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Une année d’égarement

Chapitre 1

Chapitre 1 – Un secret mal gardé.

Hétéro
Je m’appelle Raphael et l’histoire que je vais vous raconter est basée sur des faits bien réels. J’ai modifié les prénoms et les lieux pour des raisons évidentes, mais les évènements sont restitués tels qu’ils se sont produits. J’ai divisé mon récit en plusieurs chapitres que je diffuserai dans le temps.
C’est la première fois que je me prête à l’exercice de l’écriture et je serais heureux de bénéficier de vos commentaires/conseils donc n’hésitez pas !
Le début de mon histoire remonte au mois de janvier 2016.
A ce moment-là, Aude et moi étions en couple depuis bientôt 3 ans et nous louions ensemble un appartement dans une grande ville du sud de la France. Aude avait 29 ans et travaillait dans un cabinet de conseils de renom. De mon côté, j’avais 33 ans et avais récemment monté une agence de recrutement qui commençait à bien fonctionner.
Aude est, objectivement, une très belle femme. Des cheveux châtain clair, longs et souvent attachés, des traits fins, des yeux marron clair, des lèvres pulpeuses et un sourire ravageur. La première fois que nous nous sommes rencontrés, j’ai été subjugué par son charme et désarmé par son naturel. Elle mesure 1,70 mètre et son corps est parfait à tous points de vue. Une silhouette aussi élancée qu’élégante, une belle poitrine (85C), ronde et ferme, de magnifiques fesses, rebondies et musclées et des jambes fines et bien proportionnées. Aude est une adepte de course à pied et de yoga et son corps sculpté est le résultat de longues heures d’entraînement et d’étirements.
Aude aime jouer et se sentir désirée. Elle porte des vêtements simples, mais qui font très bien ressortir ses formes : des tailleurs ajustés dans la journée et des jeans, des leggins ou des shorts moulants qui épousent parfaitement ses courbes quand elle veut se détendre ou faire du sport.
Aude ne laisse pas du tout les hommes insensibles. Je m’amuse souvent à observer les nombreuses têtes qui se tournent sur son passage dans la rue et je dois dire que je suis assez fier d’avoir une si belle femme à mes côtés. Elle est parfaitement consciente du désir qu’elle suscite et joue régulièrement de ses charmes pour obtenir ce qu’elle veut.
Son péché mignon ? Elle est accro à la lingerie fine et met un point d’honneur à porter tous les jours des dessous très sexy qui lui donnent, je la cite, « confiance en elle et la font se sentir plus féminine ». Elle achète ses sous-vêtements de manière compulsive et y consacre tous les mois un budget affolant. Sa collection de culottes, strings, tangas et soutiens-gorge, tous plus fins et affriolants les uns que les autres, est impressionnante et cette addiction n’est pas du tout pour me déplaire !
Aude adore m’envoyer des photos d’elle très osées quand elle essaie de nouveaux dessous dans les cabines des magasins ou se pavaner chez nous en ne portant qu’un string très sexy, passer devant moi, constater mon désarroi et continuer à m’allumer en poursuivant innocemment ce qu’elle était venue faire.
Avant notre rencontre, Aude avait vécu 2 longues histoires, chacune suivie par des périodes de célibat de plusieurs mois pendant lesquelles elle s’était tapé quelques mecs quand elle était en manque de tendresse et de sexe.
De mon côté, je suis brun aux yeux bleus, 1,85 mètre, mince, bien membré et musclé comme un mec qui fait du sport 3 fois par semaine. Je suis un grand fan de tennis, de bouffes entre copains et de vacances en Corse ; activités que j’intercale dans mon agenda chargé quand la masse de travail me le permet.
Si ma vie professionnelle a toujours été minutieusement prévue et sérieusement menée, ma vie personnelle a été très décousue jusqu’à l’arrivée de Aude. De mes 20 ans à mes 32 ans, je n’ai recherché que jouissance et plaisir. Je n’ai pas arrêté de découvrir, essayer, tenter, tester le plus de choses possibles dans plein de domaines différents. Mes relations se basaient généralement uniquement sur le sexe et se limitaient à un soir, à deux ou en groupe. Je consommais les femmes sans jamais vouloir m’accrocher à elles ni essayer de construire quelque chose.
J’adorais me fixer des challenges prétendument impossibles. Je choisissais une femme que je pensais inatteignable puis je mettais toute mon énergie à la séduire, la déstabiliser, l’embrasser et finalement coucher avec elle. Puis, une fois le challenge relevé, je tournais les talons et partais vers d’autres horizons. Profiter de la vie était mon seul crédo si bien que je ne pensais pas du tout pouvoir un jour m’engager dans une relation sérieuse avec une seule et unique personne.

