avez des radars de recul sur votre voiture, répondit-il avec morgue ; vous avez dû entendre le bip-bip.— Je n’y ai pas fait attention.
Il secoua la tête et se dit que, de toute manière, le mal était fait.
— On va faire le constat, dit-il, conciliant, et on ne parlera pas du délit de fuite.
Les larmes commencèrent à couler des yeux de la femme.
— Madame, ce n’est pas grand-chose, vous allez vous en remettre.— C’est que je n’ai pas le droit de sortir : je suis en arrêt pour ma grossesse.— Il n’y a pas de blessé ; votre assurance n’ira pas voir plus loin que le constat à l’amiable.
Elle hocha la tête, et d’un coup elle éclata en sanglots.
— C’est vrai, mais mon mari ne va pas être content : on attend cet enfant depuis si longtemps…
Elle prit un Kleenex, se moucha et s’essuya les yeux. Il leva les yeux au ciel et se dit qu’elle allait lui faire une comédie pour éviter le constat.
— Ne serait-il pas possible de s’entendre sans faire intervenir les assurances ? demanda-t-elle innocemment.
Bingo !
— Voyez-vous, c’est ma voiture du travail que vous avez cabossée, et moi aussi je n’ai pas le droit d’être ici avec. Alors, si en plus j’arrive à ma boîte sans constat, je me fais fusiller par mon patron ; il n’est pas connu pour son humour et sa gentillesse.— Alors puis-je faire quelque chose pour vous en échange ? Ce que vous voulez.
Je suis un peu en manque de fonds... peut-être que quelques billets seraient les bienvenus... et puis le patron va criser dans tous les cas... On va voir combien elle est prête à donner…
— Peut-être que quelques avantages en nature me feraient changer d’avis.
Elle ouvrit grand les yeux et se mordit la lèvre inférieure. Sa tête bougea de gauche à droite, cherchant une réponse.
Allez... aboule le fric ! Qu’est-ce qu’elle cherche ?
— En nature... c’est bien ça ? lui demanda-t-elle de confirmer.
Il hocha la tête d’un air serein. Elle rougit et se caressa le ventre.
T’as une bagnole à cinquante briques ; va pas me dire que tu ne peux pas lâcher au moins cinq sacs.
Elle pinça les lèvres et déglutit difficilement :
— D’accord, mais on va se mettre un peu à l’écart.
Elle en fait des manières pour filer un peu de fric... Elle ne m’a même pas dit combien elle allait me donner…
Elle prit son sac à main et lui fit signe de le suivre. Ils se mirent derrière une haie, bien à l’abri des regards. Elle mit la main dans son sac.
J’accepte même les chèques.
Elle sortit une petite serviette qu’elle l’étala au sol et se mit à genoux.
Qu’est-ce qu’elle me fait ?
— Est-ce que cela suffira ?
Il avait gardé ses lunettes de soleil, elle ne vit donc pas son regard complètement perdu. La conductrice, n’ayant pas eu de réponse, hocha la tête avec résignation et commença à défaire la ceinture du pantalon de Tony. Elle la tira pour le faire descendre ; elle ferma les yeux puis descendit doucement le boxer avec appréhension. Elle resta bloquée et ne se résolut pas à toucher le pénis qui était en face d’elle.
Tony, quant à lui, était plongé dans de grandes réflexions. Il releva ses lunettes, se frotta le front, puis remit ses lunettes.
Qu’est-ce qu’elle me fait ? J’ai pourtant été clair : avantage en nature. En nature, et pas en... en… en… en… hein ? En liquide... c’est en liquide que je voulais dire, et pas en nature... tout ça est parti d’un malentendu de ma part. Désolé, Madame, vous n’avez pas à faire...
Il déglutit car elle venait enfin d’attraper le sexe mou de sa main gauche. Elle le masturba doucement.
Oh ! C’est ma première gauchère... et je dois dire que ça change quand même un peu. Nouvelle sensation... bon... après tout... puisque l’on y est et qu’elle m’a bien en main, qu’elle finisse. Je ne pense pas qu’il y en ait pour longtemps…
Le membre se tendit rapidement pour atteindre une taille record pour Tony.
Holà, Popaul ! Tu sors les épaules ! Je n’ai jamais été aussi long et large. Je dois être entre seize et dix-sept... super fier de toi…
Des gouttes commençaient à suinter de son urètre.
