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Une amitié totale

Chapitre 1

Erotique
Cette histoire que je vais vous raconter, je l’ai vécue il y a maintenant quelques semaines de cela. C’était l’été dernier. Jeune bachelier de 18 ans, j’étais parti faire mes études dans la grande ville du département afin d’acquérir des connaissances en vue d’un futur métier. J’avais donc dû laisser ma campagne et ma meilleure amie qui était issue d’une famille fermière ainsi que le reste de ma vie. Ma meilleure amie s’appelle Lisa. Elle a le même âge que moi. On se connaît depuis toujours. Avec elle, j’ai passé le plus clair de mon temps à la ferme à m’occuper des bêtes pendant nos temps libres. Lisa a un caractère assez doux, mais également parfois un côté rustre de la campagne qui fait qu’elle n’a pas forcément toujours froid aux yeux. A la fin du lycée, elle n’a pas eu comme moi la chance de partir faire ses études et a dû rester à la campagne. On se retrouve durant nos vacances autant que l’on peut se voir.
Et à la fin de cette année d’étude, c’est tout logiquement que je l’ai invitée à venir passer quelques jours dans mon studio avec moi. Afin de lui faire découvrir cette grande ville et de profiter ensemble de ses vacances estivales.
Mais laissez-moi vous présenter Lisa. Elle mesure un mètre soixante-dix et va vers ses 19 ans. Elle est blonde et pèse soixante petits kilos. Elle a de jolies fossettes quand elle rit au coin de ses joues. Elle a les yeux gris-bleus. Elle a beaucoup de charme, même si je n’y ai jamais fait attention avant. Il faut dire qu’elle s’est toujours habillée de manière assez sobre pour pouvoir travailler à la ferme. Avec des vêtements toujours amples et jamais avec des tenues qui la mettaient en valeur.
L’été arrivé, nous prenons donc finalement la route elle et moi dans mon véhicule pour rejoindre mon studio. A nous les vacances. Nous sommes heureux de pouvoir profiter de ces quelques jours de repos. Ses parents ont eu la gentillesse de la laisser profiter quelque peu de l’été avant qu’elle ne reprenne son rôle dans la ferme. Ils ont bien conscience que sans ça, elle se coupe bien d’une vie sociale importante pour ne pas disjoncter dans l’âpreté de la vie à la ferme.
Nous arrivons le vendredi soir vers 18 heures. Ensemble, nous laissons nos sacs dans l’unique pièce où je vis, puis décidons d’arpenter les rues de Montpellier avant d’aller dîner. Ça va la changer de son Larzac.
La soirée se passe magnifiquement et nous avons plaisir à nous retrouver. Pour l’occasion, elle porte une robe qui lui va à ravir. C’est la première fois que je la vois ainsi. Elle est très charmante et a de jolies jambes fines. Ensemble, nous nous offrons un petit resto avec un apéritif et une bouteille de vin durant le repas. Nous finissons la soirée à déambuler le long des quais du Lez avant de rentrer chez moi. Je ne possède qu’un seul lit double. Mais ce n’est ni un problème ni un piège. Elle est au courant. Nous dormirons ensemble. Je m’en vais donc en premier dans la salle de bain pour me laver les dents puis me mets en boxer. Puis vient son tour. Au sortir de la salle de bain, elle me rejoint près du lit dans lequel je suis installé.
— Par contre Tom, je t’ai pas dit, mais je dors qu’en culotte chez moi. Ça te dérange pas ? Sinon j’emprunte un de tes tee-shirts...—... Heu... non c’est bon !
Je n’en reviens pas. Ma meilleure amie va dormir à mes côtés presque nue...
Elle retire alors sa robe. Elle est en sous-vêtements. Une culotte en coton et le soutien-gorge qui va avec. De manière assez naturelle, elle le dégrafe. Je suis submergé par ce que je vois alors, mais ne le montre pas. Elle a une poitrine généreuse. De beaux seins laiteux avec de larges aréoles rosées. Ses seins sont en forme de poires. Elle est sublime et je suis envoûté. Elle s’allonge à côté de moi et nos discussions se poursuivent un moment avant que le sommeil s’empare de nous. Je n’ose trop regarder ces deux globes offerts à ma tentation.
Il est tôt le lendemain quand j’entends du bruit à mes côtés. J’ouvre les yeux.
— Tu dors pas Lisa ?— Non, je me lève tôt à la ferme d’habitude...— On est en vacances. Il est à peine six heures. Rendors-toi. Profite !
