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Une année d’égarement

Chapitre 3

Une urgence de dernière minute

Hétéro
— Raph, tu pars là? — Oui, je termine mon café et je fonce ! Philippe m’attend à 7h30 et je ne veux pas encore être en retard !— OK, attends une minute ! Je sors juste te faire un bisou ! Tu es où? — Dans le salon, mais faut vraiment que je file ma puce ! — OK, OK ! J’arrive tout de suite !

Je portai ma tasse à mes lèvres et bus le reste de son contenu tout en regardant autour de moi. L’appartement était dans un état déplorable. Des colonnes de cartons empilés les uns sur les autres s’élevaient un peu partout, de gros tas de linges de maison et d’objets en tout genre s’accumulaient dans toutes les pièces et des dizaines de sacs-poubelle jaunes, pleins de vieux papiers, traînaient çà et là, où restait de la place.
A quelques pas de moi, deux grandes valises ouvertes, à moitié remplies, tenaient en équilibre précaire sur notre table de salle à manger et des raquettes de tennis ainsi que de vieux clubs de golfs gisaient, inertes, sur le sol. Nous avions décroché puis réparti tous les tableaux et les miroirs de l’appartement le long des murs du salon afin de faire un tri et l’ensemble faisait penser à un vaste champ de ruines après le passage d’un ouragan.
J’entendis Aude s’activer dans la salle de bain, au bout du couloir.
— Je suis triste de ne pas pouvoir venir avec toi ce matin. Ils me font chier avec leurs réunions pourries. J’en ai marre là!— Oui je comprends mon cœur ! Mais tu seras là lundi matin pour la remise du chantier ! C’est le plus important non ?!— Ouais... Tu as une grosse journée aujourd’hui ? — Oui, une succession de rendez-vous de 10 heures à 18 heures.— Et le prospect important ? Il est prévu où et à quelle heure ? — Au Country Club, à 10 heures. — Ah cool le Country Club ! C’est trop bien !

Le début de l’année fut très chargé, tant pour Aude que pour moi. Nous enchaînâmes tous les deux d’intenses semaines de boulot, conclues par plusieurs week-ends très festifs entre copains. À côté de cela, nous dûmes également gérer toutes les démarches liées à l’acquisition de notre nouvel appartement et ces dernières s’annoncèrent rapidement plus chronophages que je ne l’avais imaginé.
Après la signature du compromis de vente début janvier, les ex-propriétaires durent en effet partir à l’étranger plus vite que prévu et voulurent que tout soit réglé rapidement. Nous signâmes donc l’acte de vente mi-janvier et récupérâmes les clés au début du mois de février. Nous décidâmes ensuite rapidement de ce que nous voulions modifier puis engageâmes Philippe et son équipe de gros bras pour réaliser des travaux de rénovation qui devaient durer un mois. Enfin, nous mîmes un terme au contrat de location de l’appartement que nous occupions et commençâmes à organiser un déménagement que nous fixâmes mi-mars.

La réunion qui avait lieu avec Philippe ce matin du 25 février 2016 était le dernier “point travaux” avant la livraison du chantier.
— Aude, il nous reste deux semaines avant de tout bouger ! On n’est nulle part là!

La porte de la salle de bain grinça et j’entendis Aude en sortir et marcher en direction du salon.
— On va tout gérer au dernier moment comme d’hab’! Chou, tu regardes bien tous les points dont on a parlé avec Philippe la dernière fois hein ?! Pour le dressing, tu...— Oui, oui t’inquiète ma puce ! J’ai tout noté!— OK cool ! Oh whaouuuu ! J’adore cette chemise ! Tu es trop beau !

Aude venait de surgir dans le salon et j’eus le souffle coupé en la voyant uniquement vêtue d’un fin string noir en dentelle qui laissait transparaitre sa jolie fente parfaitement épilée. Son corps sculpté était follement attirant et elle s’avança tranquillement vers moi en me fixant droit dans les yeux. Sous le choc de cette apparition inattendue, je restai pantois, la bouche entrouverte, et laissai mon regard glisser le long de ses courbes.
Ses cheveux étaient encore mouillés et de fines gouttes d’eau s’en détachaient puis rebondissaient sur sa peau. Ses seins, particulièrement gros ce matin, se balançaient légèrement au rythme de ses pas, et ses tétons, visiblement déjà durs, pointaient fièrement en avant. Son ventre plat et musclé indiquait le chemin à suivre pour embrasser du regard la fine dentelle noire de son string et ses jambes galbées et impeccablement proportionnées ne semblaient pas avoir de fin.
Aude venait de s’enduire tout le corps d’une huile dont elle savait que l’odeur me rendait fou et je sentis ma queue commencer à réagir dangereusement dans mon pantalon à mesure qu’elle s’approchait de moi.
— Euh... T’es vraiment pas mal non plus mon cœur !

