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Une belle-fille en manque !

Chapitre 1

La rencontre avec Anna

Voyeur / Exhibition
Cela fait maintenant vingt-huit ans que je travaille dans un pensionnat privé en tant que directeur général, situé en province au nord du département de la creuse. Au travail, mon nom c’est "Monsieur", mais dans la vraie vie, je m’appelle Pierre Louis, j’ai la cinquantaine, divorcé depuis 23 ans. Je suis le papa d’une fille que j’ai élevée seul, aujourd’hui, elle a 25 ans, et travaille dans une grosse entreprise en tant que responsable des ressources humaines. Il est vrai que vivre seul depuis bientôt 25 ans au milieu de la campagne ne m’offre pas une grande vie privée. Mon divorce ne m’a jamais donné l’envie de recommencer une histoire sérieuse. Mon âge m’a rattrapé physiquement, le peu de cheveux qu’il me reste devient blanc, le ventre rond de femme enceinte a pris la place de mes abdominaux, ma peau est partiellement ridée...
Par chance, il n’y a que mon attribut masculin offert par mère Nature qui est restée intacte : une très belle verge bien veineuse mesurant dix-neuf centimètres.
C’est vrai que quand j’y pense, plus les jours passent et plus cette solitude me peine, une forte envie sexuelle grimpe en moi. Surtout que le pensionnat se situe dans un petit hameau où l’on fait peu de rencontres. Je dois reconnaître que j’ai cédé à la tentation de me procurer du plaisir grâce à ces petites traînées qui composent mon établissement. Je me permets de les traiter ainsi, car elles ne se sont jamais gênées pour s’habiller de façon provocante en plus de leurs comportements inacceptables. Je remarque une forte augmentation des relations intimes dans les internats ou ailleurs, de nombreuses situations à gérer en conseil de discipline. Bref, je crois que ces dernières années, on crée en moi une forte tentation sexuelle envers des femmes beaucoup plus jeunes que moi et plus ouvertes d’esprit qu’à mon époque.
L’histoire que j’ai décidé de partager avec vous aujourd’hui a commencé il y a deux ans, lorsque ma fille chérie, Vanessa a fait son coming-out en m’annonçant qu’elle a rencontré une femme avec qui elle fait sa vie aujourd’hui.J’avoue que j’ai été très surpris par son annonce, car j’avais toujours imaginé ma petite fille avec un homme. Elle avait tout pour plaire, physiquement, elle a tout pris de sa mère qui était une très belle brune, un joli visage avec des yeux bleus, sur un corps avec tout ce qu’il faut là où il faut. Ça a beau être ma fille, c’est une très jolie femme qui a toujours su prendre soin d’elle en cultivant un côté excitant.
En tant que père fier de sa fille, j’ai évidemment été très heureux pour ma fille. J’ai demandé "A quand la rencontre avec l’heureuse élue ?" Elle m’a donc annoncé qu’elle avait réservé un petit week-end dans un chalet en montagne, où l’on allait se retrouver que tous les trois pour faire connaissance. La date était fixée. Curieux et impatient de connaître la femme qui a rendu ma fille amoureuse, nous avons continué à discuter.
Anna de son prénom, 27 ans, jeune agente immobilière sur le département. La rencontre a eu lieu en dehors du boulot, lors d’une séance à la salle de musculation. Ma fille a fait son éloge pendant de longues minutes, c’est là où j’ai compris qu’elle était vraiment amoureuse. Dans la discussion, on en est arrivé à parler du passé d’Anna qui n’avait pas toujours été attirée par les femmes, c’est là que ma fille m’a dit qu’elle avait eu que des relations masculines compliquées avant elle.
Un mois et demi après cette annonce, me voilà sur la route du chalet réservé par ma belle-fille. Elle avait profité de son travail pour obtenir un week-end de trois jours et deux nuits dans un loft au milieu de nulle part avec vue sur la montagne. La maison était magnifique, avec jacuzzi, Sauna, et tout le luxe imaginable, évidemment, cette maison était en vente.
