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Une asiat en club libertin

Chapitre 2

trio à la maison

Avec plusieurs hommes
Serge au téléphone ne savait pas que j’avais trois doigts dans le cul, mais il entendait mes gémissements. Je ne suis pas une fille qui fait beaucoup de bruits quand on lui fait l’amour, mais la situation était particulière tout de même. Quelle étrange expérience, maintenant à quatre pattes dans mon salon, je distinguais à travers mon bandeau trois hommes qui buvaient un verre assis confortablement dans mon fauteuil, et toujours ce black qui fouillait mon cul avec ses doigts. Celui-ci d’ailleurs abandonna sa besogne un instant et je sentis qu’il avait finalement eu l’idée d’utiliser le gode pour me dilater mon postérieur. Et merde, il me semblait d’un coup beaucoup plus gros que ce qu il m’avait semblé quand je l’avais eu dans les mains, et à mesure qu’il me l’enfonçait dans le cul je gémissais comme une pucelle. Hector, lui se leva à nouveau et recommença à prendre des photos, je voyais des flashs inonder mes yeux à travers le bandeau. L’un des deux hommes assis dans le fauteuil me demanda d’approcher, et en raison de mes menottes j’approchais un peu maladroitement vers sa voix.
Sentant que je butais contre le fauteuil je m’arrêtais. Le son bien reconnaissable d’un pantalon que l’on déboutonne, d’un caleçon que l’on baisse, d’une paire de fesses qui glisse sur un fauteuil. Je sentais l’odeur forte d’un homme, et sur mon visage tout à coup la pulsation d’une queue gorgée de sang, battant contre mon visage. Les ordres fusèrent :
-Commence donc par me lécher les couilles, espèce de petite pute, et surtout prends ton temps... je protestais doucement, répondant que je n’étais pas une pute, mais il rigola, je sentis un de ses doigts sur mon cou qui glissait vers ma bouche et il me dit tout en le mettant à l’intérieur. — si tu n’es pas une petite pute, pourquoi as-tu du sperme qui coule sur ton cou?
Je savais que la situation échappait à mes arguments, qu’est-ce que je pouvais bien répondre à cela... Je sortais alors ma langue de ma bouche et commençait à explorer son sexe avec celle-ci. Ouf, il n’avait pas de poils, je devinais que son sexe était plutôt massif. Il pouvait bien me traiter comme une grosse chienne, je sus que je reprenais un peu de pouvoir alors que je gobais chacun de ses testicules, l’homme commençait à se détendre dans le fauteuil. Ma langue venait les masser contre mon palais... Je prenais mon temps comme il me l’avait demandé... Son pote remarqua tout haut que j’étais une experte, tout fier de sa remarque !! Connard!!Tout à coup dans mon cul ce ne fut plus la même. Le gode fut prestement remplacé, par j’en mets ma main à couper, la queue du black. Je commençais par me contracter, arrêtant tout immédiatement, ce truc énorme me pénétrait tellement loin... L’homme dont ma bouche s’occupait, m’amena alors sa bite à pomper, et autant il souhaitait y aller doucement au début, autant il avait passé la troisième. La main derrière ma tête il voulait manifestement se frayer un chemin à travers ma bouche jusque dans ma gorge. Heureusement j’avais déjà pratiqué avec Serge, ses va-et-vient ne furent pas trop traumatisant... Par contre cela excita le mec qui s’activait dans mon cul et celui-ci me prit un peu plus sauvagement. Je gémissais encore plus fort, et avec honte je pensais à mes voisins... Notre salon était mitoyen avec leur chambre à coucher et vu l’heure, ils devaient être au lit... Qu’allaient-ils penser? Le bassin de cet homme derrière moi faisait claquer mes fesses, les bruits qui sortaient de ma gorge ne laissaient que peu de place au doute.
Les murs ne sont pas très épais... Quelques minutes de sodomie et gémissements plus ou moins forts plus tard, malgré les voisins, ces deux-là manifestèrent l’envie d’en finir avec moi. On me remit à genoux et Hector s’approcha de moi. Il m’ordonna :
— Écoute-moi bien Patricia, pour l’instant tu t’en tires pas mal, mais là par contre je vais être intraitable. Je veux que ces deux hommes viennent dans ta bouche, je ne veux pas qu’une fois dans ta bouche, leur jus s’en échappe. Lorsque tu auras tout recueilli, ton verre, que voici, dit-il en m’en tendant un, servira de réceptacle à nos semences. Si tu m’obéis, je m’engage par la suite à te dresser, comme la chienne que tu mérites d’être. Entre mes mains tu deviendras un petit bijou de soumission. Après cette soirée tu dois pressentir que c’est ce que tu es : une soumise dans l’âme... Je compte sur toi...
Finalement je ne sais pas pour quelle raison je choisis d’obéir, pour Hector, pour Serge... Sur le moment je n’avais qu’une envie : que ces deux mecs viennent dans ma bouche... Alors oui j’étais, à ce moment-là, surement une petite pute... En choisissant d’obéir ce soir-là, ma vie changea du tout au tout. À genoux, les mains menottées devant moi, on m’enleva mon bandeau. Je plaçais ma tête en arrière, bouche ouverte. Le premier à se présenter fut un beau black, les traits fins, très musclé. Avec sa main droite il astiquait sa queue, le corps entier tendu vers un seul but : décharger tout son sperme dans ma bouche. Quelques râles montèrent, accompagné quelques instants plus tard de puissants jets de foutre chaud que j’accueillais sans sourciller dans ma bouche. Le gout acre, salé de son sperme emplit mes narines. Le peu qui tomba sur mes joues, il me le ramena dans la bouche avec ses doigts. Je trouvais mignon et attentionné qu’il vienne déposer un baiser sur mon front. Je lui envoyais un clin d’œil. Il pressa encore et encore son chibre pour ne pas en perdre, puis place au suivant... Rebelote, le mec s’astique, semble super excité, son regard est fou. Pour l’exciter encore plus, je joue avec le sperme que je retiens dans la bouche, quelques grumeaux glissent de ma langue... Ce liquide visqueux est indomptable.
Finalement, il vient à n’en plus finir. Son gout se mélange au gout du premier. Des jets s’allongent dans ma bouche, très longs au début, mais qui finissent par se raccourcir... Il en met un peu à côté, mais comme son potto il ramène le tout là où Hector veut que cela soit. En se penchant à mon oreille il me glisse :
— eh oui, j’ai bien envie de te baiser encore, petite pute.
J’ai maintenant la bouche à moitié pleine, pleine de grumeaux, de parties plus liquides. Je le transvase dans mon verre, une belle quantité en vérité. Il y a plusieurs couleurs... je regarde, médusée, ce verre. La partie la plus consciente de moi se demande ce que j’ai fait... Une partie plus primordiale est plutôt contente de moi...Hector semble satisfait. Serge vient d’arriver, il me regarde, grave excité, je le suis aussi, il s’en rend compte. En un regard, il comprend que j’ai grave kiffé, malgré la honte. Le quatrième, que je n’ai pas encore satisfait me regarde d’un air lubrique, la queue à la main. Il s’écrit en rigolant :
— mais quelle salope!!! Viens là grosse chienne et occupe-toi de moi, c’est mon tour! C’est Serge qui s’empresse de m’y amener. Hector récupère le verre de foutre, propose à Serge de profiter du spectacle, de s’assoir, et lui sert un verre.
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