Ravie de constater mon émoi, Aude ralentit un peu son pas et poursuivit son chemin en accentuant légèrement le mouvement de ses hanches. Elle était incroyablement sexy et je ne savais plus où poser mon regard.
— Et alors ? On se rince l’œil beau gosse ?! — Humm, c’est pas très sport de faire ça maintenant ma puce.

Un sourire mutin se dessina sur son visage.
— Pas sport ? Mais c’est tout ce que tu m’as laissé le temps d’enfiler ! Monsieur doit très vite partir apparemment !

Arrivée à ma hauteur, Aude posa une main sur mon torse, approcha ses lèvres des miennes et m’embrassa tendrement. Je me débarrassai de ma tasse et posai délicatement mes mains sur ses hanches. Sa peau était chaude et délicieusement douce.
— Est-ce que Monsieur a bien dormi cette nuit ou pas ? — Oui bien, et toi ? — Super bien ! J’adore quand tu baises ma petite chatte si fort quand on se couche. J’ai joui comme une folle hier soir et je me suis endormie tout de suite après. C’était génial !

Aude vint se blottir contre moi en miaulant et plaqua ses gros seins contre mon torse. Puis elle m’embrassa à nouveau, força l’entrée de ma bouche avec sa langue et l’enroula autour de la mienne. Dans mon pantalon, ma queue prenait rapidement des proportions importantes.
— Tu es sorti du lit trop vite ce matin. J’avais une folle envie de te sucer en ouvrant les yeux.— Hum, pas sympa non plus ça ma puce !

Aude me sourit malicieusement et poursuivit:
— Tu sais, tout est encore poss...

Je posai un doigt sur ses lèvres et la coupai:
— Non, non, non, pas de ça ma puce ! J’ai un rendez-vous dans 20 minutes et je dois partir très vite là!

Aude rit doucement et pressa son bas-ventre contre ma queue pour m’embrasser à nouveau
— Je sais ! Je te testais... Oooh ! Mais attends...

Elle planta ses yeux dans les miens et passa lentement sa main droite le long de ma braguette.
— Mais oui... Il me semble qu’on est plutôt en forme ici...

Elle resserra sa main autour de ma verge tendue et commença à me caresser doucement en se mordant la lèvre inférieure.
— Apparemment, toi tu veux partir, mais elle a d’autres intentions ! Mmmh tu es déjà super dur mon cœur ! C’est moi qui te fais cet effet-là? — Hum, oui clairement ! Mais j’ai aussi fait un rêve hallucinant cette nuit et les images me hantent depuis ce matin.

Une lueur scintilla dans les yeux d’Aude et je regrettai instantanément ce que je venais de dire.
— C’est vrai ?! Raconte ! C’était encore celui où tu me baisais avec un autre mec après une soirée très arrosée ? Oh il était génial celui-là !

J’éclatai de rire et répondis:
— Non pas cette fois-ci malheureusement ! Mais je me rappelle que tu l’avais bien aimé celui-là en effet ! — Oh oui il était trop bien ! Et tu m’avais sodomisée super fort après me l’avoir raconté, tu te rappelles ? — Euh... Oui, je me rappelle bien oui ! Mon cœur, il faut vraiment que je...— Mmmh, tu es dur ! Et c’était quoi ce rêve alors ? — Je te le raconte ce soir promis...— Noooooon ! Tu peux pas me dire que t’as fait un super rêve et partir comme un voleur ! C’est pas juste ! Raconte-moi juste le début et je te laisse filer !

Aude avait continué à me caresser en me parlant et j’oubliai peu à peu l’empressement et le stress dans lesquels je me trouvais avant son apparition.
— Hum, bon OK ! Je rentrais d’un séminaire un peu plus tôt que prévu et je voulais te faire la surprise. — Mmmh, début prometteur...— Je t’achète un petit bouquet en rentrant de la gare.— Don Juan... J’adore ! — J’ouvre la porte de l’appartement sans faire de bruit et là j’entends des gémissements qui proviennent de notre chambre.