Comme je disais, pas long du tout.
La conductrice releva les yeux et croisa son regard ; elle baissa la tête aussitôt et rougit encore plus. Il lut dans son regard une certaine inquiétude, mais aussi un peu d’excitation. Quelques minutes passèrent ; Tony restait sur le fil de la lame.
C’est pas tout, ça, mais c’est plutôt monotone... Elle va finir par me perdre et, je n’ai pas toute la journée…
— Va falloir passer aux choses sérieuses, dit-il d’une voix d’outre-tombe.
C’est moi qui ai dit ça ? Un peu sombre, quand même.
La femme hocha la tête et s’exécuta. Elle commença une fellation du bout des lèvres. Elle ne rentra pas le membre turgescent dans sa bouche mais le colla à ses lèvres et passa le bout de sa langue sous le frein.
Alerte ! Alerte blanche ! Éjaculation imminente !
Il se concentra pour faire durer, et par miracle réussit à n’éjaculer qu’un petit jet. Celui-ci surprit la conductrice qui recula. Un long fil de pré-sperme mélangé à de la salive reliait le gland aux lèvres. Surpris, il mit doucement sa main derrière la tête de la femme et la rapprocha de son sexe. Celle-ci voulut reprendre sa mini-fellation, mais Tony, dans un état second, continua à la tirer vers l’avant. Elle dut écarter les lèvres et laisser la barre chaude et dure pénétrer sa bouche.
— C’est bon, ça, susurra-t-il à l’adresse de sa partenaire.
La conductrice ne se sentit pas bien et accéléra d’un coup. Elle enfonça le sexe au plus profond puis, sur le retour, serra le sexe entre ses lèvres et frotta avec sa langue sur la longueur. Elle continua ainsi.
— Vous savez... ce que vous faites, continua-t-il de susurrer.
Elle eut en horreur les compliments de son maître chanteur, mais ils firent mouche. Elle décida de masser les testicules et en plus de lui caresser la peau douce entre le scrotum et l’anus.
On ne m’a jamais fait tout ça... C’est une star de la pipe, cette nana... Je suis trop jaloux de son mec…
Elle aspira fort d’un coup et renvoya le sexe frotter sa glotte ; ce fut trop pour Tony qui éjacula à grandes eaux. Le sperme sortit avec une telle violence qu’il sortit par les narines de la conductrice. Elle avala tant qu’elle put et finit par cracher l’excédent par terre, à côté d’elle. Il glissa à terre, ne supportant plus son propre poids. Il se retrouva assis, les jambes écartées autour de la conductrice.Encore sous le coup de l’excitation, il se permit de glisser sa main dans son décolleté et de lui caresser un sein.
Ils sont trop gros et charnus... lourds de désir, si je me faisais poète.
Elle le laissa faire, jusqu’à ce qu’il lui pince doucement un téton. Elle repoussa sa main en relevant le visage. Des coulures de sperme gouttaient aux coins de ses lèvres et sous ses narines ; on aurait pu croire à du mucus nasal sans cette blancheur caractéristique.
— Je... je pense que... nous sommes quittes, dit-elle en reprenant difficilement son souffle.
Elle prit un mouchoir dans son sac à main et se moucha puis s’essuya le visage avec un autre.
— Vous avez largement gagné mon silence, soupira-t-il. Je n’ai jamais subi une pipe pareille. Chapeau, l’artiste !
Il réussit à lui arracher un sourire en la saluant bien bas de la main et de la tête. Elle se tourna pour se relever dos à lui et cacher son décolleté. Une fois accroupie, il vit que quelque chose coulait le long de ses chevilles nues.
Faites qu’elle n’ait pas perdu les eaux…
— Excusez-moi, dit-il en lui mettant la main dans le dos.
Déséquilibrée, elle glissa en avant et se trouva à quatre pattes, dos à Tony.
— Oups, c’est que vous avez quelque chose qui vous coule le long des jambes.
Toujours à quatre pattes, elle se tourna vers lui, l’air surpris.
— Vous dites ?— Vous n’avez pas perdu les eaux ? demanda-t-il, très sérieux.
Elle secoua la tête face à tant d’ignorance, mais passa tout de même sa main sous sa robe.
— Ooooh !
Non, tout, mais pas ça !
