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Une amie motivée

Chapitre 1

Lesbienne
Une amie motivée
Seize ans, pas très bonne en cours mais je me débrouille de rester dans la moyenne. Je me considère comme pas mal, petit cul, petits seins 80 b, longue jambes, je mesure un mètre soixante dix huit pour cinquante huit kilos. Ce n’est pas la taille mannequin mais ça me va parfaitement. J’ai une sœur de dix huit ans, Stéphanie, moi c’est Alexandra. Nous nous ressemblons Steph et moi, même yeux bleus, même cheveux blonds, même taille. Sauf pour le caractère, c’est une bosseuse, je suis tête en l’air. Toutes ses copines sont des intello. Je fréquente plutôt les derniers de la classe. Pour le reste, je suis assez sérieuse. J’ai un petit copain mais pas trop, bisous et caresse mes pas trop. Enfin quoi, si je ne suis pas une bosseuse, je ne suis pas non plus une délurée.
Steph a une copine que j’aime bien, Sonia, dix huit ans, grande brune ténébreuse aux yeux presque noirs magnifiques, une bouche sensuelle, et surtout bien roulée. En plus elle est super sympa. Comme je plane un peu en math et qu’elle est une surdouée, elle accepte de temps en temps de m’aider. Je vais assez souvent chez elle, je connais ses parents, Manuel son père, type espagnol et Inès, sa mère, à qui elle ressemble comme deux gouttes d’eau. Ils habitent à deux pas de chez nous, dans l’immeuble en face.
Là je n’ai rien compris au cours, la prof avait l’air pressée, j’ai bien demandé une explication mais elle n’avait pas le temps. J’appelle Sonia, elle n’est pas chez elle mais elle me dit de venir qu’elle ne va pas tarder à arriver. Sa mère m’ouvre la porte, je lui fais la bise. Je suis étonnée de la trouver à cette heure ci en peignoir et quel peignoir. Un de ces trucs vachement sexy, qui est échancré du bas jusqu’à la taille et ne cache rien, des jambes et du pubis, avec juste une ceinture nouée à la taille et un décolleté qui laisse voir parfaitement les seins. Ce n’est pas que je sois très pudique mais là whoua, ça en jette.
— Bonjour Alex— Bonjour Inès, je viens voir Sonia.— Elle n’est pas là mais entre.— Je sais, elle m’a dit qu’elle ne va pas tarder.— Elle vient d’appeler, elle est retenue, pour encore un bon bout de temps, elle ne sera pas là avant une heure ou deux. Tu me tiendras compagnie.
Nous sommes au salon, j’aurais pu penser qu’elle irait mettre quelque chose de plus décent mais non, elle s’installe sur le divan, assise, les jambes sur le divan à demi-couchée, le coude sur l’accoudoir, une jambe sur l’autre à demi-repliée. On dirait qu’elle pose pour une photo sexy. Le peignoir ne cachant rien, elle serait nue, ce ne serait pas mieux. Assise sur le bord d’un fauteuil, je ne sais trop où poser mon regard. Sa tenue m’indispose. Je regarde sa main qui vient de glisser de dessus son autre bras vers sa poitrine. Elle passe le bout de son index sur un téton qui se dresse immédiatement. Sa main glisse sur son ventre, dans une douce caresse. Ses doigts glissent dans la fine toison parfaitement tailler en triangle et viennent passer sur sa vulve.
Elle ne va pas se doigter devant moi tout de même. Je dois être rouge pivoine, mais je ne peux détacher mes yeux de sa main, qui remonte sur son ventre, caresse le globe d’un sein. Je commence à avoir très chaud. Je ne suis pas attirée par les filles mais là, le spectacle me rend toute chose. Je sais Inès extravagante, elle porte des tenues très osées. Mini jupes ras des fesses, décolletés plongeants, mini shorts à la brésilienne, chemises nouées à la taille seins nus. C’est vrai, que comme sa fille c’est une superbe femme et en plus, elle rajoute le spectacle. Sa main est en train de redescendre sur son ventre, cette fois son doigt passe entre les lèvres de son sexe, caresse délicatement le clitoris, descend jusqu’au vagin, le doigt glisse et disparaît en entier. Elle le ressort et le porte à son nez avant de le sucer. Pendant tout ce temps, ses yeux ne m’ont pas quitté, une seconde. Elle cherche mon regard, et moi j’essaye surtout de ne pas croiser le sien.
— Quand tu es arrivé, je sortais de la douche, j’ai eu juste le temps de passer un peignoir. Sonia m’a dit que tu allais arriver.
