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Une année au Japon

Chapitre 1

Déménagement.

Erotique
Je m’appelle Alice, j’ai 19 ans, j’ai décidé de partir au Japon pendant un an, officiellement pour faire jeune fille au pair, officieusement pour suivre le meilleur ami de papa.
Je suis un petit bout de femme toute frêle, avec des tout petits seins, mais de gros tétons. Je ne m’épile pas le minou, ni les aisselles, je me suis d’ailleurs teint la toison en rose. Je suis une originale. Pourtant, je suis prude. J’ai perdu ma virginité il y a six mois avec Alain, malheureusement nous ne pouvions pas trop nous voir jusqu’à mon arrivée, et nous n’avions réussi depuis à échanger que de brèves étreintes. Je marche dans l’aéroport de Tokyo, l’esprit léger. Le divorce d’Alain est enfin prononcé, on est à des milliers de kilomètres dans une mégalopole où personne ne nous connaît.
Alain, c’est le meilleur ami de mon père, il a 65 ans, il a décidé de venir ici pour sa dernière année avant la retraite, il est chercheur. Il est petit, grassouillet, brun et aux yeux bleus. Il était comme moi, bien poilu, j’avais d’ailleurs apprécié ça, quand il m’a fait l’amour. J’arrive à la sortie et je le vois de suite avec son gros 4x4 noir. Je m’approche de lui et nous nous enlaçons enfin sereinement. Putain, que c’est bon de sentir ses mains plaquées contre mes joues, ses lèvres posées sur les miennes et me faire caresser l’entrée de la bouche par des petits bouts de langue ! Je sens son odeur de savon mélangé à la menthe des chewing-gums qu’il mâche sans arrêt. On se décolle une première les yeux dans les yeux, je suis peut-être une demie pucelle, mais je reconnais de suite son regard. Il était rempli d’un désir qu’il retenait si fort qu’il en devenait pervers. Je suis montée dans la caisse et nous avons fait route jusqu’à notre chez-nous.
— Alice, je suis heureux de te voir ! Depuis que nous avons fait l’amour y a six mois, il s’est passé quelque chose entre nous ! Une fusion charnelle, je n’aurais jamais pensé ça. Je t’ai vu grandir ! — Je sais, Alain... Depuis petite, je t’admire... J’enviai tes fils. Quand on s’est croisé cette nuit-là, celle où tu m’as dépucelée, je ne pouvais pas rêver mieux. — Par contre, je te dois t’annoncer que je t’ai fait l’amour une fois, mais pas deux, je baise moi, Alice. Tu vas devenir mon élève, nous n’avons pas le choix, l’attraction est trop forte. Jamais dans un lit, toujours comme je veux. Il faut qu’on discute de certaines choses.— Je connais tes penchants, un week-end où tu étais chez papa et maman, j’ai ouvert ton pc, il était ouvert sur un porno et j’ai vu ce que tu aimes. Depuis, je me suis renseigné et je suis d’accord !
Il y a deux mois, mes parents et Alain étaient en balade dans les bois autour de notre maison de campagne, j’étais seule et je suis tombée sur son ordinateur. J’ai ouvert et je me suis trouvé face à un arrêt sur image d’une femme, la bouche écartée, les joues rouges marquées par des traces de doigts. Elle bavait, les yeux dégoulinaient de grosses larmes noires. J’ai trouvé ça naturellement excitant, et je m’étais renseigné pour être à sa hauteur. Nous avions une petite maison de cinq pièces séparées par des panneaux traditionnelle. Pas de lit, mais un futon. Nous avions un petit salon, un bureau, une chambre et une pièce vide qui servirait de pièce pour le sexe. Il avait décidé que nous ferions ensemble les travaux et l’aménagement du donjon pendant que j’apprenais les bases du sexe. Il me dit ça en me bloquant contre une cloison, je lève la tête pour le voir.
— La dernière fois, je t’ai prise assise sur moi doucement et rapidement, mais là maintenant, je vais faire connaissance avec ton corps. Enfile cette tenue et reviens me voir.
Je prends la pochette, il y a un minishort aux couleurs de l’arc-en-ciel, fait de strass, de petites ailes de fée violette, d’une perruque à la chevelure aux couleurs semblable à la parure d’un perroquet et une paire de lunettes d’aviateur. Je me regarde dans un miroir, je me trouve grave sexy, ça m’excite. Je rejoins mon chéri en bombe et je m’arrête devant lui. Je le regarde dans les yeux et je me dandine. La bouche légèrement ouverte, je fais onduler mes hanches de gauches à droite. Il me regarde l’œil toujours aussi sévère, mais je sens que je l’épate. C’est plus facile qu’il ne se l’imaginait. Pendant qu’il me regarde danser en passant mes mains sur mes seins, mes hanches, mon pubis et mon entrejambe, il m’annonce de suite que nous ne nous protégerons pas et qu’il ne veut pas que je prenne un moyen de contraception. Je me penche en avant, je l’embrasse à pleine bouche et il attrape ma tignasse et la serre très fort entre ses doigts.
— Alice, tu es la femme la plus parfaite que je connaisse ! Tu vas t’allonger sur la terrasse et écarter les jambes pour que tu reçoives ton premier broutage de minou. Tu continues à ne jamais t’épiler. J’aime les femmes touffues.

