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Une autre vie commence.

Chapitre 13

Un peu d'école buissonnière

Hétéro
Il ne savait pourquoi, mais en s’éveillant, Charles se souvenait de quelques petits épisodes marquants de ces derniers mois. Les yeux clos, il revoyait sa jeune épouse rayonnante de joie franchir le porche de l’église au bras de son père. Cette pensée le rendait heureux, parce que, comme aujourd’hui, il n’avait eu aucun doute. Ce qui se passait était une évidence et d’avoir ces certitudes était la preuve qu’un amour réciproque les liait. Hum, c’est vraiment bon de ressentir cela. En bâillant, s’étirant dans le lit, il sentit le vide à côté de lui. La place à côté de la sienne encore tiède était inoccupée. Cette découverte le fit sourire, chaque matin, Josiane semblait vouloir le devancer. Bien qu’il soit un lève-tôt, il avait l’impression qu’une petite compétition s’était installée entre eux. Les yeux toujours fermés, il s’apprêtait à se lever, quand il sentit qu’une main faisait voler le drap.
— Bonjour mon petit mari chéri. As-tu bien dormi ? Ha ha ha ! J’adore te voir tout nu, j’aime ton petit oiseau endormi.
Cette fois, bien réveillé, en riant, il se leva pour faire face à son épouse. La voir vêtue d’une robe de chambre légère avec une ceinture passant au-dessus du ventre rond l’émouvait. Le lien accentuait le ventre et la courbe des seins qui s’étaient alourdis au fil des semaines. Les pans du vêtement s’écartant, il pouvait voir le haut de jambes de sa tendre moitié. Il était à la fois heureux et inquiet, cette crainte grandissant jour après jour.
— Mon petit cœur, tu es magnifique, j’adore voir ce petit ventre rond surplombant ce joli minou.
S’étant approché, Charles posa ses mains sur ce joli bedon pour les caresser avec tendresse. À peine fut-il en contact qu’il sentit le bébé bouger avec vigueur. Cela le fit sursauter, c’était comme si le petit être lui demandait de laisser sa mère tranquille.
— Ha ha ha ! Il semblerait que l’on te surveille. Mon chéri, le bébé vient de me donner de sérieux coups de pied. Peut-être est-ce parce qu’il trouve que tu es un petit cochon ?— Moi ? Petit monstre, qui est-ce qui a insisté pour que je lui fasse l’amour ?
Josiane, en guise de réponse, se colla à lui pour l’embrasser sur la bouche. Cette étreinte déclencha aussitôt une réaction, Charles ressentit avec force sur son ventre les mouvements de l’enfant.
— Il faudra qu’il s’habitue, la gynécologue m’a dit que faire l’amour était totalement sans risque. Alors comme j’aime que tu me fasses l’amour, je n’ai pas de raison de m’en priver.— Oui ma petite chérie, je t’aime, je fais mon possible pour te satisfaire. Habituellement, cet enfant ne réagit pas aussi fort. Cette nuit, tu as manifesté ton plaisir avec force, ce môme pense peut-être...
Elle venait de l’interrompre en lui glissant sa langue dans la bouche. Ils échangèrent un long baiser pendant que dans le ventre, l’enfant continuait à bouger avec vigueur. Charles avait passé ses mains sous le tissu pour les poser sur les fesses rebondies de son épouse. Par mimétisme, elle en avait fait autant. La pression exercée permettait à Charles de mieux sentir les soubresauts dans le ventre plaqué contre le sien. Il ne savait toujours pas si le bébé était un garçon ou une fille. Josiane lui ayant dit qu’elle préférait avoir la surprise le jour de l’accouchement. Ce dont il était certain, c’est qu’il était ravi d’être bientôt père et que ces contacts répétitifs lui permettaient de mieux le réaliser. Le contact du ventre rond, les caresses qu’ils échangeaient avaient réveillé son sexe. Le doigt de Josiane sur son anus augmentait cette sensation d’excitation. Libérant sa bouche, en riant, elle le repoussa légèrement.
— Mon amour, ton oiseau est tout dur. Je vais devoir m’en occuper sans tarder.
Avant qu’il n’ait pu esquisser un geste, la jeune femme s’agenouilla devant lui pour prendre le sexe dans sa bouche. Elle entreprit de lui faire une fellation tout en lui introduisant un doigt dans l’anus. Le geste accompagné de la caresse buccale déclencha un orgasme rapide et abondant.
— Ma coquine ! Ha ! Je viens !

Après avoir fait éjaculer, son époux, la jeune femme se releva et l’embrassa longuement. Elle avait pris l’habitude de partager avec lui ce mélange de sécrétions. Ils échangèrent à nouveau un long baiser.