Il se leva pour mieux voir.Elle retira sa main sous sa robe et vit que ses doigts étaient couverts d’urine claire et de cyprine. Elle releva les yeux pour se trouver de nouveau devant le sexe encore un peu dur de son maître chanteur.
— Ce n’est rien, je vais...
Tony vit la main et la coupa :
— Vous avez joui, c’est tout, se rassura-t-il. Ouf ! ajouta-t-il.
Elle prit la mouche et lui dit :
— Vous êtes complètement idiot ! Je n’ai en rien joui. Et maintenant, laissez-moi.
Il se mit derrière elle, leva sa robe et vit le tanga trempé.
— Mais que faites-vous ?
Il fit glisser son pouce le long de la fente qui se voyait clairement sous le tissu mouillé.
— Mais… je ne vous permets pas ! éructa-t-elle.
Poussant plus fort son pouce, il sentit que celui-ci entrait sans aucune résistance.
— Arrêtez ça tout de suite ou je crie !
M’arrêter  ? Non, non, non, non, non, je ne peux pas.
Il se pencha en avant, écarta le tanga et mit un grand coup de langue sur la fente. Celle-ci se contracta et fit jaillir de petits jets d’urine claire.
— Oh, mon Dieu ! cria-t-elle d’une voix inaudible.
Elle se mit à trembler.
— Ne faites pas ça, ajouta-t-elle dans un souffle imperceptible.
Il se pencha et lécha le sexe offert. Il sentit la femme tendre les fesses pour lui offrir une plus grande ouverture. Malgré une mauvaise position, il titilla le clitoris encore et encore jusqu’à recevoir une giclée en plein visage.
C’est le signal.
Il regarda Popaul et vit que celui-ci avait répondu présent. Pas aussi gros que précédemment, mais cela ferait largement l’affaire. Il présenta son sexe à l’entrée et fut gêné par le tanga.
— Coupez-le, dit-elle d’une voix autoritaire.
Il ne se fit pas prier ; il sortit son cutter et le fit sauter. Il la pénétra brutalement, lui arrachant un râle de plaisir.
Au point où l’on est, pas besoin d’y aller mollo au début ; tant que je ne tape pas dedans comme une brute, cela devrait être bon.
Il fit de puissants va-et-vient, mais sans jamais cogner le bassin.
Je ne m’enfonce jamais à fond, mais, putain, qu’est-ce que c’est bon ! Le meilleur coup de toute ma vie.
La robe de la conductrice commença à glisser, laissant voir ses seins enserrés dans un joli soutien-gorge. Il ne laissa pas passer sa chance : il en profita pour s’enfoncer en entier en elle. Il mit une main au sol à côté d’elle, et de l’autre lui massa un sein. Il sentit le dos de la femme contre son ventre faire de petits mouvements d’avant en arrière. Elle tourna la tête vers lui ; il l’embrassa, à sa grande surprise. Elle y répondit après quelques secondes.
Ils se regardèrent ensuite dans les yeux et y virent un mépris mutuel, mais sans poids face au plaisir qu’ils se donnaient
Je voudrais trop lui téter les seins, mais je sens que ça ne va pas être possible.
Il se remit droit et reprit ses coups de reins sous les râles de plus en plus bruyants de sa partenaire dans l’adultère.
— Je vais bientôt jouir, lui dit-il. Et on va finir par vous entendre.
Elle continua ses éructations de plaisir, se fichant complètement d’être entendue.
Je crois qu’elle aussi est bientôt proche de la fin.
Il se donna à fond, massant les hanches qu’il avait en main avec délice. Il repoussa la robe et dévoila le dos, puis l’épaule. Il trouva l’attache du soutien-gorge et la fit sauter. Elle se retrouva presque nue, mais rien n’y fit : elle était dans son monde. Il glissa sa main droite jusqu’à l’épaule de la conductrice et décida de donner un dernier coup de vis ; avec cet appui, il put s’enfoncer plus rapidement, plus profondément, mais sans jamais faire taper la garde. La conductrice se tut, et ce fut plus inquiétant.
Qu’est-ce qu’elle me fait ?
