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Une amie mure, coquine !

Chapitre 1

Hétéro
Valou est une femme "mûre", presque la soixantaine..., j’en ai dix de moins ! Nous avons été amants il y a plusieurs années, et nous avons découvert beaucoup de choses ensemble ! Et maintenant, simples amis, nous nous voyons de temps en temps, mais cela fait un moment que nous n’avons pas partagé les paysages d’un même lit...
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés après plusieurs mois... Nous nous étions vus en montagne, une semaine de ski avec une amie ! Et durant ce séjour, des gestes, des attitudes, tes situations et des déconvenues !
Nous avions dormi dans le même lit, sans qu’il ne se passe rien de bien particulier à l’exception d’un matin, nous étions restés allongés avant de nous lever, puis, des caresses, des paroles, des baisers, sans plus...
Les plus troublants moments, discrètement, Valou effleurait mon bras, touchait mon visage, m’embrassait timidement, parfois plus précisément mais toujours avec discrétion, me passait une main au cul, toujours aussi discrètement, la présence de son amie ? Peur de me voir m’engager sur autre chose en sa présence ?...
Rien ne s’est produit cette semaine ski, sauf sa frustration suite à un petit accident très gênant pour elle au second jour... Pour ma part, très peu de gestes publics, ne sachant pas trop comment vivre ses avances, nos nuits restant bien sages !
Une fois chacun rentré chez soi, juste des textos sans trop de "choses"... Nous devions passer une semaine en Andorre ? Niet ! Puis, impossibilité de bouger !...
Valou et moi avons décidé de nous voir quelques jours sur Toulouse, pour de simples vacances... Et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés...
Valou est arrivée vers midi, comme à son habitude, partie tôt de chez elle, Nîmes...
Et quelle surprise lorsqu’elle est arrivée !
Diablement sexy, même fatiguée de quelques heures de route ! Il faisait assez chaud, et court vêtue !... Ses si belles gambettes irradiaient de sensualité, elle savait l’effet qu’elle me faisait lorsqu’elle se parait de ce combi-short... Je la connaissais bien cette petite combinaison !
Son sourire était toujours aussi rayonnant, elle portait toujours autant cette beauté que je lui trouvais sublime, elle dégageait toujours ces vibrations qui me mettaient en émoi !
Nous nous sommes innocemment embrassés pour un bonjour dont le dernier datait de quelques mois maintenant, nous étions contents de nous voir !
Fatiguée, Valou m’avait demandé à pouvoir se reposer à son arrivée. Nous avons grignoté un petit morceau, puis elle s’est allongée dans le canapé ouvert, elle n’avait pas voulu aller dans la chambre !... La pénombre de l’appartement était suffisante pour que je puisse l’admirer, et je ne m’en suis pas privé... Allongée, habillée, je détaillais chacun de ses reliefs doux, son joli sourire détendu, son corps alangui sur le canapé...
Je n’arrêtais pas de la dévisager, en fait..., et elle le ressentait bien !
- Dis-moi ! Lorsque tu auras fini de me détailler, si tu as envie de t’allonger, tu peux !...
J’ai souri, et sans me faire prier plus encore, je me suis allongé à ses côtés... Immédiatement étendu à ses côtés, j’ai senti ses vibrations, et nous nous sommes tournés l’un vers l’autre... J’ai posé une main sur son ventre, elle m’a accueilli avec plaisir, elle a souri. Puis, doucement, j’ai parcouru ses reliefs, elle me laissait aller en respirant avec douceur.
Nous nous sommes approchés, nos visages tournés l’un vers l’autre. Et tellement proches l’un de l’autre, nos sourires se sont transformés en un premier baiser maladroit. Nos lèvres se sont posées les unes aux autres, nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont emmêlées ! Nos bouches se sont jointes en baisers langoureux...
Cette main posée à son ventre s’est enhardie, j’ai commencé à lire ses délicates formes avec douceur, tendresse. Elle m’a enlacée avec douceur pour que je m’approche plus d’elle ! Et nos corps se sont enfin trouvés complètement ! Mes bras se sont glissés sous elle et je l’ai attirée à moi, elle s’est laissée faire !
Allongée sur moi, elle a relevé son visage pour me parler :
- Il t’en faut du temps, toi ! Parfois, tu fais vite et souvent, je t’attends !
