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Une après-midi à l'EMC

Chapitre 1

Gay
Un bel après-midi à l’EMCEn ce début d’après-midi, je dirigeai mes pas vers un sauna parisien proche de la place de la bourse et c’est vers 13 h que je sonnais à la porte de l’EMC.La porte ouverte, l’entrée réglée et après un passage au vestiaire où je revêtais la tenue du lieu, une simple serviette, je me suis d’abord dirigé vers les douches. D’abord me mouiller puis me savonner. Un autre usager vient à ce moment-là et s’installe naturellement sous la douche voisine de la mienne.
— Veux-tu que je te savonne le dos ? me demande-t-il.
J’acquiesçai, lui tournai le dos et j’ai senti ses mains savonneuses caresser mon dos, descendre vers mes fesses, les savonner aussi et ses doigts glisser entre elles pour atteindre mon œillet et en tester l’élasticité en forçant un peu l’entrée. Puis j’ai senti ses mains remonter le long de mon dos et j’ai senti ses bras m’enserrer et ses mains se poser sur ma poitrine alors qu’il collait son torse contre mon dos. Son sexe raidi a trouvé facilement sa place entre mes fesses et il en a parcouru tout le sillon pour en poser le gland enduit de savon sur ma rosette. J’écartai mes fesses avec mes mains et me penchai en avant pour faciliter son intromission et c’est avec plaisir que je l’ai senti entrer en moi et effectuer quelques mouvements de va-et-vient. Après quelques mouvements, il s’est retiré de mon fondement et m’a dit : « dommage de ne pas continuer, mais je viens d’arriver et je ne veux pas jouir tout de suite, on se verra sûrement dans le courant de l’après-midi. »
Il s’est alors rincé, a déposé un petit baiser sur le bord de mes lèvres, m’a donné une petite tape sur les fesses et est parti vers d’autres aventures.Je me suis aussi rincé et ai pénétré dans le sauna proche pour un moment de détente. Personne ne m’y a dérangé et j’en suis sorti une dizaine de minutes plus tard. Un petit passage à la douche et, revêtu de ma serviette, je suis descendu d’un étage pour voir si d’autres usagers étaient présents. Mon errance dans les couloirs m’a amené à la « dark room » où quelques silhouettes se laissaient deviner. Y pénétrant la serviette sur l’épaule, je me suis approché du groupe supposé.
Mes yeux s’accoutumant à l’obscurité, je constatais qu’une petite dizaine de personnes occupait les lieux. Avançant doucement, j’ai senti une main caresser ma cuisse et une autre se poser sur mon torse. Je m’arrêtais et cherchais à toucher des mains mon ou mes tâteurs. Les doigts de ma main droite ont rencontré un sexe tendu et l’ont caressé. C’était celui de la personne qui caressait mon torse. Om a alors rapproché son corps du mien, ses lèvres se sont posées sur ma joue, ont glissé vers les miennes et nous avons mêlé nos langues dans un baiser fougueux. Je sentais d’autres mains se poser sur mon corps et en caresser toutes les parties atteignables. Un autre corps s’est collé au mien et simulant une pénétration, a fait glisser son sexe raide entre mes cuisses. Je le sentais glisser et cogner mes couilles à chaque mouvement et sa jouissance est venue rapidement, aspergeant mon autre partenaire de sa liqueur.
Celui-ci s’est alors reculé, rompant notre baiser, et est sorti de la pièce. Après encore un moment à échanger caresses et baisers, le groupe dont je faisais alors partie s’est disloqué et chacun est sorti de la pièce.