Aude me sourit lascivement, lâcha ma queue et posa ses deux mains sur mon torse. Puis elle me poussa doucement en arrière, me fit assoir sur une chaise qui traînait, m’enjamba et vint poser sa jolie chatte sur ma queue maintenant atrocement dure. Ce contact provoqua une violente décharge dans le bas de mon ventre et Aude se redressa puis approcha ses deux gros seins de mon visage.
— Ma puce... — Quoi ? Je m’assois juste !

Aude saisit ensuite mes deux mains et les posa sur chacune de ses fesses luisantes en me souriant. Elle savait parfaitement que j’en étais fou et je ne pus m’empêcher de commencer à les pétrir avec autant d’intensité que grimpait mon désir pour elle. Ravie, elle se mit à gémir de plaisir et se cambra pour faire ressortir son cul.
Placés comme nous étions, un miroir sur pied, posé contre le mur, de l’autre côté de la pièce, me renvoya l’image irréelle de ses fesses somptueuses et je les écartai sans ménagement en les tirant vers le haut pour mettre à jour les extrémités de sa jolie chatte et de son petit trou, cachés derrière la ficelle de son string.
— Mmmh... Oui, maltraite-les ! Et il y avait qui dans la chambre ? — Hum, et donc je m’approche de la porte rabattue, je jette un œil dans l’embrasure et là je te vois, à genoux, au pied du lit, en train de bouffer passionnément la chatte de Camille qui gémit super fort...

Aude poussa un nouveau soupir de désir en se remordant la lèvre du bas.
— Haaaaann ! C’est vrai ?! Camille ? Hum... Oui pourquoi pas ?! Elle est super jolie et très bien gaulée en plus !

Je ris doucement et poursuivis:
— Oui elle est très mignonne ! Et tout en la léchant, tu la doigtais avec une main et pétrissais ses petits seins avec l’autre. C’était dingue ! Le seul truc que je n’ai pas réussi à voir, c’est si tu doigtais sa fente ou son cul.

Aude et moi n’avions jamais fait de plan à plusieurs ensemble, mais on adorait en parler en baisant. Elle savait très bien que j’avais déjà expérimenté beaucoup de choses avant notre relation et je la sentais de plus en plus tentée par l’idée.
— Je doigtais son cul, c’est certain !

En disant cela, Aude se mit à onduler lentement son bassin en frottant sensuellement sa jolie chatte contre ma verge tendue. Puis, elle approcha ses lèvres de mon oreille et chuchota:
— Pour tout te dire, je pense même que j’avais deux doigts plantés très profondément dans son cul et que ma langue allait et venait très vite dans son petit minou.

Ses mots me firent tressaillir puis Aude replongea sa langue dans ma bouche avec autorité. Mes mains agrippèrent encore plus fermement ses fesses et le bout d’un de mes doigts glissa sous la ficelle de son string.
— Mon rêve te fait aussi de l’effet on dirait !— Haaan, oui ! Et il se passait quoi après ?

Je jetai un rapide coup d’œil à ma montre et ne pus que constater mon retard.
— Merde... Mon cœur, j’en ai pas envie du tout, mais je dois vraiment filer là... Je te raconte la suite ce soir en te faisant même une petite démo si tu veux ?

J’espérai qu’elle obtempèrerait, mais Aude me lança un regard joueur plein de défi et me répondit après quelques secondes de réflexion:
— Non. Tu termines ton histoire avant de partir Don Juan ! — Ma puce, on avait dit juste le début... — Allez, s’il te plaît... Tu termines rapidement et je te laisse partir !

Elle avait une tête d’ange et les mouvements de son bassin me faisaient complètement perdre la tête. J’étais de moins en moins lucide et avais envie de lui faire plaisir.
— Bon OK, rapidement ! - dis-je plus pour me convaincre moi qu’autre chose - Hum, ensuite tu as arrêté de lécher Camille, tu as retiré tes doigts de son cul, tu t’es allongée sur elle et vous vous êtes roulés de longues pelles en vous caressant partout. C’était magique ! A mon avis je bandais comme un taureau à côté de toi cette nuit...

Aude ondula encore sensuellement son bassin en renforçant le contact de nos deux sexes et planta son regard dans le mien en souriant.
— Un peu comme maintenant aussi ou pas ? — Mmmh, oui, pas loin en effet...

Puis, elle se souleva légèrement en prenant appui sur ses jambes et commença à promener le bout de ses deux magnifiques seins sur mon visage.
— Et ensuite ? Continue ton histoire Don Juan !