Première Journée
Me voilà devant la maison, je frappe à la porte, c’est ma fille qui vient m’ouvrir, rayonnante et magnifique comme à son habitude. Je rentre et j’aperçois la fameuse Anna qui est au coin de la cheminée. Soudain comme un flash, j’ai eu l’impression que le temps s’est arrêté, mon regard a parcouru son corps de haut en bas, sans en perdre une miette. J’étais très loin de l’imaginer comme ça. Debout face à moi sur des talons aiguilles dans un jeans moulant accompagné d’un chemisier blanc très léger, une véritable femme fatale. Comme envouté par son parfum lorsqu’elle me fait la bise, je ne peux m’empêcher de vous la décrire. Blonde aux cheveux longs lissés, sa silhouette très fine pour un mètre soixante-dix. Du haut de ses 27 ans, elle a des courbes généreuses et j’imagine une poitrine impressionnante pour sa taille de guêpe. Des seins qui paraissent fermes et très bien proportionnés dans son chemisier légèrement transparent.
Les nombreuses séances de fitness lui permettent d’avoir des fesses bombées qui remplissent son jeans de façon provocante. Cerise sur le gâteau, ses yeux bleu gris lui rajoutent un côté innocent à un physique de rêve.
Anna a beau n’avoir plus aucun intérêt pour les hommes, je suis sûr qu’elle a son lot d’admirateurs qui rêvent de son corps toutes les nuits. D’ailleurs, ni mon lien familial avec elle ni mes 26 années de plus ne m’empêchaient d’être troublé par sa plastique de rêve.

Je finis finalement par suivre les filles dans une visite improvisée des lieux. Évidemment situé derrière elle dans les escaliers pour monter à l’étage, j’écoute ma fille qui me parle du loft, mais mes idées sont ailleurs. J’ai une vue sur le jeans moulant d’Anna, qui avec ses talons remue du cul ce qui est très perturbant pour moi. Alors que j’imagine qu’elle est en petite culotte, elle peut porter sous ce pantalon, ma fille m’interpelle.

— Papa, tu m’écoutes ? — Euu... uh oui pardon chérie.
À la suite des premières impressions, je monte ma valise dans ma chambre qui se situe face à la salle de bain commune. On finit rapidement un tour du propriétaire, avec le fameux jacuzzi sur terrasse et sauna dans la maison. La journée s’est enchaînée rapidement, tout le monde commence à être moins timide, l’apéro aidant, on apprend vite à se connaître. Anna s’intéresse beaucoup à moi et mon métier, j’imagine que c’est pour faire bonne impression.
Première nuit
La soirée déjà bien entamée, il est 23h, je décide d’aller me coucher pour laisser les filles profiter entre elles. Je me douche, j’enfile un simple caleçon et direction ma chambre. C’est à partir de ce moment que les situations ambiguës vont commencer entre moi et Anna.
Dans la nuit, je suis réveillé par des rires et une discussion sous ma fenêtre. Le chalet n’étant pas équipé de volets, j’ai écarté légèrement le rideau pour observer discrètement d’où venaient ces bruits. J’ai alors vu ma fille et Anna dans le jacuzzi situé pile sous ma fenêtre. D’ici, j’avais une vue plongeante sur les filles qui s’embrassaient amoureusement. Très vite, j’ai constaté qu’elles portaient des bikinis très sexy, l’une comme l’autre. Ma fille avait un ensemble une pièce qui laissait deviner une poitrine volumineuse, mais Anna avait un ensemble bien plus sexy. Bikini, deux-pièces de couleur blanche, constitué du minimum de tissu syndical. J’apercevais sa poitrine sortir de tous les côtés, une vue terriblement aguichante. Elles ont fini par sortir de l’eau, pour me laisser observer qu’en bas aussi, le tissu n’était que très peu présent. Anna avait un bikini string, ce qui m’a étonné, car je ne savais pas que ce genre de maillot excitait.
