Je voyage pendant une semaine et je reviens chez Max et Hilde, qui sont heureux de me revoir. On passe une soirée sympa, on boit un verre et Hilde me demande de lui frotter le dos, je la suis et je l’accompagne sous la douche, elle se fout à poil en étant la plus provocante possible, et elle m’annonce qu’elle est enceinte et que je peux la baiser par tous ses trous sans modération, mais il ne faut rien dire à Max. Je me déshabille rapidement et on commence à se caresser les sexes mutuellement, elle se met sur une table et me dit de la prendre rapidement par où je veux, je lui pénètre la chatte sans préparation, elle dégouline déjà, elle se masturbe l’anus avec deux doigts et elle me dit brusquement de l’enculer profond et d’éjaculer au fond de ses tripes, je la baise comme un saligaud et j’éjacule en la faisant hurler de plaisir. Max entre dans la pièce et nous regarde, il sort son pénis en érection, je le lui masturbe rapidement, puis je me retire de Hilde et je guide sa queue dans le vagin de sa femme, et il pompe rapidement et éjacule dans la foulée sans la faire jouir, il se retire la queue pendante. Je continue ma douche, Hilde fait de même et Max nous suit. Quelques jours plus tard alors que je rentre du boulot, je vois Hilde et Max perplexes, et ils me disent au bout de quelques minutes que leur patron vient les voir pour contrôler le travail de Max. Ils ne semblent pas heureux du tout, Hilde me dit que ce type est un salaud qui veut la baiser, sinon il va faire des problèmes à Max. Le type arrive quelques jours plus tard, grand, mince, presque maigre, noueux, le type doit faire presque deux mètres. Une sale gueule, pas souriant, visiblement Max en a la trouille, mais je regarde ce type de la tête aux pieds, en plus il n’a pas l’air très propre. La soirée passe, tendue, Hilde est très mal à l’aise, il la regarde de la tête aux pieds sans aucune gêne. Il se lève et demande pour prendre une douche, il revient quelques minutes après, entièrement à poil. Il me dit "je suis nudiste", il a un long pénis plein de grosses veines, presque des varices, un gros gland mauve, un prépuce long et moche. Bref, le mec type pour vous faire rater n’importe quelle baise. Hilde avale sa salive avec difficultés et elle ne sait plus quoi faire, notre crétin qui se nomme Hans, se tripote la queue sans vergogne et commence à se branler avec des yeux d’halluciné, on voit sa queue commencer à bander, il sort son gland et nous fait une démonstration de sa laideur. Il se lève et présente sa bite à Hilde, qui ne bouge pas, il pose son truc devant ses lèvres et force l’ouverture de sa bouche et la pénètre entièrement, il fait des va-et-vient pendant quelques minutes, on voit cette bite gonfler et se tendre. Hilde est au bord du vomissement et ce con éjacule dans sa bouche, la femme avale tout et déglutit péniblement en avalant. Hans se retourne vers nous et nous lance, si vous voulez, je l’ai préparée pour vous, vous pouvez vous en servir, je vais me reposer pour l’enculer après. Max est vert de rage, mais il doit se taire et laisser faire, sinon il perdra son poste, Hilde ne dit rien, je suis le seul à pouvoir agir. Je me lève et je m’approche de Hilde, je lui présente mon pénis et elle me suce malgré la situation, mais je sens que le cœur n’y est pas. Je finis par éjaculer dans sa bouche, je me penche sur elle et je lui dis, je vais te venger. Je me rhabille et je sors pour me rendre dans la petite ville, je fais le tour des bars et je trouve ce que je cherchais, des prostitués homme et homo à la fois. J’entre et je regarde autour de moi, je vais au bar, je commande un whisky. Un homme s’approche de moi et me propose une passe, je le remercie et je lui propose de baiser un blanc qui nous emmerde, à condition qu’il amène trois copains. On se rend à cinq chez Hilde et Max, on entre dans la maison, Hilde et Max me regardent, étonnés, Hans veut rentrer sa queue, mais mes nouveaux copains ne le laissent pas faire et lui saute dessus de suite. On fait signer par Hans une décharge, où il est stipulé qu’on peut lui faire tout ce qu’on veut