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Une autre vie commence.

Chapitre 2

Invité à prendre un dernier verre.

Hétéro
L’angle du tapis recouvrant le sol glissa sous le pied de Josiane ce qui lui fit perdre l’équilibre. Ce qui changea la vue que Charles pouvait avoir depuis son siège. Pendant quelques secondes, il eut le plaisir de voir la forme rebondie des petites fesses de la jeune femme. Il l’entendit rire alors qu’elle se redressait, cela avait été rapide et il n’avait pu esquisser le moindre geste.
- Ça va ? J’espère que vous ne vous êtes pas blessée.- Oui, oui, tout va bien, je n’ai pas cassé les verres et la bouteille est intacte.- Ah ! Tant mieux...- Ha ha ha ! J’espère que le spectacle de mes acrobaties ne vous a pas choqué. Ce n’est pas tous les jours que l’on voit la lune en plein jour.- Non ! Pas du tout, si j’osais je dirais que cela a été plaisant. Pardon, ce n’est pas ce que je voulais dire.
Pendant qu’il finissait sa phrase, il se dit qu’il n’aurait pas dû la prononcer. En voyant le sourire qu’elle affichait, il se sentit rassuré. Elle avait pris place en face de lui, à présent ils étaient séparés par la table basse.
- Bien, il est temps de vous faire goûter ce nectar écossais âgé de vingt-cinq ans. Oui, il est nettement plus vieux que moi.
Tout en parlant, elle se pencha vers le petit meuble pour verser le liquide doré dans les verres. Cette bascule en avant offrit à son invité la possibilité d’en découvrir un peu plus. Par l’échancrure du chemisier dont les boutons supérieurs s’étaient libérés, il put voir la gorge pigeonnante. Les seins tenus dans un soutien-gorge en dentelle qui ne dissimulait rien. Pour pouvoir verser du whisky dans le second verre sans quitter son siège, Josiane venait d’écarter ses jambes. Ce mouvement lui permit de voir les jambes dans leur intégralité. Il pouvait deviner la forme du sexe de la jeune femme. Il ne pouvait détacher son regard, ses yeux allaient de la poitrine à l’entrejambe. Charles se dit que cela n’était dû qu’au hasard, il se racla la gorge pour essayer de garder contenance.
- Ah ! Si peu ! Bien, je pensais que vous en vouliez plus.
Tout en parlant, en souriant, elle avait redressé sa tête pour le regarder dans les yeux. Il se racla à nouveau la gorge pour se donner un peu de temps.
- Excusez-moi, cela me grattait dans le gosier. Oui, versez-m’en un peu plus. Voilà ! C’est parfait, merci.
Tout en souriant, il lui avait répondu. Cette jeune femme l’émoustillait, il sentait son sexe changer de dimension. Il espérait qu’elle n’avait pas remarqué son manège et que son début d’érection passait inaperçu. D’une certaine manière, il s’en voulait, il avait invité sa secrétaire dans le but de se prouver qu’il était capable de réagir. Il ne voulait pas que cela dégénère parce que cela risquait de poser quelques problèmes relationnels par la suite.
- Trinquons si vous le voulez bien. Ah mince ! Ces satanés boutons sont sortis des boutonnières.- Oui à notre santé et à la bonne soirée que nous avons partagées. Ce n’est pas bien grave, ne vous en faites pas.
La découverte de l’ouverture béante semblait gêner Josiane qui s’apprêtait à la refermer quand Charles lui répondit. De voir que son patron ne s’en offusquait pas, en souriant la jeune femme reprit son verre pour trinquer. Combien de verres avaient-ils bus ? Charles n’avait pas tenu le compte. Tout ce dont il était certain, c’est qu’il ne pouvait conduire. Josiane, qui était déjà volubile à jeun, était maintenant un véritable moulin à paroles. Il se mit à rire quand il se rendit compte que le whisky avait eu raison de sa libido. Il se dit qu’à cette heure tardive, il ne risquait pas de mettre en péril leur relation professionnelle.
