Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 143 J'aime
  • 5 Commentaires

Une amie au sauna

Chapitre 1

A la salle de sport avec une très bonne amie, je remarque que plusieurs mecs la reluquent. Un passage au sauna va être l'occasion de surprendre ses ébats avec quelques-uns de ses admirateurs.

Voyeur / Exhibition
Après une succession de relations peu concluantes, M a choisi d’arrêter de se prendre la tête. Brune de 25 ans à la peau blanche et aux hanches bien formées qui s’élargissent en une paire de fesses charnues, c’est une fille indépendante, que l’on pourrait prendre pour une célibataire endurcie, mais qui reste un peu timide sur certains sujets d’ordre intime. Ces derniers temps cependant, elle a décidé de malmener ses habitudes et de se faire plaisir sans engagement.
M et moi sommes amis de fac et faisons beaucoup d’activités en commun. Aujourd’hui, nous nous sommes donnés rendez-vous à la salle de sport, décidés à soigner un peu nos silhouettes avant le retour des beaux jours. A la fin de la séance, M me parle de ses nouvelles résolutions. Même si je suis un garçon, nous sommes assez proches pour évoquer de ce genre de choses, bien que cela reste toujours relativement pudique. C’est la première fois que la discussion est aussi cash.
Après m’avoir exposé sa nouvelle devise (« se lâcher la bride, saisir les occasions qui se présentent, peu importe avec qui, où et quand »), peut-être un peu fort d’ailleurs à en juger par les coups d’œil des autres usagers, la demoiselle, qui semble n’en avoir cure, entreprend de me raconter par le menu sa dernière aventure. Avec un sourire amusé, je fais mes séries en l’écoutant allumer son monde.
— Bon, je vais prendre une douche, finit-elle par lancer presque à la cantonade en jetant sa serviette sur son épaule. On se rejoint au sauna ?
J’acquiesce et elle part en se dandinant vers les vestiaires. Je ne sais pas si elle est consciente d’à quel point son leggins moule son généreux postérieur, attirant les regards de tous les mâles en rut de la pièce, émoustillés par la vue et par l’exercice physique. Peut-être qu’elle le sait et qu’elle en joue, découvrant le plaisir d’être un peu salope. Peu de temps après son départ remarqué, deux mecs ramassent leurs affaires et quittent eux aussi la salle des machines. Resté seul, je me concentre sur la fin de ma séance avant de prendre à mon tour le chemin des vestiaires, une dizaine de minutes plus tard.
Après avoir enfilé un maillot de bain, je longe les casiers en direction du sauna. Mais au moment où je m’apprête à pousser la porte de l’étuve, un gémissement étouffé s’y fait entendre. Figée par la surprise, ma main s’arrête contre le battant. En collant mon oreille à la porte, je surprends un nouveau gémissement, féminin à n’en pas douter. Je repense aux deux lascars. On dirait que certains n’ont pas perdu leur temps. J’entends maintenant distinctement les petits cris de M qui encaisse leurs assauts. Je reste un moment comme ça, derrière la porte, à l’écouter se faire prendre. La situation, à la fois terriblement excitante et horriblement gênante, me donne une sacrée trique.
J’essaie de me concentrer sur ce qui se passe de l’autre côté. Chacun de ses halètements de chienne en chaleur est ponctué par un claquement - probablement contre la peau de ses fesses - et par un petit glapissement de plaisir, de douleur et d’excitation mêlées. J’ai besoin d’en voir plus. Mon sexe est en train de crever mon maillot de bain. Je risque un coup d’œil par la fenêtre qui perce le haut de la porte et malgré la buée sur le verre, je la vois.
Un mec musclé est debout, derrière elle, et la tient par les hanches. Elle se cramponne au banc pour encaisser ses coups de reins. Le bas de son maillot de bain gît par terre, entre ses jambes, le haut baille, à moitié arraché, sur sa petite poitrine que le mec empoigne régulièrement et pelote sans ménagement. Par moment, n’en pouvant plus, elle s’arc-boute et fait le gros dos, alors le mec derrière elle se penche sur elle et colle son ventre à son dos pour continuer de la ramoner en profondeur. L’autre est assis sur le banc et se touche. La scène a l’air de lui faire de l’effet, à lui aussi.
Le gars accélère la cadence. M halète. Les poils de son petit con tressaillent à chaque fois que le mec la pilonne, envoyant une onde de choc qui se répercute dans tout son corps. Quand M se cambre, il l’empoigne de sa main libre par les seins ou par la gorge, désespéré de tirer sa crampe dans cette salope qu’il ne connaissait même pas il y a à peine dix minutes. Quand elle se courbe en avant comme pour se défiler sous ses coups de piston, il l’attrape par les épaules, la saisit par les cheveux, et l’agrippant fermement par cette queue de cheval improvisée, continue de la saillir sans pitié. Tendus l’un dans l’autre, leurs deux corps se raidissent dans une course effrénée à la jouissance.
M écarte les jambes et agrippe encore plus fermement le bois du banc. Elle ferme les yeux, et son visage se crispe en une grimace d’effort et d’extase tandis qu’elle encaisse le piston qui va et vient en elle. Le spectacle est magnifique. Enfin, dans un râle de bête fauve, le gars se fend d’une dernière estoc au plus profond de sa moule et l’immobilise pour décharger son foutre en elle. Il la tient figée comme ça contre lui une poignée de secondes, puis sa main vient empaumer une dernière fois l’un de ses seins, et lui mettre une petit tape sur les fesses. Sans un mot pour l’objet de tant d’émoi, le gars ramasse sa serviette et se casse.
J’entends le bruit d’une douche. Encore tremblante d’émotion, M reprend un peu ses esprits. Elle est debout au milieu du sauna, luisante de sueur et de foutre, nue, échevelée, et un homme bedonnant la fixe en s’astiquant le gland. Je sens que passé l’excitation animale de l’accouplement, son bon sens est en train de reprendre le dessus, et qu’elle se demande comment est-ce qu’elle en est arrivée là. Mais elle s’est fait une promesse. Toute pudeur envolée, M plante son regard dans celui, lubrique, du gros monsieur qui s’astique en la matant sans retenue.
Je vois alors mon amie, d’ordinaire si facilement intimidée, s’approcher de lui et saisir son membre viril de sa petite main. Elle se met à le branler tout doucement pour ne pas le faire jouir tout de suite, et s’incline pour le prendre en bouche. Agenouillée entre ses jambes, elle commence à le sucer. Derrière elle, de là où je suis, je ne vois pas grand-chose, juste le mouvement de sa tête et le galbe de ses fesses rebondies sur la plante de ses pieds. A la hauteur de ses hanches, sa peau d’albâtre est encore zébrée de l’étreinte de son précédent partenaire.
Affalé en arrière, le gros lard laisse la jeune fille aux commandes sans d’abord avoir l’air de trop oser y croire. Puis s’enhardissant peu à peu, sa main vient caresser le haut de son dos entre ses omoplates, passe dans ses cheveux, se pose sur sa nuque et se met à lui imprimer un mouvement de plus en plus ample. M se tend un peu, je la vois s’ajuster sur ses appuis et poser ses mains sur les cuisses de l’homme pour offrir une butée à ses assauts. Le manège dure une minute ou deux, pendant lesquelles je mate sans vergogne le boule généreux de ma pote tressaillir sous chacun des coups de bassin de l’inconnu en massant ma bite à travers mon maillot.
Au bout d’un moment, M finit par se relever. De trois quarts, je vois un filet de bave couler de ses lèvres jusqu’entre ses seins. Enjambant l’homme, elle vient s’accroupir sur lui. Les grosses mains du type empoignent ses fesses et je la vois commencer à onduler du bassin. Elle passe alors ses bras autour de son cou, et poussant sur ses cuisses endolories par la muscu, soulève son petit cul pour se faire prendre. Tremblants, elle d’effort, lui d’impatience, l’homme enfonce son membre au cœur de son intimité. Il passe ses mains sous ses fesses pour la soutenir, et je vois ma pote, devenue son jouet, reprendre ses va-et-vient, cette fois-ci avec sa virilité plantée au plus profond d’elle.

