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Une autre vie commence.

Chapitre 8

Un petit passage chez l'esthéticienne.

Hétéro
Cela faisait une semaine que le jeune couple vivait ensemble sans heurt et sans complication, ils ne se quittaient plus. Charles appréciait cette nouvelle vie souvent ponctuée par des ébats amoureux. Contrairement à ce qu’il avait pensé, la surface beaucoup plus restreinte de l’appartement de sa nouvelle copine lui convenait. Ils n’avaient pas eu besoin d’en discuter ou d’aborder le sujet, ils partageaient toutes les tâches ménagères. Il se dit que pour résumer la situation il était content de vivre avec elle dans l’appartement hérité de sa grand-mère. Le souvenir de la première journée où ils étaient arrivés quasiment en même temps dans la banque le fit sourire. Installé confortablement sur un fauteuil, il appréciait cet instant.
- À quoi penses-tu mon amour ? À voir ton sourire, ce n’est pas désagréable.- En effet, mais en ta présence les choses sont toujours plaisantes.- ...- J’y venais, je nous revoyais entrant dans la banque à quelques minutes d’intervalle. Je ne sais pas si notre manège passera inaperçu bien longtemps.- Ha ha ha ! Que les autres sachent que tu sautes ta secrétaire, cela ne me dérange pas du tout. Je t’appartiens et tu es mien.- Ho ho ! Ça ! Ma douce je l’ai compris dès le premier instant.
Il avait le regard tourné vers la fenêtre quand Josiane entra dans le salon. Le positionnement du siège faisait qu’il n’aurait pu la voir. D’un bras elle lui entoura le coup pour lui déposer un baiser sur la bouche. De sa main libre elle lui caressa l’entrejambe.
- Hum ! Ma jolie coquine, je sens que cela va dégénérer si tu persistes dans cette voie.- Oui, tu as raison, je vais tâcher de rester sérieuse. Tu te souviens de mon escapade samedi pour me rendre à la maison.- Bien sûr, je suis resté seul trois heures, mais cela a été rapide. Tes parents ont dû te poser des questions en tous genres.- En effet, c’est pourquoi je voulais te demander si tu voyais un inconvénient à officialiser notre situation.
Tout en discutant Josiane avait fait le tour du siège pour s’installer sur les jambes de Charles. Auparavant, comme à son habitude en rentrant du bureau elle avait passé une robe de chambre légère. Elle lui faisait face, les talons sous les fesses et les cuisses écartées. Charles sourit à pleines dents en découvrant le spectacle offert à son regard. Les pans de la robe de chambre s’étaient écartés, laissant apparaître la jolie culotte blanche portée par la jeune femme. La ceinture restée en place gardait le haut du vêtement fermé limitant la vision à la partie basse.
- Ha ha ha ! C’est cela que tu appelles rester sérieuse ! Ceci dit, j’adore ce que tu me montres, je t’aime ma princesse coquine. J’aime d’autant plus que ton bel abricot se dessine bien derrière ce tissu qui a bien de la chance.- Mon chéri adoré je suis ravie que cela te plaise, mais ce n’est pas volontaire. Si tu le veux bien, revenons à nos moutons, que désires-tu officialiser ? Je vis déjà chez toi, alors...- Mes parents n’ont pas de doute à propos de mes sentiments envers toi. Dans le passé, j’ai tellement parlé de mon patron, qu’ils en sont conscients. Non, non, tu n’auras pas à demander ma main. Même si à la maison nous respectons les traditions, certaines choses sont obsolètes. Je veux tout simplement leur dire que nous vivons ensemble. Le reste suivra naturellement.
En affichant un air mi-sérieux, mi-enjoué, Josiane le tenait par les épaules en le secouant légèrement. Se donnant le temps de faire une réponse il la regardait en souriant. Il n’était pas surpris, la question lui était posée un peu plus tôt qu’il ne l’avait pensé. Dans son pantalon, il sentait que la proximité l’émoustillait. En baissant les yeux, il vit qu’une tache sombre venait de faire son apparition sur la soie. Il réprima un rire en pensant que le corps de Josiane réagissait comme le sien. Il lui souriait tout en tentant de prendre un air sérieux.- Tu sais pertinemment que je ne suis pas capable de te refuser la moindre des choses. Tu peux donc dire à Marie-Louise et Antoine que leur fille vit avec son patron et qu’elle l’a invité chez elle.