Je bénis l’inventeur de ce genre de tenue, ça m’a laissé voir ses fesses juste parfaites. Je me suis alors surpris à commencer à avoir une érection en voyant Anna, j’ai vite rejoint mon lit pour me changer les idées malsaines.
Les filles sont montées pour aller dans la salle de bain pour prendre leur douche, visiblement un peu coquines, car j’ai surpris des petits gémissements féminins. Au bout d’un long moment, j’entendais plus un bruit, hormis l’eau de la douche, ne dormant toujours pas, je me suis décidé à sortir de ma chambre pour essayer d’observer des trucs coquins. Je sais que c’est malsain, mais le manque de relation sexuelle et cette femme tout droit sortie de mes fantasmes les plus fous. Comment ne pas en profiter et saisir l’opportunité d’alimenter mes soirées de plaisir solitaire pour des années ? A ma grande surprise, la porte était restée entrouverte, c’est alors que je suis resté planté devant la porte. Devant moi, deux superbes femmes nues. Je pense que la vision du corps d’Anna dans son plus simple habit restera gravée à vie dans ma mémoire.
Un corps d’une féminité parfaite, sans aucun poil, avec ses seins en forme de deux gros melons, fermes et ronds, où trônent ses deux tétons de façon provocante, habillée de piercing sur chaque téton. Mais la chose qui m’a le plus surpris, c’est ma fille nue qui était très belle aussi, mais c’est le gode ceinture qu’elle portait qui m’a choqué. Un énorme sex-toy noir représentant une queue veineuse d’une vingtaine de centimètres. Je bandais de façon abusée dans mon caleçon, quand ma fille a parlé à Anna.
— Tu viens bébé, on va finir ce que l’on a commencé dans la chambre.
J’en ai profité pour m’éclipser dans ma chambre. J’ai eu énormément de mal à m’endormir à la suite de ce que j’avais vu. Je décide vers 4h du matin de descendre boire un verre d’eau. Simplement habillé de mon caleçon, je rejoins la cuisine, quand j’entends quelqu’un descendre, c’est Anna qui venait elle aussi boire un verre. Dans l’obscurité, je n’ai pas manqué de voir qu’elle aussi n’était pas très couverte. Petit haut de nuisette sans rien dessous, et un simple string en guise de bas. Surprise, elle a fait deux pas en arrière, s’excusant d’être dans cette tenue peu appropriée, elle me dit qu’elle ne pensait pas tomber sur moi.
Je la rassure en lui disant que moi aussi, je suis dans une tenue peu adaptée aux circonstances. La tension se relâche et elle me rejoint dans la cuisine, malgré l’obscurité, je suis très troublé par la situation. Au point d’en avoir une mini érection qui va vite devenir visible si je reste là. Je décide d’abréger cet agréable moment en lui souhaitant bonne nuit avant qu’elle remarque mon trouble, c’est en quittant la cuisine que j’ai eu l’impression de voir ses tétons pointer au travers du tissu.
Deuxième jour
Ce matin, je me lève après une nuit très courte, dans la cuisine, un petit mot des filles m’informe qu’elles sont descendues dans la vallée faire quelques courses au marché. J’en profite pour errer dans la maison, lorsque je passe devant la salle de bain où j’ai surpris les filles hier soir, une idée me vient. Je me dirige donc vers leurs chambres, j’entre, la chambre est rangée, le lit est fait. J’ouvre les valises, celle d’Anna ne contient rien de bien particulier, hormis cette tenue très féminine, j’en profite pour voir quel genre de lingerie ma belle-fille porte, je trouve uniquement des strings et des soutifs en dentelle. Vient le tour de la valise de ma fille, sous une couche de vêtements, je trouve un arsenal complet de sex-toys (gode ceinture, gode Michel, vibromasseur, plug anal, menotte, petit fouet...). Soudain, les filles arrivent, le bruit des portières de voitures me fait redescendre, en ayant tout remis en place.