sexuellement, sinon on le jette aux crocodiles. Il signe sans discuter. On l’emmène dans un cabanon dans le jardin, on finit de le foutre à poil, mes quatre copains se foutent à poil aussi. Dans nos quatre zigotos, il y a en a un qui est mince et petit avec un pénis énorme, ils sont tous circoncis. On ligote Hans devant une table, on lui attache les bras à deux pieds de la table, penché en avant, on lui ligote les jambes aux deux autres pieds, le cul bien dégagé et la bite pendant entre ses jambes. On lui masse les fesses et le pénis avec une bonne couche de gel, les gars lui font un lavement à l’huile de palme. Mes quatre Omo se caressent la bite et commencent à bander, les bites ne sont pas vilaines, toutes dans les quatorze centimètres, sauf le petit qui a un bazooka d’environ vingt-cinq centimètres et gros de quatre centimètres. Hans commence à comprendre ce qui va lui arriver, Hilde et Max viennent regarder le spectacle. Le premier à se présenter bande déjà comme un fou, excité d’enculer un cul de blanc, il se présente devant la rondelle et appuie dessus avec sa queue et le trou cède d’un coup, Hans sursaute et crie comme une petite fille. Il est tellement lubrifié que rien ne peut freiner une pénétration. Le gars prend son temps et le baise lentement et profondément Hans gémit et encaisse. Le second puis le troisième se présentent et enculent posément le mec, voici le dernier qui arrive avec son bazooka, il se positionne derrière notre salaud et il pose son gland contre le cul de Han qui est légèrement ouvert. Et il attend quelques instants et puis pousse fort et encule Hans complètement ses poils frisés contre le cul du mec. Hans ne dit rien, il ne peut pas gueuler tellement ça lui fait mal. Puis il fait des va-et-vient dans le cul de notre ennemi, il fait ça posément et pour faire mal. Hilde n’en croit pas ses yeux, Max a la trouille de se faire virer, je le rassure en disant que tout est filmé et que Hans n’ira pas se plaindre.Cette scène me fait bander, et je vois qu’Hilde est troublée, je la fais mettre en levrette, je lève sa robe, je sors ma bite et je l’enfourne d’un coup, elle sursaute et coule de plus en plus, je la tringle comme un saligaud, et je jouis rapidement, elle n’a pas le temps de souffler que son mari la baise aussi. Les quatre blacks regardent avec un grand sourire et se régalent du spectacle. Cette scène les fait bander et ils se tournent vers leur victime, ils recommencent à l’enculer, mais l’un d’entre eux veut jouer avec la queue de Hans. Il se met à genoux et caresse cette horrible pine, et il arrive petit à petit à le faire bander. Pour s’amuser, ils retournent Hans de manière à ce que sa bite soit orientée vers eux, et ils s’amusent à venir s’empaler dessus l’un après l’autre. Hilde se met à genoux et me suce la queue, un des blacks vient se mettre à côté d’elle et lui donne un coup de main en me suçant aussi, je laisse faire, les deux autres s’occupent de Max. Qui suce le mieux, nous ou elle ? Égalité je réponds, mais sa chatte est plus douce que votre cul. On termine notre petite partie de pipes et on va prendre un petit repos en laissant Hans ligoté. En aparté, je propose à Hilde de se faire baiser par les blacks, mais elle refuse, elle a trop peur du Sida. Au bout d’une heure de détente, on remet ça en commençant par baiser Hilde, je la fais mettre sur une autre table et je m’amuse à l’enfiler par la chatte et puis par le cul, ça dure un bon quart d’heure avant que je ne jouisse, je lâche mon jus et je m’écarte, son mari me remplace pour l’achever. Les quatre blacks se mettent à bander et repartent à l’assaut de Hans pour l’achever sans aucune délicatesse. Il nous supplie d’arrêter, il promet par écrit qu’il ne fera aucun mal à Hilde et Max. On le libère, et il s’effondre par terre, on le lave à coup de seau d’eau, on le fout dans sa bagnole et il nous quitte. Plusieurs jours après, nous apprendrons qu’il a démissionné et qu’il est rentré en Europe, on apprendra aussi qu’il a baisé toutes les femmes du projet en faisant chanter leurs mecs.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