Dix secondes plus tard, il la sentit s’écrouler, seul indice de son récent orgasme. Il l’aida du mieux qu’il put à tenir. Il accéléra et profita de son impassibilité pour enfoncer un doigt, puis deux dans l’anus de la conductrice. Elle eut un nouvel orgasme au même moment que lui. Il éjacula et vit le surplus de sperme s’écouler sur la serviette. Elle se coucha sur sol ; il s’allongea à côté d’elle.Tony remit quelques coups de reins, profitant de son érection encore dure.
Par chance, le sein gauche arriva contre son visage : il put enfin le téter. La conductrice s’éveilla à ce moment-là. Elle repoussa Tony et se leva prestement, à son grand étonnement.
— Monsieur, commença-t-elle en agrafant son soutien-gorge, vous voilà plus que payé pour oublier notre accrochage.
On dirait que c’est fini avec la future maman éplorée.
Il resta au sol, le sexe englué, et la regarda dégouliner. Il lui tendit la serviette ; elle s’essuya de façon peu élégante.
— Je dirai même que vous allez oublier notre rencontre.— Pourtant, avec tout ce sperme, difficile d’oublier.
Elle détrompa :
— Très simple, Monsieur : je ne peux tout simplement pas tomber plus enceinte.
Elle débarrassa sa robe des herbes sèches et autres brindilles et s’enfuit vers sa voiture ; Tony la suivit en reboutonnant son pantalon de travail. Elle ouvrit sa porte, mit la serviette sur le cuir du siège et s’assit.
— Pourquoi me suivez-vous ?
Il soupira et dit :
— Je remonte la trace.
Elle regarda au sol et vit de petites gouttes plus ou moins grosses mener à son 4x4. Elle regarda Tony, sourit et se mordit la lèvre inférieure.
— Nous en avons terminé. Au revoir, et à jamais.
Elle démarra le moteur et finit leur conversation et lui disant :
— Au fait, vous vous êtes roulé là où j’ai craché votre sperme.
Elle partit sans un regard en arrière. Il baissa les yeux et vit les grosses taches.
— Merde ! fit Tony.
Il resta là avec son pantalon plein de sperme, complètement perdu. Il retourna à sa voiture.
— Mes livres ! J’ai failli les oublier.
Il chercha son sac devant la médiathèque et vit qu’il avait été mis près du comptoir. Il voulut ouvrir la porte, mais celle-ci lui refusa l’entrée.
— Bordel de merde ! Elle vient de fermer.
Il secoua la tête et récupéra sa voiture.
Le patron ne va pas être jouasse !
Il se gara devant le bâtiment de l’entreprise de domotique pour laquelle il travaillait. Il entra et demanda à la secrétaire si le patron était là.
— Oui, Tony ; il est dans l’atelier.
Il arriva. Le patron était en train de câbler un coffret électrique.
— Salut, patron.— Alors, ça s’est bien passé, l’installation ? La maison est belle.— Elle est de toute beauté. Et oui, cela s’est bien passé, mais la portière de la voiture a été cabossée.— Quoi ?
Il se tourna et mit le tournevis qu’il avait à la main dans sa caisse à outils.
— Comment t’as fait ton compte ? La maison est dans une allée privative, et il n’y a pas encore d’occupants.— C’est sur le parking de la bibliothèque. Je me suis arrêté pour récupérer des livres, et à mon retour, "bing", c’était fait.— Je t’ai déjà dit que nous n’avons pas d’assurance pour les déplacements privés avec les voitures ! cria le patron. T’as intérêt à avoir un constat en bonne et due forme !— Bah, j’ai rien vu. Alors...— Oh toi, je vais te faire payer la franchise !
La mâchoire de Tony tomba.
— Pardon ?— Elle est de 800 euros. J’espère que tu as du liquide sur toi.— Mais tu ne peux pas me faire ça.— Et pourquoi donc ?— Je suis ton fils.
Le patron leva les yeux au ciel.
— Je ferais même payer ma mère s’il le fallait. Et puis je t’ai assez prévenu comme ça.
Il retira ses gants et rangea ses outils.
— Allez, ta mère nous attend pour préparer à manger.
Bon... bah... 800 euros pour une pipe et une partie de jambe en l’air... j’aurais mieux fait de me payer une prostituée…
— Et ton pantalon est dégueulasse ; tu me feras le plaisir de te changer. Et vu ton odeur, prends une douche.
Ça me fera toujours quelque chose à raconter plus tard.
Diffuse en direct !
Regarder son live