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Une autre épidémie

Chapitre 3

Chez le docteur

Erotique
Après avoir ingurgité un léger repas et appelé son médecin, Marie rentra dans son box pour continuer ses dossiers. Elle fut tellement productive qu’elle rattrapa son manque de discipline de la matinée et prit de l’avance sur le lendemain. "J’ai l’impression d’avoir été purgé" pensa-t-elle en rigolant, "si ça se trouve c’était que passager, et demain je n’aurais plus rien". Sur cette pensée, elle prend une barre chocolatée au distributeur et pars du bureau.
    Il est à peine 17h et il fait encore jour avec un beau soleil. Marie se dirige vers le cabinet médical à pied plutôt qu’en métro. Elle profite des derniers instants de soleil dans la capitale avant l’hiver. "Je vais profiter d’avoir l’esprit clair pour faire quelque course, puis essayer de voir Juliette" pense-t-elle, et sur ces mots elle rentre dans une boutique de fringue, et envoie un message à sa meilleure amie. 20 minutes plus tard, elle ressort du magasin avec une nouvelle jupe et Juliette lui a répondu qu’elles se verraient le lendemain au soir, dans l’appartement de Juliette.
    Le soleil est encore fort et Marie regarde la rue vivre en baladant ses pensées tout à fait correctes. Ici un magasin de fringues tendance, là un traiteur chinois, une agence immobilière beaucoup trop cher, un bar avec une terrasse bruyante, une pharmacie, un sex-shop. Et Marie reste bloqué sur le dernier, surtout sur le poster en vitrine montrant un couple s’enlaçant de façon très suggestive.  Elle n’était jamais entrée dans un de ces magasins, son copain n’était pas un amateur de nouvelles expériences, elle n’avait eu le droit qu’à des missionnaires hebdomadaire, et de rare levrette. "Non ne regarde pas, je ne peux pas arriver exciter, ça va être trop gênant" pense-t-elle, mais c’est trop tard, c’est l’étincelle qui allume le brasier. Pour essayer de le calmer, elle décide de marcher plus vite, mais en soufflant dessus elle ne fait qu’attiser le feu de sa libido.
    Arrivé devant le cabinet, elle monte les escaliers rapidement. Le cabinet médical était au premier étage d’un immeuble haussmannien très chic, et ne comportait qu’un accueil avec trois salles d’examen rénové, et autant de médecin.
— Bonjour, vous devez être Marie, dit la secrétaire.— En effet— Parfait, vous êtes la dernière, le docteur vous recevra sous peu, il n’y a que lui, les autres sont en vacances, et moi je dois partir.— Pas de problèmes, dit Marie pantoise, en regardant la secrétaire partir en quatrième vitesse.
    "Le docteur ? Mais j’ai bien pris rendez-vous avec ma médecin traitante pourtant ?" se questionne Marie. Mais ses pensées sur sa libido sont trop fortes et stoppe sa réflexion. Bien que son entrejambe ne soit pas encore chaude, ni ses tétons pointus, elle sait qu’il en faut peu pour aller plus loin.
    Une voix résonne dans la pièce : — Vous êtes Marie, je suis Théo le remplaçant d’Eglantine lorsqu’elle est en vacation à l’hôpital.
    Marie était décontenancé par l’apparence du nouveau médecin, un grand blond, mince, tout juste sorti d’étude. — Bonjour, bégaya-t-elle, je ne savais qu’elle travaillait à l’hôpital.— C’est tout nouveau, ils leurs manquait un médecin alors elle s’est proposée, mais rassurez-vous, j’ai le même diplôme qu’elle. Vous me suivez ?— Bien sûr, répondit Marie qui lui emboita le pas dans le cabinet vide.
    Une fois installé des deux côtés du bureau, Théo demanda :— Etant donné qu’on a le même âge, est-ce que ça vous dérange qu’on se tutoie, ça permet de détendre un peu l’atmosphère, dit-il en souriant.
— Non non, je tutoyais déjà Eglantine, répondit-elle tendu.— Alors, qu’est-ce qu’il t’arrive Marie ?— euh, comment dire...
