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Une aventure Tinder

Chapitre 1

Découverte du plaisir

Hétéro
L’an passé, j’ai eu une petite histoire avec une fille rencontrée sur Tinder.C’était une petite brune de 33 ans, mince, pas très grande, les yeux marron, assez menue. Souvent vêtue d’une combinaison ou d’une robe qui laissaient voir ses courbes assez sympathiques malgré ses petits seins.
Elle venait de quitter son mari avec qui elle a eu deux enfants après treize ans de relation. De nature réservée, elle s’était lancée sur les sites de rencontre à contrecœur, poussée par des amis. J’étais le seul homme qu’elle rencontra et le premier contact passa bien entre nous, je m’étais rendu chez elle et nous avions discuté une petite heure autour d’une bière. Rendez-vous fut pris le samedi suivant, toujours chez elle, où elle m’avait invité à venir dîner.
Arriva donc ce samedi, je me présentai à son domicile, une bouteille de bon vin en main. Elle m’accueillit et me fit rentrer dans son salon où elle avait installé l’apéritif. Nous discutions depuis peu quand elle se mit à me parler de son ex-mari, qui apparemment ne se préoccupait pas trop du plaisir des femmes, en tout cas pas du sien. Elle m’expliquait avoir eu beaucoup de relations sexuelles avec lui, mais que ces relations se déroulaient toujours de la même façon, elle lui faisait une fellation, puis il la prenait, soit en missionnaire, soit en levrette, avant de jouir en elle après trois minutes de va-et-vient.
— Tu arrivais à jouir en si peu de temps ?— Je crois... parfois... enfin ça me faisait un peu de bien— Ah oui donc tu n’as jamais joui, si tu avais joui, tu le saurais crois-moi. Tu ne t’es jamais masturbée, tu ne sais pas ce que c’est qu’un orgasme ?— Non je ne l’ai jamais fait, enfin si, je me touche un peu parfois, ça me fait un peu de bien, mais sans plus.
Comprenant que j’avais en face de moi une débutante à qui tout restait à apprendre, je sentis le désir monter en moi. Je la regardai en souriant.Le désir s’empara d’elle aussi, car nous n’étions pas ensemble depuis quinze minutes qu’elle se précipita sur moi pour m’embrasser. Je plaçai immédiatement mes mains sur ses fesses et ses petits seins. Elle était de plus en plus excitée et se saisit de mon sexe au travers de mon pantalon.
— Viens, me dit-elle en m’entraînant vers sa chambre.
Elle se déshabilla alors, faisant tomber, robe, soutien-gorge et petite culotte. Sa chatte était belle, lisse et déjà humide. Ses seins étaient surmontés de deux aréoles assez grosses par rapport à la taille de sa poitrine, mais le tout était assez joli.
Je déboutonnai ma chemise, baissai mon pantalon et mon boxer, laissant apparaître à ses yeux pétillants ma verge bien tendue. Elle se précipita dessus pour la prendre dans sa bouche. Elle était maladroite, je sentais le contact de mon gland avec ses dents de temps en temps, ce qui n’était pas très agréable. J’arrêtai donc là sa fellation et vins placer ma tête entre ses cuisses, je léchai sa vulve en prenant soin d’éviter son clito pour faire monter encore son désir. Elle m’avait indiqué ne jamais avoir eu droit à un cunni, j’avais donc bien l’intention de lui en prodiguer un mémorable.
Elle poussait de petits cris de souris tandis que je léchai son sexe et le haut de ses cuisses, se tortillant pour essayer de placer son bourgeon contre ma langue. N’y arrivant pas, elle se décida timidement à placer ses mains sur ma tête pour positionner le bout de ma langue sur son bouton de plaisir que je sentis bien gonflé. Je m’évertuai alors à faire de petits mouvements de langues sur l’objet du plaisir, tapotant ou tournant dessus, alors qu’elle laissait s’échapper des râles de plus en plus forts. Elle était de plus en plus trempée, j’en avais plein le visage et j’en appréciai le goût. J’introduisis alors deux doigts lentement à l’intérieur de son vagin pour les glisser contre les parois irrégulières de son intimité, courbant mon index et mon majeur dans son vagin à la recherche de son point G. Elle se déhanchait de plus en plus, je sentais son vagin se contracter plus régulièrement sous mes doigts.
Soudain, le plaisir la dévasta, son corps tout entier se contracta et elle jouit avec une rare intensité. Je maintenais ma langue contre son clito, continuant aussi longtemps que possible mon action, elle laissait échapper de longs râles du plus profond de son être, et je voyais son regard se révulser. Mes doigts étaient toujours au fond de son intimité que je sentais se contracter avec force. Dans un dernier râle, elle dégagea alors son bassin, reprenant peu à peu ses esprits.