- Charles, puis-je vous poser une question ?- Oui, bien sûr, allez-y, nous avons tout notre temps. Je pense que j’ai vraiment trop bu. Je ne vais pas pouvoir conduire avant un bon moment.- Me direz-vous ce que vous pensez vraiment ?
Malgré l’alcool, leur conversation avait conservé un ton très correct, voire mondain. Et ce même quand les propos furent très légers ou badins.
- D’accord, je me lance..., trouvez-vous que je suis squelettique et ma silhouette sans formes ?- Bien sûr que non ! C’est une idée bizarre, vous êtes une très jolie jeune femme.- Vous ne me dites pas ce que vous pensez vraiment. Pendant quelque temps, j’ai eu un copain. Enfin si je puis dire, parce qu’il n’y a jamais rien eu entre nous. Une fois, nous sommes allés au bord de mer pour nous baigner.- Hé bien, je ne vois pas quel est le problème.- Je crois que je suis vraiment pompette. Sinon, je ne sais pas si j’aurais osé parler aussi librement. Tant pis, je vais vous dire ce qui m’ennuie. J’ai eu un petit copain qui m’a dit que j’étais mal foutue.
Souriant toujours, elle lui faisait face, mais elle s’était redressée sur son siège, se tenant le dos bien droit. Il la regardait en se disant qu’elle était vraiment une jolie jeune femme et que l’olibrius l’avait vraiment déstabilisée.
- D’après ce que je peux voir, je vous certifie que vous avez tout ce qu’il faut là où il le faut. Votre visage est très agréable à regarder. Vos cheveux châtain clair, vos yeux noisette et votre sourire annoncent que vous êtes une belle personne.- Il m’a dit que j’avais des jambes comme des crayons, que mes fesses sont plates et que je n’ai pas de hanches. La cerise sur le gâteau est que ma poitrine est minable et qu’elle ne produira jamais de lait.- Josiane, je vous rassure, vous êtes belle et plus d’un homme irait décrocher la lune pour vous, vous êtes magnifique de la tête aux pieds. Oui, vos seins, vos fesses, vos hanches sont harmonieux et bien équilibrés. Vous êtes très attirante, c’est le moins que l’on puisse dire.
La jeune femme le regardait affichant un sourire déformé par un petit rictus annonciateur d’une crise de larmes.
- Oui, c’est ce que je pense vraiment.- Comment pouvez-vous dire ça, vous ne les avez pas vus ? Ce n’est pas gentil de me faire ce genre de réponse.
Il regardait la jeune femme lui faisant face en se disant qu’il était sur un terrain glissant. Maintenant, elle lui montrait un visage défait avec un regard embué de larmes. Visiblement, le jeune crétin avait laissé une trace de son bref passage. Charles se dit qu’il pouvait peut-être rendre service à la jeune femme en allant plus loin dans ses propos. Il trouvait cela risqué, mais il se dit que d’un autre côté il aurait peut-être l’occasion de voir les trésors cachés de Josiane.
- Je vous le promets, je vais essayer de vous le prouver. J’ai une idée un peu osée, mais je ne sais pas si cela ne va pas vous blesser ou vous offusquer.
Semblant indécise la jeune femme le regardait tout en s’essuyant le bord des yeux. Charles sentait que les effets de l’alcool s’estompaient, il se dit qu’il devait en être de même pour Josiane. Avant d’exposer le fond de sa pensée, il attendrait qu’elle le lui dise sans détour.
- Hum ! Je pense deviner ce que vous allez me dire. Je tiens à vous dire que j’ai beaucoup aimé cette soirée. Je vous en remercie, j’aimerais qu’elle soit suivie par d’autres.- Sur ce point-là, nous sommes d’accord tous les deux. Poursuivez Josiane, je vous en prie.- D’accord ! Je vais tout vous montrer, j’espère que vous serez honnête avec moi.