Je n’arrivais plus à me concentrer. Aude le sentit très bien et ne fit rien pour m’aider. Elle se rabaissa ensuite lentement et reprit sa position initiale en se cambrant à nouveau très fort et en recommençant à frotter sa jolie chatte sur ma queue.
— Hum... Ensuite, Camille t’a plaquée sur le dos, s’est hissée sur toi et t’a encore embrassé passionnément. Puis elle est lentement descendue le long de ton corps, t’a bouffé les seins pendant un long moment et a continué son chemin jusqu’à ta fente dégoulinante. — Haaaaann, c’est dingue comme rêve ! Ca m’excite à fond ! Et après ? — Après, tu as gémi super fort quand elle a glissé sa langue dans ta petite chatte et tu as hurlé de plaisir quand elle a enfoncé deux ou trois doigts en toi.— Humm... Tu as trop de chance de voir ça la nuit ! Et après tu nous as baisé toutes les deux ou pas ? — Non. Mon rêve s’est arrêté au moment où je poussais la porte. Vous vous êtes toutes les deux tournées vers moi et j’ai ouvert les yeux là-dessus ! Putain ma puce, tu as des seins sublimes...

Joignant le geste à la parole, je lâchai le cul fabuleux de ma douce puis attrapai fermement ses deux gros seins qui me provoquaient depuis plusieurs minutes. Ils étaient très fermes et je commençai à les lécher, les aspirer et les mordiller dans de doux bruits de succion, arrachant à Aude de petits gémissements de plaisir.
— Haaaaann ! Oui, bouffe-les ! Pourquoi tu m’as pas sautée dessus en te réveillant ce matin ? Haaaaann !

La situation m’échappait complètement et la perspective d’être à l’heure à mon rendez-vous s’évaporait de plus en plus.
— Qu’est-ce qui t’excitait le plus quand tu nous regardais derrière la porte ? — Hum, vous voir vous embrasser, je crois ! Il y avait de la passion et de la rage dans vos baisers ! Vous vous rouliez des pelles incroyables. — Haaaaann ! Et tu te branlais en nous espionnant ou pas ? — Je me branlais comme un fou ! Haaaaann ! Arrête ces mouvements ma puce ! Tu me rends fou là! — Non, je n’arrêterai pas ! Et elle avait une jolie petite chatte Camille ou pas ? — Oui très jolie ! Toute rose, bien épilée, exactement comme j’aime ! Haaaaann...

Aude sourit doucement en m’écoutant et me susurra:
— Héla Don Juan ! Si tu la baises un jour, ce sera uniquement avec moi ! Compris ? Je t’interdis de la prendre sur ton bureau.

Je souris tendrement et lâchai ses gros seins puis plaquai encore violemment mes deux mains sur ses fesses.
— Ma puce, il faut vraiment que j’y aille ! C’est pas cool pour Philippe ! — Haaaaann, attends, j’ai une dernière question ! C’était sensuel entre Camille et moi ? On se caressait comment ? On baisait comment ? Haaaaann ! Tu es tellement dur mon cœur ! Je suis trempée et ton pantalon est tout mouillé, regarde !

Me foutant éperdument de mon pantalon, je fermai les yeux et me repassai mentalement les images de mon rêve:
— C’était un spectacle inouï... Vous faisiez l’amour avec tendresse et violence, vous ne prêtiez attention à rien d’autre, vous vous léchiez et vous doigtiez hyper-naturellement, vous étiez toutes les deux trempées, assoiffées l’une de l’autre et vous gémissiez de plaisir, c’était atrocement sensuel...

Aude soupira bruyamment en m’écoutant puis enroula encore sauvagement sa langue autour de la mienne. Elle continuait à me torturer avec son bassin et je saisis fiévreusement la ficelle de son string trempé puis la tirai vers la gauche.
Comprenant très bien l’idée que j’avais en tête, Aude se cambra un peu plus puis je jetai un coup d’œil par-dessus son épaule, en direction du miroir posé contre le mur. L’image que me renvoya ce dernier me cloua sur place et une onde de choc traversa littéralement tout mon corps quand j’aperçus la fente trempée de ma belle.
— Le spectacle te plaît Don Juan ?

Puis Aude renforça encore mon calvaire en déposant ses mains sur les miennes et en écartant encore plus ses fesses pour ouvrir légèrement les lèvres de sa petite chatte.
— Putain ma puce ! Je vais jamais partir !

Aude me sourit et reposa ses lèvres sur les miennes en conservant la même position puis elle saisit ensuite ma main droite et posa le bout de mon index à l’extrémité de son anus. Elle lâcha ensuite ses fesses et enroula ses mains derrière mon cou pour se concentrer sur son baiser langoureux.
Incapable de résister à son invitation et encore complètement hypnotisé par le reflet du miroir, je laissai glisser mon doigt jusqu’à l’arrière de sa chatte et l’y introduisis d’un coup aussi loin que je le pus.
— haaaaann, oh oui doigte-moi fort mon cœur !

