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Une après-midi très perverse - Partie 1

Chapitre 1

Ma première fois en dessous féminins

Travesti / Trans
      Du plus loin que je me rappelle, j’ai toujours été en adoration devant la lingerie féminine. Exclusivement attiré par les femmes, je n’ai aucune attirance pour les hommes sauf s’il y a des dessous féminins en jeu. Je me rappelle avoir fouillé de nombreux tiroirs à lingerie afin d’en contempler, toucher, sentir, voler le contenu. J’aime me caresser avec, sentir l’odeur de lessive mélangée à celle de sa propriétaire.

   Mais aujourd’hui, maintenant que j’ai les moyens de m’acheter ma propre lingerie et mes appareils de communication (smartphone, pc).    Dans la vie de tous les jours je n’ai rien de féminin, j’ai un physique assez costaud, des traits masculins, mais à la vue d’un bout de nylon, de dentelle ou d’une photo de femme en lingerie ou d’hommes en dessous féminins au détour de mes navigations pornos sur le net, je sens naître en moi une excitation perverse envoûtante qui me pousse à me vêtir de façon obscène et d’agir de la sorte. Je suis littéralement dingue des collants, des bas, des mi-bas et des socquettes en nylon, ainsi que des chaussettes avec de la dentelle. Je n’avais jamais dépassé le stade de scénarios en solo tels que prendre des poses en me masturbant, fouiller les dessous des amies ou des femmes de ma famille, me goder avec des sextoys improvisés (la courgette dans un préservatif est un outil incroyable pour s’explorer). Mais là, j’ai décidé de sauter le pas et de rencontrer un homme qui saurait me traiter comme la chienne que je rêvais d’être ainsi vêtu.   Grâce à un site d’annonces, je me crée un profil avec quelques photos et une annonce bien suggestive, je souhaite rencontrer un homme d’âge mûr, très vicieux, fétichiste et qui voudrait bien me traiter comme une salope le temps de notre rencontre et souiller mes dessous avec sa semence (c’est le "petit plus" que j’adore). Je ne mets pas longtemps à attirer tous les "vieux dégueulasses" en rut de ma zone géographique qui me proposent des rencontres à tout va, chez eux ou dans des lieux discrets ne serait-ce que pour une branlette dans ma culotte ou sur mes collants, accompagné d’une bonne grosse pipe baveuse (cette partie sera d’ailleurs pour d’autres histoires). Et ce n’est pas pour me déplaire.   Je jette finalement mon dévolu sur un certain Patrick, 55 ans, habitant un pavillon à l’autre bout de la ville. Nous convenons d’un rendez vous dans une heure, le temps de me préparer. Je lui rappelle que je suis un homme en dessous féminins pas un travesti maquillé ni perruqué.
— C’est ton cul, ta queue et ta bouche qui m’intéressent ainsi que de te voir habillé comme un pute.
   Ok le message est clair, il me veut et il est bien décidé à me faire ma fête. J’en suis tout émoustillé.
   Je me prépare donc, lavement en profondeur, quelques coups de rasoir sur les quelques poils que j’ai, puis vient le choix de la tenue. Patrick m’avait confié aimer les uniformes type étudiante salope. Je pense donc avoir ce qu’il faut. J’opte donc pour une mini jupe bien trop courte à motifs écossais, un petit haut en nylon légèrement transparent s’ouvrant par le devant par une fermeture éclair, un soutien gorge sans armatures en dentelles blanc et une paire de bas blancs ainsi qu’une petite culotte blanche simple moulant (trop) bien mes fesses et très facilement étirable si l’envie lui prend de me la faire garder pendant l’acte. Pour parfaire le tout, je me juche sur des talons de 8 cm, une paire d’escarpins noirs tout ce qu’il y a de plus basique que j’ai trouvé au pied d’un immeuble, dans des affaires bonnes a être jetées. Une pointure de moins que la mienne, mais avec les jambes relevées ou étant à genoux ou à quatre pattes, cela ne m’embêtera pas vraiment. 
   J’arrive donc chez lui à l’heure indiquée, je porte un survêtement avec ma petite culotte en dessous ainsi que mes bas. Il m’ouvre, me demande comment ça va, je réponds un timide "oui" puis il me fait monter à l’étage, dans l’escalier il baisse mon pantalon et me malaxe vicieusement les fesses à travers ma culotte. Il me dit d’aller terminer de me changer dans la chambre en face de la sienne, me dit "viens quand t’es prête salope" et il ferme la porte. Je sens monter en moi une excitation énorme à mesure que je m’habille, il y a un grand miroir dans la pièce et je peux me contempler une fois vêtu en coquine prête à se faire tringler. Malgré le manque de maquillage et de perruque, je me trouve bonne, très salope, juché sur mes talons, mes jambes joliment galbées des bas blancs me donnent grave envie. Je sors donc et ouvre la porte de sa chambre. Il m’attend au milieu de la pièce, simplement vêtu d’un string. Il siffle d’admiration, me fait faire un tour sur moi-même, soulève ma jupe pour me caresser les fesses, encore. 