Il ne s’était pas attendu à une évolution aussi rapide de la tournure de cette discussion. Son sexe était de plus en plus contraint dans son slip, l’excitation le gagnait. Ses pulsations cardiaques venaient de s’accroître ; Charles la vit se lever et sans plus attendre, elle commença à se dévêtir en face de lui. Ce n’était pas un effeuillage, elle se déshabillait tout en le regardant en lui adressant un sourire timide. Le chemisier enlevé fut rapidement suivi par la jupe du tailleur. Il la voyait maintenant en sous-vêtements.
- C’est bien ce que je vous disais, vous êtes magnifique. Vos jambes sont longues et bien dessinées, les pieds sont jolis. Le bassin et la taille sont harmonieux, vos fesses sont bien rebondies et votre poitrine est magnifique. À mon avis, vous faites du quatre-vingt-cinq B.
Pendant qu’il s’exprimait et avait fait une rotation pour lui montrer les deux faces. Charles se dit qu’elle avait eu affaire avec un trou du cul. Il trouvait la jeune femme très belle, la voir en tenue légère cela l’excitait davantage. Il avait oublié la différence d’âge et la sale impression d’être un vieux barbon attiré par de la viande fraîche.
- Comment as-tu deviné la taille de mon soutif ? Mes seins sont petits, trop petits.- La chance est de mon côté, je t’assure que ta poitrine n’est pas petite. Même quand tu seras vieille, ils seront toujours aussi fermes. En plus d’être jolie, elle est normale et je la crois capable de fonctionner. Tu as simplement rencontré un crétin.
Charles n’avait pas été vraiment surpris du tutoiement soudain, après tout l’alcool aidant c’était dans l’ordre des choses. Sur le visage de Josiane, le sourire était de retour et son regard pétillait à nouveau. La jeune femme contourna la table basse pour se pencher vers lui.
- Je suis contente de savoir que tu le penses vraiment. Oui, même si j’ai tendance à penser que tu es un sacré baratineur. Merci beaucoup, tu es un amour.
Il s’attendait à une bise sur la joue, elle lui déposa un baiser sur la bouche. Ce contact inattendu lui fit l’effet d’une décharge électrique. Il avait été surpris par la rapidité du geste et il n’eut pas le réflexe de rendre la caresse. Il avait son cerveau en ébullition et son sexe trop à l’étroit dans son sous-vêtement lui faisait mal. Il craignait maintenant rompre cet instant qui lui semblait magique. Josiane s’était redressée, mais sans s’éloigner, sans réfléchir il posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, puis lui déposa un baiser sur le ventre.
- Aaaah... !
En même temps qu’il l’avait entendu gémir, il l’avait senti frémir au même moment que lui. En passant un bras autour de son cou, Josiane se laissa choir sur lui. L’esprit de Charles lui disait que ce n’était peut-être pas une bonne idée, mais son corps aspirait à ce contact. Ses bras s’étaient naturellement placés autour de la jeune femme. Dans un même élan, les deux têtes s’étaient rapprochées pour échanger leur premier baiser. Pendant que leurs langues luttaient et faisaient connaissance, la main gauche de Charles caressait le sein se trouvant à sa portée. De sa main libre il caressait les jambes de la jeune femme. Depuis qu’elle s’était quasiment assise sur son sexe, elle pouvait vérifier qu’elle lui faisait de l’effet. La pression des fesses rendait par moment la situation légèrement douloureuse, pourtant il ne faisait rien pour y échapper. En dehors des quelques petits gémissements et des bruits mouillés, le silence régnait dans la pièce. Cet échange dura de longues minutes, Josiane semblait vouloir le faire durer. Charles était étonné, cela contrastait avec ce qu’il avait connu, mais il s’efforçait de répondre à cette fougue. Ce fut elle qui interrompit la caresse, sans se libérer de l’étreinte elle s’écarta en souriant.en souriant.