Aidés par la sueur, leurs deux corps glissent l’un contre l’autre. Elle s’accroche à lui comme une perdue, pressant sa chair contre la sienne dans un corps à corps désespéré vers l’orgasme.Profitant qu’elle est ainsi offerte à lui, l’homme l’embrasse à pleine bouche. Fouillant avec sa langue comme son membre fouaille en elle, il la pénètre doublement. Loin de se défiler, M lui roule pelle sur pelle, entrelaçant sa langue avec la sienne pendant qu’elle s’escrime à lui faire l’amour.
Petit à petit, la cadence de leur accouplement s’accélère. Les petits cris refont vite leur apparition. Juchée sur le bout de ses orteils, la belle roule des hanches d’avant en arrière comme si sa vie en dépendait. J’ai une furieuse envie de l’aider à jouir. A la place, je m’astique comme un fou derrière la porte. Ses couinements sont de plus en plus audibles. Ça va jaser au vestiaire ! Avec la grimace que je lui connais désormais, M entame la dernière ligne droite. Ses mouvements se font plus lents, plus appuyés. Je la vois se mettre à trembler comme une feuille, les yeux mi-clos, tandis qu’elle comprime encore et encore le sexe de son partenaire au fond de sa petite grotte. C’en est trop pour moi, j’explose. Au même moment, dans un même soubresaut, il se crispe et elle se colle à lui en soupirant.
Ils restent comme ça quelques secondes, l’un contre l’autre, dans une même masse de chair humaine chaude, visqueuse et frissonnante, un instant en paix avec elle-même. Puis, après un dernier baiser, ils se séparent. Mon amie se redresse pour extirper son sexe du sien et poser les pieds par terre. Un filet de sperme dégouline de son entre-cuisse. Je sais qu’elle prend la pilule. Tous les efforts sublimes de ces mâles auront été vains. Désolé messieurs ! Ainsi épuisée, collante de sa propre sueur et de celle d’un autre, essoufflée, rougie, elle est splendide. Et parfaitement dégueulasse. Ramassant les deux moitiés de son maillot de bain égaré, la demoiselle entreprend de se rhabiller. A peine ai-je le temps de ranger mon engin qu’elle pousse la porte dans une bouffée d’air humide et brûlant pour regagner le vestiaire des filles.
— Ah, t’es là ! me lance-t-elle comme si de rien n’était. J’ai fini. Tu te dépêches, je t’attends dehors ?
Je suis quasiment certain que les restes de mon érection déforment encore mon short, mais j’acquiesce sans broncher. Après une douche rapide pour me remettre de mes émotions, je retrouve M à l’extérieur. Elle est radieuse.
— Quel pied, cette séance !
Je manque de pouffer. Sur le chemin du retour, nous discutons de tout et de rien, avant de nous dire bonsoir.
Depuis ce soir-là, je crois que M fréquente la salle de sport assidûment. C’est souvent désormais qu’en sortant du sauna, elle a l’air comblé.
Diffuse en direct !
Regarder son live