— T’es vraiment sapé comme un pute, toi. me dit-il. Mets tes mains contre la porte et cambre toi !
   Je m’exécute et fais ressortir au maximum mon cul, ce qui rend ma jupe totalement inutile tant elle ne couvre plus rien. Je sens alors ses mains m’agripper les hanches et son sexe à travers son string qui gonfle contre ma raie, il se frotte ainsi quelques secondes en me disant "Tu sens l’effet que tu me fais ?" Pour seule réponse j’ondule du bassin pour l’exciter encore plus, j’adore cette sensation, je suis hyper excité, je ne bande pas encore mais je sens du liquide couler de mon gland et commencer à traverser le tissu de ma culotte. Il stoppe ses va et vient et me baisse la culotte juste sous le pli de mes fesses et d’un coup je sens sa langue me parcourir l’anus, il me bouffe sauvagement le cul et me caresse le sexe a travers le tissu de ma culotte quand il remarque que c’est mouillé.
— Dis donc t’es une vraie chienne en chaleur toi, t’es déjà mouillée, t’aimes ça en fait !— Oui j’aime ça, continue ! dis-je en gémissant de plaisir.
   Il ne se fait pas prier et continue de lécher mon petit trou en enfonçant de temps en temps sa langue, je sens mon sexe se durcir dans ma culotte qui commence à se tendre et a être de plus en plus mouillée au niveau du gland. Il est plus grand que moi et en profite pour continuer de me prodiguer un anulingus de folie tout en me caressant les tétons, ce qui me fait presque tourner de l’œil de plaisir tant je suis sensible aux caresses à cet endroit là. Je commence à vouloir me masturber mais il m’en empêche, il sent que je suis prêt à jouir s’il continue mais il veut garder sa pute excitée à fond pour le reste de notre séance. Ses mains parcourent mes jambes gainées de mes bas et je sens sa queue caresser mes mollets dont il se sert pour se masturber en enserrant sa queue avec. Il me retourne, range son sexe et me demande de lui lécher les tétons, je m’exécute. Lui aussi est très sensible, je lui lèche un téton, avec mon autre main je lui caresse l’autre de mes doigts que j’ai couvert de salive enfin avec ma main restante je malaxe son sexe dans son string, un beau sexe bien dur qui me fait trop envie. 
— Maintenant suce moi, ma belle. Tu vas goûter à ma queue.— Oh oui donne-la moi !
   Je baisse son string et me mets accroupi, je constate qu’il a un anneau autour de la base du sexe et des testicules, rendant son sexe encore plus imposant, et très beau qui plus est. Ni une ni deux je donne des coups de langue sur son gland et je joue un peu avec, histoire de l’humidifier, puis je saisis sa queue entre mes lèvres et entame une fellation au rythme soutenu. Sa queue a un bon goût, elle sent le désir en a en le goût. Je sens sa "pré-semence" au goût salé se répandre en petites gouttes sur ma langue et je lui dis d’un air coquin :
— Je me débrouille pas mal on dirait.— Tu suces vraiment bien sale chienne, crache moi sur la queue, j’aime quand ça bave.
   Je ne me fais pas prier et inonde sa queue de salive, rendant la fellation bruyante par le bruit de succion de ma bouche et avec celui des va et viens de ma main. Il gémit et se caresse les tétons en même temps. A un moment il se retourne et me présente son cul :
— Lèche moi le trou, ma salope !
   J’aurais pu être dégoûté mais je m’exécute immédiatement, ma langue caressant sa rondelle comme il me l’a fait auparavant, il me presse la tête fermement entre ses fesses tout en se masturbant avec l’autre main. Je l’entends râler de plaisir à chaque coup de langue. Je me sens vraiment humilié à cet instant, je suis sa chose, à genoux mes mains de part et d’autre de ses hanches, à lui bouffer l’anus. Et j’adore ça en plus.
