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Une autre vie commence.

Chapitre 3

Tombé sous le charme de la séductrice.

Hétéro
Apprendre qu’il avait tapé dans l’œil de la jeune femme flattait son orgueil masculin. Par contre, savoir que le personnel était informé de ses déboires cela l’enchantait beaucoup moins. Puis, il se souvint du caractère particulier de son ancienne secrétaire ce qui l’incitait à penser que les risques de fuites étaient limités aux bureaux des dirigeants. Ce qui réduisait de façon drastique le nombre de personnes informées. Depuis quelques secondes il regardait Josiane en se disant qu’en plus d’être belle et discrète, elle était fine mouche. Ce faisant, le sourire avait disparu de son visage, il avait retrouvé le sérieux qui était habituellement le sien.
- Que se passe-t-il, Charles ? Ai-je dit quelque chose qui t’a froissé ?
Il se passa quelques secondes avant qu’il ne sorte de sa réflexion. Ce ne fut qu’en voyant le regard inquiet de la jeune femme qu’il réagit en éclatant de rire.
- Ha ha ha ! Bien sûr que non ! Tu n’es pas en cause, oui d’une certaine manière.- Ah bien, puis-je savoir ce qui te turlupine ? Il ne faut pas te tracasser, je n’aime pas les ragots et je n’en colporte pas.- Oui ma belle, je suis certain de ça. Par contre, je ressens une certaine gêne.
Josiane le regardait en écarquillant les yeux ne sachant pas où il voulait en venir. Le tenant par le cou elle le regardait avec attention, puis en riant elle se leva brusquement.
- Ha ha ha ! Oui ! Moi aussi je n’aime pas ce contact du tissu humide et pégueux. Viens, allons nous laver.- Oui, c’est vrai, je n’aime pas du tout cette sensation. Là, tu es fautive.
Elle lui avait pris la main pour l’entraîner vers la salle de bain. En riant, Charles se laissait conduire, en la suivant il découvrit au passage les quelques pièces composant l’appartement. Il avait compté cinq pièces bien agencées et de dimensions confortables. Josiane ne lui libéra la main qu’après l’avoir fait entrer dans la salle d’eau.
Un éclairage suffisant et un grand miroir permirent à Charles de découvrir le corps de la jeune femme. Une fois dans la pièce, sans attendre Josiane entreprit de lui déboutonner la chemise. Il voulut en faire de même avec l’agrafe du soutien-gorge, en riant elle lui mit une tape sur la main.
- Non ! Attends ! Nous ne sommes pas à égalité.- Bon, bon d’accord, c’est toi le chef.
Pendant qu’elle lui retirait sa chemise, il en profita pour caresser les seins de la jeune femme qui en riant essayait d’éviter les doigts fouineurs. Elle voulait être à égalité, il attendit donc qu’elle lui retire son pantalon, ses chaussures et ses chaussettes.
- Ah oui ! Je vois, monsieur s’est un peu sali. Si j’en crois l’auréole, le contact n’est pas agréable.
- C’est toi la fautive et je dois dire que tu n’es pas en position de me critiquer. Bien, j’ai suffisamment patienté, je vais libérer ce que tu caches derrière de la dentelle. Ils seront mieux en liberté.
Joignant le geste à la parole il défit le soutien-gorge pour aussitôt caresser les seins aux tétines bien érigées. Il s’était occupé du haut, Josiane venait de libérer le bas.
- Hum ! Je le trouve mimi et un peu perdu dans cette broussaille. J’avais un peu peur que tu ressembles à un ours. Ce n’est pas le cas. Hum ! Je ne savais pas que le sperme avait cette odeur.- Ha ha ha ! Non, je n’ai pas de fourrure, il y a seulement quelques poils ici ou là. En attendant, je suis ravi de constater que tu as une très jolie poitrine. Tu es très belle. À mon tour, j’ai hâte de découvrir ce que cache ta petite culotte.
Il eut un temps d’arrêt, d’entendre parler de l’odeur de son sperme l’avait surpris. Depuis le début de la soirée, il avait trouvé qu’elle était réservée et même un peu timide. Il comprit que cela allait plus loin que cela, Josiane était vraisemblablement plus inexpérimentée qu’il ne l’avait pensé. Il se souvint de sa dernière expérience avec Liliane ; cette dernière s’était carrément jetée sur lui.