Mais c’est bien arrivé, en février 2013.
Les premiers mois de notre relation avec Aude n’ont été pratiquement centrés que sur le cul. On prenait un plaisir fou à baiser partout et n’importe quand, en prenant tous les risques. Je me régalais de son corps, elle se délectait du mien, et on passait des heures à se faire languir l’un et l’autre.
Ensuite, le sexe entre nous n’a pas arrêté de s’améliorer, et a pris une autre dimension à mesure que nous nous parlions de nos fantasmes les plus dingues. Plus nous communiquions et moins nous avions de complexes. Toutes les barrières sautaient les unes après les autres si bien qu’après 9 mois passés ensemble, nous osions tout et savions exactement ce qui plaisait à l’autre. Le sexe était démentiel et nous pouvions tout aussi bien faire l’amour tendrement que baiser comme des animaux en considérant l’autre comme un objet sexuel. Tout nous plaisait.
Après un an et demi, il n’y avait plus aucune limite quand nous faisions l’amour, et, chose à laquelle je ne m’attendais pas du tout, nos sentiments l’un pour l’autre se sont considérablement renforcés. Notre relation a pris une autre tournure, plus sérieuse, plus stable, complètement exclusive et cela nous convenait très bien. Nous étions très heureux ensemble et faisions attention à bien respecter l’espace de l’un et de l’autre.
J’étais bien intégré dans la famille de Aude et elle l’était tout autant dans la mienne. On commençait à imaginer des projets ensemble, à parler engagement, enfants, prénoms et ça me plaisait. A tel point qu’après 3 ans, alors que nous filions le parfait amour, j’ai eu envie de proposer à Aude d’acheter un appartement à deux.
Nous avions déjà parlé plusieurs fois de ce que nous voulions et en regardant les offres de quelques agences immobilières de mon côté, j’étais tombé sur 2 ou 3 lofts magnifiques, dont un situé au dernier étage d’un vieil immeuble en pierre de taille, dans un super quartier de la ville.
Il semblait concentrer sur lui tout ce que nous aimions et je pris rapidement un rendez-vous pour une visite, le samedi 9 janvier 2016 en début d’après-midi.
Je n’avais rien dit à Aude et voulais lui faire une surprise.
J’ai encore un souvenir intact de la matinée de ce fameux samedi qui allait marquer le début d’une période très remuante pour nous deux.
—---------— Raph ? tenta Aude.— Humm... fis-je en guise de réponse. — Tu es réveillé? demanda-t-elle innocemment. — Humm... Maintenant oui... On avait pas dit grasse matinée ce matin ? répondis-je de mauvais poil. — Si... Mais je n’arrive plus à dormir... me répondit-elle d’un air faussement triste. — Et donc tu t’es dit que me réveiller pourrait être une bonne idée, c’est ça ? rétorquais-je. — Oui... me répondit-elle en arborant un sourire que je devinais coquin.

Nous étions sortis la veille et rentrés assez tard. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était, mais les rayons du soleil passaient au travers des volets en bois et indiquaient qu’il n’était plus si tôt que cela.
Je me frottais les yeux et m’étirais avant de me retourner sur le dos et de tourner la tête vers Aude. Elle me renvoya un sourire espiègle, visiblement ravie de son initiative, puis passa une main sous notre couette douillette pour venir la poser sur mon torse.
— Tu as bien dormi ? Il fait canon dehors ! On fait quoi aujourd’hui ? me demanda telle.

Me rappelant que nous avions cette visite d’appartement à 14h00, je jetais un coup d’œil sur mon téléphone. Il était 08h30 et nous avions encore toute la matinée devant nous.
— On peut aller courir ce matin. Ensuite, j’ai prévu un truc sympa à 14h00 puis j’aimerais passer au bureau cet après-midi et on a un dîner ce soir. Plutôt cool non ? répondis-je.

J’étais encore un peu endormi et quelque peu vexé par ce réveil inattendu. J’avais envie de jouer et de ne pas la laisser s’en tirer à si bon compte. Je savais très bien quelle partie de ma réponse avait retenu son attention et comment elle allait réagir ensuite.
— Un truc sympa à 14 heures ? me dit-elle intéressée. « Et je dois être là ? » — Oui, tu dois être là. Ne prévois rien à cette heure-ci, dis-je d’un air faussement détaché.