J’ai rigolé pour ensuite l’enlacer avec plus d’intensité ! Je sentais son corps se propager avec sensualité..., je sentais sa chaleur et elle devait sentir la mienne ! Elle ne pouvait échapper à mes vibrations maintenant, et c’est ce qu’elle désirait manifestement !
Nous nous sommes embrassés bruyamment ! Nous avions aimé nous embrasser ainsi, et nous retrouvions ce plaisir, dans la pénombre chaude du séjour ! Elle était fatiguée, mais elle aimait ces moments...
Mes mains se sont égarées dans son dos, je suis allé lire ses fesses. Je lui ai caressé les collines, je savais qu’elle appréciait ces caresses... Sa combinaison ne me faisait plus de secret, mes mains lisaient la forme de ses collines, je sentais leur douceur...
Son cul se fit le centre de mes attentions, je le caressais sans cesser de nous embrasser ! Ses cuisses se sont ouvertes pour que mes mains puissent lire la totalité de ses rondeurs et se faufiler entre ! Nos bouches se sont encore plus soudées lorsque mes doigts ont croisé la chaleur de ses intimités...
Son sourire s’est fait plus intense lorsqu’elle a senti mes explorations !... Elle était humide, chaude, accueillante... Mes mains, mes doigts, mes envies ont explosé ! Nous avons continué à nous embrasser passionnément tandis que mes mains lisaient la douceur de sa peau.
- Déshabilles-toi !
Ces seuls mots m’ont électrisé, je me suis décalé pour ôter mes tissus, la regardant faire de même ! Je me suis complètement dévêtu tandis que par de petits mouvements, sa combi-short s’est immédiatement ouverte. Elle avait ce côté pratique, cette combinaison, juste deux ou trois boutons à retirer et elle était nue !
- J’aime bien cette combinaison, elle est facile à retirer et légère ! - Je savais que ça allait te plaire !...
Et nous nous sommes de nouveau approchés, pour nous toucher... Mes mains se sont immédiatement mises à lire ses courbes, ses petits seins en particulier. Elle aimait lorsque mes doigts lisaient ses minuscules collines. Leurs sommets étaient déjà tendus, elle a frémi lorsque je m’en suis emparé. Je les ai délicatement pincés, les ai fait rouler sous mes doigts inquisiteurs pour ensuite y poser mes lèvres.
Elle a ondulé lorsque ma bouche s’est saisie de ses tétons. Je les ai aimés tous deux, avec lenteur, ferveur, passion. Une main s’est aventurée sous elle, se faufilant entre les tissus du lit et son dos, jusqu’à ses fesses. Elle s’y est immobilisée, exactement entre ! Les doigts sont devenus envahisseurs, mais elle appréciait ces caresses... Mon autre main s’est aventurée sur son ventre pour descendre peu à peu en "sa direction"... Ma main s’est posée à sa vulve devenue bouillante. Les doigts de mes deux mains se sont joints entre les lèvres gonflées de désirs de sa chatte. Elle était excitée, elle voulait, elle aimait !
Je continuais à téter ses petites rondeurs, pinçant leurs sommets de mes lèvres devenues sauvages... Sa chatte s’est ouverte sous mes assauts, elle ondulait, haletait bercée par le plaisir qui montait inéluctablement en elle...
Nous voulions de la sensualité, manifestement !... Et nous commencions à nous la donner ! Je la sentais onduler plus encore, maintenant que nos peaux se parlaient sans aucune retenue ! Nos corps étaient parcourus de vibrations auxquelles nous ne pouvions plus rien... J’avais envie d’elle ! Elle avait envie de moi !
Nous avons basculé dans le lit, nous avons roulé, en nous amusant de cette passion dévorante qui nous harcelait ! Jusqu’à ce que nous nous immobilisions dans une posture presque attentiste ! Nous étions devenus immobiles, elle posément installée sur moi ! Ma queue s’était faite dure, coincée entre nos ventres, à l’orée de son sexe, elle sentait l’envie de sa chatte !
- Je te fais bander à ce point ? - Oui, Valou ! Et tu sais que ça fait longtemps que j’ai envie de toi ! - Ah, ça !...
Elle a commencé à onduler autrement, et elle est ainsi "descendue"... Je voulais sa vulve, elle allait vers ma tige, coquine, câline, sensuelle ! Son visage au bas de mon ventre, j’ai senti sa langue parcourir les alentours de mon bâton fou ! Je ne pensais pas que nous serions passés par ces chemins, mais je la laissais aller, heureux de ce désir ! Elle s’est emparée de ma verge pour d’abord y déposer de douces bises puis en ouvrant sa bouche, elle est venue en mon sommet pour me cueillir ! Ses lèvres se sont ouvertes, sa bouche s’est ouverte et ma queue a disparu dans sa douceur !