    Marie était gêné de la situation, elle ne s’attendait pas à tomber sur un inconnu, encore moins aussi charmant. Elle ne sait pas par où commencer. Mais Théo la coupe dans sa réflexion :— Tu peux te confier tu sais, je suis soumis au secret médical et je ne peux rien dire à personne.
    Sur ces mots, elle prit confiance et dit :— J’ai une libido très élevée depuis quelque jour, hier en fait, et je ne sais pas trop d’où ça vient. Elle sent sa respiration s’accélérer et ses tétons se durcissent.— Comment ça très élevé, et surtout par rapport à quoi. La libido c’est quelque chose de très personnel...— Et bah, j’ai été en couple pendant 8 ans, mais on faisait assez peu l’amour, je n’avais pratiquement aucun orgasme, donc je me masturbais toutes les semaines, à peu près... dit Marie à la fois gêné et excité de partager sa vie sexuelle.— hum... et maintenant.— Tout allait comme ça jusqu’à hier, Marie sent sa respiration accélérer. Comme d’habitude je me suis masturbé hier matin, j’ai joui normalement, puis je suis parti au boulot, et c’est au retour que tout à commencer. Dans le métro j’ai senti mon bas-ventre chauffer... bizarrement... avec une très grande envie de me toucher, tellement grande que j’ai commencé dans l’ascenseur de mon immeuble, et j’ai eu un des plus gros orgasmes de ma vie.
Ses tétons pointent, elle sent son entrejambe chauffer avant de reprendre :
— Puis de nouveau en allant me doucher, d’abord discrètement, puis avec le pommeau, au point où je ne pouvais plus me contrôler... et ce matin j’ai recommencé, et j’ai encore joui.— En effet, ça commence à faire beaucoup, dit Théo circonspect.— Ce... ce n’est pas fini en fait, il y a encore une fois aujourd’hui, enfin tout à l’heure, commence Marie honteuse, un peu avant 10H30, la même sensation jusque vers midi, j’étais à mon bureau, et je n’ai pas pu m’empêcher, d’abord par-dessus mon pantalon... mais je mouillais tellement que j’ai été aux toilettes, je ne pouvais pas m’empêcher de jouir, j’en avais trop envie....
    Elle achève son récit, un peu honteuse et très excité, elle est toute rouge, avec l’envie de jouir. Théo la regarde et réfléchit à deux fois devant cette histoire folle, quoiqu’un peu excitante.
— Je ne vous cache pas que je ne connais pas la procédure pour ses symptômes, dit-il, mais je vais commencer par faire un examen médical classique. Dans tous les cas, rassure-toi car tu es entre de bonnes mains. — Oui, répond timidement Marie.     Théo se lève, prend son stéthoscope et dit :— Lève-toi, et enlève ton chemisier ainsi que ton soutien-gorge s’il te plait.        Marie s’exécute sans un mot, elle détache les boutons un à un, avant de poser son chemisier sur la chaise, puis son soutien-gorge qui dévoile ses seins pointus. Théo observe sa poitrine, et voit à quel point elle est excitée, sans pour autant commenter.
-Attention ça va être froid, dit-il en posant le stéthoscope sur le dos de Marie. Prends de grandes inspirations, puis tousse une ou deux fois...
    Elle s’exécute.
— Rien à signaler, et au niveau cardiaque.
    Elle sent le stéthoscope se poser sur sa poitrine nue, la main de Théo à quelque centimètre de seins, elle aimerait bien qu’il les prenne, mais non, elle sent juste la cyprine faire une petite tâche dans sa culotte. Théo lui n’en peut plus, il a l’impression que Marie est vraiment excité, mais rien dans les livres ne recense de tel cas. Il se concentre au maximum sur l’examen médical, il ne doit pas commencer à détourner ses pensées.
— Enlève ton pantalon et allonge toi sur la table d’auscultation.