Et sur ces quelques mots, je l’entoure de mon bras et viens me coller contre elle pour me rendormir. J’ai ma tête à quelques centimètres de son sein gauche. Si je laisse les yeux ouverts, je peux l’admirer. Elle se tourne sur le côté vers moi, et elle aussi m’enlace avant de se rendormir. Ainsi, ses deux seins se collent à mon corps. C’est finalement à neuf heures passées que je me réveille. Elle dort encore. Je la regarde. Elle est très jolie à dormir ainsi. J’ai aimé l’avoir dans mes bras, même s’il n’y avait alors rien de sexuel entre nous. J’admire une nouvelle fois sa poitrine. J’ai envie d’embrasser ses seins. De sucer ses tétons et les laisser fondre dans ma bouche. Je sens alors mon entrejambe se raidir et me retire de son bras. Je me dirige donc à quelques mètres de là afin de préparer le café. Elle se lève avec la bonne odeur du petit-déjeuner. Elle me rejoint derrière le fourneau. Elle est si belle en petite culotte. Ses seins bougent légèrement.
— Bonjour Tom.— Bonjour Lisa. Bien dormi ?— Oui merci. Une belle journée s’annonce. Que faisons-nous aujourd’hui ? — Il fait beau. J’avais pensé à se faire une plage. —... Mais je n’ai pas pris de maillot de bain Tom...— Beh, c’est pas grave, tu en achètes un avant d’y aller...— Mais j’ai pas beaucoup d’argent. Après, je pourrai plus faire grand-chose...— C’est quand même couillon de venir à Montpellier sans prendre son maillot Lisa !— Mais j’en ai pas. J’ai pas le temps de me baigner ordinairement, protesta-t-elle en rigolant.
...Je sais, me dit-elle. Tu connais pas des plages naturistes dans le coin ?
Je manquai alors de m’étouffer.
— Heuuu tu es sûre ? Me montrer nu devant tout le monde, j’aime pas trop ça...— Pourquoi, tu as une petite bite ? En me disant ces mots, elle souriait en me mimant des doigts une petite taille.
On regagnait alors ma table pour déjeuner. Je la voyais de dos. Sa culotte lui était rentrée en partie dans sa raie et je pouvais admirer sans soucis sa fesse droite nue. Elle était toute blanche comme ses seins, parfaitement galbée et ferme. Je luttais pour ne pas bander. Cette vue m’aida à prendre une sage décision !
— Bon OK Lisa, tu as gagné. On va chez les naturistes cet aprèm.
Et sur ces mots, nous prîmes notre petit-déjeuner. Elle était là face à moi, les seins toujours nus. Alors que nous finissions notre café, son téléphone sonna.
— C’est ma sœur ! Elle est sur Montpellier cet aprèm avec une copine, elle veut savoir ce que l’on fait. Elles veulent se joindre à nous. Je lui dis. Ça te dérange ?
Sans me laisser le temps de répondre, elle texta à sa sœur et lui fit part de notre programme.
Le téléphone sonna de nouveau.
— C’est bon, elles viennent. Elles nous rejoignent ici en début d’après-midi. Ca te dérange vraiment pas Tom ?
Elle était proche de sa sœur qui n’avait qu’un an de moins qu’elle et qui venait d’avoir son bac.
En quelques minutes, je me retrouvais donc embarqué dans un plan de plage naturiste avec trois demoiselles, dont ma meilleure amie. Quelles drôles de vacances ! Après avoir fait quelques courses le matin puis après un bon repas chez moi, nous attendîmes en bas de chez moi la sœur de Lisa. Et c’est à l’heure dite que Manon et sa copine arrivèrent. Manon ressemble beaucoup à sa sœur. Ses cheveux tirent juste plus sur le châtain que sur le blond. Elle était accompagnée d’une copine du lycée à elle : Lilly. Celle-ci a la peau bien plus tannée par le soleil avec des cheveux bruns et d’une finesse absolue.
On se fit la bise.
— C’est rigolo votre projet de plage naturiste. C’est la première fois qu’on va tester, confia Manon.— Nous aussi, je rajoutai.
Après un petit voyage en voiture, nous voici donc arrivés sur la plage. Elle est vaste et peu de gens s’y trouvaient. Plein de courage, je commençais donc à me foutre à poil en même temps que les filles. J’avais posé ma serviette à une extrémité du groupe, aux côtés de Lisa qui se trouvait entre sa sœur et moi. Lilly se trouvait à l’autre bout.