Elle était trempée et je commençai à aller et venir en elle sans aucune difficulté.
— Haaaaann, oh oui c’est tellement bon !

Aude posa sa tête contre mon épaule, ferma les yeux et s’abandonna à son plaisir en me parlant par intermittence.
— Tu aimerais vraiment me voir lécher Camille mon cœur ? — Camille ou une autre... J’en rêve la nuit ma puce !— Oui ? Haaaaann ! Et tu aimerais aussi nous voir te sucer toutes les deux et nous baiser ensuite ? — Humm, oh oui tellement...— Je me sens de plus en plus prête, tu sais... Haaaaann... Hooo mon cœur, sors ta grosse queue et baise-moi s’il te plaît ! Si tu me laisses aller au bureau comme ça, je te jure que je me tape mon nouveau stagiaire en arrivant. — Lequel ? Le petit nouveau un peu beau gosse là?— Oui lui. Il n’arrête pas de me mater depuis son arrivée et attend juste un signe de moi pour me sauter ! — Putain, le petit enfoiré!

Aude me sourit et poussa un long gémissement dans le creux de mon oreille. Je tentai de résister une dernière fois, pour la forme, mais elle eut finalement raison de tout ce qu’il me restait encore de bonne volonté en me susurrant :
— Défonce-moi comme tu l’entends mon cœur. Je ne dirai non à rien.

Une pulsion animale et sauvage prit le contrôle de tout mon corps et je glissai mon doigt hors de sa chatte, défis maladroitement ma ceinture, fis sauter le bouton de mon pantalon puis Aude prit appui sur ses jambes et s’éleva pour me laisser en écarter les deux pans. Elle glissa ensuite un doigt sous l’élastique de mon boxer, tira ce dernier vers le bas et se saisit de ma queue gonflée à bloc.
— Hello toi...

Aude me branla quelques secondes et plongea son regard dans le mien puis me souffla :
— Tu veux ma petite chatte ou mon trou du cul ? Tu as le choix...— Haaaaann, je meurs d’envie de ton petit minou là.

Aude poussa un soupir de satisfaction et plaça mon gland à l’entrée de sa fente brulante. Elle rabaissa ensuite lentement son corps le long du mien puis glissa le bout de ma queue entre ses lèvres gonflées d’excitation. Elle prit enfin une profonde inspiration et s’empala d’un coup sur toute la longueur de ma queue.
— Haaaaaa, Raph ! Tu es tellement gros ! Haaaaann !

Possédé par son corps et ses gémissements, je donnai directement trois puissants coups de reins entre les jambes de ma douce et sentis rapidement mon gland heurter le fond de sa chatte. Aude hurla de plaisir et recommença à onduler son bassin sensuellement pour faciliter mon introduction.
— J’aime tellement forcer l’entrée de ta petite chatte serrée !— Haaaaann ! Oui c’est trop bon ! Oooh mon cœur, tu me remplis complètement là!

Satisfait, je m’apprêtai à augmenter la cadence de mes pénétrations quand j’entendis mon téléphone vibrer sur la table. Je fus d’abord très tenté de l’ignorer, mais je tournai tout de même la tête vers l’écran pour savoir qui pouvait bien m’appeler si tôt.
— Merde, c’est Philippe ma puce ! Haaaaann... Il veut sûrement s’assurer que je n’ai pas oublié notre rendez-vous...

Aude rit tout en continuant à gémir et me répondit les yeux fermés:
— Haaaaann, non tu n’as pas oublié! Tu as juste eu une urgence à gérer avant de partir ! — Haaaaann, OK ! Laisse-moi répondre rapidement, je peux pas le laisser comme ça ! On met pause deux secondes et on reprend ensuite ?— Humm, OK, mais tu fais très vite Don Juan ! Je haaaaann, je ne tiendrai pas longtemps je te préviens !— Oui OK ! Tu me promets que tu ne bouges plus ?

Aude me répondit par l’affirmative en hochant la tête et reposa son front contre mon épaule. Ma queue était profondément enfoncée en elle et cette situation, très cocasse, me plaisait beaucoup. Je me raclai la gorge pour me donner une fausse contenance et décrochai.
— Salut Philippe ! Oui, très bien, et toi ? Oui, je heu... Je me mets en route maintenant figure-toi ! Oui, oui je sais ! Mais j’ai heu... J’ai dû gérer une urgence euh... très urgente... et là, je termine et j’arrive ! Désolé pour ce retard !