Puis je poursuivis « Bon je vais prendre une douche. Maintenant que je suis réveillé, je n’arriverai plus à me rendormir. »
Alors que je repoussais la couette et me redressais, Aude me bloqua à l’aide de sa main et me fit retomber sur les coussins de notre lit.
— Attends, attends, attends... c’est quoi ce truc sympa à 14 heures ? Tu peux m’en dire un peu plus ? me demanda-t-elle en se relevant un peu et en me regardant fixement en souriant. — Non... Je ne te dirai rien malheureusement. C’est une surprise, dis-je d’un air faussement désolé. « Si tu m’avais laissé un peu plus dormir peut-être que je t’aurais donné un indice... mais là, c’est clairement compromis... Bon, je peux aller prendre une douche maintenant ? »

Je fis mine de me lever à nouveau, mais je rencontrais la même résistance de sa main sur mon torse.
— Non... me dit-elle en ignorant ma remarque. « Dis-moi ce qu’il y a à 14 heures... Ou je ne te laisse pas sortir de ce lit...» ajouta-t-elle le regard plein de malice.

Joignant le geste à la parole et afin de me bloquer complètement, Aude, nue comme un vers, s’extirpa de la couette puis se hissa vers moi et vint plaquer ses seins magnifiques sur mon torse. Ce contact ne me laissa pas du tout indifférent. Notre couette recouvrait encore le bas de son corps.
Puis, en me toisant du regard, elle prit appui sur ses mains pour prendre de la hauteur et vint me faire face. Elle me regardait droit dans les yeux, un sourire en coin.
Dans cette position, ses seins se dressaient fièrement devant mes yeux. Ils étaient plus gros que d’habitude ce matin, superbement proportionnés, bien ronds et très fermes. Aude vit directement l’effet que cette apparition eut sur moi et approcha lentement le bout de ses seins de mon torse. Le contact subtil de ses tétons sur ma peau me fit l’effet d’une décharge électrique et elle commença à balancer légèrement son buste de gauche à droite afin d’accentuer mon doux malaise.
— Alors ? me dit-elle malicieusement en me voyant frissonner sous l’effet de cette caresse.— Humm... Je... euuuh... Non... Tu devras attendre quelques heures malheureusement... répondis-je dans l’intention de la narguer, mais en avalant difficilement ma salive. — Dis-moi... S’il te plaît... dit-elle en approchant ses lèvres des miennes et en plaquant à nouveau ses seins fabuleux contre mon torse. — Humm... Non... Et rien ne me fera avouer, dis-je enfin, plus convaincant, un large sourire aux lèvres.

Ce petit jeu commençait à nous amuser.
Aude approcha alors encore son visage du mien jusqu’à ce que ses lèvres touchent les miennes.
— Ah non ? Vraiment rien ? me susurra-t-elle.

Ses lèvres effleuraient les miennes alors qu’elle prononçait ces mots.
— Et si je me montrais coquine avec toi, là maintenant... Tu penses que ça pourrait m’aider à obtenir quelques indices ? Ou bien est-ce que je vais être obligée de te travailler au corps pour en savoir plus ? me chuchota-t-elle.— Me travailler ? Tu vas devoir me torturer... Et encore, je ne suis même pas sûr que tu arriverais à obtenir la moitié d’un indice si tu le faisais, dis-je plein de confiance en moi en la snobant un peu.

Aude me sourit insidieusement et posa alors ses lèvres sur les miennes. Elles étaient très douces et commencèrent à danser doucement avec les miennes, d’abord sensuellement, puis avec plus d’autorité.
Après une minute ou deux, Aude devint plus vorace. Sa langue se fraya un passage dans ma bouche et s’enroula autour de la mienne. Elle dirigeait la cadence. Ses attaques étaient brutales, puis ralentissaient subitement avant de reprendre à nouveau de la vigueur.
Alors qu’elle m’embrassait, je libérais mon bras droit de son emprise, fis le tour de son corps puis vins poser ma main entre ses omoplates. Je sentais ma queue durcir rapidement sous la couette.
Aude interrompait de temps en temps ses baisers et me provoquait en promenant le bout de sa langue sur mes lèvres.
— Tu es sûre que tu ne veux pas me dire ? Je vais devoir te torturer ? Vraiment ? me demanda-t-elle taquine avant de replonger avec force sa langue dans ma bouche. Elle cherchait à m’exciter, à me faire perdre le fil de mes idées... et allait rapidement y parvenir si je la laissais faire sans prendre d’initiative.

