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Une après midi avec Léa

Chapitre 1

Il fait chaud

Hétéro
Une après-midi avec Léa

La chaleur est étouffante, il est 16 heures. Les cigales chantent et même l’ombre des platanes semble ensoleillée. Nos vacances dans la campagne drômoise ont bien commencé. Nous sommes dans une bastide établie sur deux niveaux appartenant à ma famille depuis plusieurs générations. Nous nous y retrouvons assez souvent avec mes frères, dans des circonstances diverses mais cette fois-ci, nous sommes seuls, Léa et moi. Jamais je n’avais rencontré une telle météo. Il paraît que ça va durer encore quelques jours. La semaine passée des orages nous ont secoué et maintenant cette canicule moite et lourde nous cloue au sol. Nous sommes affalés, dans des chaises-longues à l’ombre des grands platanes de la cour essayant de capter le moindre souffle d’air qui nous aurait un peu soulagé de cette torpeur qui nous paralyse. Je suis en short, torse nu, je transpire, un journal tombé à terre, une bière qui était fraiche sur le tabouret me servant de desserte. Léa, à ma droite ne va pas mieux. Elle souffle, transpire autant que moi, écrasée par cette chaleur caniculaire.  Elle est juste vêtue d’une petite robe courte, découvrant ses grosses cuisses, moulant ses seins mais laissant libres ses bras blancs jusqu’aux épaules.  Léa est belle, grosse et grasse, avec le teint pâle, des taches de rousseur et un sourire vissé sur ses lèvres marquant sa joie de vivre. Ses fesses sont majestueuses, ses cuisses sont en soie, ses seins gros et doux et j’adore tripoter et caresser ces formes, m’y noyer, m’y étouffer. Léa sait que je l’aime comme elle est, grosse et belle. Léa se lève : 
-       Je vais me servir un verre bien frais ; me dit-elle
-       J’ai chaud, trop chaud, je dégouline, je sens les gouttes de sueur couler entre mes seins. 
 La voir se lever, voir ses jambes et ses cuisses, deviner son sexe chaud provoque en moi une montée de désir que je réprime, celle chaleur me rendant fainéant. Malgré tout mon sexe semble moins fainéant que moi. Léa s’est levée et se dirige vers la maison, je la suis du regard, son cul se balançant sous le tissu léger de sa robe.  Un léger souffle d’air miraculeux remue lentement les feuilles des platanes créant une lumière changeante faite d’ombre et d’éclairs. Léa a disparu à l’intérieur de la maison. J’entends le robinet qui coule, un verre qui se remplit, la porte du frigo qui s’ouvre, le bruit des glaçons qui tombent dans le verre. J’ai la sensation de fraicheur dans la bouche.  Je dis : 
-       Apporte-moi un verre ma Chérie s’il te plait
 J’entends à nouveau le robinet, le frigo, les glaçons. Léa apparaît en haut des trois marches du perron avec les deux verres, elle dépose le mien sur le tabouret à côté de la bière tiède puis le sien au pied de sa chaise longue. En se baissant je vois ses cuisses, je vois assez haut presque jusqu’à la naissance de ses fesses. Instinctivement je me baisse pour mieux observer mais elle se redresse et part vers la maison à nouveau mais elle va plus à droite et elle s’arrête au niveau de la stèle en pierre sculptée qui supporte le robinet d’arrosage. Elle se penche à nouveau, rassemble ses mains pour prendre de l’eau et s’asperge le visage a grands jets de cette eau qui doit être fraîche comparée à la température de l’air.  Je la regarde faire, l’eau qui coule sur ses joues, son menton. Je regarde son cul, presque entièrement découvert. Elle passe sa main sur son visage, sur ses épaules et entre ses seins pour que l’eau y coule. J’ai chaud, mais ce n’est plus essentiellement du au soleil, j’ai chaud au ventre, mon sexe tente de se déployer malgré le short. Le cul de Léa, l’eau qui ruisselle sur sa peau, ses seins que je vois libre dans la robe ou même ses bras blancs dont la graisse ballote quand elle s’éclabousse m’excitent, mes seins gonflent, mon esprit divague, je me lève et me dirige inexorablement vers ce tableau lubrique qui m’aspire. La raison n’est plus, juste l’animal, le besoin de toucher, de sentir de lécher, de pénétrer ce cul magnifique que je devine sous le tissu pastel de la robe. Elle continue son manège avec l’eau, elle apprécie la fraîcheur du liquide. Je suis juste derrière elle, je regarde ses fesses, ses cuisses, je m ‘agenouille, je soulève le volant de la robe que je remonte sur le bas du dos. Elle tourne le visage vers moi, me voit agenouillé, puis retourne à nouveau s’asperger. Je contemple ce fessier majestueux avec sa raie bien dessinée et profonde. Je pose mes mains sur les globes, les caresse, j’approche mon nez de ce sillon à la