Pendant qu’elle parle, sa main caresse toujours le globe du sein. Je pourrais penser qu’elle fait ça machinalement mais non, elle le fait sensuellement, comme pour me provoquer. Ou elle est devenue dingue ou exhibitionniste ou elle cherche à m’exciter et là, c’est gagné car je mouille à force de la regarder. Sa main est à nouveau sur sa fente et là, elle se doigte carrément. Misère, j’ai croisé son regard, il vient de se planter dans le mien. Je ne peux plus quitter ses yeux noirs, brillant qui me fixent. Sa voix est roque, douce, attirante.

— Vient t’asseoir près de moi.
Je ne sais pas ce que j’ai, je suis comme ailleurs. Je n’ai qu’un pas à faire, mes fesses se posent à côté d’elle. Elle prend ma main et la pose sur sa cuisse, sa peau est douce comme une pèche.
— Approche… Approche.
Elle m’attire par le bras, je suis presque déséquilibrée, à demie-couchée sur son corps. Pour ne pas m’affaler sur elle, je suis obligée d’avancer la main qui se plaque sur un sein. Je vois comme dans un rêve, sa bouche s’approcher inexorablement de la mienne. Ses lèvres pulpeuses entrouvertes sur ses dents immaculées. Et toujours ses yeux qui me subjuguent, plantés dans les miens, comme le regard d’un serpent. Sa main vient derrière ma nuque, attire ma tête, je sens la douceur de ses lèvres sur les miennes, sa langue qui s’insinue dans ma bouche, en même temps que sa main remonte sur ma cuisse jusqu’à venir caresser ma vulve au travers de la culotte trempée de mouille.
C’est si doux, si agréable, si… bon, que je me laisse faire et réponds avec fougue au baiser. Ma main pétrit le sein, mes doigts pincent le tétons. Je me sens poussées en arrière, allongée sur le dos, ses mains passent sous ma jupe, ses doigts saisissent l’élastique de ma culotte, je soulève mes fesses, la culotte glisse sur mes cuisses. Elle relève mes genoux, écarte des mains mes cuisses, je sens ses longs cheveux sur ma peau, ses lèvres sur mon ventre, sa langue humide qui descend lentement, passe sur mes grosses lèvres. J’ai un petit cri quand elle titille mon clitoris, en écartant ma vulve des doigts. Elle parcourt ma fente, lèche l’entrée du vagin, descend sur le périnée, j’essaye de serrer mes fesses mais ses mains les écartent, sa langue tourne sur mon anus, le lèche, essaye de si enfoncer. Le bout de sa langue remonte sur ma vulve, un gémissement monte dans ma gorge. Son doigt force mon anus, sa langue me donne un plaisir incontrôlable, mon clitoris est le centre de mon corps.
Son doigt me fouille, me fait gémir, sa langue me fait vibrer, j’explose dans un cri de jouissance. Je ne me suis jamais faite jouir autant en me doigtant, je ne peux retenir mes convulsions, je tremble comme une feuille, je sens un autre doigt qui me dilate l’anus. S’accouple avec le premier pour me fouiller plus profond. Des milliers d’étoile viennent brouiller mes yeux. Je suis en apesanteur, tout mon corps vivre de jouissance, je pousse un cri énorme quand son pouce entre dans mon vagin. Il cogne contre ma virginité mais ne la force pas. Il me donne juste du plaisir en restant à l’entré, sans me déflorer. Je suis pantelante, en sueur, je n’en peux plus de jouir, je ne suis plus que jouissance. Elle retire ses doigts, s’allonge sur moi pour prendre ma bouche, nos langues s’unissent, je caresse son corps. Elle lâche enfin mes lèvres, recule sa tête en me fixant dans les yeux.
— Je savais que tu es une petite cochonne, tu aimes regarder les autres filles, ça t’excite. Tu te doigtes en pensant aux filles pas vrai, Sonia te fait mouiller, je te fais mouiller. Pas vrai ?
Elle a raison, les jambes de Sonia, son petit cul, sa culotte, le globe de ses seins, quand je me doigte, je ne pense à rien d’autre qu’au petit cul de Sonia. Je vois Inès, ses seins, ses jambes magnifiques, son cul parfait. Elle a entièrement raison, je n’ai jamais pensé à autre chose en me doigtant qu’à une fille. J’ai un petit copain mais il me laisse de marbre. Alors qu’un simple frôlement d’une main de fille me fait mouiller.
— Oui.— Tu es une lesbienne ma chérie, tu aimes les filles mais tu ne veux pas l’avouer. Tu aimerais lécher des chattes, mettre tes doigts dans une vulve qui n’est pas la tienne, caresser des seins, te faire lécher comme je viens de le faire. Tu veux me lécher ? Tu veux sentir l’odeur de ma chatte en chaleur, avoir le goût de mon jus sur la langue, ça t’excite, tu en meurs d’envie, viens, viens lécher ma chatte.