Tout en me délectant de ses lèvres et de sa langue, je fis lentement descendre ma main droite le long de son dos. Comprenant très bien où je voulais aller, Aude releva ses jambes et fit glisser la couette au pied du lit. Puis elle la fit ensuite complètement tomber au sol à l’aide de ses pieds, nous laissant tous les deux complètement découverts et totalement nus.
Elle écarta ensuite légèrement ses cuisses l’une de l’autre, se cambra exagérément en s’appuyant sur ses genoux et m’offrit une vue parfaite de son cul fabuleux. Cette vision me fit tressaillir et ma main droite se saisit directement de ses fesses incroyables. Je me mis à les pétrir sans retenue, arrachant à Aude de petits soupirs de satisfaction.
— Tu l’aimes mon petit cul hein ? Mais y as-tu vraiment droit ce matin ? me dit-elle en me provoquant.

Puis, tournant la tête vers le bas de mon corps, elle s’écria « Oooh... Mais il me semble qu’on est parfaitement réveillé par ici... ».
Ma queue était très dure et se dressait fièrement sous ses yeux.
Aude balança alors le poids de son corps sur son bras gauche et replaça sa main droite sur mon torse. Elle retourna ensuite la tête vers moi, plongea son regard dans le mien, me sourit et commença à glisser lentement sa main le long mon ventre, de mon bas-ventre, elle érafla ma bite tendue à souhait puis s’arrêta sur mes testicules qu’elle prit en main et commença à masser.
Elle replongea sa langue dans ma bouche alors que je commençais à gémir doucement sous l’effet de ses caresses. Après un court moment, elle remonta ses doigts le long de ma verge et s’en saisit d’un coup tout en me roulant de délicieuses pelles. Elle commença ensuite un léger un va-et-vient qui me fit frémir.
Délaissant ma bouche un instant pour regarder ce qu’elle me faisait, elle chuchota :
— Mmmh elle est énorme... J’adore...
De l’autre côté, ma main droite était de plus en plus entreprenante et mes doigts s’étaient facilement frayé un chemin entre ces deux somptueuses fesses. Mon pouce vint se poser sur son anus ouvert alors que mon majeur caressait sa fente humide sur toute sa longueur.
Le rythme et la force de mes caresses suivaient la cadence des va-et-vient que Aude imprimait sur ma queue.
Aude se mit alors à balancer légèrement son bassin de haut en bas, pour accentuer mes caresses et je forçais la pression que mes doigts exerçaient sur ses orifices. Mon majeur n’eut aucun mal à s’introduire dans sa jolie chatte, mais mon pouce rencontra une résistance plus forte.
Cette soudaine intrusion la fit sursauter et elle intensifia la pression qu’elle exerçait sur ma bite gonflée à bloc ainsi que le rythme de ses mouvements.
Mon majeur commença un va-et-vient autoritaire et Aude se mit à gémir de plaisir. Je glissais agilement dans son intimité et introduisis rapidement un second doigt dans sa chatte en feu. Aude poussa un cri aigu de plaisir alors que mon index s’enfonçait irrévocablement en elle.
Elle avait arrêté de m’embrasser, fermé les yeux et respirait de plus en plus fort. Je savais exactement comment la faire jouir et j’adorais ce spectacle.
Je prenais l’avantage sur elle. J’étais en train de gagner la partie.
Mes doigts la faisaient languir, mon pouce était sur le point de s’introduire dans son anus dilaté et elle branlait de plus en fort ma queue bandée à son maximum.
Soudain, se sentant partir, Aude reprit ses esprits et d’un coup de bras agile, retira mes doigts de ses orifices trempés. Elle se mit à 4 pattes sur le lit en gardant ma queue en main et m’enjamba agilement. Elle se tenait alors au-dessus de moi et ses seins somptueux pointaient dans ma direction. Elle était plus désirable que jamais. Elle me regarda intensément un court instant puis me murmura :
— Non, non, non... C’est moi qui dirige la danse... Mais bien essayé mon cœur !... On va où cet après-midi ? Je vais te travailler puisque tu te montres têtu.
Sa main continuait à me branler alors qu’elle me parlait.
Elle prenait son temps, jouait avec moi, variait les rythmes et recommença à promener le bout de ses seins sur mon torse. Elle se mit également à bouger habilement son bassin et vint plusieurs fois faire glisser mon gland turgescent le long de sa fente trempée. Aude mouillait abondamment et recouvrait le bout de ma queue de cyprine.
Ses caresses me firent frémir de plaisir et elle le savait.
— Tu passes aux aveux ? me demanda-t-elle.

