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UnChapitreUneHistoire

Chapitre 2

Catastrophe

Hétéro
Mani arriva au travail avec une demi-heure d’avance, comme à son habitude. Il sortit ses outils de travail et les installa sur son chariot : seau, serpillière microfibre, bâton télescopique, et son préféré, le super aspirateur Dyson Professionnel. Puis il mit tout le nécessaire à l’entretien des espaces vert. Il mit son badge autour du cou et arriva devant l’enceinte fortifiée. Le gardien lui demanda son accréditation :— Secret défense niveau…TSD ?Le gardien était en poste depuis peu et fut plus que surpris. Il regarda Mani comme un extraterrestre.— Vous croyez que c’est les petits génies qui bossent ici qui font le ménage ?Le gardien rit un bon coup et répondit :— C’est sûr que c’est des génies mais je suis certain qu’ils ne savent pas comment fonctionnent un aspirateur.Mani sourit et dit avec ironie :— Oh non, non, non ! Ils savent comment il fonctionne et peuvent même l’expliquer avec force détail, mais après…comment l’utiliser, çà, ils n’en savent rien.Le soldat lui fit un pouce en l’air en lui ouvrant la grille. Après dix minutes de marche, il arriva devant le bâtiment qu’il devait entretenir.— Si seulement il m’autorisait à amener mon camion, dit-il avec amertume puis il prit une voix criarde. Non M. BRAT, c’est vraiment trop compliqué pour votre voiture…il y a tellement de papier à remplir.Il ouvrit la porte en marmonnant :— Putain ! C’est à ça que tu sers cocote.Il se référait à la responsable logistique qui l’insupportait au plus haut point par sa feignantise. Il monta au dernier étage et sortit de l’ascenseur.— Bon c’est parti pour 8 heures non-stop de ménage.Il n’avait le droit de prendre que de l’eau avec lui. En cas de contrôle inopiné, si quelque chose dérogeait aux règles, ce n’était pas la porte qu’il prendrait mais de la prison.Il passa dans un couloir avec grand nombre de porte, aucune n’avait de plaque ou autre information, juste un lecteur de carte magnétique et un contrôle biométrique. Il entra dans un bureau après avoir soigneusement compté les portes.— Salut Linette, dit-il à une jeune femme assise devant un écran de PC où défilait des milliers de chiffres.Elle répondit sans se retourner :— Bonjour Mani.Elle fit une annotation sur une tablette tactile et ajouta :— Et tu veux bien arrêter de m’appeler comme ça.Il haussa les sourcils :— Tu préfères que je t’appelle Apolline ?Linette frissonna :— T’as gagné change rien.
Il voulut lui faire un bisou sur la joue mais elle s’écarta, tout en ne quittant pas l’écran des yeux.— Comment c’est passé ton weekend ? Demanda Mani.— J’ai vérifié des données…je me suis bien amusée.Mani frotta le front avec ses doigts, désespéré.— Tu as fait tout ce weekend ce que tu fais maintenant.— Non, pas du tout…là je vérifie mes datas, ce weekend j’ai vérifié celles de Arnold.Elle rit et ajouta :— J’ai bien défoncé son projet, ça ne marche pas un cul.— Génial pour Arnold, on va prendre un café.— Attend deux secondes.Dix minutes plus tard, elle se tourna enfin vers son ami d’enfance. Elle avait réussi à le faire prendre comme contractant pour le nettoyage des bureaux. Bien que ce travail ne demande pas de diplôme particulier et ne soit pas particulièrement compliqué, quand on travaillait pour le gouvernement tout le devenait.— C’est bon…c’est fini, dit-elle simplement.Mani regarda son amie qui avait les yeux fous et complètement explosés d’être restés des heures à 10 centimètres de l’écran.— Alors au café, dit simplement Mani.— Tu ne comprends pas, éructa-t-elle, j’ai réussi !Mani soupira et se dit qu’il pouvait oublier son café, la journée allait être longue.— Oh mon dieu, dit-il faussement, mais de quoi donc parles-tu ?— Mais voyons, de mon pistolet !Mani cligna des yeux et fit un O avec sa bouche.