Sa chaleur me berçait complètement, elle commençait à me sucer avec douceur, celle-ci laissant place à une folie nettement plus profonde que sa tendresse ! Ses mains se sont emparées de ma queue pour la diriger avec plus de précision dans sa bouche ! Ses lèvres se sont refermées autour de mon gland, et tout autant, je désirais son sexe !
Viens me couvrir, ma Belle ! J’ai envie de ton trésor !
Je l’ai sentie sourire, elle savait que j’aimais profondément sa chatte et savait également que mes caresses et mes baisers en ce lieu lui donnaient de très grands plaisirs... C’est en aspirant ma queue avec vice qu’elle a pivoté autour, que nous ne puissions nous détacher ! Une jambe, je l’ai soulevée afin de l’aider à se placer, l’autre s’est approchée, j’avais maintenant son sexe ouvert devant moi, ses fesses de femme mûre, belles, admirables, délicieuses avec cette petite fleur en leur vallée...
Nous nous étions souvent ainsi aimés, elle et moi, en de langoureux soixante-neuf vicieux, chauds, lubriques, plaisants, intenses... Nous aimions vraiment cela, nous aimer sexes en bouches, mais pas que... Nous profitions également de ces jeux pour aimer nos petites rondelles, nous aimions lécher nos petits culs et jouer de nos anus !
Elle écartait très généreusement ses cuisses en plaquant sa chatte sur ma bouche, son cul très ouvert, sa rondelle offerte. Ma langue passait de sa vulve à son anus avec frénésie, complètement fasciné par ses deux fleurs ! Elle aimait que je la lèche avec ferveur, elle aimait sentir ma langue s’enfoncer dans sa chatte puis dans son trou du cul. Et elle faisait de même, passant de ma queue à ma rosette. C’est souvent que nous nous étions passionnément aimés en nous léchant mutuellement nos tout petits orifices très vicieusement ouvert et réceptifs à ces caresses, à ces baisers...
Nous nous sommes ainsi fixés pendant un long moment ! Nous nous embrassions mutuellement, sa langue lisant mon trou du cul, tandis que la mienne s’immisçait en elle... Nous aimions le sexe anal ! Nous savions jouir et nous faire jouir ces lieux secrets chargés de vice, de plaisirs particuliers...
Et nous changions de jeux... Nos langues ont changé de lieux, elle s’occupait de ma queue, je m’occupais de sa chatte, puis, à nouveau, nous nous sommes occupés de nos petits trous du cul. Nos doigts se mis de la partie !... Nous aimions nous prendre sexe en bouche tout en nous fourrant de doigts lubriques nos petites fleurs anales... Et nous devenions vicieux, nous nous étions découverts ces jolies passions bien longtemps avant, et avec ce que nous avions vécu, nous étions devenus complices, ouverts et toujours à la recherche de plaisirs plus intenses...
Nous avons roulé sur le canapé, intimement enlacés en un soixante-neuf que nous savourions avec intensité... Sa fente s’ouvrait sous les sensuelles offensives de ma bouche, j’écartais ses lèvres avec ferveur pour envahir sa chatte et embrasser avec volupté son clitoris. Ma queue devenait gluante de salive et ne résistait plus aux furieux assauts de sa langue. Mon gland était devenu son centre d’intérêt, elle le couvrait de baisers accompagnés de succions parfois délicates, souvent furieuses... Elle était manifestement très excitée, je l’étais tout autant !
Tantôt moi sur elle, tantôt sous elle, nous travaillions nos sexes avec intensité, sans oublier nos petits trous ! J’adorais la sentir me fouiller l’anus, elle était particulièrement vicieuse lorsqu’elle enfonçait un doigt, puis deux, trois..., dans ma petite rondelle, elle le savait et en profitait aussi tellement ça l’excitait ! Je me délectais avec raffinement lorsque je sentais sa langue s’y enfoncer. J’ondulais sous ces délicieuses attaques, elle râlait de plaisir à me branler l’anus...