À peine avait-il terminé sa phrase qu’elle l’empêcha de poursuivre en l’embrassant. Elle avait mis tellement de fougue dans le mouvement qu’un des pieds du fauteuil céda sous le poids imposé. Il était calé contre le dossier rembourré et Josiane ne l’avait pas lâché. Seule leur position avait changé et leurs langues luttaient amoureusement l’une contre l’autre. Le baiser dura longtemps avant qu’elle ne le libère.
- Ouf ! Petit monstre, tu as réussi à faire céder au moins un pied. C’est dommage un si joli fauteuil, ta grand-mère n’aurait certainement pas apprécié. Hum ! Même sous cet angle madame est jolie.
En riant, elle l’aida à se relever en lui disant qu’elle connaissait un ébéniste qui saurait remettre en état ce meuble ancien.
- Ah ! Monsieur le directeur, j’ai oublié de vous dire que j’ai annulé tous tes rendez-vous pour demain.
Il la regarda d’un air étonné, il n’avait pas vu venir cette initiative. Il se demanda à quel moment elle avait pu prendre ces dispositions.
- Euh ! ... Ah bon ? Quand as-tu fait ça ?
Surpris, il observait les yeux noisette pétillants de malice. Faisant durer le plaisir la jeune femme venait de remettre un peu d’ordre dans sa tenue.
- Ben, ce matin pendant que tu étais chez le PDG en visioconférence avec la maison mère. Ne t’en fais pas mon amour, tout est cadré, il n’y aura aucun souci. J’allais oublier, cela revient à dire que nous aurons un jour de repos en milieu de semaine.- Toi alors ! Et puis-je en connaître la raison ?
Josiane s’approcha de lui et après avoir déboutonné le pantalon les fit descendre sur les chevilles en même temps que son slip. Il sentit qu’elle lui passait les doigts sur le pubis à contre-poil. Cette caresse qui aurait dû être agréable lui fit ressentir des picotements.
- Oui, je le savais bien que les poils repoussent rapidement, mais prendre la journée pour ça, ce n’est pas très sérieux. Un peu de savon et un coup de rasoir devraient suffire.- Tu n’y es pas du tout mon amour. Je t’ai pris un rendez-vous chez mon esthéticienne.- Je dois dire que cela ne me tente pas.- Si je l’ai fait, tu dois pouvoir le faire. Tu as reconnu que c’est plus agréable quand c’est lisse.- Mais..- Pourquoi cette réticence soudaine ? Je ne te savais pas douillet à ce point. Oui, cela picote un peu, mais l’épilation au laser est très efficace.
Il ne voulait pas paraître craintif ou douillet, il garda le silence. Les mains de Josiane se promenant autour de ses parties génitales venaient de clore le sujet. Les doigts rapidement rejoints par une bouche gourmande réveillèrent complètement un sexe qui se manifestait déjà. Josiane qui le tenait maintenant par les fesses avala complètement le membre turgescent. Charles s’abandonnant à cette caresse sentait que les mains lui écartaient les lobes fessiers pour aussitôt sentir la pression sur son anus. Il sentait en même temps la bouche, la langue et les dents de son amoureuse parcourir sa verge. Presque en même temps, un doigt pénétra rapidement dans le passage qu’il venait d’élargir. Sentant arriver l’orgasme il gémissait de plaisir sous les multiples sollicitations. En caressant la tête de Josiane, avec son bassin il accompagnait les mouvements.
- Aaah ! Je viens !
Il ne pensait plus à rien, il se sentait heureux, cette nouvelle jouissance semblait lui avoir pompé toute son énergie. Quelques secondes plus tard, elle était debout contre lui pour l’embrasser. Une langue intrusive et pointue venait de s’introduire dans sa bouche. Charles se rendit compte que cette fois elle n’avait pas avalé son sperme. Elle avait fait en sorte pour qu’il en ait une grande quantité dans sa bouche. En répondant à son baiser il se dit que chaque jour elle s’arrangeait pour lui faire partager de nouvelles expériences. Après avoir desserré son étreinte, en s’éloignant un peu, elle lui sourit.
- Alors, comment trouves-tu ton nectar ? Moi j’aime beaucoup boire ton lait.- La première fois m’a un peu surprise, finalement ce n’est pas mauvais. Ha ha ha ! Du moment que cela vient de moi, il ne peut être que bon.- Petit prétentieux ! Bon, j’espère qu’il est excellent pour la suite.
