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Une autre avec nous.

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Jo, jolie brunette de 30 printemps, est songeuse et aussi troublée tout en s’activant dans sa cuisine. Voilà quelques mois qu’Alain et elle se sont mariés. Ils sont heureux dans leur petit logement situé dans la petite ville voisine de leur village. Pas de bébé en vue malgré leurs nombreux rapports sexuels, tout va bien pour eux. Cependant, elle n’est pas complètement comblée, Alain est doté d’un pénis pas très développé et malgré la fréquence de leurs rapports, ceux-ci ne durent pas longtemps. Il jouit trop vite, car trop excité sans doute.
De la pièce voisine qui leur sert de salle de séjour et de chambre, lui parviennent les voix d’Alain et de Yves, leur ami de jeunesse. Alain l’a rencontré en faisant une course et l’a amené à la maison pour l’apéritif. Jo est troublée car cela fait une dizaine d’années qu’elle ne l’avait pas revu. Yves était leur compagnon de jeu, des jeux le plus souvent orientés vers la découverte de la sexualité. La sœur d’Yves la Nine y participait aussi activement. Rien de bien inhabituel entre jeunes si ce n’est qu’ils faisaient cela tous les quatre, échangeant leurs partenaires, déjà échangistes sans le savoir. Ce qui la trouble, ce sont les souvenirs qu’elle a de ses dernières rencontres avec Yves. Seuls tous les deux sans Alain et la Nine. Ils s’étaient alors retrouvés plusieurs fois à la ferme des parents du jeune homme alors que ces derniers et la sœur étaient partis au marché de la ville voisine.
Yves l’avait entraînée dans la grange, là comme ils le faisaient les autres fois, ils avaient flirté, couchés dans le foin odorant.
Yves frottant son sexe tout raide contre sa minette en mimant sur elle, les adultes faisant l’amour car elle refusait d’être pénétrée. Ils s’étaient excités à ce jeu. Ils s’étaient embrassés sur la bouche, mêlant leurs langues. Il avait ouvert son corsage, relevé sa blouse et baissé sa petite culotte sur ses jambes et avait caressé son jeune corps. Il l’avait caressée partout, frottant son doigt dans sa fente, de son petit bouton dressé d’envie, à son vagin. Yves avait aussi baissé son pantalon, puis il avait mis son sexe à la place de son doigt et avait tenté de la prendre son gland entrant un peu dans son sexe. Elle avait refusé, repoussé, serrant ses cuisses l’une contre l’autre. Alors trop excité pour s’arrêter, Yves l’avait couchée sur le ventre et s’était mis sur elle.
Jo avait compris ce qu’il voulait lui faire. Elle avait senti son sexe tendu venir entre ses fesses. Consentante, car excitée par leurs caresses, ayant cependant peur d’attraper une enfant en le faisait dans son sexe, elle l’avait laissé faire. Son pénis pas très développé était entré sans peine entre ses fesses. Yves s’était activé de longues minutes sur elle jusqu’à éjaculer dans ses reins. Par la suite pendant deux ou trois mois, ils avaient souvent recommencé à l’insu de leurs deux camarades de jeu.
C’est ce qui la trouble aujourd’hui. Ses souvenirs lui reviennent avec précision, elle se revoit sous Yves, pénétrée pour la première fois par un garçon, devenu un homme maintenant. Elle ne peut s’empêcher de s’imaginer son sexe, il doit être plus gros, plus long que celui de son mari. Malgré elle quand elle les rejoint dans l’autre pièce, elle ne peut s’empêcher d’y penser et de regarder le devant du pantalon du jeune homme. Nous sommes en juillet, il fait chaud, les pantalons des garçons sont en toiles légères et moulantes. Josette a chaud soudain, ses joues s’empourprent, la bosse proéminente au niveau de la braguette du pantalon d’Yves laisse deviner des attributs bien développés ! Jo sent que le fond de sa petite culotte s’humidifie. Elle est prise au piège de ses souvenirs, elle a chaud dans son ventre, « mon Dieu, je mouille, Alain pourquoi l’as-tu invité celui-là » Jo n’a jamais dit à Alain ce qu’elle avait fait avec Yves.
Lors de leur premier rapport sexuel, elle était intacte, vierge, avait-il cru, elle s’était bien gardée de lui parler de la perte de son pucelage anal.Elle aussi porte une tenue légère, une jupe courte qui dévoile ses cuisses fuselées. Alain l’aime vêtue ainsi, Yves aussi lui semble-t-il, qui ne se prive pas de mater ses jambes, assis face à elle. Jo est certaine qu’il peut entrevoir sa petite culotte blanche entre ses cuisses. Alain aussi d’ailleurs, assis près de leur ami sur le canapé, il ne peut ignorer qu’Yves a droit au même charmant spectacle. « Les deux cochons, ils matent mon slip et se régalent, je suis sûre qu’ils pensent à nous tous les quatre quand on le faisait dans la grange, on s’échangeait les amoureux, Nine et moi ! ». Submergée par un émoi étrange, Jo laisse ses jambes s’ouvrir « regardez mes petits cochons.