Je m’allongeai alors à ses côtés et elle entreprit de me refaire une fellation que j’arrêtai rapidement pour les mêmes raisons que la première fois, puis je vins placer mon gros gland à l’entrée de son vagin encore trempé par le plaisir, et j’insérai mon pieu tout au fond de sa grotte chaude. Elle m’enserrait bien la queue, je sentais le plaisir imprégner mon être de façon croissante. Je m’activai en elle en la regardant alors qu’elle me regardait les yeux écarquillés.

Je la plaçai alors en levrette pour continuer nos ébats, tandis que j’enfilai mon sexe au fond de sa chatte, la vue de ses belles fesses me donna envie de lui mettre une petite fessée, ce que je fis gentiment. Sous le coup de l’excitation, je commençai alors à parler un peu, ayant tendance à baiser en utilisant des mots un peu crus, ce qui a tendance à surprendre les femmes la première fois qu’elles entendent un "salope", mais qui contribue le plus souvent à les exciter encore plus.
Après plusieurs minutes de traitement, la vue de ses fesses et la pensée du plaisir que je venais de lui donner pour la première fois de sa vie me firent partir, je sortis ma queue de son ventre et je me vidai en grosses giclées sur ses fesses et son dos. Je jouis fort moi aussi, l’observant immobile recevoir le fruit chaud et liquide de mon plaisir. Je caressai alors ses fesses avec mon gland, répandant mon liquide sur son corps.