— Mon amour, mon joli petit lutin, tu sais parfaitement comment je réagis. Chaque jour qui passe me confirme que tu es la meilleure chose qui soit arrivée dans ma vie.— Mon petit cœur, il le faut bien, c’est d’autant plus vrai que si nous ne voulons pas arriver en retard au bureau, je devais prendre les choses en main si je puis dire. Merci beaucoup pour cette déclaration d’amour. J’en ai tout autant à ton service.— À ce propos, ne vaudrait-il pas mieux que tu...— Non, non, j’irais travailler jusqu’au dernier moment. Allez ! Maintenant file à la douche et petit-déjeuner. Ouste mes belles fesses !
Pour l’inciter à obtempérer, Josiane lui assena une claque sur les fesses. En riant, Charles prit la direction de la salle de bain où elle le rejoignit. Même si le temps était compté, il n’était pas question de perdre l’occasion d’un échange amoureux.
Quelques minutes plus tard, ils étaient installés dans la voiture et pris dans le flot de véhicules. Charles se sentait comme un coq en pâte, il était heureux, comme tous les matins, sa tendre petite femme le conduisait au bureau. Perdu dans ses pensées, il entendait vaguement la musique émise par l’autoradio. Il allait être père, mais il appréhendait le moment de cette naissance. À plus d’une reprise, il avait abordé le sujet avec Josiane et chaque fois, elle s’était gentiment moquée de lui. Un accouchement à vingt ans n’était pas comparable avec une mise au monde à quarante ans ou plus. Sans s’en rendre compte, il avait retenu sa respiration, il expira bruyamment.
— Que t’arrive-t-il ? À quoi penses-tu ? Mon petit chéri ?...— Non, non, rien ! Tout va bien, nous en avons déjà parlé...
Il avait tourné son regard vers elle pour lui parler et il se mit à rire.
— Mon amour, il est plus que temps de penser à un changement de véhicule. Ton joli bedon est vraiment en contact avec le volant. Cela doit provoquer de sérieux mouvements dans ton ventre.— Ha ha ha ! Oui, je dois le reconnaître, cela pédale avec vigueur dans mon ventre. Mais je ne peux reculer le siège, mes membres ne sont pas assez longs.— Arrête-toi après l’arrêt de bus, une fois n’est pas coutume, je vais prendre le volant.— Bon, ça va ! Mon amour tu as gagné, je me rends à tes arguments.
Charles était surpris qu’elle accepte qu’il prenne le volant de la Twingo, pendant quelques secondes, la circulation ralentissant, il pensa que Josiane allait garer la voiture sur l’emplacement libre. Il n’en fut rien.
— Mais ma puce, tu viens de me dire...— Le petit monstre qui maltraite mon ventre va devoir attendre un peu plus. Je pense que nous allons prendre notre journée.— Que fais-tu de mes rendez-vous ? Nous ne pouvons nous absenter de la sorte.— Ha ha ha ! Ne fais donc pas cette tête, téléphone donc à Samuel. Je suis certaine que sa secrétaire pourra faire en sorte de déplacer tous tes rendez-vous de quarante-huit heures.
Charles n’en croyait pas ses oreilles, quelques secondes auparavant, elle avait parlé d’une journée. Maintenant, elle lui disait tout de go de faire reporter de quarante-huit heures ce qui avait été planifié. Il se dit que cela allait au-delà des envies provoquées par la grossesse.
— Entendu, mon bel amour, je vais téléphoner à Samuel. Je vais devoir trouver une bonne excuse.— Pourquoi une excuse ? Ce n’est pas utile de mentir. Dis-lui simplement que nous sommes en chemin pour acheter un véhicule plus adapté. Ne t’en fais pas, il va bien le prendre.
À l’arrêt au feu rouge, Josiane lui caressait la cuisse en souriant. Il lui rendit son sourire tout en pensant que cette coquine ne manquait pas d’assurance. Sans répondre, il se contenta d’appeler le directeur de l’agence bancaire. Comme la jeune femme l’avait prévu, son correspondant n’émit aucune objection et l’informa qu’il allait prendre toutes les dispositions nécessaires.
— Tu vois mon petit chéri, ce n’était pas compliqué. Nous pouvons maintenant nous rendre chez Renault pour y choisir un véhicule plus adapté à nos besoins.— Oui mon bébé, tu avais raison...
Profitant d’un nouvel arrêt, la jeune femme l’embrassa sur la bouche tout en lui malaxant l’entrejambe. Au bout de quelques secondes, des bruits d’avertisseurs se firent entendre. C’est visiblement à contrecœur qu’elle se remit en position de conduite.
— Ils ne sont pas très patients ce matin, ce sont des gros goujats quand même.— Ha ha ha ! Tu es vraiment gonflée, tu bloques la circulation et en plus tu les traites de goujats.— Oui et alors, ce n’est pas quelques secondes d’arrêt supplémentaires qui vont mettre en péril la ville. En attendant, je suis certaine que ton petit oiseau est déjà prêt à chanter.