- L’odeur de mon sperme ? Que veux-tu dire par là ?- Ben..., euh, c’est-à-dire que je ne l’ai jamais fait... l’occasion ne s’est pas présentée.- Jamais fait ? Tu es en train de me dire que je suis le premier.
La jeune femme qui était toujours accroupie à ses pieds, toute rougissante avait levé la tête pour lui répondre. Elle lui adressa un sourire timide comme pour s’excuser de ce qu’elle venait de lui annoncer. Charles était déstabilisé, dès le premier instant il avait su que la jeune femme n’était pas une dévergondée. Il avait donc fait en sorte de ne pas brusquer les choses afin que cela évolue au rythme qu’elle définirait.
- Oui, excuse-moi, j’espère que tu ne m’en voudras pas.- Mais non, je ne t’en veux pas. Je suis seulement surpris. Ha ha ha ! Ce n’est pas comme un entretien d’embauche où l’on relie le curriculum vitae. Tu es jolie comme un cœur et tu me dis que tu es vierge.- Est-ce bien vrai ?
Elle s’était levée brusquement pour lui sauter au cou et l’embrasser avec fougue. La langue de la jeune femme venait de forcer le passage des lèvres prenant possession de la bouche de son partenaire. Charles frissonna en sentant les tétons érigés se frotter sur sa poitrine. Il subissait avec un plaisir grandissant le baiser qu’elle lui imposait. Il profita de la situation pour faire glisser le dernier rempart sur les cuisses de la jeune femme. Ses mains parcouraient le nouvel espace libéré pour aller à sa découverte. Il avait fermé ses yeux dès le début de cet assaut amoureux. Ses mains palpaient et les doigts s’inséraient dans les plis multiples rencontrés. Ces petites intrusions généraient des gémissements à chaque fois qu’une zone sensible était atteinte. En caressant les deux lobes, il se dit que ses fesses étaient bien musclées et galbées. Comme Josiane tenait son ventre plaqué contre le sien, il dut insister pour pouvoir introduire sa main entre eux. Il l’a senti frémir puis gémir au contact de ses doigts. Cela l’amusa de constater qu’ils étaient tous deux poisseux et humides. Sa main prise entre les deux pubis, il venait de découvrir l’absence de poil sur sa partenaire. Maintenant il comprenait un peu mieux la remarque qu’elle avait faite. C’était une nouvelle expérience qu’il trouvait très agréable. Ses doigts finirent par rencontrer le petit capuchon, rapidement il la sentit onduler. Charles trouvait cette situation très excitante, d’autant plus excitante que sa verge venait de retrouver toute sa vigueur. Chose qui ne lui était plus arrivée depuis très longtemps. Il s’appliquait à caresser ce sexe qu’il devinait petit et bien dessiné. À entendre ses gémissements, il savait qu’elle n’était pas loin d’être submergée par une vague de plaisir. De sa main restée libre, il reprit les caresses sur le sillon fessier jusqu’à sentir sous ses doigts la rosette de Josiane. La combinaison des deux gestes déclencha un orgasme qui lui fit lâcher sa bouche. Elle venait de crier son plaisir tout en inondant ses doigts de cyprine. Il fut surpris que cette jouissance soit aussi communicative, il avait éjaculé au même moment. Confusément, il pensa que cette fille avait un don pour lui donner du plaisir sans le toucher directement.
- Ouiii ! Oh que c’est bon ! C’est divin !- Ha ha ha ! Petite coquine, tu sais vraiment y faire. J’ai joui encore une fois.- Merci beaucoup,- Merci ? Pour quoi ? Je me suis contenté de prendre ce que tu m’offrais.- Merci de n’avoir pas profité de la situation.- Je n’avais, je n’ai pas l’intention de te prendre comme un hussard. Je suis conscient de l’importance que cela a pour toi. Nous ferons cela quand tu le désireras et pas avant.- Je suis très contente, je ne me suis pas trompée, viens, il est temps de nous laver.- Oui, c’est vrai, nous sommes ici pour prendre une douche.