Puis, approchant sa bouche tout près de mon oreille, elle ajouta en parlant tout bas « Dis-le-moi et je te laisse glisser ta queue où tu veux... me prendre comme tu veux... me faire l’amour ou me baiser comme une chienne... Tu choisis...»
Elle me torturait. Elle était très forte.
Je résistais tant bien que mal et elle continua malicieusement ce traitement pendant de longues minutes tout en me sondant. Elle me rendait dingue et repoussait systématiquement mes mains qui tentaient de la toucher.
Alors que je refusais toujours de dévoiler quoi que ce soit, elle fit entrer à plusieurs reprises le bout de ma queue dans sa chatte détrempée... avant de l’en retirer subitement. Je poussais de nombreux gémissements de plaisir suivis de soupirs de frustration. Aude exultait tout en prenant elle aussi un plaisir fou. Elle souriait intensément en me voyant devenir dingue. Mon seul et unique souhait à ce moment-là était de la pénétrer et la posséder avec force.
Elle poursuivit son manège infernal et continua à me narguer pendant quelques longues minutes. Puis, se rapprochant à nouveau de mon oreille, elle me murmura :
— Alors ? On va où ? Dis-le-moi et saute-moi comme tu l’entends... Je ne dirai non à rien...
Entre 2 gémissements, je parvins à lâcher « haaaaan... non, je te dirais rien... haaaaann »

Comprenant que je résisterais par principe et qu’elle n’obtiendrait rien de moi ainsi, elle délaissa mes lèvres et entreprit de faire glisser lentement son corps le long du mien tout en continuant à me branler.
— OK... dit-elle joueuse.

En amorçant sa descente, Aude prit soin de plaquer le haut de ses seins sur ma peau et de les faire glisser sur les zones les plus érogènes de mon buste. Elle observait mes réactions puis ses seins firent place au bout de sa langue qu’elle fit danser sur mes tétons avant de les mordiller, de les prendre entre ses lèvres et de les aspirer bruyamment.
Je devenais fou.
Après deux ou trois interminables minutes, elle lâcha subitement ma queue qui claqua bruyamment sur mon bas-ventre. Je bandais comme jamais.
Puis Aude vint placer ses seins au-dessus de ma bite et s’abaissa jusqu’à ce que ses tétons touchent mon gland.
Une fois de plus, ce contact m’électrisa et m’arracha un soupir de plaisir. Puis Aude commença à faire de légers mouvements horizontaux avec le haut de son corps. Ma queue entra alors en collision avec ses deux magnifiques poitrines et fut ballotée de droite à gauche au rythme de ses mouvements. Aude savait que j’aimais ça plus que tout et me fixait droit dans les yeux.
Elle continua ce petit manège un moment en se délectant de mes plaintes puis poursuivit imperturbablement sa descente jusqu’à ce que sa tête arrive au-dessus de ma queue qui se tendait fièrement devant ses yeux...
Elle la regarda un instant puis releva la tête vers moi et me lança :
— On va où ?
Elle était magnifique et je brulais d’envie d’en finir et de la pénétrer. Je lui fis cependant à nouveau part de mon refus en lui adressant un non de la tête.

Elle reposa alors son regard sur ma queue puis se redressa d’un coup et se mit à genoux entre mes jambes. J’avais une vue parfaite sur son visage, son corps, ses seins qui tenaient parfaitement en place et son ventre plat. Elle était vraiment somptueuse au réveil.
Je la vis ensuite commencer à faire des mouvements de mâchoires et jouer avec ses lèvres tout en me fixant intensément. Elle aspirait et rassemblait le plus de salive possible dans sa bouche. Je ne savais pas ce qu’elle avait en tête, mais l’air de défi qu’elle arborait n’était pas bon signe pour moi.
Après une bonne minute, elle se pencha à nouveau sur mon entrejambe, approcha ses lèvres de la base de queue prise de pulsions et libéra toute la salive qu’elle avait accumulée dans sa bouche sur toute la longueur de ma verge. Elle ajusta ensuite le tout avec le bout de sa langue puis une fois satisfaite, releva ses yeux pleins de défi vers moi et me dit :
— Dernière chance...
Je n’avais pas résisté jusque-là pour abandonner maintenant et je répondis à nouveau non de la tête.
— Très bien... poursuivit-elle en souriant.