    Marie enlève le bouton de son pantalon, puis la braguette, et l’enlève laissant apparaitre la petite tâche de mouille dans la culotte rose, un peu honteuse que Théo puisse la voir.  Elle s’allonge et voit Théo s’approcher d’elle, avant de lui tâter le ventre. — Tu ressens quelque chose ici ?— non
Il descend un peu plus bas.— et ici-non plus, mais en dessous du nombril... halète Marie.
Il descend ses mains entre le nombril et la culotte.— et là — Oui, surtout plus bas, c’est chaud et ça fait du bien..., elle ferme les yeux, aspiré par sa libido.
Théo commence alors masser le bas du ventre, au-dessus du mont Vénus, en fixant tour à tour la tâche de mouille, et les seins pointus. Marie gémit doucement, elle sent les mains de Théo réchauffer peu à peu sa fente. Bientôt la cyprine coule et agrandit peu à peu la tâche dans la culotte.
— Oooh ouiiiiii.... murmure Marie, plus bas, plus bas... Il s’exécute, arrivant en haut de la fente, il sent le clitoris gonflé qu’il caresse doucement par-dessus le tissu humide, les mouvements de bassin de Marie accompagne ses caresses. Son pantalon se déforme légèrement avec son début d’érection. Il sent alors la main de Marie s’accrocher à sa cuisse, et doucement remonter vers son entrejambe. Elle malaxe son pantalon, faisant grossir son membre. Théo n’en peut plus, il n’a jamais bandé aussi dur, il attrape un des seins de Marie, qui sors le chibre du pantalon et commence à le branler.
— Ouiii vas-y, doigte-moi, dit Marie gémissante qui caresse Théo, Sur ces mots elle sent ses doigts descendre sur sa fente et faire des aller-retours entre son clitoris et l’entrée de son vagin. Sa culotte et rempli de mouille, ses seins sont malaxés par Théo, qui fait passer ses doigts sous sa culotte, massant sa vulve.
    Les deux halètent et transpirent. Des gémissements résonnent dans le cabinet vide. Marie branle énergétiquement le membre dur recouvert de liquide pré-séminal. Théo s’affaire sur les seins de Marie et sur son entrejambe. Il n’en peut plus, il n’a jamais ressenti autant de plaisir. Il place deux doigts devant l’entrée du vagin, et le fait rentrer d’un coup, facilité par la mouille.— Mmmmmmh, oh oui c’est trop bon... vas-y.
    Elle sent tout son corps électrisé, et s’active sur le pénis de Théo, elle accélère les aller-retours sur le gland et la base, et se synchronise au rythme es doigts dans son vagin. Et au bout de quelques instant le membre se tend, une fois, deux fois, puis déverse son sperme sur le corps de Marie. Elle sent le liquide chaud s’étaler sur tout son corps, les mains pleines de semence les étaler sur sa poitrine, massant ses seins tendus, elle non plus ne va pas tarder à jouir. L’index et le majeur de Théo font toujours des allers-retours dans son vagin, son pouce titille son clitoris et son autre main pince légèrement son téton mouillé par le sperme,— Mmmmh, oui, vas-y encore, plus loin plus vite ....... je vais jouir, encore, encore oooOOOOOUUUUUUUIIIII MMmmmmmmmmhMarie se cambre, sent son vagin se contracté et la mouille couler le long de ses jambes, avant de se laisser retomber sur la table essoufflée.
    Théo lui tend du sopalin sans rien dire, en se rhabillant. Marie se remet peu à peu de ses émotions, avant de lécher le sperme qu’il lui reste sur la main, elle ne peut pas s’en empêcher. Elle enlève sa culotte pleine de mouille, nettoie le sperme sur ses seins et se rhabille sans culotte.
— Tiens, je t’ai fait une ordonnance pour une prise de sang, et il y a mon numéro s’il y a quelque chose d’anormal, dit Théo, et tant que vous ne savez pas ce que vous avez, je vous conseille de suivre vos envies...
Il ne savait toujours pas s’il devait la croire ou non.— Merci, dit Marie en prenant la feuille et part discrètement, un peu honteuse.
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