Aude pouffa de rire en m’entendant puis elle releva la tête et me lança un regard lubrique qui me fit craindre le pire. Elle sortit ensuite le bout de sa langue de sa bouche et le passa tendrement sur mes lèvres en recommençant à faire de légers mouvements de bassin, d’avant en arrière, cette fois-ci. Je raffolais particulièrement de ce déhanché et elle le savait très bien.
— Non, non Aude ! Pas ça ! Tu as promis ! Aude !

Aude exulta en me voyant ainsi paniqué et amplifia un peu plus ses mouvements en introduisant par intermittence le bout de sa langue dans ma bouche. Philippe sentit rapidement que quelque chose clochait et je dus faire un effort surhumain pour reprendre le fil de mes idées.
— Oui ! Tout va bien Philippe ! Tu me disais ? Haaaaann... Non, Aude ! Oui la fenêtre ! Celle du salon n’est-ce pas ? Haaaaann, elle est cassée !? Haaaaann ! Ah merde ! Peut-être qu’on peut en paaaaaarler quand j’arrive ?

Aude tenta de camoufler un nouvel éclat de rire puis commença à pousser délibérément d’insoutenables petits gémissements en continuant à danser sur ma bite. Elle mouillait abondamment et de doux bruits de friction humides commencèrent à se faire entendre quand ma queue se frayait un chemin au fond de sa fente trempée.
— Haaaaann ! Non, Aude, s’il te plaît ! Il va t’enten...! Euh, non pardon Philippe ! Oui ! Peut-on parler de tout ça quand j’arrive ? Haaaaann, oh, d’ici 20 minutes max ! OK ? Haaaaann ! Oui, oui, promis ! Haaaaann ! Je te laisse Phil... Haaaaann ! Quoi ?

Aude s’amusait visiblement comme une folle et prenait un malin plaisir à reproduire les mouvements qui me faisaient le plus d’effet.
— Aaaaaah ! Oui ! Aaaaah ! Oui ! Aaaaaah tout de suite Philippe !

Je raccrochai, vexé, et lançai mon téléphone sur le canapé.
— Putain, Aude ! T’as aucune parole ! Tu m’avais...— Haaaaann, oh oui punis-moi fort avec ta grosse queue... J’ai été très vilaine, c’est vrai !

Sa réponse me fit éclater de rire, mais son comportement m’avait vraiment échaudé et j’étais déterminé à en découdre rapidement. Je décidai de prendre les choses en main et me saisis à nouveau fermement des fesses de ma belle puis commençai à la pénétrer sur un rythme plus soutenu. Ravie de ce changement de ton, Aude se redressa un peu en prenant à nouveau appui sur ses jambes et encaissa habilement mes premiers à-coups.
— Haaaaann, oh oui ! Plus fort !

Ma queue remplissait entièrement son intimité et ses beaux seins sursautèrent frénétiquement au rythme de mes pénétrations. J’augmentai la cadence régulièrement et ne lui laissai bientôt plus aucun répit. Mon gland heurtait vigoureusement le fond de sa chatte à chaque à-coup et mes couilles tapaient lourdement contre ses fesses à chaque allée et venue.
Je me délectai du spectacle de ce corps sublime et de l’image incroyable que me renvoyait le miroir derrière nous.
Les reflets de ce cul fabuleux et de ma queue entrant et sortant de son intimité étaient ultra-excitants. Je m’enfonçais furieusement entre les jambes de ma douce et admirai mon membre épais et veineux bourrer brutalement son petit minou délicat. J’adorais l’idée d’être trop pressé de posséder sauvagement ma belle pour prendre le temps de lui enlever ses sous-vêtements et la vision de son fin string noir, négligemment tiré sur le côté, détrempé et soumis à un dur régime augmentait encore mon plaisir.

Quelques minutes plus tard, je pilonnais littéralement la chatte de la femme que j’aimais et la possédais comme un animal ultra-dominant. Aude hurlait et le bruit des contacts entre nos deux corps était de plus en plus sec. Aude se tenait toujours en équilibre sur ses deux jambes, mais avait de plus en plus de mal à gérer mes coups de reins.
La scène était jouissive.
— Haaaaaaaa ! Haaaaaa ! Raph ! Douce...! Haaaaann ! Si tu continues comme ça, je vais jouir très vite... Don Juan ! Haaaaann !