Josiane en riant remit en mouvement la voiture d’autant plus vite qu’elle venait de voir un homme venir de son côté. En s’éloignant, ils entendirent quelques coups de Klaxon supplémentaires. En regardant dans le rétroviseur, la scène qu’elle vit la fit rire. L’individu qui s’était approché de sa portière devait être la cible des coups d’avertisseurs.
— Ma douce, qu’est-ce qui te fait rire de la sorte ?— Je ris, parce que le gars qui venait pour m’engueuler se fait apostropher par les conducteurs qu’il bloque. Avec un peu de chance, le feu va passer au rouge. Voilà ! Ha ha ha ! Maintenant, je suis certaine qu’il doit regretter d’avoir fait le déplacement. Ouf ! Le bébé lui aussi se manifeste.— Ha ha ha ! Mon petit lutin adoré, c’est peut-être parce qu’il aime jouer au ballon. Pardon pour ce jeu de mots. En attendant, c’est bien la première fois que tu fais un démarrage aussi rapide.— Ben, c’est parce que j’ai vu le regard de ce monsieur. Ses yeux n’incitaient pas à la discussion.
Charles se dit que c’était le stress soudain qui avait certainement provoqué la réaction de l’enfant à naître. En signe d’apaisement, il posa sa main gauche à la place qui lui était habituelle. Il aimait sentir le contact de ses doigts avec la peau douce et chaude des cuisses. Il la regardait en souriant, Josiane paraissait détendue et concentrée sur la conduite de l’automobile. En se disant qu’il devait lui rendre la caresse prodiguée peu de temps auparavant, il se retint de rire. Avec le ventre proéminent, ce genre de caresse lui imposait de tordre son poignet pour atteindre le sexe convoité. À plusieurs reprises, il sentit l’enfant bouger. Chacun de ces contacts lui rappela l’imminence de sa paternité. Josiane de temps à autre lui souriait, ils avaient rejoint le périphérique, il n’était pas besoin d’être devin pour connaître la destination. Le prochain arrêt serait sur le parking de la concession Renault.
— Mon petit chéri, j’aime beaucoup que tu me tripotes le minou. Mais il va falloir que tu arrêtes de me titiller. Parce qu’entre le petit démon qui s’agite dans mon ventre et toi, j’ai du mal à me retenir. Sinon je vais faire pipi sur le siège.— Oui, je le sens bouger.— J’espère qu’il va se calmer.
Sans retirer totalement sa main, il se contenta de la placer un peu plus loin. En guise de remerciement, la jeune femme en souriant lui adressa un baiser. Après avoir quitté le boulevard de ceinture et franchi les quelques centaines de mètres qui les séparaient du garage, elle stationna sa voiture au plus près. Charles se dit qu’elle avait eu de la chance de trouver un emplacement libre aussi proche de l’entrée. Il la vit se précipiter à l’intérieur de la concession. Elle avait failli bousculer au passage l’employé qui venait de s’avancer vers eux.
— Pipi ! Vite !
L’homme, bouche bée, mais pas tellement surpris, se contenta d’un geste de la main la direction à prendre.
— Bonjour, Monsieur, que puis-je pour vous ?— Ha ha ha ! Oui, bonjour Monsieur. En l’occurrence, nous allons devoir attendre le retour de mon épouse. C’est elle qui sera en mesure de vous donner toutes les indications utiles.— Oui, je comprends, je suis marié, votre dame est enceinte et l’enfant appuie sur la vessie.
Le vendeur regardait Charles d’un air compréhensif et compatissant.
— En général, ces dames expriment une envie de fraise, c’est la première fois que cela se produit pour l’achat d’un véhicule. En attendant, bienvenue chez Renault, notre gamme de voitures est étendue.— Ha ha ha ! Je vais vous surprendre, elle est très attachée à son suppositoire pour autobus. Cette précipitation n’est due qu’à la proximité de l’accouchement et aux petites dimensions de la Twingo.— Ouf ! J’ai eu chaud ! Ma connaissance des lieux m’a permis d’éviter quelques petits désagréments.
En entendant sa voix, Charles s’était tourné vers elle. Josiane lui déposa un baiser sur la bouche avant d’émettre un petit rire. Avant de s’adresser à l’employé, elle prit le temps de glisser dans son sac le bout de tissu qu’elle tenait à la main. Ce petit geste que le vendeur ne put voir lui confirmait l’urgence qui avait contraint sa femme à courir dans le hall d’exposition. Il sourit à l’idée que maintenant, Josiane se promenait les fesses à l’air sous sa robe.