Josiane venait de lui adresser un clin d’œil malicieux. Charles se dit que ce qu’elle laissait sous-entendre se clarifierait plus tard. Il renonça à interroger cette coquine qui tout en souriant, en douceur le conduisait par le bout du nez. Pour le moment, il préférait caresser ce corps dont les courbes le subjuguaient.

La veille, ils avaient fait une brève pause pour se restaurer. Leurs ébats amoureux s’étaient poursuivis tard dans la nuit. Après une nuit relativement courte, c’est Josiane qui le tira de son sommeil en lui caressant le sexe.
- Allez, il est temps de te lever ma grosse marmotte. Nous avons rendez-vous à neuf heures.- Bon, bon, je vais me doucher et me raser.- Uniquement le visage, dépêche-toi, j’ai servi le petit déjeuner.- Ce qu’une femme veut, Dieu le veut.
Il fit ce qui lui était demandé tout en ressentant un léger malaise ; il se dirigeait vers l’inconnu. Pourtant, d’une certaine manière cette aventure ne lui déplaisait pas. Il ressentait une légère excitation tout en pensant que c’était tout de même contradictoire. Avec Josiane, chaque jour lui apportait une surprise.
Depuis que la Jaguar était en réparation, ils avaient pris l’habitude de se déplacer avec la petite voiture. Charles trouvait plaisant de disposer d’un chauffeur aussi beau. Le trajet lui parut court, Josiane manœuvrait pour garer son véhicule sur un emplacement réservé rue Ferrandière.
- Voilà ! Nous y sommes, mon amie Agathe va faire en sorte que tu sois tout beau.
En sortant du véhicule Charles grimaça un sourire à l’intention de sa petite chérie. Là, il sortait des sentiers battus pour un homme de son âge.
- Allez, mon loulou, ne t’en fais pas. Tu n’es pas le premier à utiliser ses services. De nos jours, les jeunes hommes sont nombreux à faire appel à elle et utiliser ses services.- Tu considères donc que je suis encore suffisamment jeune pour bénéficier des soins d’une esthéticienne. Merci mon amour pour ta gentillesse
Il obtint un sourire en guise de réponse et comme à son habitude elle lui prit la main pour l’entraîner vers la porte du commerce. En découvrant une pièce relativement petite, il se sentit rassuré. Se retrouver dans un petit établissement lui indiquait que les gens venaient sur rendez-vous. La jeune femme qui les reçut en souriant le lui confirma indirectement en les conduisant vers ce qu’elle appela son laboratoire de perfection. Toujours tenu par la main, Charles se laissait guider. Il n’avait pas compris la moitié des mots prononcés, mais tant pis, il ferait avec. Après quelques explications supplémentaires la nommée Agathe sortit de la pièce pour lui permettre de quitter ses vêtements. Pendant quelques secondes, il avait cru que Josiane s’en irait elle aussi. En souriant, elle l’aida à se dévêtir, profitant au passage de lui octroyer quelques petites caresses qui le firent frémir.
- Non ! S’il te plaît, ne fais pas ça, je vais avoir une érection. Bander devant une inconnue, je trouve cela très gênant.- Ha ha ha ! Peut-être un peu au début, mais je pense que ton oiseau va ramollir rapidement.- Si je comprends bien, tu es ici pour surveiller le déroulement du travail.- Oui mon petit chéri, je ne voudrais pas que dans un moment de confusion tu t’égares. En plus, mon amie Agathe est très jolie, n’est-ce pas mon chou ?- Ce n’est pas le genre de femme que j’aime et elle a de gros seins.- Hou ! Le vilain garçon ! Tu n’aimes pas, mais tu as déjà remarqué qu’elle a de gros nibards.
Avant de lui fixer la serviette au tour des reins, en riant elle lui asséna une claque sur la fesse. Ce contact inattendu le fit frissonner, la situation était déjà moins désagréable qu’il ne l’avait imaginée. Josiane était vraiment une fine mouche et il aimait ça. Elle le poussa gentiment vers la table où elle fit s’allonger. Elle lui sourit, il lui rendit son sourire, au même instant l’esthéticienne revint dans la pièce.
- Bien, puisque vous êtes prêt, mettons-nous au travail. Je vais d’abord regarder l’étendue du chantier à venir. Josiane a certainement dû vous le dire, le nombre de séances dépendra de votre système pileux.
Entendre ce qualificatif le fit rire. Il trouvait grotesque cette comparaison. Josiane lui plaça un doigt sur la bouche.
- Oui, je sais, c’est risible, mais je n’utilise pas certains termes pour éviter les soucis éventuels.