Et voilà, après quelques secondes bien trop courtes, nous étions tous les quatre nus.
— Beh ça va. J’avais peur que tu en aies une toute petite avec tes réticences à venir, dit dans un rire Lisa.
Elle me contemplait de manière assez naturelle.
— C’est la première fois que tu vois un homme nu ?— Oui, me répondit-elle.
Elle était toute belle avec un sexe épilé entièrement. Je voyais de jolies petites lèvres et un clitoris qui dépassait à peine. Sa sœur lui ressemblait. Elle avait juste des seins légèrement moins gros. Et des fesses tout aussi jolies. Lilly avait deux cerises pour seins d’un brun délicieux. Ses fesses étaient plates, mais harmonieuses avec son corps si mince.
Rapidement, Manon sortit de la crème de son sac et les filles s’enduisirent à tour de rôle. C’était très sexy à regarder.
— Dis donc, c’est plutôt beau à voir des filles tartiner le cul d’autres filles, dis-je pour détendre l’atmosphère. C’est dur de résister et de pas laisser le mât se dresser.
Les filles rigolaient.
— Allez zou ! A toi Tom. Laisse-moi te mettre un peu de crème, poursuivit Lisa du tac au tac.— Hein ??? Non merci ça va...— Fais pas le timide. Dans tous les cas, faudra y passer. Si c’est pas maintenant, c’est ce soir. Mais ce sera pour te foutre de la biafine que je te passerai de la crème. Tes fesses sont toutes blanches. Fais-y attention. Tu auras mal ce soir sinon. Et ça sera pas drôle. Laisse-moi t’en mettre maintenant, analysa Lisa.
Après réflexion, je me laissai donc appliquer la crème sur le dos. Puis les jambes. Et enfin les fesses. La peau de Lisa était douce. Ce n’était pas la première fois que les mains d’une fille parcouraient mon corps. Depuis mon arrivée l’été dernier à Montpellier pour mes études, j’avais eu le temps de découvrir un peu mieux la vie et de perdre mon pucelage. Pour une fille qui n’avait rien fait à part embrasser une ou deux fois un homme sur la bouche durant son adolescence, Lisa montrait plein d’assurance depuis le début de ces vacances.
Après avoir fini, d’un geste tendre, elle claqua mon postérieur.
— Fini, et pour t’en mettre devant, tu n’as pas besoin de moi.

Je me tournais et laissais apparaître un sexe qui désormais était tendu. Je n’avais pu résister à ses caresses. Je rougissais.
— Oh c’est moi qui suis la cause de tout ça ?
En disant ces mots, Lisa me tendit la crème que j’appliquais sur la face avant de mon corps. Les filles ne perdirent pas une miette quand je saisis mon membre dressé pour l’enduire à son tour.
— J’ai l’impression d’être au zoo avec toutes les trois qui me fixaient...— C’est que c’est beau à voir, confia Manon perplexe et coquine.— Allez à l’eau, ça va t’aider à faire passer cette situation, affirma Lisa.
Et sur ces mots, tous les quatre allâmes à l’eau pour s’amuser. On nageait, se chamaillait et chercha à nous couler.
Alors que je parlais avec Lisa, je sentis alors une présence se coller à moi derrière moi. C’était Manon. Ses seins s’aplatirent sur mon dos.
— Arrête de discuter et viens t’amuser ! protesta-t-elle.
Je me débattais et alors sa main se saisit de mon sexe devant sa sœur qui rigolait.
— Au secours, criais-je. Lisa sauta à son tour sur moi. Elle était contre moi. Sa sœur avait lâché ma bite. Lisa avait aussi ses seins aplatis, cette fois-ci sur mon torse. Elle avait avec ses jambes attrapé sa sœur qui se cramponnait à moi. Pour ne pas tomber sous le poids des frangines, d’un simple réflexe, je saisis Lisa par les fesses pour la retenir. Nous restâmes ainsi quelques minutes comme si de rien n’était. Pendant tout ce temps, Lilly était proche de nous à contempler ce jeu de corps.
Au milieu de la conversation, alors que je discutais avec Lisa, Manon m’interpella.