— Hé bien, ma petite chérie, il était temps que tu reviennes pour donner quelques indications à Monsieur.— Oui, bonjour Monsieur.— Christophe, appelez-moi Christophe. Quel genre de véhicule vous intéresse ? En voulez-vous un d’occasion ou bien un neuf ?— Une voiture neuve parce que sinon, je ne pourrais pas choisir la couleur. La nôtre va rapidement devenir trop petite, notre famille va s’agrandir sous peu. Mais avant toute chose, je veux une bonne reprise de la Twingo. Ce qui veut dire un bon prix pour le véhicule neuf, je n’aime pas les finasseries. Je sais que vous avez de bonnes marges de manœuvre. Dans le cas contraire, nous ne ferons pas affaire.
Charles sourit en la voyant préciser les choses sans attendre. Il savait Josiane bonne secrétaire, il la découvrait comme négociatrice. Une fois encore, le vendeur resta quelques secondes avec la bouche béante, visiblement, il ne s’attendait pas à une attaque aussi directe.
— Heu... Je peux vous proposer, le nouveau modèle de Clio ou bien un SUV. Tout dépend de la somme que vous pensez pouvoir investir dans cet achat.— Non, une Clio est à peine plus grande que celle que nous avons. Je n’aime pas ces anglicismes incompréhensibles. Il nous faut une voiture spacieuse, confortable et ceci très rapidement. Et je pense que le modèle Talisman correspond à nos attentes.
Charles émit un petit rire contenu en voyant l’expression sur le visage de l’employé. Bien qu’il soit tous les deux bien vêtus, leur arrivée dans cette petite citadine avait trompé Christophe.
— Heu..., d’accord, mais au niveau budget, ce n’est pas du tout pareil. Et puis, il y a aussi les délais de livraison. Il faudra compter au moins un mois d’attente, sans compter le délai pour le certificat d’immatriculation.— Bien sûr que non ! Quinze jours, c’est un délai plus que raisonnable. Avant de venir, j’ai regardé sur votre site et notre véhicule est déjà sorti de chaînes de construction. Mon choix s’est porté sur la version initiale Paris, couleur rouge millésime.— Ha ha ha ! Mon amour, laisse ce monsieur reprendre son souffle, je vais prendre la suite pour les détails techniques et ensuite, je sortirai mon chéquier. Pour ce qui est de la livraison, je pense qu’une huitaine sera suffisante et je table sur dix-huit pour cent quant à la remise sur cet achat comptant.— Je suis désolé, mais cela ne pourra se faire. Je ne suis pas habilité.— Mais si, bien sûr que vous pouvez le faire. Faites donc passer ma carte à votre patron. Je suis certain qu’il se fera un plaisir d’accéder à ma demande.
Ce fut au tour de Josiane d’émettre un petit rire. Avant d’aller se renseigner, le vendeur les installa dans un petit box. Aussitôt qu’ils se retrouvèrent seuls, Josiane vint s’installer sur les genoux de son mari.
— Mon petit cœur, je suis ravie que le véhicule dont j’ai parlé te convienne. Je ne sais pas si ce que tu as demandé sera pris en compte.
Charles, le bras passé sur le ventre de son épouse sentait l’enfant qui y remuait.
— Eh bien, cela s’agite drôlement là-dedans, on dirait que l’on est pressé de sortir...
Un homme de l’âge de Charles pénétra dans la pièce où ils se trouvaient. En souriant, il agitait le petit bristol remis quelques instants plus tôt au vendeur.
— Charles ! Si je m’attendais ? Je suis content de te voir. Le nom sur le bristol me disait quelque chose. Je constate que tu es toujours aussi dur en affaire. Mais que pourrait-on attendre de la part d’un banquier ?— Oui Benoît, je suis ravi de te rencontrer. Je te présente mon épouse.
En habitué des usages et des relations mondaines, l’homme fit le baise-main à Josiane. Ce geste fit rosir de plaisir la jeune femme.
— Je suis enchanté, Madame, je suis sous le charme, Charles est un heureux homme. J’aurais pu me contenter de valider la demande, mais je n’ai pu résister à la tentation de te revoir. Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas vus. Si je ne m’abuse, la dernière fois remonte à une sauterie chez les parents d’une amie commune.— Ha ha ha ! Oui, c’est vrai, mais c’est la vie qui commande.— Oui, comme tu viens de le dire, la vie commande, je dois vous laisser entre les mains de Christophe.
Une fois son patron parti, le vendeur fit en sorte que les formulaires soient rapidement remplis. Quelques minutes plus tard, le jeune couple faisait le chemin inverse. Charles se dit que finalement, cela serait finalement une bonne journée. Cette escapade ressemblait un peu à l’école buissonnière qui faisait remonter des souvenirs d’enfance. Sa petite chérie avait prévu deux jours, il aurait peut-être à négocier avec elle une reprise anticipée du travail.
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