La journée suit son cours, on fait une petite randonnée, on mange copieusement, et nous voilà déjà rendus en début de soirée. On passe une soirée au coin du feu, entre jeu de société et vin. Minuit arrive, Vanessa commence à avoir un peu trop bu, on décide de tous monter se coucher.
Deuxième nuit
Pour la dernière nuit dans ce lieu magnifique, je décide d’aller profiter du sauna. J’enfile mon slip de bain. Après quelques minutes dans le sauna, la porte s’ouvre, j’aperçois Anna dans l’ouverture. Quelle coïncidence, pensais-je, on se retrouve encore tous les deux en plein milieu de la nuit.
— Coucou ! Je peux me joindre à toi ? Vanessa dort et moi je n’y arrive pas.— Bien sûr, installe-toi.
Elle porte le bikini blanc du premier soir, un vrai délice. Elle s’assoit face à moi, la chaleur fait le reste. Son corps devient luisant et divinement agréable à observer dans la pénombre du sauna. On discute, la température monte, j’en apprends plus sur Anna. Sur sa vie professionnelle qui prospère, et sa vie privée qui a été compliquée par le passé, avec d’anciennes relations très compliquées. Je lui demande alors :
— Aujourd’hui, serais-tu capable de revenir avec un homme si jamais toi et Vanessa, ça ne marchait pas ? — Non, j’ai bien trop été déçue par vous les hommes. Sans vouloir être méchante envers toi.— D’accord, mais il n’y a rien qui te manque d’un homme ? — Si, bien sûr, la relation intime et physique que l’on connaît dans un couple classique.
Je lui confie que la solitude commence à être dure pour moi. Et que depuis que Vanessa est partie de la maison, la vie n’est pas aussi simple. J’ai des manques sexuels qui ne sont plus comblés par de simples plaisirs solitaires. A ma grande surprise, elle compatit et essaie de me réconforter. Elle s’approche de moi pour me passer la main dans le dos. Cette sensation d’une main féminine sur mon corps dégoulinant de sueur me fait quelque chose. Je commence à bander. C’est à ce moment que je constate qu’elle pointe dans le petit tissu qui cache à peine ses seins. Je vois même les deux piercings situés sur ses tétons, par transparence. Gêné le petit blanc qui remplit la pièce, c’est Anna qui nous sort du silence en m’avouant quelque chose qui visiblement la rend mal à l’aise.
— Je dois t’avouer que j’ai remarqué que je te faisais de l’effet. J’ai vu tes regards sur mon corps, je vois bien l’effet que j’ai sur ton sexe. — Je t’avoue que tu as raison Anna, tu ne me laisses pas indifférent. Tu es très belle et tu me fais fantasmer. Surtout depuis que je vous ai surprises hier soir dans la salle de bain. — Tu nous as vues... ? — C’était par inadvertance, je suis tout aussi mal à l’aise que toi. Mais te voir comme ça a réveillé chez moi un fantasme que je ne contrôle pas.
En lui avouant tout ça, j’ai eu peur de sa réaction. Peur de la bloquer et de créer chez elle un changement de comportement qui ne me permette plus de profiter de son corps de rêve. Mais surtout peur qu’elle en parle à ma fille. En l’observant, je la vois très gênée, tête baissée comme une enfant qui aurait commis une bêtise.
C’est à ce moment qu’elle constate que sous mon slip de bain se cache un gros morceau, au même moment où mon gland commence à sortir du slip, cause à mon sexe tendu par cette tension sexuelle. Je vois ses yeux s’écarquiller, son regard fixé sur mon entrejambe, je me rends vite compte qu’Anna aime les grosses queues.
— Je dois m’excuser, je ne pensais pas être aussi exhibe et vulgaire. Je ne me croyais pas capable de provoquer une situation aussi gênante pour toi.