— Alors ça fait quoi d’être pris en sandwich par deux jolies filles ?— Plutôt plaisant, répondis-je.— J’avais remarqué, approuva Lisa. Tu as ta bite dressée avec ton gland qui frotte contre mes lèvres, révéla Lisa.— Ohhh pardon, je pensais que tu n’avais pas remarqué que je bandais et je savais pas que c’était ton sexe...!— C’est pas grave Tom. J’aime bien. C’est agréable. Elle rougissait légèrement.
Lisa se releva en prenant appui sur mes épaules. A présent, ses seins se trouvaient à quelques centimètres de ma tête. A cet instant, le temps s’arrêta et ma seule volonté était de goûter à ces poires délicieuses. Mais l’amitié, la pudeur et sa sœur dans mon dos rendaient ces fruits défendus. A mon grand regret. Nos regards se croisèrent et elle comprit aussitôt le désir qui m’habitait à ce moment précis. Elle sauta dans l’eau et me libéra de son étreinte. Sa sœur en profita pour reposer une de ses mains sur mon sexe dressé.
— Ah, mais c’est vrai que tu bandes ! C’est rigolote, c’est tout chaud malgré la froideur de l’eau...
Je rigolais et la fis pivoter. On se chamaillait et elle se trouva face à moi. Elle grimpa pour se retrouver à présent avec ses jambes sur mes épaules, et son sexe contre ma bouche. Je la retenais par ses fesses et de son côté, elle se fixa à ma tête, m’empêchant de la retirer de là.
— Sexyyyyy cette position Tom !!! Ca donne envie ahah !
Au contraire de sa sœur, elle n’était pas entièrement épilée. Elle était habillée d’un ticket de métro.
— Je suis sûre que tu bandes toujours et que tu veux me bouffer la chatte.
Je protestais comme je pouvais avec son sexe collé à ma bouche. Finalement, je sentis une main se saisir de ma bite tendue. C’était Lilly qui se mêlait à la partie.
— Oui, il bande !
Elle commençait à me branler. Je ne savais plus quoi faire, et on ne va pas se mentir entre nous, Dieu que c’était plaisant. Je me laissais faire, et Manon s’inquiéta de la situation.
— Tu fais quoi Lilly ? Tom ne réagit plus et ne parle plus.— Je le branle, s’enthousiasma Lilly.— Fais vite alors !
Et peu après ces quelques mots, après ce va-et-vient dans l’eau, ma bite expulsa mon jus dans l’eau.
— Ca y est Manon ! Il a éjaculé !
Lilly en riait. Manon aussi. Lisa suivait la situation de manière moins enjouée. J’avais toujours le sexe de Manon contre mon visage. Mais j’arrivai à baragouiner alors quelques mots, pendant qu’elle m’empoignait avec toujours autant de conviction ma tête, m’empêchant de la virer de mes épaules.
— Que dois-je faire pour que tu t’en ailles de là Manon ?— Fais juste un petit bisou où tu sais, et je m’en irai.
Je protestai pour la forme, mais après m’être fait branler, embrasser la chatte d’une fille était tout aussi tentant. Je sortis donc ma langue et lécha ses lèvres quelque peu avant de conclure par un bisou.
— Merciiii !!!

Et sur ces mots, elle glissa de moi. Son regard, se fixant au passage sur le mien avec un sourire lubrique et des yeux pétillants. C’était une vraie coquine comme sa copine.

Nous rejoignîmes la plage tous les quatre. Lisa demeurait pensive alors que Lilly et Manon restaient d’humeur joyeuse. J’appris même que Lilly qui venait de me branler avait un copain qu’elle allait voir ce soir. Elle n’avait vraiment pas froid aux yeux.
La fin d’après-midi arrivait à son terme, et Lisa restait assez silencieuse. Nous déposâmes les filles dans Montpellier puis retournâmes chez moi. Depuis le matin, la chaleur avait envahi le département, et ça devenait difficile de luter contre ces hautes températures. La fameuse canicule qu’ils disent.
— Depuis tout à l’heure, tu parles plus ou presque... C’est bizarre Lisa.— Non c’est rien Tom... Je crois que j’ai attrapé un coup de chaud...
Il était déjà tard, et nous avions pique-niqué sur la plage avant de rentrer. Mon studio était un vrai four.
— Je passe en premier à la douche Lisa, et après tu iras. Il fait tellement chaud, je crois qu’on peut dormir nus à présent. On n’a plus rien à cacher...
je pris ma douche et ressortis nu pour rejoindre mon lit. Lisa me succéda dans la salle de bain, et à ma surprise regagna mon lit en culotte dans un lourd silence. Je ne dis rien, mais constatai fort bien que quelque chose n’allait pas.