- Tu aimes ? - Oui, parvenais-je à lui répondre entre mes gémissements... - T’es vraiment un beau vicieux ! - Et toi, ma Belle, tu n’es pas une belle cochonne ? - Oui ! Je deviens une vraie salope quand je baise avec toi ! - Et moi, je suis ton salaud vicelard... - Bouffe-moi le cul, la chatte !
Et je replongeais en elle, ma tête coincée entre ses cuisses, mes mains glissés sous ses fesses que je puisse les écarter pour aller déposer de jolies léchouilles à son anus aussi ! Et nous recommencions à nous lécher mutuellement les rosettes tout ouvertes d’excitation... J’enfonçais aussi mes doigts en elle, un, deux, trois..., et je la branlais en entrant et sortant de plus en plus vite, de plus en plus profondément... Elle grognait, elle couinait, elle ondulait et me tendait plus la vulve afin que j’aille plus en elle, la cochonne...
Nous recommencions à rouler, parfois les doigts fichés en nos fleurs anales, sans nous détacher, puis nous recommencions ces mouvements lascifs, entrant et sortant de nos rondelles, en remplaçant nos doigts par nos langues, et nous recommencions à nous occuper de nos sexes.
Sans nous en être rendus compte, nous étions tellement absorbés à nous donner et partager ces jouissances impudiques..., les rideaux du séjour s’ouvraient parfois et avec les bruits que nous faisions..., nous étions peu discrets, et nous avons rigolé de savoir que l’on avait pu nous apercevoir dans de tels ébats... Mais nous ne voulions tout de même pas être vus, observés... Nous avons donc cessé, je me suis levé et suis allé fermer un peu plus les paravents puis les rideaux...
Je me suis retourné pour aller de nouveau m’occuper de la belle et surprise, elle avait sorti de son sac plusieurs jouets... Elle était donc venue avec des intentions bien précises et savait très bien que nous allions nous mélanger et jouer ensemble !
Elle avait également pris une position particulièrement délicieuse : Sur le bord du lit, elle avait ouvert ses cuisses, légèrement penchée en arrière, elle m’offrait, très obscène, sa vulve brillante de salive, chaude de nos ébats, ouverte... Je me suis approché d’elle, me suis agenouillé entre ses jambes pour embrasser ses jolies cuisses. Mes mains ont enlacé son cul, je l’ai approchée, elle s’est allongée pour se rouler et ainsi mieux offrir ses fleurs à mes envies vicieuses. Elle a posé ses pieds sur mes épaules, mes mains se sont unies entre ses cuisses, se sont dirigées vers sa chatte béante... Je l’ai écartée pour aller cueillir son clitoris tendu et rougi de bonheur !
- Bouffe-moi bien, mon salaud ! Et n’oublie pas mon petit cul !
Elle a totalement ouvert ses cuisses, je broutais sa chatte avec adoration, elle avait placé ses mains sous ses fesses pour les écarter, que je n’oublie pas son cul ! Elle me savait profondément fasciné lorsque qu’elle s’offrait ainsi à moi, je la dévorais dans sa totalité, ma langue lisait l’intérieur de sa chatte mais allait aussi s’immiscer dans les proches profondeurs de son anus ! Ce jeu a duré un long moment, elle a couiné, grogné, gémi, m’a dit des mots puissants...
- Prend-moi maintenant ! J’ai envie de ta queue !
Elle s’est un peu reculée, de manière à me laisser un peu de place mais surtout afin que je puisse me placer sans trop d’effort et que je puisse me glisser bien en elle... Sa chatte était gluante, bouillante ! Ma verge s’est approchée, je me suis immobilisé exactement à son entrée, frottant mon gland aux plis de ses lèvres. Nos regards se portaient tant à cette union que nous nous regardions en nous souriant, nos regards pétillants et chargés d’envies ! Nous avons fait durer ce jeu quelques instants, devenus trop longs à son goût...
- Putain ! Enfile-moi maintenant !
Je ne me suis plus fait prier ! De légers coups de rein m’ont fait avancer et elle s’est mieux offerte... Je me suis lentement plongé en elle, sa chatte me berçait de chaleur et m’enveloppait peu à peu. Nos visages se sont approchés, nos bouches se sont trouvées, nos langues ont commencé à jouer bruyamment tandis que ma queue disparaissait dans sa chatte... Nous allions d’abord lentement, ses plis s’adaptant aux miens, je sentais ses reliefs internes avec de plus en plus de présence, je lisais tout son intérieur, puis...