La situation gêne énormément ma belle-fille qui ne lâche plus mon sexe des yeux. Je décide de lancer une pointe d’humour pour détendre l’atmosphère.
— En tout cas, il y en a une qui n’est pas gênée par la situation !
Je me touche alors le paquet devant elle et rajoute :
— Écoute Anna, ce n’est pas si grave. Tu m’as permis d’éprouver des sensations que j’avais oubliées depuis que ma femme m’a quitté. Tu me dis si je me trompe, mais j’ai l’impression que toi aussi tu y trouves une sorte de petite excitation ? Tes tétons parlent pour toi.
Je joins les gestes à la parole et lui touche un sein, pour faire ressortir son téton. Anna ne dit rien et apprécie même mon geste déplacé.
— Oui c’est vrai, mais ce n’est pas bien ce que l’on fait.— Tu as raison, mais c’est kiffant, tant que Vanessa n’apprend rien, on ne fait rien de mal. — Elle ne doit rien savoir, tu dois me le promettre de ne pas parler ? — J’ai aucune raison à le dire à ma fille, j’adore ton comportement de belle fille ultra-sexy. Tes petites balades nocturnes en sous-vêtements torrides...
On finit par être de plus en plus proche dans le sauna. Anna toujours aussi mal à l’aise m’avoue quelque chose à l’oreille.
— Je ne peux pas te laisser comme ça, c’est de la torture pour toi.
J’ai senti Anna poser sa main droite sur mon entrejambe.
— Je vais calmer la bête, c’est à cause de moi et mon comportement inacceptable que je t’ai mis dans cet état. Laisse-toi faire.
Elle s’est alors levée face à moi, elle a retiré son haut pour libérer les deux énormes seins qui me faisaient tant fantasmer. Je l’ai eu à peine 1 mètre de moi, ses deux aréoles me révèlent enfin les deux superbes piercings. J’ai alors voulu toucher... mais.
— Non non pas tout de suite petit coquin, laisse faire ta belle fille !
En l’espace d’une seconde, je n’ai pas reconnu Anna, j’avais l’impression d’être face à une escorte que j’avais payée pour me faire du bien. Mais là, c’était bien Anna ma belle-fille depuis deux jours.
Elle s’est agenouillée face à mon entrejambe. J’écarte les cuisses, elle baisse mon slip de bain, libérant mes 19 centimètres tendus vers son visage. J’ai vu son regard plein d’étoiles comme une petite fille devant un nouveau jouet. Une véritable femme en manque de queue.
Elle commence un mouvement de va-et-vient avec mon sexe, ce qui me fait pousser quelques petits gémissements. Après ses caresses parfaitement exécutées, elle prend enfin mon sexe entre ses lèvres pulpeuses. C’est d’abord mon gland qu’elle gobe avant d’enfiler toute ma queue.
Elle suce de façon divine, j’ai tout de suite constaté qu’elle avait de l’expérience. Une vraie salope qui prend un plaisir à accomplir son œuvre. Mais pour moi, le plus troublant, c’est de voir ma belle-fille à genoux, ma bite en bouche entre ses lèvres de suceuse. Je décide de me laisser et j’observe ses seins luisants de sueur et de salive qu’elle dégage à chaque tentative de gorge profonde.
Soudain, je me sens venir, je la préviens, mais elle continue à sucer. Je lâche tout dans sa bouche. Elle se retire et avale mon jus d’homme. Alors que je pense avoir tout vu, Anna s’essuie la bouche et s’assoit à côté de moi.
— Maintenant, tu peux les toucher beau-papa, ils sont tout à toi avant que je les utilise pour te branler.
Je ne me fais pas prier pour en profiter, d’abord de façon un peu timide et délicate avant de prendre confiance face au plaisir qu’elle éprouve. J’attrape alors ses tétons pour les titiller, elle pousse des gémissements qui me donnent envie de lui bouffer ses seins. Je plonge la tête dans sa plastique de salope, je vis un rêve éveillé.