Grisé par ces plaintes et ces râles de plaisir, j’augmentai encore la puissance de mes pénétrations et posai le bout de mon index, encore plein de mouille, sur son petit trou, avant d’y faire lentement glisser la première phalange.
— Haaaaaaaa putain Raph...
Puis, sans lui laisser le temps de s’adapter et comme j’adorais le faire, je glissai d’un coup le reste de mon doigt au plus profond de son cul et commençai à lui doigter intensément l’anus.
— Haaaaann, Raph ! Tu es...— C’est comme ça que tu te voyais doigter le cul de Camille tout à l’heure ?— Haaaaann, haaaaann, Raph, tu me rends folle là! Euh oui, c’était à peu près ça en effet ! Haaaaann ! — Ah, mais non attends ! Tu ne m’avais pas parlé de deux doigts ?— Haaaaann ! Hein ?! Euh non, non, je... Haaaaaa Raph !

Un petit rictus de douleur se dessina sur le visage d’Aude quand j’introduisis également toute la longueur de mon majeur dans son petit trou dilaté. Mais elle se relâcha rapidement et se mit à gémir de bonheur en sentant ma queue et mes deux doigts entrer en contact au plus profond de son intimité à chaque fois que je la pénétrai.
Je sentis que ce traitement allait rapidement avoir raison d’elle et lui assenai encore quelques coups de reins bien placés avant de sentir ses jambes commencer à trembler imperceptiblement.
— On est tout proche là mon cœur non ? Je m’arrête un peu ? — Haaaaann ! Si tu t’arrêtes, je te quitte ! Haaaaann ! Haaaaann !

Il ne fallut ensuite que quelques secondes de plus pour que je sente le corps d’Aude se crisper et qu’elle pousse un long gémissement qui se transforma rapidement en un râle intense de plaisir. Des frissons lui parcoururent tout le dos puis elle se laissa complètement submerger par un orgasme foudroyant. De longs jets de cyprine s’échappèrent de sa fente et je glissai mes deux doigts hors de son cul avant qu’elle ne se laisse lourdement retomber sur ma queue de tout son poids.
— Haaaaann ! Putain Raph tu m’as tuée là...

Complètement ailleurs, Aude profita encore des derniers soubresauts de sa jouissance et se lova contre moi en calant sa tête dans le creux de mon cou.
— Waouh ! Il était très très fort celui-là! Tu as joui ou pas ? Tu es encore très dur en moi là! — Tu m’as devancée de deux minutes, je pense !— OK... Alors à mon tour de m’occuper de toi Don Juan ! Je jette juste un œil sur l’heure ! Oups ! 7h40! Philippe ne va pas être content du tout, du tout !

Aude semblait beaucoup s’amuser de la situation et me sourit, l’air moqueur, alors que je paniquai en pensant à toute la route que je devais encore faire pour arriver jusqu’à notre nouvel appartement.
— Merde, Aude, faut que...— Hep, hep, hep, où vas-tu Don Juan ? — Mais ma puce je...— Non, non, non ! Toute femme un minimum responsable ne laisse jamais partir son amant encore très dur après une baise ! D’abord c’est une faute très grave, et ensuite c’est le meilleur moyen de le voir s’envoler avec sa jolie secrétaire...

Je ris en l’écoutant puis un air mutin se dessina sur son visage.
— Ne t’inquiète pas, ce ne sera pas long Don Juan !

Elle se releva, glissa lentement ma queue hors de sa fente et s’en saisit d’un geste habile. Puis elle s’accroupit doucement entre mes jambes en se cambrant encore au maximum pour m’offrir une vue plongeante sur son intimité dans le miroir et se mit à me branler avec force en approchant son visage de ma verge.
— Je suis complètement folle de ta grosse queue !

Je sentis son souffle chaud caresser mon gland puis Aude ouvrit légèrement la bouche et fit lentement glisser le bout de ma bite entre ses lèvres pulpeuses. Elle la soupesa et la titilla avec sa langue puis elle engouffra enfin toute la longueur de ma verge en m’aspirant d’un seul coup. C’était divin.
Son nez vint buter contre le bas de mon ventre et je soupirai de satisfaction en sentant mon gland taper dans le fond de sa gorge. Aude resta ainsi sans bouger pendant plusieurs secondes puis je plaquai fermement ma main derrière sa nuque pour l’empêcher de se retirer. Surprise, elle obtempéra pourtant et je commençai à exercer une forte pression avec mes hanches pour lui pénétrer la bouche le plus loin possible.
— Allez plus loin ! Encore ma puce ! Avale-moi plus !