— Ton pistolet à psycho…chocs. — Bien, tu t’en souviens. Elle tourna sur sa chaise. Et oui ! Ça marche comme un gant.Elle sauta de sa chaise et prit son prototype. Cela ressemble à une grosse boite rectangulaire, longue d’une quarantaine de centimètre avec une surface caoutchouteuse sur l’extrémité tendu maintenant vers Mani. Celui-ci leva haut les mains.— Fait pas quelque chose que tu regretteras, dit-il à son amie.— Si je te tire dessus un faisceau condensé de micro-ondes modulées sur les fréquences d’une activité neuronale stable qui vont venir chatouiller ton hypothalamus et ta thyroïde.Elle eut un rire de savant fou.— Depuis combien de temps t’as pas dormi ? Demanda Mani qui commençait à douter fortement de l’état mental de Linette.— Tu vas devenir amorphe et entrer en catatonie sous l’afflux des hormones qui vont saturer ton cerveau. HA HA HA !Elle pointa son arme et appuya sur un petit bouton jaune, la gâchette. Elle regarda Mani et vit que rien ne lui arrivait et tira de nouveau. Il s’observa sous toutes les coutures et soupira de soulagement en voyant que rien ne lui était arrivé. Il se tourna vers sa meilleure amie.— Bordel Linette, tu as de la chance que ça ne marche pas, sinon ils te feraient un autre trou du cul pour avoir testé ton truc sans le protocole.— Pourquoi ça ne fonctionne pas ! Cria-t-elle.Elle posa la boite sur son bureau et vérifia que le gros câble d’alimentation était toujours branché, puis se mit devant les données qu’elle venait de recevoir sur son PC.— Pourquoi…Elle gémit puis eut un éclair de génie.— Ta plaque de titane sur ton crâne et ta jointure des clavicules en métal.Elle souffla.— Cela ne fonctionnera pas sur un cyborg comme toi.Mani se crispa :— Un cyborg ! Et à qui dois-je mes bouts de métal. Hein ?Apolline chassa ces paroles d’un revers de la main.— De petits accidents de rien du tout et tu t’en es remis alors passons.Elle prit la boîte et la mit dans les mains de Mani.— Tire sur moi !— Hein ?— Tire sur moi, vas-y !Elle s’éloigna et écarta grand les bras.— Je ne serai pas capable de parler, ni de réfléchir, mais de bouger oui.Elle ferma les yeux.— Vas-y et demande moi n’importe quoi et je dois le faire…Mais sois précis !Il regarda le truc bizarre entre ses mains et soupira, il savait qu’elle ne lâcherait pas :— Et combien de temps ça va durer ?— A peine une minute, presses-toi…tire !Il tira, un frisson lui parcourut les mains. Il regarda son amie et se demanda si elle allait bien.— Ça n’a pas l’air d’avoir fonct…Ses bras se baissèrent et un filet de bave coula des lèvres d’Apolline.— Bordel ! Euh…lève le bras.Elle ne fit rien.— Euuuh…plus "précis" ! Lève le bras droit.Le bras droit se leva.— Wow…Il réfléchit à tous ce qu’il pouvait lui demander, dans son excitation des centaines de choses lui passèrent dans la tête, il n’arrivait pas à choisir. Mais son cerveau machiavélique en prit une " lui faire faire le ménage dans son bureau". Il rit à cette pensée car elle détestait faire le ménage. Il ouvrit la bouche mais la phrase qui passa ses lèvres ne vint pas de son cerveau machiavélique mais de plus bas.— Fais-moi un striptease.Il eut soudain la bouche très sèche. Il attendit puis tel un robot, elle retira sa blouse qu’elle fit tournoyer au-dessus de sa tête projetant des lancettes à café et stylos partout.Elle retira son chemisier, montrant sa poitrine sans soutien-gorge.— Je pense qu’elle va me tuer, murmura-t-il.En l’espace de 20 secondes elle était nue, statique mise à part les clignements d’yeux.— Toujours mince et toujours si peu musclée.Il apprécia tout de même la jolie poitrine à nue et le sexe au buisson peu entretenu. Il laissa le temps filer et Linette commença à cligner rapidement des yeux. Elle regarda son meilleur ami et avec un grand sourire exulta.— Ça a MARCHÉ !Elle sauta en l’air. Sa poitrine se trémoussant dans tous les sens.