recherche de l’odeur de ma chérie, elle est là, l’odeur du sexe de Léa, cette odeur qui m’électrise à chaque fois que mes narines la sente. J’écarte doucement les deux fesses et plonge mon nez dedans, je me noie dans la luxure, j’écarte toujours jusqu’à découvrir l’anus que je veux lécher. J’avance mon visage, je sniffe, je lance la langue qui s’empare de la petite rosette, je lâche une main, je suis coincé entre ces deux monts et je lèche, je goute, je sens l’odeur du sexe et de l’anus qui m’excitent toujours un peu plus. Ma main plonge vers ses cuisses, à l’intérieur là ou la peau est de la soie, je caresse cet endroit merveilleux de bas en haut jusqu’à toucher son sexe humide de sueur autant que de désir. L’eau coule toujours, mais elle ne s’asperge plus, elle a insensiblement écarté les jambes. Je ne la vois pas mais je la devine appuyée sur la margelle du robinet, les yeux fermés, se laissant aller à mes caresses. Je ne peux plus attendre, je me redresse, baisse mon short, ma queue montée sur un ressort s’éjecte de sa contrainte textile et se dirige comme attirée par un aimant a bite à l’entrée de sa chatte que je vois brillante de désir et la pénètre sans ménagement provoquant un mouvement et un gémissement de plaisir de la part de Léa. Son cul merveilleux et imposant bouge au rythme de mes coups de boutoirs. Je la sens au bord de l’explosion, des sons rauques sortent de sa gorge eux aussi cadencés au rythme de notre chevauchée. Son excitation aiguise la mienne qui me mène inexorablement vers le paroxysme de mon plaisir que je sens arriver. Je me raidis, je grogne, ma queue conquérante tape au plus profond de la chatte de Léa, je m’immobilise dans cette position, crache des grognements en même temps que je jouis et que j’éjacule. Léa crie comme rarement je ne l‘ai entendue crier, elle est cambrée, le cul tendu vers l’arrière pour profiter de la tension de ma bite enfoncée en elle. L’apaisement s’installe doucement, moi toujours installé dans Léa, elle toujours les fesses en l’air, respirant fort comme pour récupérer de cette course folle et intense que nous venons de courir tous les deux. Je fais quelques allers retours supplémentaires malgré la baisse de tension de mon sexe pour profiter du glissement chaud de nos sécrétions, puis je laisse mon sexe revenir à l’air libre. Il est moins fringant qu’il y a quelques minutes, mais il est satisfait. Léa se redresse elle aussi, sa robe retombe sur ses fesses, elle me regarde, ébouriffée mais souriante. Elle m’entoure de ses bras et m’embrasse d’un long et profond baiser. Je repars vers ma chaise longue. Une telle activité par cette chaleur épuise. Je bois le verre encore frais que m’avait apporté Léa d’une traite et je m’affale sur la chaise longue. Léa ne m’a pas suivi, elle est face au robinet, elle tient sa robe relevée coincée sous ses bras et prend de l’eau dans sa main qu’elle passe ensuite sur son sexe. Elle répète le mouvement plusieurs fois, l’eau dégouline le long de ses cuisses. La sensualité de la scène est torride, excitante au plus haut point. Je ne peux détourner le regard.  La robe redescend sur les fesses de Léa, les ablutions sont terminées, elle se dirige vers le hamac tendu entre les deux platanes. Elle s’y étend en soupirant, les deux jambes pendantes, chacune de leur côté. Ses sandales sont tombées, elle est pied nu, ses jambes écartées par le tissu du hamac laissent apparaître son sexe encore trempé de leur copieux arrosage. 
-       Tu ne m’apporterais pas mon verre s’il te plait, si tu as le courage ? Me dit-elle.-       Je n’ai pas l’énergie, mais je vais le faire pour toi ma chérie.
 Je m’extirpe donc avec peine de ma chaise, je prends le verre et me dirige vers Léa, toujours affalée dans le hamac. Elle me regarde avec un grand sourire. Elle prend le verre, bois goulument laissant un filet d’eau couler sur sa joue. Je la libère du verre, le pose sur un tabouret. Elle me regarde, je la regarde. Elle est belle abandonnée, lascive. Je parcoure son corps des yeux, ses gros seins blancs que je devine sous le tissu, ses grosses cuisses découvertes, son sexe légèrement poilu offert à mon regard. Je sens une envie renaître dans mes entrailles. Je pose ma main à l’intérieur de sa cuisse, la peau est douce, lisse, sans aspérité aucune, faite pour la caresse et les baisers. Je n’y résiste pas, je me penche et applique ma bouche sur cette peau. La main de Léa se pose immédiatement sur ma tête et me caresse les cheveux. 
-       Oui, embrasse-moi, lèche-moi, doucement, je veux sentir ta langue caresser mon clitoris, pénétrer au plus profond qu’elle pourra, fais-moi jouir encore.