J’en meurs d’envie, j’en crève, je la pousse sur le dos, me jette entre ses cuisses. Elle a relevé ses jambes, m’offre sa fente et son cul, que je lèche, mange, dévore avec un plaisir infini. Mes doigts la fouillent, je lèche son anus, enfonce un doigt, deux doigts, je fouille son vagin, de la langue, du pouce. Elle crie sa jouissance, j’enfonce trois doigts dans son vagin en lui léchant le clitoris. Je veux l’entendre hurler, l’entendre exploser sous ma bouche. J’ai la figure pleine de son jus, son odeur de vulve, de mouille me rend folle. Je me jette sur elle, pétris ses seins, en mordant sa bouche. Je la regarde dans les yeux.
— Salope, salope de gouine ! — Maintenant, tu oseras te montrer sous ton véritable jour, tu n’auras plus honte d’être ce que tu es. Une belle petite gouine, bien salope.
Je ne sais pas pourquoi, j’éclate en sanglots. Elle m’entoure de ses bras, m’embrasse tendrement, caresse mon visage, m’embrasse sur les lèvres. Je reste blotti contre elle. Je suis ce que je suis, j’ai refoulé ma véritable nature jusqu’à aujourd’hui. Je suis soulagée, on vient de retirer le poids que je portais depuis tant d’années, sans jamais même me l’avouer. J’aime les filles, j’ai envie de le crier, de le hurler, j’aime les filles.
Elle me fait lever doucement du divan, me prend par la main et me conduit dans la salle de bain, elle me déshabille complètement. Elle me lave, caresse mes seins, me doigte encore une fois.J’ai la bouche meurtrie de ses baisers. La vulve me brûle, je n’ai pas remis ma culotte, encore humide de ma mouille. Je n’ai pas vu Sonia, je suis partie avant qu’elle ne revienne. Devait-elle seulement venir ?
Depuis quelques jours, je suis mieux dans ma peau, j’ose regarder les filles avec envie. J’essaye de surprendre un regard sur moi, pas ceux des garçons, ça, ça ne me fait ni chaud ni froid. J’essaye de surprendre un regard de fille. Beaucoup plus attentive, à chercher le moindre signe, la moindre parcelle d’attention, que je pourrais déceler chez une fille, qui pourrait m’encourager à aller vers elle. Je regarde pensivement, mademoiselle Laurent, la prof d’Anglais. Assise à son bureau, ses lunettes sur le bout de son nez. Elle fait semblant de lire mais regarde par-dessus ses lunettes. Ça fait un moment qu’elle fixe la même chose, je me demande bien quoi. J’essaye de suivre son regard. Elle regarde au premier rang, le banc où sont assise Chloé et Nathalie. Je jette un œil sur les deux filles, Nathalie est en jeans. Chloé en jupe, elle est en train d’écrire et machinalement, elle serre et desserre ses jambes, assez largement. C’est ça qu’elle regarde, les cuisses de Chloé, peut être même, qu’elle voit sa culotte.
Je lève le doigt. « Mademoiselle ! » Elle sursaute et me regarde.
— OUI ?— Je peux sortir s’il vous plait ?— Vous ne pouvez pas prendre vos précautions avant de venir en cours ? Allez-y.
Je garde mon stylo dans ma bouche, en passant devant Chloé je le laisse tomber. Je me penche en avant, les fesses tournées vers la prof, qu’elle voit bien mon petit cul sous ma jupette et je regarde sous le bureau. Chloé continue son manège. Elle porte un mini string, qui ne cache rien de sa vulve, puisqu’il est transparent. Le spectacle est tout simplement magnifique. Je me retourne en me levant et fais un grand sourire à la prof, qui devient toute rouge. Elle sait que j’ai vu ce qu’elle regardait et je sais qu’elle a vu mon joli petit cul, avec la ficelle du string qui passe entre mes fesses.
A l’inter cours, je croise la prof dans le couloir. Je la fixe dans les yeux, tout le temps qu’on se croise. Quand elle est passée, je me retourne, elle est en train de mater mon cul. Un grand sourire, je dandine mes fesses et continue mon chemin. Je cherche Chloé, elle est avec Nathalie assise sur un banc. Je m’assois à côté d’elle. Aussi près que possible, mes fesses touchent les siennes et je plaque ma cuisse contre la sienne en faisant toucher nos genoux.