Je mouille, ma culotte est humide, voyez l’état dans lequel vous me mettez, j’ai envie de le faire avec vous deux, comme avant ». Le silence règne soudain dans la pièce, les deux hommes, les yeux rivés entre les cuisses de la jeune femme, et Jo sur le devant de leurs pantalons tendus par le désir qu’ils ont d’elle. « Ils bandent comme dans la grange, Alain ne dit rien, il laisse faire, comme autrefois il veut me voir avec Yves, baisée par Yves».
Ils n’ont qu’une petite banquette, assise sur le lit, Jo comme dans un état second, dominée par son envie de sexe, tout en fixant Alain d’un regard troublé par le désir, se laisse aller en arrière sur leur couche d’amour. Sa courte jupe se relève un peu, ne cache plus rien de sa petite culotte avec sa tâche humide qui laisse deviner son envie. Après avoir échangé un regard, Alain semblant consentant, c’est sans un mot que les deux hommes l’ont rejointe sur le lit. Leurs pantalons vivement baissés laissent échapper leurs verges tenues vers elle. C’est tout naturellement comme autrefois qu’elle a saisi les deux membres, un dans chaque main pour les masturber. Puis dans sa bouche, elle pend son mari alors qu’entre ses jambes ouvertes, Yves fait glisser sa petite culotte dévoilant sa chatte recouverte d’une fine toison noire. Excitée par ce qu’ils font, elle devine qu’Yves se penche sur elle, hume ses odeurs les plus intimes, puis une bouche avide se plaque sur elle, la dévore.
La langue du jeune homme ouvre sa fente mouillée, la fouille du clitoris au vagin, entre dans la chatte : « Oui, viens, viens, baise-moi, baise-moi Yves mon chéri ». Pendant qu’elle s’active sur la verge tendue de son mari, elle perçoit qu’Yves se redresse, s’allonge sur elle. Cuisses largement ouvertes, elle s’offre tout en continuant de son mari. Le membre dur du jeune homme a remplacé sa langue, un gland épais fouille sa vulve puis se place face à sa grotte d’amour. D’un coup de reins impatient, il l’a pénétrée, « mon Dieu qu’il est gros, je la sens bien, mieux qu’avec Alain, elle élargit ma chatte » au fond d’elle et maintenant comme autrefois, Yves la possède. Ses doigts agrippent le drap tandis que le ventre de Yves fusionne avec le sien en la brûlant presque. Tant bien que mal, elle garde le sexe de son mari dans sa bouche. Elle a envie de sentir son amant s’enfoncer plus profondément en elle et n’a plus qu’une obsession : jouir enfin avec lui.
Elle veut se sentir pleine de lui.
Elle se donne sans restriction. Oubliant presque son mari, elle le laisse l’accaparer. Plus rien n’existe d’autre que le besoin incommensurable qu’elle a de lui. Il la remplit, la comble. Son corps ruisselle, son ventre se liquéfie tandis que ses seins gonflés à l’extrême semblent être sur le point d’éclater comme deux fruits trop mûrs. Yves la possède avec vigueur. Pourtant elle a besoin de plus encore. Elle projette son bassin en avant pour s’empaler plus profondément. Le rythme devint plus rapide, plus violent. Le plaisir monte, enfle jusqu’au paroxysme, les emmène aux portes de l’extase. Jamais elle n’aurait pu croire qu’un tel phénomène puisse exister. Aucun mot n’est suffisamment approprié pour décrire la force mystérieuse qui l’avait littéralement engloutie. C’était comme si elle avait été téléportée dans un monde de pures sensations, folles, intenses, enivrantes. Déraisonnables.
Plus rien, ni la peur, ni la honte, ni la raison ne pouvaient contenir cette exaltation qui l’a submergée, déferlant en elle de toute sa puissance dévastatrice en la menant tout droit au paroxysme de son plaisir. Chaque poussée de Yves la rapproche de l’orgasme. Yves accroit encore le tempo la projetant dans une tourmente de sensations plus délicieuses les unes que les autres.

Dans sa bouche, il lui semble que le sexe de son mari a encore durci, dans un long râle, Alain gicle, lui envoie sa semence dans la gorge, alors qu’Yves se vide dans le fond de son vagin parcouru des spasmes de sa propre jouissance.
Epuisés, ils ont roulé sur le lit dévasté, Josette entre ses deux amants. Puis comme autrefois, ils se sont relevés et ont remis de l’ordre dans leurs vêtements. Sans oser lui dire de revenir, ils ont laissé Yves les quitter. Après son départ, Alain lui a fait l’amour, mêlant son sperme à celui de l’autre. Excité, Alain lui a demandé si elle avait aimé le faire comme avant lors de leur jeunesse. Ils finissent par évoquer la Nine et Jo sans doute pour le culpabiliser un peu, lui demande s’il aurait aimé la baiser près d’elle et Yves, comme avant. « Oui, j’aurais bien aimé qu’elle soit là, oui... oui moi avec elle et Yves sur toi, dans toi. » Jo se sent alors moins coupable du plaisir pris avec son amant. Tant pis pour Alain, elle se promet de le revoir en douce, il l’a comblée ce soir.
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