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Une autre épidémie

Chapitre 2

Au bureau

Erotique
Marie sort de son appartement en vitesse. Elle est en retard et n’a même pas pu prendre un petit-déjeuner. Elle s’était couchée de bonne heure, mais n’avait pas pu s’empêcher de se toucher au réveil, comme la veille. "Ça commence à devenir vraiment handicapant, j’espère ne pas avoir d’envies au bureau, mais avec du monde autour, ça devrait aller". De toute façon, elle a déjà prévu de prendre rendez-vous chez son médecin traitant, une sorte de mamie joyeuse un peu hippie, elle lui avait même conseillé un joint plutôt que des antidouleurs classiques lorsque Marie s’était cassé le poignet. Elle se sent bien avec elle et sait qu’elle n’aura aucun problème à se confier.
Une fois arrivée devant les locaux, Marie passe dire bonjour rapidement à ses collègues, elle ne veut pas perdre de temps à bavasser, elle est assez en retard comme ça. Les heures et les dossiers passent, et sur le coup de 10h30, Marie sort de ses dossiers. Elle est mal à l’aise, se sent stressée. "Mais quoi encore, que me veut ce corps", pense-t-elle, exaspérée. Elle pose sa main sur son intimité, par-dessus son pantalon bleu, et quasiment instantanément, sa libido s’active. "Mais pas maintenant, puis pas si tôt, je ne peux même pas rentrer chez moi". Elle essaye alors de se remettre à travailler, elle lit la fiche du client une première fois, puis arrivée au bout, elle se rend compte qu’elle n’a rien retenu. Elle recommence, mais sans succès. "Allez pause-café, je vais me changer les idées et j’en profiterais pour manger un morceau".
Un café espresso coule avec son bruit caractéristique tandis que Marie prend son paquet de bonbons habituel, avant de rejoindre ses collègues sur la petite terrasse. Il ne fait pas très chaud, mais on peut y rester sans veste sous le soleil.
— Enfin un peu de soleil, ça fait du bien après ces jours pourris, dit Marc, un collègue de la compta. — Ça commençait à me manquer, je craignais de perdre mon bronzage de vacances, répondit une autre.— Moi je trouvais ça bien le gris, après les trois semaines de canicule qu’on a eues pendant nos congés en Espagne.
Marie suit vaguement la conversation, plongée dans ses pensées, jusqu’au moment où Christophe, le manager de Marie, arrive.
— Vous allez bien ? dit-il, très engageant.— On se réjouissait du soleil de la rentrée, répond Marc, un moment qu’on ne l’avait pas vu.— Vous avez raison, surtout qu’on va avoir pas mal de boulot, je sors d’une réunion avec des clients qui nous confie leur campagne de Noël.— Ah bah c’est une bonne nouvelle ça, répond Marie en sirotant son café. — C’est bien vrai, et à propos de travail, j’y retourne, dit Marc, suivi des autres collègues.
Il ne reste plus que Marie qui grignote ses bonbons, et Christophe. Il doit avoir une trentaine d’années, assez jeune pour ce poste, toujours bien habillé et athlétique, même s’il fait beaucoup plus sérieux que son âge. "Je ne le connais pas tant que ça", pense Marie. Son esprit et ses yeux commencent à s’égarer discrètement sur le corps bien formé de Christophe, "il est pas si mal", avant d’être repris par une voix grave :
— Je trouve que vous êtes un peu ailleurs en ce moment Marie, quelque chose ne va pas ? demande-t-il.— Oh excusez-moi, je suis arrivée en retard ce matin. Je suis un peu fatiguée, je me demande si je ne traîne pas une maladie, répondit-elle en rougissant.— Pas de problème, reposez-vous, car je vous veux en forme pour la fin d’année, dit-il en souriant, avant de partir en piquant un bonbon dans le paquet de Marie.
Elle reste seule sur la terrasse, avec son café, ses bonbons et sa libido qui ne passe pas. Après avoir fini les deux premiers, elle retourne travailler en espérant oublier le troisième. Elle réussit à compléter quelques dossiers, mais rien ne la distrait de sa pensée première pendant ces deux heures. En s’étirant, tout devient pire, le sang afflue vers ses jambes et son intimité, réchauffant le tout. Puis pendant un moment d’inattention, elle se redresse sur son siège, et sa main va instinctivement vers son bas-ventre. "Non, je ne peux pas faire ça ici". Bien qu’elle soit dans une sorte de petit box, elle n’est pas complètement cachée de ses collègues. "Bon, je finis ce dossier, puis j’irais manger". Une fois réinstallée, l’envie est trop forte.
La main droite de Marie se dirige lentement vers son entrejambe, caressant son ventre et sa cuisse. Elle sent ses tétons durcir, et sa main qui écarte ses jambes serrées. Son intimité se réchauffe et sa culotte s’humidifie de mouille. Marie n’arrive plus à se contrôler, elle entend autour d’elle ses collègues partir déjeuner, et elle, elle reste là, l’impression d’être immobile de loin, tenant un dossier dans une main et l’autre entre les cuisses. Elle halète doucement, les yeux fermés, son entrejambe est brûlant. La cyprine qui a envahi sa culotte commence à humidifier son pantalon, une petite tâche verticale apparaît le long de sa fente. "Je vais aux toilettes avant que ça soit trop tard, il doit y avoir personne, tout le monde est en pause". Elle attrape son sac et se dirige vers les toilettes de la boîte.
Sur le chemin, elle repense à la fois où elle avait discrètement espionné deux collègues qui copulaient dans une cabine, se croyant seuls ; elle repense à leurs discrets gémissements, et à la tête de sa collègue vue à travers le trou de la serrure, jupe sur le ventre, qui se faisait prendre en levrette. Ces pensées excitent encore plus Marie, qui se dépêche.
Elle entre dans la même cabine que ses collègues, déboutonne son pantalon et s’assoit sur l’abattant. Elle reprend sa masturbation de plus belle, les jambes bien écartées, en se caressant les seins. La vision de ses collègues en pleine action repasse, et elle l’excite encore plus. La mouille coule de son vagin, Marie y entre deux doigts et fait des aller-retour. Elle a du mal à se retenir, et bientôt, un puissant orgasme la secoue. Elle se retient de crier, mais un long gémissement s’échappe de ses lèvres. Elle se rassoit, haletante, les cuisses pleines de cyprine. "Putain j’y crois pas, même au boulot, je peux pas me retenir".
Marie se relève et essuie la cyprine qui a coulé le long de ses jambes. "Bon, je mets ma culotte de rechange, et le pantalon sera sec, je peux cacher la tache, en marchant les jambes serrées". À la fin de sa pause déjeuner, Marie appelle pour prendre un rendez-vous chez son médecin traitant :
— Oui, allô. Secrétariat médical, que puis-je faire pour vous ?— Bonjour, j’aimerais prendre rendez-vous avec le docteur Eglantine assez rapidement, s’il vous plaît, idéalement aujourd’hui ou demain.— J’ai un créneau ce soir, le dernier de la journée à 18H, ou sinon demain à 11H30. — 17h30 aujourd’hui, c’est très bien, à ce soir. — Parfait, au revoir.
Sur ces mots, Marie raccroche, avant de retourner sous ses dossiers. "J’espère que l’après-midi passera vite".
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