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Une babysitter en chaleur

Chapitre 3

Lesbienne
      J’embrassai passionnément Lisa, lui tenant le visage de mes mains tandis qu’elle continuait de malaxer mes énormes seins. Prise d’un élan de passion et de désir, je fourrai ma langue dans la bouche de Lisa, cette dernière la laissant entrer et se mit à la lécher avec la sienne. Dans notre torride baiser, nos langues se liaient et se déliaient tels deux danseurs exécutant un somptueux balet, tandis nos mains parcouraient le corps de l’autre. Lisa me caressait la poitrine tandis que je lui caressais son visage et son cou. Quelle sensation divine ce fut. Jamais je n’avais imaginé cet instant, et il était pourtant magique.
— Mhm, vous êtes parfaite Delilah, me dit Lisa entre deux baisers.— Je veux te voir Lisa, je veux voir ton corps, lui répondis-je en la fixant du regard.
      J’étais comme affamée, envieuse et désireuse de baiser avec Lisa, ma babysitter qui avait vingt-deux ans de moins que moi, un détail dont je me foutais complètement, trop abandonnée dans cette entreprise de luxure lesbienne. Lisa met alors fin à notre brûlant baiser et se déshabilla devant moi, ôtant son t-shirt et son soutien-gorge et m’apparaissant ainsi le torse nue, son adorable poitrine aux seins ronds poitant vers moi et ses longs cheveux bruns tombant dans son dos et sur ses épaules. Je fis de même en ôtant complètement ma robe de chambre et finissant ainsi uniquement vêtue de ma culotte. Souriante, Lisa me saute alors dessus et vint me plaquer sur mon lit. Je finis couchée sur le dos sur mon matelas, complètement soumise par Lisa qui me dominait en se couchant au-dessus de moi et en me tenant fermement les poignets.
— Mhm, je sens que je vais me régaler, me dit-elle. Rien que pour vous Delilah, je vais me surpasser.— Je suis à te merci Lisa, lui répondis-je le souffle coupé. Fais ce que tu veux de moi, je veux juste prendre mon pied.— Oh, comptez sur moi Delilah. Vous allez prendre un pied d’enfer, je vous le garantis. Maintenant, laissez-moi faire.
      Lisa se releva alors et se mise à genoux devant moi, avant de déboutonner lentement son jean et de l’enlever complètement, me révelant sa chatte imberbe et adorable. La coquine, elle ne portait pas de culotte. Elle se pencha alors vers mon entrejambe et m’ôta à mon tour ma culotte et la jeta parterre. Nous nous retrouvâmes alors toutes les deux entièrement nues. Je pus ainsi admirer le corps aussi adorable que sexy de Lisa. Sa silhouette élancée et fine aux courbes saillantes et aux formes sculptées. Elle avait une adorable poitrine de jeune femme, avec des seins à la taille idéale. Et son fessier semblait aussi ferme que délicieux. Et en retour, Lis put également admirer mon corps de quarante-deux ans bien entretenu. L’ambiance devenait de plus en plus chaude, intime, érotique et luxueuse.
— Vous avez un corps de rêve Delilah, me dit Lisa en me faisant les yeux doux. J’ai hâte de m’en délecter.— Je peux dire la même chose du tien Lisa, lui répondis-je en lui souriant. Tu es magnifique et adorable, et sans doute délicieuse aussi.
      Lisa, tout en me faisant du charme avec son grand sourire, positionna sa chatte contre la mienne. Je compris qu’elle voulait passer directement aux choses sérieuses. Faisant alors toutes les deux les ciseaux, nos chattes en chaleur se collèrent l’une contre l’autre, et nous commençâmes toutes deux nos mouvements de va-et-vient, moi allongée sur le dos et Lisa à genoux sur moi. Je m’aggripai ferment aux draps de mon lit tandis que Lisa se cramponna à mes cuisses. Et nous baisâmes alors d’un intense plaisir de sexe lesbien, et dont j’avais plus que besoin.
      Pendant plusieurs minutes, nous baisions sauvagement ainsi, nos chattes brûlantes se frottant et se collant ensemble dans nos mouvements. Pour ne pas risquer de réveiller mes enfants qui dormaient paisiblement, nous faisions tout pour étouffer au mieux nos gémissements et nos râles de plaisir, et ce même si ce n’était pas toujours facile. Nous baisons encore jusqu’à ce que nous ayons toutes deux un orgasme en même temps. Gémissant de plaisir en silence, nos chattes dégoulinèrent de cyprine, perlant et s’écoulant le long de nos cuisses et tâchant les draps de mon lit. Que c’était bon cette baise impromptue et surprenamment exaltante pour moi qui ne suis pas lesbienne.