Alors qu’on commence à avoir bien chaud, Anna me demande de la suivre dans la salle de bain. Sous la douche italienne, elle reprend sa position agenouillée, je bande de nouveau. Elle commence alors une branlette espagnole, chose que j’avais vue uniquement dans des films X. Un fantasme encore une fois réalisé par Anna, je ne tarde d’ailleurs pas à jouir une autre fois, cette fois sur ses seins.
Après tant d’émotions, j’ai envie de m’occuper d’elle pour la remercier, mais elle ne veut pas. Prétextant qu’elle ne se voit pas tromper Vanessa, je lui dis alors :
— Mais elle n’en saura rien.— Je sais bien, mais moi je m’en voudrais. Je me suis occupé de toi parce que j’ai été vilaine tout le week-end. Je me devais de me faire pardonner envers mon beau-père.— Et tu es pardonnée Anna, j’ai passé un moment inoubliable. Mais s’il te plaît, ne change rien à qui tu es. Reste la femme sexy et provocante que j’ai rencontrée ! J’adore mater ton corps lors de tes exhibe innocentes. — Je ne compte pas changer, ça me fait plaisir que tu ne le prennes pas mal. C’est important pour moi que nous ayons une bonne relation par rapport à Vanessa. Et puis, si je peux rendre ta vie de célibataire endurci plus pétillante, c’est que du bonus. — Oh je pense que tu n’as pas de soucis à te faire, j’apprécie la personne que tu es. Merci pour ce soir Anna !
On enfile notre pyjama et on se quitte pour rejoindre nos lits respectifs. C’est alors que j’interpelle Anna :
— Bienvenue dans la famille Anna, bonne nuit.
Elle se retourne, me fait un clin d’œil et prend la direction de sa chambre. Elle remonte son haut pour me laisser voir son string qu’elle porte pour la nuit. Je me couche encore sur un petit nuage, le retour à la réalité va être violent. La nuit fut courte, mais c’est avec le sourire que je me suis réveillé.

Troisième jour
Je retrouve mes deux beautés dans la cuisine, leur valise déjà faite. On profite d’une dernière matinée ensemble. Anna fait comme si hier soir, elle ne m’avait pas réveillé son vrai visage de jeune femme en manque. Dans la journée, je me retrouve seul avec ma fille quelques instants. Elle sonde mon avis sur la femme qui la rend heureuse. Situation particulièrement gênante pour moi, je vais devoir faire preuve de sang-froid pour lui donner mon avis.
— Bah écoute, j’ai plutôt une bonne impression. On discute bien, c’est une femme intelligente, gentille, à l’écoute, attentionnée envers toi. Elle est très belle et sait être élégante, tu as vraiment tiré le gros lot avec cette fille.— Tu penses tout ce que tu dis là papa ? Elle t’a tapé dans l’œil dis donc.
Je rougis l’espace d’un instant, en repensant à hier soir.
— Oui, je l’apprécie beaucoup, et je pense qu’à tes côtés, Anna sera une belle fille exceptionnelle.— L’avenir nous le dira, Inch’Allah.
Alors que je vois ma fille heureuse au plus haut point, et qu’elle me saute dans les bras. Je croise le regard d’Anna qui passe dans la pièce. Je ressens une tension sexuelle en moi, qui je pense, a aussi frappé Anna qui rougit et baisse la tête. C’est l’heure du départ, après un week-end riche en surprise. Une présentation approfondie avec ma belle-fille, qui s’avère être chaude et toujours attirée par les grosses bites, malgré son homosexualité. Ce qui m’a permis de goûter à sa plastique de rêve après d’agréables moments de voyeurisme. Un week-end qui n’est d’ailleurs que le début de notre aventure cochonne. Car Anna va se réveiller, être bien plus chaude que je ne le pensais.
Alors, si vous voulez avoir la suite des aventures avec ma salope belle-fille, faites-moi signe dans les commentaires.
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