Emoustillé par ces ébats anonymes, j’ai un peu erré dans les couloirs et suis descendu à l’étage inférieur. Le jacuzzi n’offrait plus de place libre, j’ai poursuivi ma visite vers les cabines de repos. M’arrêtant près d’un pilier, j’ai senti une main frôler ma cuisse et je me suis tourné pour voir qui se permettait ce doux geste. Il était un peu plus petit que moi, mais ce que j’ai surtout remarqué, cela a été son sourire. Un sourire qui illuminait tout son visage et je lui ai souri en retour. Voyant que je ne refusais pas sa caresse, il m’a demandé : « viens-tu en cabine ? ». J’ai acquiescé et l’ai suivi dans une cabine libre. J’ai refermé la porte derrière moi, lui ai fait face et nous nous sommes rapprochés tout en faisant tomber nos serviettes. Nos corps nus se sont collés l’un à l’autre et nous nous sommes embrassés pendant que nos mains partaient à la découverte de nos corps.
Son baiser était doux et fougueux, sa langue agile luttait avec la mienne et je sentais son sexe raide contre mes couilles. Nous nous nous sommes un peu écartés et je me suis penché, laissant mes lèvres et ma langue parcourir son torse, ses seins, descendre sur son ventre pour parvenir à son pubis légèrement poilu et sentir la présence de son sexe contre ma joue. Je tournai légèrement ma tête et mes lèvres se sont posées sur ce membre d’une taille modeste, mais qui me plaisait. Je l’ai caressé de la langue de la base juste qu’à son gland que j’ai coiffé de mes lèvres. J’ai alors cueilli de la langue les premières gouttes de plaisir avant de le laisser pénétrer ma bouche et le masser entre mon palais et ma langue.
Ma position penchée en avant lui laissait mes fesses à la portée de ses mains et une de celles-ci, après en avoir caressé les globes, s’insinuait entre elles et un de ses doigts s’est posé sur ma rosette, en a cherché le passage et s’est insinué en moi. J’appréciai cette caresse et lui ai fait sentir à la façon que j’ai eue de remuer les fesses pour lui faciliter la tâche. Il a ensuite cessé cette caresse, m’a relevé de ma position, nous nous sommes de nouveau embrassés, puis il m’a demandé : « j’ai envie de te prendre, tu veux bien ? ». Je lui donnais mon accord et ai pris la position buste sur la couchette et pieds au sol qu’il me demandait et qui lui mettait mes fesses au niveau de son sexe. Je l’ai entendu ouvrir un sachet de préservatif, prendre du lubrifiant et ses doigts enduits m’ont massé l’œillet pour mieux l’assouplir.
Puis j’ai senti ses mains se poser sur mes fesses, bien les écarter, et son gland se poser sur mon petit trou, peser dessus pour en forcer l’entrée et me pénétrer lentement jusqu’à ce que son ventre soit contre mes fesses. Je sentais sa présence en moi et ai remué les fesses pour mieux le sentir et lui montrer mon agrément. Il a commencé alors des mouvements de va-et-vient assez lents et en prenant garde de laisser son gland en moi lors de ses reculs. Ses mouvements se sont un peu accélérés et ses mains se sont abattues vigoureusement sur mes fesses. Ces claques m’ont surpris et sont venus plusieurs fois, de façon aléatoire, chauffer mes fesses alors qu’il continuait à me besogner de son membre. Ma première réaction a été négative et j’ai pensé de lui demander de cesser ces gestes, mais je me suis surpris à les accepter et même à les attendre avec plaisir. C’était nouveau pour moi.
Ses aller et retour en moi étaient maintenant plus rapides et je le sentais parfois sortir entièrement de moi, attendre un petit moment, et me pénétrer d’un coup bien à fond. Je ressentais un vide, un manque quand il était hors de moi et c’était avec un grand plaisir que je le sentais me réinvestir bien à fond. Au bout d’un long moment, je l’ai senti se caler bien au fond de moi et, aux palpitations de son sexe que je ressentais dans mes entrailles, j’ai reçu sa jouissance.
Il est alors ressorti lentement de moi, a ôté la capote de son sexe que j’ai pris en bouche pour en cueillir les dernières gouttes de plaisir et le nettoyer de la langue. Je me suis alors redressé, nous nous sommes à nouveau embrassés, il m’a souri en remettant se serviette autour de ses reins et nous nous sommes séparés.
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