Nous avons accéléré le jeu, j’entrais de plus en plus profond en elle ! Elle me demandait d’aller plus vite ! Nous étions tellement pris de vices, de plaisirs, d’envies de jouir que nous n’existions plus qu’au travers de nos sexes pris de frénésies, nous ne sentions plus que cette union lascive... Je sortais parfois d’elle, je regardais très brièvement sa chatte ouverte et j’y pénétrais à nouveau sans ménagement, c’est ainsi qu’elle voulait être prise ! Sans ménagement, puis aussi tendrement... Mais en ces instants, nous étions furieusement pris par le désir de jouir !
Cela faisait un bon moment que je culbutais son minou lorsque j’ai aperçu un tube à nos côtés, un tube de vaseline... La coquine avait certainement profité de s’écarter la chatte pour se glisser de la vaseline dans le trou du cul !... J’ai ainsi compris qu’elle désirait que je l’enfile aussi par l’anus ! Elle a vu que j’avais vu !...
- Mon cul, ça te dit toujours autant, je pense ? - Oui, ma Belle ! Tu sais que j’aime beaucoup enfiler ta petite fleur... - J’ai envie ! Tu me prends le cul ?
Nous nous sommes à nouveau embrassés puis j’ai saisi le tube, et me suis à mon tour enduit... Je me suis agenouillé entre ses fesses, je l’ai soulevée pour aller goulûment embrasser son petit orifice. Elle s’était bien ouverte avec mes assauts, mais elle s’était encore bien plus ouverte en se remplissant l’anus de vaseline !
Je me suis redressé et me suis approché d’elle pour finir de me placer exactement entre ses fesses. Elles s’est saisie de ses rondeurs pour les écarter, je voyais sa rondelle distendue, elle me l’offrait sans pudeur, se préparait à me recevoir en ce lieu vicieux !
Mon gland s’est posé avec douceur sur ses premiers reliefs, je sentais son anus vibrer tellement elle m’y attendait ! Nous n’avions pas fait l’amour ni baisé depuis un bon moment, mais ces retrouvailles intimes étaient tellement délicieuses que nous voulions recommencer comme à ces moments particulièrement forts partagés chez elle...
J’ai commencé à pousser très doucement, sachant ces premiers instants importants ! Je la sentais s’ouvrir peu à peu, elle s’attelait à s’ouvrir en tirant sur ses fesses. Son anus était distendu mais ne s’ouvrait pas encore, alors, j’allais doucement... Nos frottements, son excitation, la mienne, nos jeux..., et nos goûts pour l’anal, nos envies nous ont amené à nous unir doucement, puis...
Au gré des minutes, à chacun de mes mouvements, je sentais ses plis s’écarter. Sa fleur anale s’ouvrait jusqu’à ce qu’elle ne tienne plus et m’ordonna de m’enfoncer ! Sa rondelle m’attendait, ses entrailles rectales me demandaient, elle ne tenait plus !
J’ai alors pressé un peu plus et j’ai enfin senti sa fleur commencer à se détendre, à s’ouvrir. J’aimais particulièrement ce petit moment : celui de mon gland franchir ses derniers remparts et disparaître enfin ! Je regardais notre union, ma queue entre ses fesses, ça m’excitait intensément ! Je me suis arrêté pour me délecter de ces premières chaleurs anales. J’avais disparu, je sentais les plis de son entrée rectale accueillir ma verge tout aussi bouillante que pouvait l’être son cul...
- Oui... c’est bon ! Enfonce-toi, défonce-moi le cul, salopard vicieux ! - J’aime m’enfoncer comme ça en toi, ma vicieuse ! - Vas-y !
Et je me suis alors emparé de ses cuisses, que je m’accroche à elle ! Et lentement, je me suis enfoncé en elle, dans son rectum accueillant... Je percevais ses plis intimes, j’éprouvais ses vibrations. Lentement, je me suis logé totalement en elle jusqu’à ce délicieux contact, mon gland toucher son fondement. Je me suis immobilisé quelques instants à savourer cette obscène situation. Elle aimait que nous commencions ces jeux par ces quelques contacts lents, doux, tendres mais intensément vicieux.
- C’est bon de sentir ton cul autour de moi ! Qu’est ce que tu es chaude ! - Depuis le moment que j’ai envie que tu m’éclates le cul... - C’est délicieux, ma Belle !