Josiane venait de lui tourner le dos pour se diriger vers la douche à l’italienne, ce qui permit à Charles de découvrir ce que ses doigts venaient de visiter.
- Hum ! C’est un bien bel abricot que je vois là. Joliment dessiné et entièrement lisse. Je dois avouer que te voir entièrement nue c’est un régal pour les yeux. Tu es belle comme un cœur.- Au lieu de dire des bêtises, entre dans la cabine pour te laver mon petit cochon.
Il saisit la main qu’elle lui tendait pour l’inviter à la rejoindre. En pénétrant dans la cabine de douche il se dit que le destin faisait bien les choses. Il vivait des moments plus agréables les uns que les autres. Cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas senti aussi bien. Quelques minutes auparavant, elle lui avait avoué être tombée sous le charme dès la première seconde. Lui au contraire l’avait ignorée jusqu’à ce matin et maintenant il la découvrait. Le moins qu’il pouvait en dire, c’était qu’elle lui plaisait, tant au physique qu’au moral. Il la trouvait fine et élancée, la voir évoluer devant ses yeux le ravissait et son sourire le faisait fondre.
- Hé ! À quoi penses-tu ? - Hein ? Euh, à toi je te regardais. Je trouve que tu as un corps bien dessiné et équilibré. Je suis très chanceux de pouvoir admirer toutes ces jolies choses que tu me montres.- Au lieu de dire des bêtises, frotte-moi le dos.- Ce ne sont pas des bêtises, c’est ce que je ressens. Je vais te laver de la tête aux pieds, mes mains ont envie de faire connaissance de cette peau si douce.
Après avoir pris une noisette de savon liquide parfumé, Charles commença à savonner la jeune femme. Il avait commencé cette exploration tant attendue par ses mains. Tout en s’activant, il souriait et de temps à autre il déposait un baiser sur la peau. Pendant que Josiane se laissait faire, il se dit que ce genre de jeu était nouveau et il aimait cela. Au passage, ses doigts avaient effleuré à plusieurs reprises des zones sensibles ce qui avait provoqué des frémissements de plaisir assortis de petits cris. Ce fut bientôt son tour et il se rendit compte qu’elle l’imitait en tout point. Une fois encore, Josiane réussit à réveiller le sexe endormi et le conduire à une éjaculation. Pourtant il n’éjacula pas à la suite de cette jouissance qui le fit crier de plaisir. Ce constat la fit rire, il se sentait épuisé et content.
- Si tu continues de la sorte mon cœur risque de ne pas résister.- Ha ha ha ! Ton cœur ne risque rien, tu es encore jeune, en pleine forme. Tu as simplement épuisé toutes tes réserves. Je pense que ton oiseau a besoin de repos. Il est temps de nous rincer, de nous sécher et de dormir un peu.- Oui, il est tard ou tôt, tout dépend de la façon de voir les choses... Mince !- Quoi ? Ah oui ! Tant pis pour toi, tu auras les fesses à l’air dans ton pantalon demain. Mes culottes sont trop petites pour toi.
Quelques instants plus tard, ils étaient allongés sur le lit dans la chambre de la jeune femme. Charles s’était attendu à une pièce meublée façon jeune fille célibataire, il n’en fut rien. Dans cette pièce aussi l’ameublement était de qualité et de bon goût. Il se dit que pendant ces années il n’avait pas soupçonné la présence d’une perle à ses côtés. Pour pouvoir mieux la regarder, il s’était mis sur le flanc en soutenant sa tête avec sa main. Il la regardait pendant que de sa main libre il caressait le corps de la jeune femme. Le visage tourné vers lui elle lui souriait en le laissant faire. Il se sentait fatigué, mais il ne voulait pas s’abandonner dans les bras de Morphée. C’était un jeu silencieux, elle s’offrait à ses caresses, elle avait écarté ses jambes pour lui faciliter l’accès à son sexe. Ses doigts ne savaient où aller, ils passaient des mamelons au pubis, titillaient, agaçaient, revenaient repartaient. Une fois encore il revint sur la vulve pour y faire une caresse plus appuyée, cette fois une main autoritaire l’en empêcha.
- Ce n’est pas encore le moment, je ne suis pas prête. Sois sage, dormons un peu.