 Sa main suivant ses mots m’engage à remonter mes baisers plus haut sur la cuisse en direction de son désir. Son odeur m’apparut soudain m’électrisant encore un peu plus comme si c’était nécessaire. Je plaque alors ma bouche sur son sexe, l’englobant entièrement, ma langue s’immisçant dans sa moiteur, jouant avec ses lèvres et l’entrée de son vagin. Elle se tend immédiatement, râle, tend son sexe pour me l’offrir et faciliter la caresse. Je m’applique à la lécher avec lenteur comme elle aime, je néglige le clitoris pour le moment sachant que ce serait trop fulgurant. Je veux profiter du moment. Je bande, elle m’appuie sur la tête pour m’encourager ou guider un peu le mouvement, je ne sais pas. Elle râle, se tord sous mes coups de langue qui vont du bas de sa vulve jusqu’à la naissance du petit bouton détonateur de l’explosion finale. Je me refuse à céder si rapidement à son excitation, je veux prolonger le moment jusqu’au paroxysme. Alors le continue à jouer, lécher, sentir, titiller cet endroit chaud et liquide. Ma bite est raide et subitement je sens sa main s’en emparer. Elle a réussi à baisser suffisamment mon short pour pouvoir l’atteindre. Elle la presse plus qu’elle ne la caresse, la pression suivant les montées et descente de sa jouissance. Quand ma langue s’approche de son clitoris, elle tend le bassin pour me supplier d’y aller, sa main serre alors mon sexe très fortement, puis quand sadiquement je redescends ma bouche elle relâche son emprise.Je ne vais pas pouvoir la faire languir plus longtemps, sinon elle va me gifler. D’autant que moi aussi je suis passablement excité et que j’ai envie de la sentir jouir sous mes caresses. Alors je me décide, c’est la dernière descente avant une remontée finale. Je la sens au bord de l’orgasme, elle attend ma langue, elle souffle, râle, gémit, tient toujours ma tête pour que je ne m’enfuie pas, la laissant seule avec son excitation inextinguible. Alors je remonte, lentement, ma langue s’enfonce à l’entrée du vagin, suit les petites lèvres, s’y attarde, puis d’un coup prend possession du détonateur. Elle crie immédiatement, m’écrase le sexe de sa main, se tord dans des convulsions fantastiques, crie encore, lève le bassin, retombe. Je maintiens la position, je lèche frénétiquement, le bouton sensible pour faire durer l’orgasme de Léa. J’adore sentir Léa jouir et éclater de plaisir. Son bassin ne cesse de se secouer, alors je ralentis ma succion, doucement, lentement je laisse redescendre la pression de notre combat. Elle se calme, lentement, elle lève le bassin comme pour une dernière envolée, tendue comme un arc, retenant un dernier grognement puis relâche la pression d’un coup, ses fesses retombant lourdement sur la toile du hamac. C’est alors qu’un craquement sinistre se fait entendre, le hamac cède et nous nous retrouvons tous les deux à terre. Nous éclatons de rire, nous nous enlaçons sur la terre battue, on s’embrasse entre deux rires.Je suis étendu sur le dos, Léa pose sa tête sur mon torse, elle respire toujours un peu vite, elle me caresse le ventre. Mais je sens que sa main a d’autres vues. Elle s’empare de ma queue toute raide et la caresse doucement de haut en bas en suivant méthodiquement sa longueur. C’est à moi de me laisser aller. Sa main glisse aider par le liquide émit par mon excitation. Elle va doucement comme j’aime de la naissance de mes couilles jusqu’au gland. Je sens sa respiration s’activer. Elle doit regarder ce qu’elle fait avec plaisir, attendant comme moi j’ai attendu pour elle, le moment de mon orgasme. Sa main glisse toujours de haut en bas libérant toujours un peu plus mon gland que je sens prêt a éclater. Sa tête est descendue un peu plus bas sur mon thorax. Je pense qu’elle désire être au plus près des évènements. Sa main s’empare alors complètement de ma verge, l’entourant de ses doigts. Elle commence à me branler lentement, Sa respiration accélère. Je suis au bord de l’explosion, j’essaye de prolonger ce moment de grâce et de plaisir intense. Sa main accélère tout en serrant plus fort son étreinte. Elle relève la tête surement pour profiter de la vue. Elle dit : « Que c’est beau une bite qui jouit, j’adore te branler, laisse-toi aller, jouis je veux voir le jet de ton plaisir »Il n’en fallait pas plus, je jouis dans une longue tension de mes reins et dans un long râle grave et profond venu du fond du corps. Je sens mon sperme gicler avec force en même temps que Léa gémit elle aussi de plaisir. Elle ralentit son mouvement, doucement, elle se retourne et m’embrasse sans s’arrêter de me branler de plus en plus doucement comme pour permettre un atterrissage en douceur. Elle regarde son œuvre. Elle a du sperme sur la main, elle joue avec, le fait glisser entre ses doigts, les approche de son nez, sent cette odeur caractéristique. Elle dit : « J’adore. » C’est alors qu’elle se laisse rouler sur le dos, porte ses doigts à sa bouche et redis : « J’adore. »Nous sommes anéantis, couchés par terre les bras en croix, incapables du moindre mouvement. On est au paradis.                                                                                                                           Laskar
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