— Alors qu’est-ce que tu m’as fait faire ?Il hocha la tête la bouche en coin et répondit :— Je t’ai fait d’abord lever le bras droit.— C’est bien, dit-elle très sérieusement. On commence petit pour tester et ensuite ?— J’ai demandé un striptease.— Audacieux, souffla-t-elle estomaquée. Et je me suis bien effeuillée comme une professionnelle du Crazy Horse ?— C’était bien, quoi qu’un peu mécanique…mais bien.Elle souffla de nouveau, ébahie.— Un striptease…on peut définitivement dire que rien est hors de porter après un tel résultat…un striptease, je n’y aurais jamais pensé…un striptease, hein…Elle perdit son sourire et regarda vers le bas, et vit ses seins puis son sexe.— Impressionnant, dit-elle sombrement en relevant la tête. Maintenant que c’est fait, je peux te tuer.— Aïe, fit Mani alors qu’elle se précipitait vers lui, un coupe papier dans la main.Par reflexe, il tira de nouveau sur elle. Linette s’arrêta à trente centimètres de lui.— Ouf ! Heureusement je ne lui ai pas demandé "une pipe, s’il vous plait".Il posa le pistolet et sentit qu’on lui défaisait sa ceinture. Linette baissa le pantalon puis le caleçon et commença une fellation.— Oh pop pop pop ! Non non non !Il la regarda avec désir. Mani est amoureux de Linette depuis l’école primaire mais avec un QI dépassant les limites des tests, la perception de son amie était déphasée par rapport à celle des gens "normaux". Elle ne supportait aucun contact quel qu’il soit avec un autre être, animal ou humain, mais Mani n’avait jamais perdu espoir. Revenant au présent, il se dit que n’ayant pas d’expérience Linette ne se débrouillait pas si mal.Il n’osa pas l’arrêter, il était en même temps honteux et heureux.Elle commença par prendre la verge molle dans sa bouche, elle aspira fort. Mani du se tenir au bureau pour ne pas tomber sur les fesses. L’érection arriva en 5 secondes. Elle la lécha comme une glace. Il trembla à chaque fois que le bout de la langue passait sur son frein.Il n’osa pas la toucher pour la guider de peur de briser l’enchantement. Cela dura de longue seconde, puis lorsque l’urètre se mit à relâcher du pré sperme, elle emboucha la verge. Les dents frottèrent à plusieurs reprises mais Mani apprécia quand même et tellement qu’il sentit venir l’éjaculation.— J’ai attendu ça si longtemps…je ne peux pas me retenir.Le sperme gicla dans la bouche encore fermée d’Apolline, des coulures sortirent par ses narines et aux coins de ses lèvres mais elle continua à sucer le sexe, en s’étouffant régulièrement.— Je vais encore juter.Apolline choisit se moment pour reprendre conscience la verge en face d’elle, l’urètre crachant sa semence chaude sur son visage. Le jet puissant zébra ses lunettes de haut en bas, elle voulut esquiver la suite et lâcha la lance à incendie qu’elle avait en main, le verge bondit tel un ressort et éjacula du sperme dans tous les sens.— Par Einstein ! Qu’est-ce que tu m’as fait faire ! Grogna -t-elle avec colère.Elle passa la main dans ses cheveux collés par la semence épaisse.— Une pipe, répondit simplement Mani.— Une…une…une pipe…j’ai sucé un sexe d’homme…et le tien.Elle eut un haut le cœur.— Et tu as avalé mon sperme, ajouta-t-il en reboutonnant son pantalon.Elle toucha son visage recouvert de semence et vomit dans sa poubelle. Mani laissa son amie se remettre et lui dit :— Tant pis pour le café, je repasserai nettoyer plus tard.Il remonta son boxer puis son pantalon et fila sans demander son reste sous les injures colorées de son amie d’enfance.— T’es un homme mort Mani ! Criait-elle, pour finir, entre deux hauts le cœur. Un homme mooooort !Il referma la porte sur ces bonnes paroles et se dit que demain elle n’y penserait plus. Il poussa son chariot dans le couloir aux portes uniformes avec entrain. — Mes batteries sont chargées à bloc, ça va briller aujourd’hui.
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