Je poussai ma queue au plus profond de sa gorge et je sus que j’avais atteint la limite quand Aude s’étouffa et que de grosses larmes jaillirent de ses yeux. Je la libérai de mon emprise puis elle retira ma bite de sa bouche et toussa en tentant de reprendre sa respiration. Ma queue était luisante de salive et particulièrement longue après cette partie de sexe intense.
— Haaaaann ! J’adore quand tu fais ça !

Puis, ne me laissant aucun temps de répit, Aude se jeta à nouveau sur mon entrejambe, plaqua ses deux mains à la base de ma queue et la tint fermement tendue à l’horizontale. Elle engouffra ensuite à nouveau mon chibre de tout son long et commença à aller et venir sur toute ma longueur de plus en plus rapidement. Elle compressa ma bite dans sa bouche et l’aspira goulûment tout en la léchant avidement dans des bruits de succions insoutenables. Elle me pompait avec acharnement, comme si sa vie en dépendait et se montrait assoiffée, vorace et insatiable. J’adorais ça !
— Oooooh, putain ma puce, j’adore quand tu me suces comme ça !

Encouragée, Aude redoubla d’efforts et me pompa encore pendant plusieurs minutes en me lançant des regards fougueux et en bougeant sensuellement son cul devant le miroir. Puis, sans cesser de me sucer, elle détacha une main de ma queue et vint la poser sur l’arrière de sa jolie chatte. Je l’observai en me demandant ce qu’elle allait faire, puis elle plaça le bout de son majeur à l’entrée de son anus, l’y glissa d’un coup et commença un doux va-et-vient. Abasourdi par cette scène, je sentis ma jouissance monter. Aude le devina et se démena encore quelques secondes sur ma bite avant de glisser son doigt hors de son cul, de retirer ma queue de sa bouche et se mit à me branler très fort en se glissant sous mon sexe.
— Gicle sur mon visage Don Juan, je veux sentir ton foutre chaud sur moi.

Le spectacle était ahurissant et la vision d’Aude, soumise, la bouche grande ouverte et la langue tendue, attendant mon jus en me branlant très fort me fit venir instantanément.
— Oh putain ma puce, je... ooooooh.

Ma sève monta très rapidement le long de ma verge et je libérai enfin de puissants jets de sperme sur le visage d’Aude qui exulta en continuant à m’astiquer comme une folle. Je poussai un long râle plaisir et recouvris son visage d’ange en m’abandonnant complètement à ma jouissance.
Je me laissai ensuite lourdement retomber sur le dossier de la chaise après avoir lâché le dernier petit jet et regardai Aude en souriant. Elle avait repris ma queue en bouche et entrepris de la nettoyer en la léchant tendrement tout en me fixant de ses grands yeux.
— Ca va Don Juan ? — Humm, oui, très bien ! Et te regarder telle que tu es maintenant est aussi un réel plaisir !

Aude se retourna vers le miroir et éclata de rire en voyant son visage et ses cheveux recouverts de sperme. Puis elle se releva et me dit doucement:
— Je vais refaire un brin de toilette et changer de string, je crois ! Merci de t’être mis en retard pour moi Don Juan. J’avais terriblement envie de sexe ce matin !

Je me relevai aussi et rassemblai mes affaires éparpillées du regard.
— Oui j’ai vu ! Leçon pour l’avenir : se méfier des petits bisous rapides quand t’es pressé! C’est un piège ! Je sais pas encore du tout ce que je vais inventer à Philippe, mais on verra !

Aude éclata de rire alors que je remontai mon caleçon et mon pantalon trempés.
— Je suis sûre que tu vas être super créatif et convaincant ! On se retrouve ce soir Don Juan ? J’ai yoga à 19 heures et je serai à la maison ensuite. — Impecc !

Aude m’embrassa, pivota sur elle-même et se dirigea vers la salle de bain. Je la regardai s’éloigner quelques secondes en laissant encore mon regard s’égarer sur ses fesses, puis je saisis mon manteau et me dirigeai vers la porte.
— Ah ma puce ! J’ai remis la main sur quelques-uns de nos vieux jouets en rangeant hier ! Tu serais OK pour refaire un ou deux petits tests et voir ceux qu’on garde ou pas ? Faudrait pas se charger inutilement pour le déménagement tu comprends ?! — Oui ce serait bête en effet ! Quand tu veux pour une série de tests Don Juan !

Je claquai la porte de l’appartement derrière moi et consultai ma montre après avoir appelé l’ascenseur. Il était 7h55. Et comme d’habitude, j’étais encore très en retard.
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