Le doigt posé en travers de ses lèvres lui imposait de garder le silence. D’un geste vif la jeune femme lui avait retiré la serviette qui lui ceignait la taille. De se retrouver entièrement nu et exposé sur cette table le fit frissonner. Elle lui saisit les poignets l’un après l’autre pour découvrir ses aisselles.
- Josiane, tu as dit vrai, trois séances seront suffisantes. Ha ha ha ! Il y a une petite fuite au robinet de ton mari.
Après avoir regardé l’endroit désigné, Josiane rit de concert avec l’esthéticienne. Charles savait qu’il n’était pas en érection, mais il savait aussi que l’excitation ressentie le faisait couler comme une fontaine. Il était à la fois gêné et excité. Il se demandait si cela était provoqué par la présence des deux femmes. Allongé à plat, il ne pouvait voir que le plafond ou les côtés en tournant la tête. Josiane lui ayant dit que ce n’était pas très douloureux, il était détendu, attendant que la séance débute. Le travail débuta par ses aisselles et il ne trouva pas cela vraiment agréable. Il avait l’impression que quelqu’un jouait sa peau en utilisant un élastique. Josiane lui souriait et il s’efforça de ne rien laisser paraître. Les sensations évoluaient sans cesse, de la chaleur, des picotements se faisaient sentir. À chacune des impulsions de l’appareil, cela générait quelque chose de différent. Il se dit qu’en fin de compte ne pas avoir un système pileux développé était une vraie chance.
- J’ai fini le haut, passons à la suite. À ton avis Josiane que faisons-nous ? Je commence d’abord par le recto ou le verso.- Hum ! D’abord le verso, j’aime voir la courbure des jolies fesses de mon petit mari.
Charles sans attendre se plaça sur le ventre. Cela le fit sourire d’entendre que Josiane aimait la forme de ses fesses. Ce n’était pas la première fois qu’elle le disait. Pourtant jusqu’à leur véritable rencontre il n’avait jamais imaginé que les femmes puissent regarder les fesses masculines avec concupiscence.
- Ha ! Oui ! Tu as raison, elles ont une belle forme. Je trouve ses rondeurs bien dessinées et serrées. Cela donne envie de les claquer, la main doit bien rebondir.- Ha ha ha ! Oui, c’est vrai, mais c’est mon domaine réservé. C’est un plaisir que je m’octroie de temps à autre.
Il supposa que c’étaient les mains de l’esthéticienne qui venait de lui écarter les jambes pour se faciliter le travail.
- C’est bien ce que je disais, il a un joufflu bien serré. Je vais avoir besoin de ton assistance, il faut que tu sépares les deux lobes pour que je puisse accéder partout.
Charles frissonna en sentant le contact des mains de Josiane sur son postérieur. Sentir les deux mains écarter les fesses prolongea et amplifia cette sensation. Il sentait une vague de plaisir arriver avec un début d’érection. Cela s’accentua quand il sentit sur son sillon fessier et sur son anus la respiration de la jeune femme. Cela s’interrompit dès que l’appareil entra en action et le travail ne dura que quelques minutes. Une tape accompagnée d’un petit rire sur les fesses lui indiqua qu’il devait se mettre sur le dos.
- Hum ! Heureusement que je protège la table lors de chaque séance. Le robinet de ton homme fuit beaucoup.- Oui, c’est vrai, il est très généreux. Et je ne te parle pas de son lait. Hum ! J’adore ! Mais qu’es-tu en train de me faire dire ?
Josiane qui venait de lui reprendre la main lui souriait. Charles n’en revenait pas, il était étonné de découvrir que les jeunes de cette génération avaient autant de liberté d’échange. L’esthéticienne lui avait écarté les jambes et reprit son travail. La séance se prolongea pendant encore une demi-heure avant qu’elle ne se termine. Charles fut soulagé quand il put enfin se rhabiller. Même s’il avait trouvé que cette séance avait eu beaucoup de moments excitants il avait hâte de quitter l’officine. Une fois dans la rue, il soupira d’aise.
- Alors, mon chéri, comment te sens-tu ?- Je dois dire que ça va, je ne ressens rien de particulier sauf le frottement agréable du tissu sur la peau.- C’est excellent ça ! Et si tu m’invitais au restaurant, qu’en dis-tu ? J’ai une faim énorme, je mangerais un éléphant. Ensuite, nous irons chez nous parce que je veux un bon dessert.
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