Le message était clair, il fallait répondre aux attentes de la dame. En se redressant un peu il lui déposa un baiser sur la bouche en lui caressant les seins. Il s’endormit la main sur la jolie poitrine.

En s’éveillant, il lui fallut quelques secondes pour réaliser qu’il n’était pas dans sa chambre. Instinctivement, il se passa la main sur le visage, le contact rugueux lui indiqua la nécessité d’un bon rasage. En regardant autour, Charles se rendit compte qu’il était seul dans la pièce. Il se souvenait en détail de la soirée et de la nuit précédente. Il se dit qu’il devrait donc aller jusqu’à la salle de bains pour y récupérer ses vêtements. Si la veille il avait pensé éviter de mêler l’affectif et le travail, ce matin il était très content que cela se soit produit. Il ne savait pas trop pourquoi, mais cela le satisfaisait, il était un autre homme. « Josiane est jeune, jolie et très intéressante. »
- Coucou ! As-tu bien dormi ? À qui parlais-tu ?- Coucou mon petit cœur ! Oui, j’ai dormi comme un bébé. Je ne parlais à personne, je me suis exprimé à haute voix.- Puis savoir ce que tu disais, de quelle chose inintéressante s’agit-il ?- Ha ha ha ! Ce n’est pas ce que j’ai dit, bien au contraire ;- Ne me fais pas languir alors.
Par prudence, il aurait préféré ne pas répéter ce qu’il avait prononcé quand il se sentait seul. Il se disait que c’était peut-être un peu tôt pour dire ce genre de choses à la jeune femme. En sortant d’une union un peu trop volcanique à son goût il avait envie de rester prudent. Elle venait d’entrer dans la pièce et le regardait en souriant. En constatant qu’elle était vêtue d’une jupe bleue ample et d’un corsage assorti, il se souvint qu’il était encore nu. D’un réflexe qu’il jugea puéril, il plaça ses mains devant son sexe.
- Je m’apprêtais à me rendre à la salle de bain. Je vais devoir me raser le visage. Je trouve que cela fait sale quand les hommes ne se rasent pas.- Oui, c’est vrai, petit coquin. Les mecs qui ne se rasent pas font crados, mais de nos jours on voit de tout, n’est-ce pas ?- As-tu un rasoir ? Je suppose que non.- Je n’ai que celui qui me sert de temps à autre quand je n’ai pas le temps d’aller chez l’esthéticienne. Je dois préciser qu’avec une épilation définitive il ne me sert plus.- Bien, je m’en contenterais.
Josiane souriant toujours le regardait en secouant la tête, Charles eut le sentiment d’être un enfant pris en flagrant délit de mensonge.
- Tss-tss ! Tu n’es pas un patron pour rien. Tu sais noyer le poisson sans répondre. Ce n’est pas ce que je te demandais. Allez mon petit chéri, que disais-tu quand je suis entrée. Tu sais, tu peux les retirer, je l’ai déjà vu. Je l’aime beaucoup, même si je n’apprécie pas les poils qui le dissimulent.
D’un geste doux et lent, tout en le regardant dans les yeux elle écarta les mains qu’il tenait devant son sexe. Ce mouvement lui fit percevoir qu’il était en érection. Il se racla la gorge comme pour éclaircir sa voix avant de répondre.
- Euh ! C’est que... bon ! Je disais simplement que tu es jeune, jolie et très intéressante.
Elle le regardait fixement, attendant visiblement des précisions sur ce qu’il venait de lui répéter. Il hésitait, mais le sourire et les yeux couleur noisette l’incitaient à poursuivre.
- C’est tout ?- Bon ! D’accord ! Jeune, jolie, tu l’es, intéressante aussi. Tu me plais énormément, euh..., c’est comme si tu m’avais ensorcelé.- Ha ha ha ! Tu es un garçon compliqué, pourquoi ne dis-tu pas simplement les choses ? Je suis amoureuse de toi depuis le premier jour.
Charles voyant pétiller son regard et entendant son rire cristallin se sentait fondre, il ne put que hocher de la tête. Oui, ce qu’il ressentait pour elle, étrangement c’était de l’amour. Pourtant il ne se sentait pas prêt à le lui dire. Par certains côtés, cette jouvencelle l’intimidait.
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