Elle remonta légèrement son buste de manière à placer ma queue entre ses deux seins insolents, puis elle s’abaissa et plaça ses deux seins de chaque côté de ma verge ultra-bandée et trempée. Elle posa ensuite ses deux mains sur chaque extrémité extérieure de ses poitrines, pressa ma queue et la coinça fermement entre ses deux globes.
Elle était en équilibre instable, mais trouva malgré tout le moyen de tendre son corps et de commencer un doux et insupportable va-et-vient. Ma queue pleine de salive glissa sans aucune difficulté entre ses deux magnifiques seins.
J’étais en transe. Ce spectacle était hallucinant et elle se mit peu à peu à accélérer le rythme. Son regard luisant passait de mes yeux à ma queue et elle scrutait chacune de mes réactions.
Je gémissais intensément et avais envie de faire cesser ces tortures, me relever d’un coup, d’attraper mon bourreau et de la fourrer sans plus de cérémonie.
— J’attends... me dit-elle en jubilant.

J’avais du mal à respirer.
— Alors ? ajouta-t-elle.

Après une courte hésitation, sur le point de craquer, je laissais retomber ma tête sur l’oreiller et dans un soupir, lâchais...
— Nooooon, je ne dirai rien... haannn haaaannnn.
Je gémissais de frustration.

Ma queue était si dure qu’elle commençait à me faire mal.
Aude vint alors placer sa bouche au niveau de mon gland et ralentit ses allées et venues. Elle montait et descendait désormais le long de ma queue en prenant tout son temps.
Quand ses seins arrivaient au niveau de mon gland, elle exerçait une forte pression sur ces derniers afin d’accentuer mon calvaire, puis elle relâchait son emprise et redescendait en ignorant les spasmes dont j’étais saisi.
Et quand elle arrivait à la base de ma queue, elle exerçait à nouveau une forte pression sur ses seins, mais au lieu de stopper sa descente, elle continuait à tirer vers le bas plus que de raison afin que mon sexe soit le plus tendu et le plus décalotté possible. Elle poursuivait ainsi jusqu’à ce que mes plaintes deviennent trop fortes et stoppait net. Satisfaite, elle choisissait alors ce moment précis pour prendre délicatement mon gland rose entre ses lèvres.
A chaque passage, le contact chaud de sa bouche sur le bout de mon sexe me faisait frémir de plaisir. Elle aspirait mon gland, le faisait entrer dans sa bouche, puis elle passait rapidement le bout de sa langue sur mon frein ultra-tendu avant de se retirer d’un coup et de relâcher la pression qu’elle exerçait.
Puis elle reprenait son ascension infernale.
Elle me sondait, me testait et savait que j’avais atteint ma limite.
Après sept aller-retour intenses et alors qu’elle aspirait à nouveau mon gland endolori plus profondément dans sa bouche, je m’avouais vaincu.
— OK, OK, OK, arrête, arrête... Tu as gagné.
Ravie, Aude sortit ma queue de sa bouche, la libéra de l’emprise de ses seins puis se redressa et plongea son regard dans le mien. Elle attendait patiemment en souriant. Elle était belle à crever et je la voulais plus que tout.
— On va visiter un appartement dans le centre-ville, lui dis-je. — Un appartement ? me dit-elle intéressée. « Tu es sérieux ? » demanda-t-elle.

Un large sourire illuminait son visage. Elle était ravie.
— Il est comment ? poursuivit-elle, tout excitée.— Il est grand, lumineux, sans vis-à-vis et à vendre depuis 3 semaines. Il est exactement comme tu aimes... répondis-je entre deux réminiscences de spasmes.

Elle était radieuse, heureuse ... et visiblement très fière d’elle également.
Après avoir digéré la nouvelle, elle posa ses mains sur chacune de mes cuisses puis me dit doucement « OK... Maintenant que j’ai eu ce que je voulais... Fais ce que tu veux de moi... »
Cette invitation déclencha une décharge dans mon bas-ventre et je décidais de suivre mon instinct primaire et de me laisser emporter par les émotions qui m’habitaient. Je voulais ma revanche et lui faire payer cette torture qu’elle avait orchestrée.
— Mets tes mains de part et d’autre de mes hanches et prends ma queue en bouche.
Lui dis-je. Le ton que j’employais était directif et ferme.