Je m’allonge sur le sol en caillebotis, les cuisses ouvertes, il m’enlève mon shorty en me l’arrachant. Il remonte vers ma tête et enfonce mon shorty trempé de mouille dans ma bouche. Il redescend, d’une main, il écarte ma toison de deux doigts pour accéder à ma cerise, il crache dessus. Il approche son nez et hume ma moule, son nez ressort brillant sur le bout, tellement je suis baveuse. Il attrape mes chevilles et lève mes jambes pour relever mes fentes au plus haut et me lèche du sacrum au pubis. Il donne des coups de langue bruyants, je couine les yeux fermés, mon torse se tord. Il me lape le sexe avec gourmandise puis décide de me faire asseoir sur son visage. Je sens son nez dans mon trou, sa bouche sur mon clito. Il attrape mes hanches et les fait galoper. J’essaie de tenir mon corps tendu pour garder l’équilibre. Je sens des spasmes qui traversent mon corps. Je suis une lope, je ne fais rien que de me laisser guider.
Il me pousse vers l’avant et mon visage se retrouve face à son sexe. Il a toujours un très gros sexe. Il me l’a dit par message, sa bite fait 33 centimètres pour 12 de large, preuve que mon sexe était prometteur, car je l’avais prise sans broncher. J’enlève le vêtement de ma bouche, je commence à lécher sa trompe. Je le prends dans ma bouche et traverse les obstacles du reflex vomitif, centimètre après centimètre. Ses doigts me crochètent l’intérieur de mon garage, et je lui jute au visage plusieurs fois. Il finit par se vider dans ma gorge, je goûtais son jus pour la première fois et je trouvais ça bon. Suant allongés sur la terrasse, on reprend nos esprits. Il reprend vite de l’énergie et m’attrape le cul pour le lever et pénètre ma chatte. Je sens son mastodonte entrer en moi, mais j’aime cette douleur. Ma bouche libérée, je jappe comme un chiot et grogne. Nous jouissons ensemble.

Après le dîner, Alain me demande de mettre une nouvelle tenue, il s’agit cette fois d’une tenue de lycéenne japonaise. De grandes chaussettes blanches, une petite jupe plissée très courte, une chemise blanche transparente et une cravate. Il fait exprès de renverser de l’eau sur la chemise pour qu’elle se colle à ma peau et exhibe mes tétines. Je porte un serre-tête oreille de chat. Deux hommes se présentent à nous, William, un Anglais de 55 ans, et Mohammed, un Algérien de 68 ans.
— Ma belle, tu sais sucer comme une déesse, mon appendice démesuré, Mohammed et William te distrairont en jouant avec ton gosier pendant que je te dépucelle l’anus.
Je suçais les deux bites devant moi, un coup une, un coup l’autre, et hop, en tente les deux. Je bave de long filet qui s’écrase au sol. Il pose son gros gland sur ma rondelle et l’enfonce. Je vois trouble, je me sens partir, le mélange de plaisir et de douleur est si intense, je ne ressens qu’un feu en moi, mes viscères qui font des bons. Il enfonce bien, je sens ses poils écrasés contre ma fente.
— Doucement ma jolie, peu de filles ont des trous accueillants directs. Je vais pouvoir leur faire une misère ! Tu es une belle salope ! Putain ! Je serais ton père, j’aurais honte.— Oui, Alain, je suis une salope, une belle salope ! Passe-moi un marqueur dans le tiroir du bureau, je vais lui écrire salope au marqueur indélébile sur son cul.
Je sens la mine du marqueur tracer les grosses lettres bâtons : S-A-L-O-P-E ! Je suis comme une folle, je me sens si sexuelle !! Je jouis à nouveau, il enchaîne les aller et retour au galop et finit par jouir. Les deux amis se branlent au-dessus de ma bouche et de grosses gouttes gluantes de sperme s’écrasent. Ils partent, je trouve la force de ramper jusqu’au futon et m’endors la face pleine de sperme, et les trous dégoulinants de jus. Quel beau premier jour.
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