Elle me regarde par en dessous, ne dit rien mais son genou vient se plaquer encore plus au mien. J’ai posé mes cahiers sur mes cuisses, ma main dessous et du bout des doigts, je touche sa cuisse. Nathalie ne voit rien, elle a le nez plongé dans un cahier. Chloé a elle aussi ses cahier sur ses cuisses, ma main glisse dessous et remonte, elle les écarte un peu plus quand mon doigt passe sur le string.Je me lève, la regarde dans les yeux.
— Je vais aux toilettes.— Je viens avec toi. Nathalie, garde nos cahiers s’il te plait.— Hum… Oui…
Dans le font des wc, il y a un renfoncement avec la dernière cabine, celle là, personne n’y vient jamais. Je regarde qu’on ne nous voit pas et j’entre en la poussant dedans. Je me jette sur elle, bouche contre bouche, nos langues se mêlent. Ma main passe sous sa jupe, mes doigts entre dans le string.
— Elle te fait mouiller la salope de Laurent pas vrai ?— C’est elle qui mouille, c’est une salope !
Mes doigts entre dans sa vulve gorgée de jus. Je la pousse sur la cuvette, retire sa culotte. Elle se met au bord, les cuisses écartées, à genoux devant elle, je me délecte de son odeur un peu forte, elle a du mouiller un sacré moment. Ses lèvres sont baignées de cyprine odorante. Je lèche de haut en bas, écarte de mes doigts pour aller dénicher le clitoris gonflé de désir. Je rentre mon doigt dans son vagin, elle n’est plus pucelle. Je la lèche, titille du doigt son anus, il s’ouvre comme une rose, le doigt coulisse en entier sans problème. Mon pouce dans son vagin, deux doigts dans son anus, je la fais jouir rapidement. Elle se mord la lèvre pour ne pas crier et alerter les autres filles qui viennent pisser.
Merde, la sonnerie. Il faut y aller, elle remet sa culotte. M’embrasse sur la bouche.
— Viens directement ici au cours suivant, je te rendrai la pareille. Nous aurons plus de temps.
En courant nous allons récupérer nos cahiers, Nathalie nous attend.
— Vous en avez mis du temps !— Il y avait du monde.
Pendant le cours, Chloé me regarde et chaque fois, je porte mes doigts qui ont encore son odeur à mon nez. Mais ce n’est pas à elle que je pense, mais bien à mademoiselle Laurent. Quoi qu’elle se fait appeler mademoiselle mais elle est mariée ! Je réfléchis, comment je pourrais faire, c’est elle que je veux, elle a un air de salope, je suis sur qu’elle mouille pour les filles. Il faut que je tente ma chance. Je risque quoi ? De me faire virer du lycée ? Je verrais bien, prochaine occasion, je tente ma chance.
Pendant l’inter cours, nous, nous sommes enfermées dans la cabine. Chloé c’est une cochonne, elle a même essayé de me dépuceler. Nous, nous sommes mangés la fente à tour de rôle. J’ai retenu sa main quand elle a essayé d’enfoncer deux doigts dans mon vagin.
— Laisse toi dépuceler, c’est mieux après.— Non, pas comme ça, laisse ça tranquille. Mon cul autant que tu veux mais pas-là !
La grippe sévit, il manque pas mal de monde au lycée, même des profs. Ça fait que presque la moitié des cours sont annulés. Après le cours d’anglais, il y a deux heures de libre. Nathalie n’est pas là, je prends sa place à côté Chloé. Je suis en jupette au risque de prendre froid, juste un père de bas auto fixant style leggings. Avant le cours, j’ai pris soin de quitter ma culotte. J’écarte mes cuisses pour que la prof puisse avoir une vue imprenable. Ma main sous le bureau, je glisse mes doigts sur ma fente. Elle ne me quitte pas des yeux ou plutôt elle ne quitte pas ma main des yeux. Je me caresse doucement, je porte mes doigts à mon nez, en lèche un et remet ma main entre mes cuisses.
Le spectacle est terminé, la sonnerie retentit. La prof range ses affaires et sort de la classe. Je lui emboîte le pas, la suivant deux mètres derrière. Il faut que j’attende le bon moment. C’est aujourd’hui ou jamais. L’escalier secondaire qui descend direct à la salle des profs est vide, personne à l’horizon. Elle descend, arrivées sur le palier, le la rattrape, la colle contre le mur en plaquant ma bouche sur la sienne ma main sous sa jupe. Sa culotte est trempe. Elle me repousse.
— Pas ici, tu es folle, tu veux que nous nous fassions virer toutes les deux ? Je n’ai plus cours, attend moi dans la rue. Je te récupère.