   Puis il s’allonge sur le lit et me fait mettre debout, penché sur le côté du lit, perpendiculairement à lui, il me tient la tête pendant que je continue la fellation et m’insère ses doigts dans mon trou, je gémis de plaisir à mon tour, j’en ai presque mal à ma queue tellement je bande. Il m’insère deux doigts dans le cul et me sors enfin mon sexe de ma culotte qu’il descend à mi cuisses. Il retire ses doigts, me tend sa main et me dit "crache", puis il commence à me masturber lentement, il est vraiment très vicieux et j’adore cela.    Enfin il se redresse, me met à quatre pattes mais dans le sens du lit et je sens enfin son gland presser contre ma rondelle, un filet de liquide séminal visqueux pend de mon sexe et vient rencontrer le tissu de ma culotte toujours descendue à mi-cuisses, elle est tellement trempée sur le devant que je sens l’odeur de mon sperme. Sans ménagement il m’enfonce sa queue qui glisse toute seule dans mon rectum et il commence à me limer comme un sauvage en m’empoignant les hanches et les fesses. Je crois que mon cul lui plaît vraiment vu comment il met du cœur à l’ouvrage. Puis au bout de quelques minutes il ralentit le rythme et se retire presque pour mieux me la remettre au fond plus lentement histoire que je sente chaque centimètre qui me pénètre. Inutile de préciser que je suis aux anges, je suis au bord de l’évanouissement tellement que c’est bon, il ne le voit pas mais j’ai les yeux révulsés de plaisir, je gémis comme dans un porno. Je sens que je vais jouir s’il continue comme ça, mais il ne cesse pas. Ma queue s’est ramollie mais je sens qu’il me la caresse en s’appuyant sur mon dos, il me malaxe le gland avec mon pré-sperme tout en me besognant, ce qui accentue mon extase, je sens d’ailleurs, au fil de ses coups de reins qu’il touche un point très sensible au fond de mon trou, une sensation qui monte petit à petit, incontrôlable et délicieuse.
— Je vais jouir ma salope ! dit-il dans un râle. — Ooh oui moi aussiiii !! Gémis-je.
   Alors que je suis prêt à gicler, il se retire, me fait assoir contre la tête de lit et m’enfonce sa queue en gorge profonde en faisant des allers et retours dans ma bouche, ma langue parvient à empêcher que je m’étouffe, il se retire d’un coup, un long filet de bave reliant sa queue à mes lèvres, il se met à se masturber au dessus de mes cuisses jointes, au niveau de la dentelle de la jarretière de mes bas, il semble en transe, il va jouir je le sens. Enfin il explose et déverse de grosses giclées de sperme sur mes cuisses nylonées et sur ma culotte qui est restée descendue sur mes cuisses. Ça coule partout et atteint mon sexe luisant de liquide transparent qui s’est redressé d’excitation à cause de la fellation forcée que je viens de lui prodiguer.   J’écarte mes cuisses qui se séparent en laissant voir des filets de liquide chaud et visqueux ainsi que sur ma culotte et mes testicules, il y met sa main et me l’étale sur mes bas, ma culotte et mon sexe, il lèche le reste et vient me galocher ensuite, puis il étale ce qui reste sur ma rondelle encore palpitante et gonflée. Je suis au bord de l’extase mais il m’interdit toujours de jouir.
— Je veux que tu rentres chez toi avec tout mon foutre entre les cuisses, que ta queue baigne dans ma semence et que tes jambes collent. Une fois chez toi allonge toi sur ton lit, caresse toi et là tu auras le droit de jouir petite pute. 
   Je remets juste ma veste et mon pantalon par dessus ma tenue et bien sûr je change de chaussures puis je rentre chez moi, tout chamboulé mais surtout terriblement excité.   A peine rentré, je ferme à clé derrière moi, j’enlève mon survêtement, je rechausse mes escarpins, voulant recréer l’ambiance d’avant, puis m’allonge sur mon lit, j’ôte ma culotte qui sent très fort le sperme et la porte à mon nez, puis la suçote afin d’en extraire le précieux liquide qui coule dans ma gorge, je joue avec son foutre et ma salive qui coulent sur mon visage, me donnant l’impression qu’il me baise encore la bouche en faisant déborder son jus, je sens ma queue durcir et entreprends de me masturber avec ma culotte toute mouillée, cela ne dure qu’une trentaine de secondes avant que de grosses giclées de sperme ne viennent saturer le tissu de ma culotte, souiller encore plus mes bas et atteindre également mon visage tant je suis excité. Me voilà vanné, souillé, mais comblé. 
   Et vous savez quoi ? Malgré tout ça j’ai encore une furieuse envie de sexe et ma boîte mail est bien remplie.
   Après tout, l’après-midi n’est pas finie...
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