- Merci pour ce baiser, tu es trop gentil, j’en rêvais depuis le premier jour. - Pourtant, ce que tu m’as dit auparavant...- Oh, ça ! Oui, tout cela est vrai, il me l’a bien dit.
Charles la regardait d’un air interrogateur, mais avec son érection il avait un peu de mal à rester concentré. Sa main gauche tenait le sein bien empaumé, il sentait sous ses doigts le fin tissu de dentelle du soutien-gorge.
- Ha ha ha ! Au moins, je constate que ta main a trouvé son bonheur, même s’il est petit.- J’aime t’entendre rire, c’est un son agréable. Je préfère les petites poitrines, je veux dire par là que les grosses mamelles ne me plaisent pas.
En guise de réponse en soupirant Josiane se serra contre lui. Charles goûtait le plaisir de ce paradoxe, il tenait entre ses bras une fille quasiment nue alors qu’il était vêtu de la tête aux pieds. La situation avait évolué par petites touches, c’était agréable et il ne voulait pas briser le charme. Cela fait déjà un bon moment que son excitation était à son comble, il se sentait au bord de l’éjaculation. Accrochée à son cou, elle se frottait contre lui en souriant, les yeux fermés. Il lui fallut quelques instants pour comprendre que cette ondulation lascive allait les conduire vers le plaisir. Charles avait l’impression de retourner dans le passé vers ses premiers émois et la découverte du plaisir partagé. Il posa ses lèvres sur la bouche de sa partenaire, les lèvres s’ouvrirent pour laisser le passage à sa langue fureteuse. Pendant qu’il engageait ce petit duel, il entendit la respiration de Josiane s’accélérer. Il n’était pas besoin d’être devin pour savoir qu’elle allait prendre son plaisir. Elle lui rendait son baiser avec fougue, tout en augmentant ses mouvements de bassin et la pression sur son bas ventre. Simultanément, les lèvres soudées, ils furent emportés par un puissant orgasme. Leur étreinte s’étant relâchée, ils furent pris d’un fou rire qui les mit hors d’haleine. Toujours dans les bras l’un de l’autre ils restèrent silencieux pendant une bonne minute. Charles était abasourdi, c’était la première fois qu’il vivait ce genre de chose. Tel un adolescent boutonneux devant son premier film pornographique il venait d’éjaculer dans son slip.
- Je constate que tu n’as pas lâché mon sein.
Il la regarda en souriant tout en lui agaçant le téton à travers le tissu léger.
- Dis donc ! Coquine, tu m’as entraîné sur le terrain où nous n’étions pas censés aller. Je pense que tu dois être une sorcière, tu as réussi à nous envoyer jusqu’au septième ciel. As-tu versé un breuvage dans ma boisson ?
Avant de répondre, Josiane lui inséra sa langue dans la bouche.
- Si tu penses que ma salive est un philtre d’amour, alors oui, je suis une sorcière. Je suis ravie que nous ayons joui tous les deux. Cela fait longtemps que je rêve d’un moment comme celui-là.- Ha ha ha ! Une très jolie sorcière en tout cas. C’est donc pour ça que ton travail est toujours bien fait. Qu’attendais-tu ?- Tu m’as plu dès mon premier jour de travail à la banque.
Il vit les joues de Josiane rosir, il était profondément touché par l’aveu qu’elle venait de lui faire. Il n’en revenait pas, il n’avait rien perçu dans le comportement de la jeune femme. Il se dit qu’en raison de ses responsabilités et les emmerdements conjugaux il n’y avait pas eu de place dans son emploi du temps.
- Cela fait plus de deux ans et je n’ai rien vu du tout.- Madame Mado m’a bien avertie en insistant sur le bon caractère de la femme du directeur financier.- Pfiou ! Tous les employés sont donc au courant de mes déboires.
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