Elle me fit un sourire mutin, acquiesça docilement de la tête, prit appui sur ses deux mains et approcha ses lèvres de ma queue. Elle déposa un baiser à la base de mon sexe, puis sortit le bout de sa langue et le fit remonter le long de ma verge. Une fois arrivée au niveau de mon gland, Aude plaqua sa joue droite sur mon bas-ventre et enfourna la partie haute de ma bite dans sa bouche.
Je poussais un soupir de satisfaction en me disant que j’allais enfin pouvoir agir librement.
Aude resserra ses lèvres autour de ma verge et releva sa tête de manière à dresser mon sexe à la verticale. Elle enfourna ensuite ma queue progressivement dans sa bouche en essayant de l’avaler entièrement. Mais ma bite était bandée à son maximum, et mon gland vint rapidement toucher le fond de sa gorge.
Surprise, Aude voulut alors se retirer, mais mes deux mains vinrent se poser à l’arrière de sa tête pour l’en empêcher. J’étais bien décidé à faire ce que je voulais, elle le comprit et ne fit rien pour insister.
J’exerçais alors une pression avec mes deux mains et elle enfourna à nouveau ma queue dans sa bouche puis commença à me sucer énergiquement. Elle adorait la fellation et me pompait comme une déesse. Sans prendre la peine d’être silencieuse du tout, elle allait et venait furieusement le long de ma verge, jouait avec sa langue, salivait beaucoup, aspirait bruyamment et recommençait à nouveau avec plus d’entrain.
J’appuyais de plus en plus fort sur sa tête si bien que mon sexe venait régulièrement taper dans le fond de sa gorge. Elle manqua de s’étouffer plusieurs fois et gémissait de plus en plus.
Elle adorait ça et voulut passer une main entre ses cuisses pour se caresser, mais je l’en empêchais fermement.
Après 5 minutes de ce traitement incroyable, je refermais mes mains plaquées sur sa nuque en agrippant le plus de cheveux possible puis immobilisais sa tête alors que ma queue était encore plongée dans sa bouche. Une fois sûr qu’elle ne pouvait plus bouger et qu’elle avait compris ce que j’avais en tête, je lui dis de garder la bouche bien ouverte puis je commençais à imprimer un léger va-et-vient en me servant de mon bassin.
D’abord timide et ne voulant pas lui faire mal, je contrôlais mes assauts. Mais, prenant rapidement confiance en moi, je commençais à faire des mouvements de plus en plus rapides et profonds.
Quelques minutes après avoir débuté, je baisais littéralement la bouche de la femme que j’aimais. Les bruits de succion se faisaient de plus en plus fort et je vis Aude serrer ses poings sur le drap blanc et se concentrer pour ne pas s’étouffer en subissant mes intrusions répétées. Elle avait du mal à respirer, ses seins se balançaient furieusement au rythme de mes mouvements, mais ses gémissements m’indiquaient qu’elle prenait un plaisir fou.
C’était bestial. Enivrant.
Aude savait que j’adorais la vue de son cul en l’air quand elle me suçait et se cambra exagérément pour renforcer encore mon désir. J’étais possédé par cette vision et sentais mon sexe ruisseler de salive. Je n’allais pas tarder à exploser dans sa bouche si je continuais.
Je ralentis alors le rythme progressivement et retirais mes mains de la tête de ma douce. Elle sortit ma queue de sa bouche et se redressa. Les contours de ses lèvres et ses seins étaient luisants de salive. Elle s’essuya la bouche, passa une main dans ses cheveux puis commença à se caresser sensuellement les seins en me fixant droit dans les yeux.
— Maintenant, baise-moi mon cœur, je t’en supplie, baise-moi hyper fort, finit-elle par me dire après un court moment.