Quelques minutes plus tard, sa voiture stoppe devant moi, je monte à côté d’elle.
— Ta copine et toi vous êtes deux petites salopes. — Tu as l’air d’aimer non ?— Si jamais tu parles de ça à qui que ce soit, gare à toi.— T’inquiète, je ne suis pas conne. Tu vas où ?— Où nous serons tranquilles !
Elle stoppe devant une petite villa, sympa. Je la suis jusqu’à la porte. Elle me fait entrer, c’est assez bien décoré, moderne. La porte refermée, ele me plaque contre le mur et m’embrasse à pleine bouche. Mes deux mains soulèvent sa jupe pour se plaquer sur ses fesses. Je sens sa main qui remonte sous ma jupe, ses doigts passent sur ma fente nue.
— Petite salope, tu ne mets jamais de culotte ? — Si mes pas pour t’allumer, ça a marché non ?— Tu m’as excité pendant une heure, tu ne crois pas que tu allais t’en tirer comme ça. J’ai vu que tu me suivais. Sinon, c’est moi qui t’aurais coincé. Viens, nous serons mieux sur mon lit !
Elle se déshabille plus rapidement que l’éclair, j’en fait de même. Elle me pousse sur le lit en se couchant sur moi, ses doigts pétrisse ma vulve, tournent autour de mon clitoris. Elle rentre un doigt dans mon vagin, cogne contre le pucelage.
— Tu es vierge ?— Oui !— Tu n’as jamais eu l’idée de te faire dépuceler.— Des fois mais, je ne sais pas, j’attends.— Ça te dirait ?— Par toi ? Je ne sais pas…— Non par un homme, tu aimerais ?— J’aimerais essayer, au moins une fois, si c’est pour mon pucelage. — Je sens que nous allons être de grandes amies toutes les deux. Tu peux te libérer un soir ?— Oui, quand tu veux, mes parents ne sont pas très stricts là dessus.— Ce soir ?— Il suffit que je téléphone que je reste chez une amie !
Je ne sais pas ce qui lui prend, elle me saute littéralement dessus, me dévore, des mains et de la bouche. Elle est complètement dingue. Elle me fait venir sur elle en soixante neuf. Sa mouille coule dans ma bouche, mes doigts lui distendent le vagin et l’anus, ma langue s’en donne à cœur joie. Elle joui presque en même temps que moi. Je ne sais pas le temps que nous restons là à nous faire jouir mais quand je regarde le réveil sur la table de nuit, il est déjà tard.
— Il faut que j’appelle chez moi, sinon ça ne va pas le faire.— Appelle, ensuite nous préparerons la soirée, je vais te donner une robe, tu dois faire la même taille que moi. Nous allons faire une surprise à quelqu’un. Rejoins-moi sous la douche.
Après la douche, pas très sage, nous y passons un bon moment en caresses coquines et avoir téléphoné chez moi. Elle me tend une robe en soie bleue-ciel, complètement transparente. Je la passe sur mon corps nu, la robe me va comme un gant, c’est super sexy. Elle enfile la même mais rose pastel, nue, elle aussi. Nous restons pieds nus. Je l’aide à préparer un repas rapide, salade, jambon dessert. Avec ça, nous ne prendrons pas un gramme. Nous allons au salon ou elle nous sert un apéritif sans alcool.
— On attend qui ?— Je vais faire un cadeau exceptionnel a mon chéri, une pucelle bien salope. Il ne va pas tarder. — On va faire l’amour tous les trois ?— Il va en premier te dépuceler ma chérie, je le regarderai faire. Je veux le voir, te mettre sa grosse verge. Tu seras un merveilleux cadeau pour lui. — Je ne prends pas la pilule ! — Je vais t’en donner une boite et demain, nous irons à la pharmacie, tu prendras la pilule du lendemain. Je veux qu’il te jouisse dedans, que tu sentes son sperme dans ton ventre. Il adore qu’on le suce, il faudra que tu t’appliques, laisse-le jouir dans ta bouche.— Beurk, c’est dégueu !— Mais non, fais-le, tu recraches après, si tu ne veux pas avaler.— Et tu ne veux pas participer ?— Après, quand il t’aura bien fait jouir, il me baisera pendant que je lècherai ta fente remplie de son sperme. Nous allons passer une soirée merveilleuse.— Dis, tu as dit sa grosse verge, il est si gros que ça ?— Non, n’ai pas peur, il en a une normale mais j’aime bien dire «sa grosse verge. » — Tu me rassures, j’ai peur d’avoir mal.— Ça ne fait pas mal, juste quelques secondes et ensuite ce n’est que du plaisir.
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