— T’es sûre que ça va ? On dirait que tu boudes...— Laisse-moi lire !
Elle lisait un de mes livres. Un livre sur la perte des cheveux. Rien de bien folichon, surtout pour une fille... Après plusieurs secondes, elle tourna la tête vers moi et contempla mon corps nu et mon sexe.
— Tu pourrais t’habiller, plutôt que de rester la bite à l’air...— Ma bite avait l’air de te plaire tout à l’heure quand elle frottait sur ton vagin, je lui répondis en rigolant.
Elle ne dit rien, mais fixa ma bite puis ses yeux rougirent face aux miens alors que nous nous regardâmes.
— Là n’est pas la question...— J’ai l’impression d’avoir fait quelque chose de mal Lisa, et je sais pas quoi...
Elle replongea la tête dans son livre. Après quelques secondes, elle reprit la parole.
— Tu t’amusais bien cet aprèm avec les filles Tom...— Oh tu as bien vu, c’est surtout elles qui se sont jouées de moi.— N’empêche, tu avais l’air d’aimer...— Beh je vais pas mentir, c’est agréable les jeux d’adultes avec des jolies filles...— J’en sais rien, Tom, je connais pas encore.
Encore une fois, elle replongea dans son livre. Pourtant sa lecture n’avançait pas et les pages ne défilaient pas. Une nouvelle fois, c’est Lisa qui brisa le silence.
— N’empêche, ma sœur est belle, mais moi j’ai des plus gros seins au moins !— Oh, les siens ne sont pas mal non plus, dis-je dans un rire.— Elle ne fait qu’un 85 C quand moi je fais un 85 D. C’est mieux...— Vos deux poitrines ont l’air succulentes. — C’est vrai ? Je suis jolie, Tom ?
Je la regardais stupéfait par cette question que je trouvais débile. Bien sûr qu’elle était jolie. Je ne désirais qu’une seule chose depuis la veille, c’était goûter à ses seins généreux et blancs.
— Pourquoi cette question Lisa ?— Tu as dit qu’elles étaient belles, mais tu n’as joué qu’avec elles tout à l’heure. Tu t’es fait branler par Lilly et tu as fait une sorte de cunnilingus à ma sœur...— Ohhhhhh tu es jalouse !!!
Elle me regardait avec un regard triste. Je lui retirai son livre des mains. Elle me fixait toujours.
— Bien sûr que tu es belle !
Je m’étais rapproché d’elle, et je me lovai contre elle. Je lui fis un baiser sur la joue. Je lui souris et dans un silence absolu, je lui pris sa main et la posais contre mon sexe qui se tendit. Elle ne la retira pas. C’était la première fois qu’elle touchait le sexe d’un homme, et c’était celui de son plus fidèle ami. Après quelques secondes fébriles, Lisa commença un va-et-vient agréable sur ma bite.
— Alors, c’est comment Lise ?— C’est chaud !
Nous rîmes tous les deux. Je grimpais sur son corps et me retrouvais sur elle pendant qu’elle continuait de m’astiquer. Le temps était comme suspendu. Je voyais ses seins libres bouger au rythme de ses cadences. J’approchais ma tête de son oreille.
— Tu es belle. Très belle même Lisa. J’ai envie de te croquer comme un bonbon.
Et sur ces mots, je déposais un nouveau baiser au creux de son cou, puis nos regards se fixèrent intensément...De quelques mots sortis du plus profond de son cœur, elle me susurra « vas-y, même pas peur » ! Elle avait lâché ma bite, et mes lèvres trouvèrent ses lèvres pour un baiser. Puis ma bouche descendit sur ses seins que je suçais à leur tour. Ils étaient si bons et si gros... Je les empoignais et malaxais avec mes mains, et je partais à la découverte du reste de son corps. N’y pouvant plus, avant même que je m’y atèle, Lisa retira le dernier rempart de son corps. Elle fit glisser sa culotte. Mon gland dur comme du fer se trouvait contre sa vulve toute mouillée. Nos visages l’un contre l’autre, Lisa me sourit en signe d’accord, et alors j’enfonçai mon pieu dans son corps pour lui faire découvrir la vie, au milieu de nos torrides baisers qui s’entremêlaient dans cet effort charnel. Il ne pouvait pas y avoir plus beau signe d’amitié.
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