Et nos ondulations ont commencé... Nos mouvements en disaient assez sur le plaisir que nous ressentions à ces jeux. Je commençais à aller et venir en elle, d’abord lentement, puis plus rapidement ! Une douleur fugace s’est saisie d’elle, elle a grimacé, mais cette douleur laissait vite place à un plaisir totalement envahissant ! Elle a pincé ses lèvres en un Ô de ravissement !
- Ooohhh ! Putain, que c’est bon ! - Tu es sublime !
Et nous recommencé de rapides ondulations, je la culbutais avec intensité, elle me demandait d’aller toujours plus vite, d’aller toujours plus profond ! J’ai alors lâché ses cuisses pour poser mes mains à ses seins. J’ai pincé ses tétons avec douceur, elle a couiné, elle commençait à remuer frénétiquement son cul. Ses jambes m’ont pris complètement, posées dans mon dos, je ne pouvais plus m’échapper mais de toute façon, je ne le désirais plus, j’étais devenu le prisonnier de son anus !
Elle crispait ses doigts sur les draps, se pinçaient les lèvres afin de ne pas hurler, je sentais l’intensité de son plaisir !
- Lâche-toi, Jolie Cochonne ! Tu aimes quand je t’encule ? - Oui !!!
Et elle a hurlé, a grogné, gémi en se frottant la chatte avec force. Elle se tapait littéralement la vulve tandis que j’allais et venais dans son cul... Elle se frottait le clitoris, je pétrissais ses seins, elle s’accrochait à moi avec ses pieds me bloquant le dos, je la sodomisais avec force... Je tapais le fond de son cul, il m’arrivait de sortir de son trou mais ne lui laissais pas le temps de se refermer, son cul ouvert, ma queue s’immisçait immédiatement en elle, je me frottais dans son cul ! Nous nous branlions mutuellement !
Elle dandinait son cul afin de mieux me sentir me loger en elle, je caressais le fond de son rectum avec mon gland gonflé de joies anales... Petits mouvements succédaient à de plus vigoureuses allées et venues !
L’orgasme a commencé à se montrer au bout d’un long moment, nous aimions tellement la sodomie que cela prenait toujours un long moment... Il nous était même arrivés des moments nettement plus surprenants, je jouissais en elle, je lui remplissais le cul de mon jus et restait planté en elle puis je recommençais, elle parvenait à me faire rester en elle puis à me refaire bander afin que je recommence... J’étais nettement plus long à exploser en elle, elle le savait et se régalait de ces parfois très longs jeux au point que parfois, elle me demandait de stopper, elle n’en pouvait plus !
Mes mais autour de sa taille, je suis monté enfin sur le lit, elle s’est mise en boule afin de me permettre d’aller encore plus profond en elle ! Je pilonnais son trou du cul avec force, elle m’accueillait avec passion !
- Remplis-moi le cul, vicelard !
Et je la remplissais avec bonheur, surtout lorsque les spasmes de mon éjaculation se sont emparés de moi...
- Oui ! Mets-moi ton jus ! - Que c’est bon ! parvins-je à juste murmurer...
Et je suis resté en elle, elle est parvenue à s’allonger, je suis resté accroupi entre ses cuisses, elle aimait que je reste dans son cul...
C’est par un grand et heureux hasard que nous avions découvert les plaisirs que nos anus pouvaient nous donner ! Nous aimions y poser nos doigts, nous nous sommes mis à nous lécher... Puis un jour, par maladresse, une jolie maladresse, elle était assise sur moi, j’étais dans sa chatte, accouplement intense..., elle montait et descendait le long de ma verge, et lors d’une "descente", elle s’est "trompée" ! Ma nous étions tellement..., que c’est dans son trou du cul que je me suis glissé. Je le sentais bien, j’aimais le sexe anal, et à mon plus grand bonheur, elle s’était laissée faire jusqu’à ce que je sois totalement en elle... Elle avait hurlé, et j’avais voulu "sortir", mais non..., elle m’a paralysé ainsi, ne me laissant plus le choix que de continuer à l’enfiler par l’anus !... Et finalement, accroupie, elle s’est mise à regarder notre lieu d’union, s’est mise à se caresser la chatte puis elle a mis le rythme en montant et descendant en prenant bien soin que je ne sorte pas de son cul...
Et plusieurs sodomies plus tard..., à me dire :
- Je ne savais pas que j’aimais autant ça, l’anal !... Et que tu étais si vicieux !
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