Après quoi nous nous sommes allongés côte à côte. Elle n’avait pas essuyé le sperme sur elle et je l’imaginais tremper ses draps, ce qui ne semblait pas la contrarier.Elle m’avoua alors avoir eu beaucoup de plaisir, mais avoir été surprise quand je lui avais mis une fessée, et lorsque je m’étais mis à lui parler crûment. Elle n’était pas certaine de pouvoir accepter ça, de nature plus romantique. Je m’excusai alors, reconnaissant que pour une première fois, c’était peut-être un peu trop. Nous avons ensuite pris le repas et je suis rentré chez moi, nous promettant de nous revoir si toutefois je faisais preuve de plus de tendresse.
Quelques jours plus tard, nous sommes sortis ensemble, passant une petite journée à nous balader dans les environs de Rennes, et sur le trajet du retour, elle me demanda si je m’étais déjà fait sucer dans une voiture. Je mentis en lui disant que non, ne souhaitant pas la couper dans son fantasme que je sentis naître. Elle plaça alors ses mains sur ma fermeture éclair pour la faire descendre lentement après avoir ôté le bouton de mon jean. Puis elle libéra ma queue déjà en érection de sa prison de tissu et positionna sa bouche sur mon gland. Par message, un peu plus tôt, je lui avais avoué qu’elle me faisait un peu mal en me suçant, ça l’avait vexée, mais je la sentis décidée à s’améliorer sur le sujet.
C’était amusant de constater qu’une femme qui n’avait pas une grande expérience sexuelle en venait à me pomper d’elle-même dans ma voiture à la deuxième rencontre, alors que des chauffeurs de poids lourds doublés semblaient intéressés par ce qui se passait au vu des appels de phares que certains ne manquaient pas de me faire. Je dois avouer qu’elle avait nettement accru la qualité de ses fellations et sa main adroitement positionnée le long de ma hampe, pratiquait une masturbation délicieuse au rythme de sa tête.
Elle ne put aller au bout, car nous arrivions à mon appartement. Là, je la déshabillai et vins directement placer ma queue dans sa bouche, me plaçant au-dessus d’elle, tandis que mon doigt s’agitait sur son clito gonflé.Je sentais que la position l’excitait. Puis l’envie de la pénétrer l’emporta et je viens placer mon gland le long de ses grandes lèvres, le faisant glisser, titillant au passage son bourgeon qui ne demandait qu’à éprouver le deuxième orgasme de son existence. J’insérai mon pieu petit à petit, l’invitant à le regarder disparaître au fond de son ventre. Puis je commençai mes mouvements de bassin, prenant ses jambes pour les placer au-dessus de mes épaules, facilitant la pénétration. Mon pouce se positionna juste au-dessus de ma queue, contre son clito que je vins masturber par petits cercles. Je sentis son esprit divaguer, elle qui m’avait trouvé trop crû la première fois, voici qui elle même me sortait des cochonneries.
— Je la sens bien ta grosse queue, tu veux faire de moi une salope accro à ta bite c’est ça ?— Oui je veux te posséder.— Tu veux que je me soumette, tu veux me prendre comme une chienne ?— Oui j’ai envie de te mettre comme une chienne.— Prends-moi à quatre pattes alors.
Tout en disant cela, elle se plaça en levrette face à mon chibre tendu, les veines gorgées de sang, prêtes à exploser. Je la pris dans cette position d’un coup, m’enfonçant tout au fond de ses chairs. Je pilonnai sa petite chatte serrée par de gros coups de boutoirs, une main sur son sein, et une autre sur ses épaules pour accompagner mes mouvements de bassin et taper le plus loin possible dans son antre. Elle gémissait.
— Tu fais de moi une pute, tu veux me dire que je suis une salope ?— Oui j’en ai envie.— Alors, dis-le-moi, c’est ce que je suis, c’est ce que tu fais de moi, fais-moi jouir en m’insultant.
Je trouvais ça assez surréaliste, elle était passée de petite femme réservée et romantique à une femme en chaleur avide de sexe en deux rendez-vous.
Je changeai encore de position, la plaçant sur le côté, et moi derrière elle, plaçant de nouveau mon doigt contre son clitoris.
— Ah c’est trop bon, je la sens bien ta grosse queue, Aaaahhh, c’est trop bon, tu vas me faire jouir.
Je m’activai plus fort encore et je vins placer deux doigts dans sa bouche
— Suce mes doigts comme si c’était ma queue !
C’est ce qui la fit partir dans une jouissance puissante. L’orgasme la tétanisa et elle hurla son plaisir dans ma chambre, mon pieu toujours fiché au fond de son vagin.
Après quoi, sans perdre en envie ni en dynamisme, elle vint placer sa main autour de ma queue luisante de mouille et positionna ses lèvres autour de mon gland. Elle s’agita dessus comme une possédée. Je lui avais avoué avoir rarement joui sur une pipe, et je compris que je ne m’en sortirai pas autrement cette fois-ci.
Je positionnai ma main sur sa tête pour accompagner son mouvement. Cela prit quelques minutes durant lesquelles elle réussit à garder le rythme. Soudain, le plaisir se déclencha dans mon cerveau, je la prévins que j’allais jouir, mais elle garda ma queue au chaud dans sa bouche et je libérai mon sperme au fond de sa gorge. Je vis les contractions de ma verge libérant son contenu. C’était fou, le plaisir était immense.Elle savoura la moindre goutte de sperme, venant récupérer le peu qu’elle trouvait encore sur le bout de mon gland pour en avaler la totalité.
Puis nous sommes restés l’un contre l’autre un long moment et elle m’avoua ressentir finalement beaucoup de plaisir à baiser de cette façon, qu’elle avait réussi à franchir le cap dans son cerveau entre nos deux rendez-vous et que l’orgasme que je lui avais donné avait beaucoup contribué à réaliser qu’elle avait perdu du temps dans sa vie et qu’elle ne devait pas se restreindre pour désormais tirer un maximum de plaisir.
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