— Wouah Lisa, que c’était bon, mmhhmmm, dis-je en profitant de notre échange de mouille entre nos chattes trempées. - Et vous n’avez encore rien vu Delilah, je vous l’assure, me répondit-elle en venant plaquer sa main entre nos chattes.
      Lisa caressa alors sa propre intimité et la mienne, toutes deux trempées de nos jus respctifs, avant de ramener sa main à sa bouche et de lécher ses doigts trempés de cyprine. La voir me donna des frissons et une furieuse envie d’en vouloir plus, d’en faire plus avec elle. Je brûlais et mourais d’un implaccable désir de sexe sauvage avec ma babysitter.
      Je me relèvai alors subitement et vint enlacer Lisa avant de la ramener presque de force vers moi, l’emportant dans ma chute en arrière. Je me retrouvai à nouveaux soumise, et c’est ce que je voulais. Je voulais être dominée. Dans notre chute, Lisa m’embrassai à nouveau furieusement et langoureusement. Couchée au-dessus de moi, Lisa m’embrassait et me palpait la potrine tandis que je caressais et malaxais ses adorables petites fesses bien en chair et rebondies.
— Mhmm, que vous êtes délicieuse Delilah, me dit-elle à l’oreille.— Toi encore plus Lisa, lui répondis-je en l’embrassant.
      Prise d’une inssoutenable envie de goûter son précieux jus à mon tour, je me défis d’elle et la poussa à la renverse. Lisa se retrouva couchée sur le dos, allongée de tout son corps, tandis que je me penchai sur son entrejambe encore chaude et humide. Et sans attendre une seconde de plus, je me jettai dessus et fourrai ma langue aux plus profond de sa chatte qui redevint brûlante et excitée. Lisa étouffa son gémissement de plaisir lorsque je la pénétrai avec ma langue. Je léchai, bouffai même quasiment la chatte de Lisa qui mouillait abondamment. J’enfonçai ma langue à chacun de mes mouvements plus loin, plus vite et plus fort, dévorant le sanctuaire brûlant et innondé de cyprine de ma douce Lisa. Et de nouveau, l’orgasme emporta ma babysitter. Je découvris alors avec une surprenante joie que Lisa était une femme fontaine. Sa chatte déversa de vrais torrents de cyprine dont je me régalais, prenant bien soin de n’en rater aucune goutte. Et tandis que j’avalais goulûment le précieux jus de Lisa directement depuis la source, je mouillais aussi tellement que quelques caresses sur ma chatte me suffirent pour qu’à mon tour, je fus emporté par un orgasme, libérant également tout ma mouille. Et comme galvanisée par cela, Lisa se repositionna et vint plaquer sa bouche contre ma chatte pour se délecter de ma cyprine. Nous retrouvâmes ainsi dans un somptueux et délicieux 69 où chacune de nous deux léchait, gouttait, avalait et dégustait la mouille abondante de l’autre, et ce durant de longues et luxueuses minutes de pur bonheur sexuel lesbien.
      Après quelques minutes, alors toutes deux exténuées, trempées de sueur et nos chattes rouges et dégoulinantes des restes de cyprine, Lisa et moi mettons fin à notre baise et nous nous asseyons sur le lit, toutes deux en tailleur et face à face, nous regardant dans les yeux.
— C’était dingue Lisa, vraiment incroyable, lui dis-je toute heureuse et rassasiée.— Oui, c’était vraiment génial, merci Delilah, me répondit-elle souriante d’un air complice.— Jamais je n’aurai imaginer le faire avec une femmme, qui plus est de ton âge.— Comme quoi, la vie reserve son lot de surprises, de bonnes surprises parfois.— Et celle-là a été la meilleure d’entre toutes. Depuis toutes ces années, tu fantasmais sur moi, et je ne le voyais pas.— Vous n’avez pas à vous excuser Delilah, vraiment. J’étais mineure et ignorante, j’ai attendu le bon moment.— Mhm, tu as bien fait. Ce qu’on a fait cette nuit était extraordinaire, je ne l’oublirai jamais Lisa.
      Lisa et moi nous embrassons alors à nouveau, cettte fois plus doucement et posément. Un long, très long baiser passioné, aussi fougeux et langoureux que doux et sincère. Nous nous caressons nos corps, nos peaux, nos formes, partageant ce moment ausi intime qu’érotique.
— Mmhhmm, et maintenant Delilah, qu’est-ce qu’on fait ? me demanda-t-elle.— Maintenant, on passe la nuit ensemble, lui répondis-je. Nous ne dirons rien aux enfants, cela va rester entre nous.— Mais je ne veux pas que ça s’arrête Delilah, je vous veux pour toute ma vie.— Et ce sera le cas Lisa. Tu m’as et je t’ai pour toute la vie. Ce sera notre petit secret.
      FIN.
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