Il ne me fallut pas une seconde pour me relever, saisir Aude par la taille et la tirer sur moi en me rallongeant sur le dos. Elle m’enjamba, plaça sa chatte juste au-dessus de ma queue tendue à mort et vint plaquer ses deux mains sur mon torse.
Dans un état transe, je saisis ma queue, posai mon gland à l’entrée de sa vulve détrempée et d’un simple coup de reins, la pénétrais jusqu’à la garde avec autorité. Je butais directement sur le fond de sa chatte et Aude lâcha un râle bestial de plaisir, surprise par la taille imposante de ma bite.
— Haaaaaaannnnn... Putain, tu es énorme... C’est trop bon... Haaaaaaannnnn.
Ses yeux étaient fermés et elle se mordait la lèvre du bas. Ma queue remplissait entièrement sa chatte dégoulinante. Mes mains agrippaient solidement ses hanches, je l’empêchais de bouger son bassin et commença à aller et venir en elle avec force. Ma queue glissait dans sa chatte bouillante sans rencontrer aucune résistance. Son corps était sublime et ses seins fermes sursautaient au rythme de mes pénétrations de plus en plus puissantes. Elle prenait tant bien que mal appui sur ses mains pour encaisser mes coups de reins.
Nos corps étaient en fusion et après quelques minutes, j’oubliais toute retenue et pilonnais littéralement cette petite chatte que j’aimais tant. Aude hurlait de plaisir, complètement soumise à mes assauts.
J’exultais et profitais de chaque instant.
Sentant ma sève monter, je ralentis un peu le rythme et pris deux ou trois longues inspirations.
Aude respirait en hoquetant. Je sentais son corps lui parler et lui envoyer des dizaines de messages sensoriels. Elle ne répondait plus de rien et se laissait totalement faire.
Je profitais alors de ce dernier moment de calme relatif pour retirer ma main droite de sa hanche et vins placer mon index, à l’entrée de sa bouche. Ma queue continuait à aller et venir en elle doucement et la faisait gémir de plaisir.
— Suce ce doigt comme tu as sucé ma bite. Il devrait avoir bon goût, il était en toi tout à l’heure, lui dis-je.

Docile, elle prit mon doigt en bouche puis, sans réfléchir, se mit à le lécher avec application. Une fois mon index dégoulinant de salive, je le sortis de sa bouche, ôtais ma main gauche de sa hanche et vins plaquer mes deux mains sur chacune de ses fesses en les tirant et les écartant fortement de manière à ouvrir ses orifices au maximum.
Puis, revigoré après cet instant de pause, je recommençais à la pénétrer de plus en plus fort en ne lui laissant plus aucun répit. Elle se remit à hurler de plaisir et s’abandonna totalement à son sort. Je la sentais perdre les pédales et redoublais d’efforts et d’application. Ses seins étaient soumis à un dur régime et s’efforçaient de suivre tant bien que mal mes mouvements. A chaque pénétration, je heurtais le fond de la chatte de ma douce, lui arrachant de nombreux râles intenses de plaisir.
La sentant à la limite de l’orgasme, je plaçais ensuite mon majeur plein de salive à l’entrée de son anus et l’y fis glisser d’un trait.
Surprise, elle hurla de plaisir.
— Haaaaaaaa, Raph... Tu es... Haaaaaa.
Ignorant ses cris, je continuais à limer sa chatte et me mis à doigter sa rondelle.
— Putain... Raph... haaaaann... Qu’est-ce... haaaaann... que tu me... haaaaann... fais...
Ses mots peinaient à sortir de sa bouche et mes testicules tapaient violemment sur ses fesses à chaque nouvelle pénétration.
Soudain, je sentis le corps de Aude se raidir et son visage s’immobilisa. Sa chatte se contracta autour de ma queue, son anus se serra autour de mon doigt et tous ses muscles se crispèrent. Aude fut ensuite saisie de violents spasmes qui l’empêchèrent de respirer et elle fut terrassée par un orgasme long et puissant. Elle poussa plusieurs soupirs intenses de satisfaction et de joie. Elle était complètement ailleurs et libéra de longs jets de cyprines autour de ma queue.
Cette vision me fit lâcher toute résistance et après deux nouvelles pénétrations très profondes, je me laissais aller et déversais de puissants jets de sperme dans le fond de sa chatte. J’explosais littéralement en elle en poussant un râle de satisfaction énorme.
Nos deux orgasmes se sont confondus et après une quinzaine de secondes, Aude, interdite et encore sous l’emprise de son plaisir, s’écroula sur moi.
On respirait tous les deux très bruyamment. Aude tremblait. Je retirais à regret mon doigt de son anus dilaté, mais laissais ma queue profondément ancrée en elle. Mes mains agrippaient encore ses fesses alors que de petits jets de sperme s’échappaient toujours de mon gland.
Nous sommes restés dans cette position un bon quart d’heure, tentant de reprendre nos esprits jusqu’à ce qu’elle me chuchote dans le creux de l’oreille :
— Waouh, c’était divin... Tu crois qu’on pourrait partager cette douche à laquelle tu pensais tout à l’heure ? — Humm OK, mais je ne te garantis pas qu’elle soit ni courte, ni de tout repos si tu viens avec moi... répondis-je.

Aude releva la tête, me sourit, vint poser ses lèvres sur les miennes et ondula légèrement son bassin afin de se rendre de compte de l’état de ma queue encore plantée en elle.
— OK... je prends le risque avec plaisir... me répondit-elle en sentant ma bite grossir à nouveau. —---------
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